Implications logiques

Bonjour!

jai un problème avec les notions d'implications logiques, plusieurs problèmes même, ayant trait à la table de vérité de l'implication

p   q   p => q
1   1      1
1   0      0
0   1      1
0   0      1

avec 1 pour vrai, 0 pour faux. J'y ai réflechi pas mal de temps et cherché sur d'autres sujets de forums, mais j'aurais vraiment besoin d'éclaircissement tout de même :)

alors déjà:

1) Des énoncés mathématiques comme A, B ici peuvent-ils changer de valeur de vérité?
par exemple, "1=-1" (avec les axiomes des nombres réels) est indubitablement un énoncé faux, mais
est ce que par exemple "je suis Churchill" peut-être quand meme considéré comme un énoncé mathématique, meme s'il change de réponse selon la personne?

ma deuxième question est assez liée à la 1ère:

2) est ce que, pour que pour A,B des énoncés donnés, pour dire si "A->B" est vraie, on doit:
-regarder si l'assertion "A->B" correspondt, selon les valeurs de A et B à chaque ligne de la table de la vérité?
ou plutôt
-regarder si l'assertion "A->B" correspondt à une ligne de la table avec un "1" sous la 3eme colonne, la valeur de A (et de B) étant une constante?

3) je crois avoir compris pourquoi:
"A->B" est vraie quand A est faux, B est faux (p.ex "1=2" (A), "4=5" (B) , ou encore "la lune est en fromage (A), "la lune a bon gout" (B))
"A->B" est vraie quand A est faux, B est vraie (p.ex "1=-1" (A), "1=1" (B) )
je me demandais: est ce que: l'exemple "la lune est en fromage" (A), "La lune est en carton" (B) nous donne-t-il une implication A->B vraie??
car au fond cela correspondt à la 4 eme ligne du tableau: A faux, B faux, qui donne "A->B" vrai!!! pourtant cela semble stupide

est ce que je prends le probleme à l'envers?

Pour que "A->B" soit vraie, alors forcemment, soit:
-A vrai, B vrai
-A faux, B faux
-A faux, B vrai

Or moi je lis: si une de ces trois ligne est respectée pour A, B donnés, alors on a une implication vraie.

Merci beaucoup d'avance pour votre aide !! :)
«1

Réponses

  • Bonjour.

    1) Il y a plein d'énoncés mathématiques qui peuvent changer de valeur de vérité, par exemple x=2. Par contre, "je suis Churchill" n'est pas un énoncé mathématique. Il est préférable d'éviter les énoncés flous quand on veut travailler la logique. Donc pas de "s'il pleut je prends mon parapluie" et autres phrases qu'on peut interpréter de façon malsaine.
    2) Pourquoi voudrais-tu qu'il y ait une seule règle pour tous les cas. Si une seule ligne suffit (valeurs de vérité fixes) on s'en contente, si A ou B peut avoir plusieurs valeurs de vérité, on fait avec.
    3) tu es rentré dans les exemples dangereux. Mais oui, si A et B sont faux, alors A implique B. C'est dans la définition. "pourtant cela semble stupide"; oui, avec ce genre de phrase. Mais on en a effectivement besoin, et si tu fais des maths élaborées, ça te servira.

    Cordialement.

    NB : Je n'ai pas compris de quoi tu parles ensuite.
  • Un conseil : laisse définitivement tomber les exemples bidons avec "la lune est en fromage" ou "je suis Churchill".
    Le symbole $\implies$ est un connecteur logique qui fabrique des formules à partir d'autres formules dans un système formalisé. L'évaluation de la valeur de vérité de $p\implies q$ à partir des valeurs de vérité de $p$ et $q$ est bien donnée par le tableau que tu as recopié.
    Pourquoi trouves-tu stupide que la valeur de vérité de $p\implies q$ soit "vrai" quand les valeurs de vérité de $p$ et $q$ sont toutes les deux "faux" ?
  • Durant des décennies j'ai enseigné que si on connait le mot "et" et le mot "non", on obtient le mot "=>" en disant que:

    [large]
    A=>B
    [/large]

    veut par définition dire :
    [large]non(A sans B)[/large]

    où A sans B veut par définition dire:
    [large]A et non(B)[/large]

    Si ça peut t'aider...

    Sinon il y a un fil dans la même rubrique, qui prouve que si non(A) alors A=>B pour tout B. Il te suffit de le lire.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • merci pour vos reponses!

    gerard10: jai pour ma part entendu dire que les énoncés du type x=2 sont des énoncés "conditionels" et ne s'appliquent pas vraiment, alors que mon livre de logique lui s'appuie frqqement sur les exemple du type "si je suis churchill, je suis anglais", mais soit.

