Arnold, Méthodes mathématiques
Bonjour
Je suis à la recherche du classique "Méthodes mathématiques de la mécanique classique" de Vladimir Arnold aux éditions MIR. Il n'est plus édité et les exemplaires d'occasion sont inabordables...
Quelqu'un saurait-il s'il est possible d'en trouver une version pdf ?
Merci d'avance !
Olivier
Je suis à la recherche du classique "Méthodes mathématiques de la mécanique classique" de Vladimir Arnold aux éditions MIR. Il n'est plus édité et les exemplaires d'occasion sont inabordables...
Quelqu'un saurait-il s'il est possible d'en trouver une version pdf ?
Merci d'avance !
Olivier
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Réponses
https://www.amazon.fr/Mathematical-Methods-Classical-Mechanics-Arnold-ebook/dp/B00HWVUUDW/ref=sr_1_3?ie=UTF8&qid=1518175212&sr=8-3&keywords=arnold+method
Tant pis, je vais essayer avec le centre de documentation de mon boulot.
Si un bouquin marche bien, il n'y a pas de raison qu'on baisse son prix : la notion de générique n'a pas encore cours en sciences...
De façon plus pragmatique, peut-être attendre les ristournes des Yellow Sales, ou chercher l'occasion en librairie sur Paris ?
Bonne pioche en tout cas ;-) !
https://www.leboncoin.fr/livres/1306782296.htm?ca=12_s
Je ne suis pas d'accord. Il y a dans tout cela une sacralisation déraisonnable des travaux intellectuels par rapport aux autres travaux.
Quand je monte les marches de l'escalier de mon université, est-ce que je verse des rentes aux ouvriers qui ont construit les marches ?
Le droit d'auteur est légitimé par le fait que le cours naturel des choses ne permet pas à un auteur de se faire payer son travail, puisque chacun peut le reproduire avec un coût négligeable.
C'est cet état de faiblesse de l'auteur qui justifie l'intervention de l'Etat.
En induire qu'il est légitime de tirer un revenu infini d'un travail qui a demandé un temps fini, c'est une autre affaire.
Sinon, comme on dit souvent (même s'il faut se méfier des formules toutes faites) : comparaison n'est pas raison ! Un escalier n'est pas un livre. Chaque "chose" qui se vend (bien ou service) a ses prix, ses offres, ses demandes, ses marchés, ses "model-business", etc.
De façon générale, les légitimations évoquées sont d'ordre moral. Mon propos relève uniquement du point de vue économique : tant qu'elle le pourra, une entreprise cherchera à hausser son bénéfice, alors il n'y a pas de quoi s'offusquer de voir un prix toujours haut pour un bouquin qui marche et est sûr de s'écouler au fil de l'eau. Quand à la comparaison fini/infini, elle ne tient pas : il faudrait vendre une infinité de livres, ce qui est physiquement impossible ;-)...
"Ah oui, bien sûr, mais apprendre le russe ou le chinois, ça te permet d'aller visiter ces pays, de découvrir "l'autre"..."
"Et si je n'ai pas ENVIE d'aller visiter ces pays ???"
"Bah ça prouve seulement que tu es trop fermé, trop obtus... Tu ne réussiras pas dans la vie ! (C'est vrai, quoi ! pourquoi tout le monde ne vit pas comme j'ai envie MOI ??)"
Bon plus sérieusement, je ne dis pas qu'il ne faut pas avoir des livres dans d'autres langues (j'en ai et j'en lis - en anglais !), mais qu'il y a des "solutions extrêmes" qui pour moi n'en sont pas...
Je n'ai pas dis que c'était "bien" ou "mal", ces raisons morales font partie d'une autre discussion.
Si je gagne 50 millions au Loto, j'aurai raison de les empocher, même si ça prive les autres joueurs du même pactole :-) !
Maintenant, qui peut vendre des livres 3000€ en faisant des bénéfices ET priver une majorité du public de connaissances ? J'aimerais bien quelques exemples d'un tel "business-model" ;-). Le jour où cela concernera un livre sur les 4500 manières de démontrer le théorème de Steiner et que cette privationdes étudiants de licence aura un impact sur le rayonnement des mathématiques en France, je crois, n'est pas encore pour demain...
M.
Mais je n'interdis à personne, on est bien d'accord ;-).