    GaBuZoMeu : je vais reformuler ma 3e question: quand on a par exemple "si 1=2, alors 3=4" (veuillez bien me confirmer que cest un exemple d'implication pertinent) : ici A est faux et B est faux, mais le lien est logique: si on fait +2 des deux coté de l'égalité pour A, on obtient B. donc je vois:
    -si A est vrai, B est vrai
    -si A est faux, alors notre theoreme, n'ayant pas l'hypothese respectée, ne s'applique pas, donc est "respecté", il n'y a pas de contradiction, et B peut être vrai comme faux. Donc l'implication est vraie. C'est comme ca que je comprends la phrase de @christophe c, "si non(A) alors A=>B pour tout B."

    mais alors prenons "si 1=2, alors 4=24693". A et B sont tous les deux bien faux, et ici on a:
    -si A est vrai, B est faux quand meme, donc l'implication n'est pas respctée! (si??)
    -si A est faux, alors notre theoreme, n'ayant pas l'hypothese respectée, ne s'applique pas, donc est "respecté", il n'y a pas de contradiction, comme ci dessus.

    d'où mes question 1) et 2): dans ce deuxieme exemple, l'énoncé "1=2" doit-il être consideré
    -comme faux irrémédiablement, et donc l'implication doit correspondre a la 3e ou 4e ligne de la table
    -comme un ennoncé variable, et qui doit coller à toutes les lignes du tableau? dans ce cas la ce n'est pas une implication vraie de mon point de vue.

    Est ce que ce point de vue est correct?

    christophe c: merci mais cest comme ca que je suis arrivé sur ce forum et je n'y ai pas trouvé de réponses à mes questions :(
  • Tes deux exemples $\ll 1=2 \implies 3=4 \gg$ et $\ll 1=2 \implies 4=24693 \gg$ ne sont pas spécialement différents l'un de l'autre.

    Supposons que $1=2$, on a une preuve que $4=24693$ comme suit :
    $1=2 \implies 2=4$ (par $\times 2$)
    $\implies 4=8$ (par $\times 2$)
    etc...
    $\implies 8192=16384$ (càd $2^{13} = 2^{14}$)
    $\implies 1=2=4=8=16=32=64=128=256=512=1024=2048=4096=8192=16384$ (par ce qui précède et la transitivité)
    $\implies 16384 + 8192 + 64 + 32 + 16 + 4 + 1 = 1 + 1 + 1 + 1 + 1 + 1 + 1$
    $\implies 24693 = 3 + 4$ (on ré-écrit le calcul ci-dessus)
    $\implies 24693 = 3 + 1$ (par $1=4$)
    $\implies 24693 = 4$
    $\implies 4 = 24693$

    Cette preuve n'est pas spécialement intéressante pour sa logique (elle revient à dire que l'on peut écrire un nombre en base 2) mais, outre le fait qu'elle soit en plus d'une ligne, elle est comme ta preuve de $\ll 1=2 \implies 3=4 \gg$.



    Ainsi, si tu es convaincu que "Si A est vrai, B est faux quand même" pour ton 2nd exemple, alors tu devrais l'être tout autant pour ton 1er exemple. En effet, d'un certain point de vue, le fait que $1=2$ ne change rien au fait que $3 \ne 4$.

    On va revenir sur les mots "vrai" et "faux" car ce sont eux qui te posent problème à mon sens. Quand tu dis que "Si $1=2$ (est vrai) alors $3=4$ (est vrai)", tu sous-entends "Si on me donne la première égalité, alors je peux vous donner une preuve de la seconde".
    On va donc remplacer le mot "vrai" par "prouvable" et le mot "faux" par "le contraire est prouvable". Ce sont des termes plus adaptés à ce que tu sembles comprendre (mais qui ne sont pas adaptés pour les tables de vérité ; j'y reviens).

    Or il n'y a pas de contradiction à dire que A et contraire(A) sont prouvables en même temps. En effet, tu peux effectivement prouver que $3=4$ en ayant admis que $1=2$, mais tu peux aussi toujours prouver que $3 \ne 4$ par les moyens habituels (dans l'arithmétique de Peano, c'est un axiome : tout nombre est différent de son successeur).

    Tu as donc bien "Si A est prouvable, alors B est prouvable" dans tes deux exemples.



    Maintenant, tu veux comprendre comment les tables de vérité fonctionnent. Et ben elles ne fonctionnent pas du tout avec la notion de "prouvabilité" mais bien avec la notion de "véracité" et il ne faut pas confondre les deux.
    Quand tu veux te servir de la notion de véracité, tu n'as pas le droit (à priori) de parler de preuve : les propositions sont soit vraies soit fausses, mais sans lien logique entre elles. Les seules choses qui te sont autorisées de faire, c'est former des propositions (toujours de plus en plus complexes) à l'aide des connecteurs logiques suivants :
    A et B
    A ou B
    non A
    Et ceux que tu peux fabriquer avec eux (comme l'implication).

    Exit les raisonnements à base de $\ll a=b \implies a+c=b+c \gg$.

    Ainsi, si tu t'intéresses à la véracité de tes deux exemples, tu es dans la dernière ligne du tableau ($1=2$ et $3=4$ sont faux) et donc la formule non($1=2$ et $3 \ne 4$) est vraie. À partir du moment où tu as fixé les propositions A et B, leurs valeurs de vérité sont également fixées et il n'y a plus à réfléchir.



    Dernier point : une proposition est fixée si elle ne contient plus de variable libre.
    $x=2$ n'est pas vraie ou fausse, pas plus que la proposition P n'est vraie ou fausse.
    $\forall x, x=2$ ne contient plus de variable libre : la proposition est fixée et elle est fausse.
    Je suis Churchill est une proposition fixée ou non selon que tu considères que Je est une variable libre (elle dépend du locuteur) ou non (elle fait référence à toi, trackmapper, et elle est donc fausse à priori).
  • @track: de mon téléphone.

    Tu fais fausse route dans ta démarche générale car tu es en train de contester une définition. Mais bon pour te souhaiter la bienvenue sur le forum puisque tu t'es inscrit pour ça je te donne une " preuve irréfutable " de ... Cette définition

    Avant vérifie que tu es d'accord que:

    1) X <=> Y est une abréviation de (X=>Y) et (Y=>X).
    2) (X et Y) => X
    3) (X et Y) => Z veut dire la même chose que X=>(Y=>Z)

    Concernant le cas "faux => faux": si A,B sont tout deux faux alors ils sont équivalents donc A=> B (car leur équivalence c'est : (A=>B) et (B=>A) )

    Concernant le cas "faux => vrai": si A est faux et B est vrai , comme B=>(A=>B) est vrai (ce n'edt rien d'autre que (B et A)=> B il suit que A=>B est vrai aussi.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • De mon téléphone : je te donne aussi ce que je donne à mes élèves:
    << vous êtes tous d'accord que pour tout u: u<5 => u<100 >>
    << bin voui>>
    << donc vous êtes d'accord que : 7<5 => 7<100 et que 111<5 =>111<100 >>

    Comme ça t'as de quoi moudre même si on est peu à se connecter.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • L'implication => doit être vu comme un symbole fonctionnel. Il prend deux arguments (deux propositions qui peuvent êtres vraies ou fausses) et donne comme résultat une valeur vraie ou fausse.

    Le plus grand malentendu vis-à-vis du pauvre => est le si....alors du langage non formalisé qui veut capturer la notion de "déduction". On écrit A=>B pour exprimer que de A on déduit B, et ceci est faux.
    On devrait dire plus correctement que de A et A=>B on déduit B. Autrement dit, si A est vraie et A=>B est vraie alors nécessairement B est vraie comme on peut le vérifier sur le tableau de vérité du =>.
  • le lui ou autre, Serge: Vous parfaitement cerné mon problème peu commun et parfaitement eclairci ce qui me faisais défault, merci beaucoup!
    j'ose me permettre de demander une dernière verification sur un exemple pour m'assurer d'avoir bien compris:

    pour l'implication "si 1=2, alors 3=4": Le bon raisonnement est:

    -dans le cas présent, 1=!2, l'hypothèse n'est pas respectée, donc notre "théorème" n'est pas contredit, et est donc correct.

    qui, de mon point de vue, est équivalent (mais moins parlant) à:

    --dans le cas présent, 1=!2, la valeur de vérité de "1=2" est donc Faux, et on est bien dans le cas "non (1=2) ou 3=4", ce qui, par définition, garantis que l'implication est correcte.

    alors que je faisais le raisonnement erroné suivant:

    -en supposant que 1=2, en faisant +2 des deux cotés, on retombe sur 3=4, et donc le théorème est correct.


    est ce que c'est correct? :p


    christophe c: la définition ne me pose pas de problème, je vois comment arriver à "non A ou B" équivalent à "=>". c'était bel et bien les notions de vrai et faux qui me posaient problèmes, toutefois merci pour vos exemples!
  • alors que je faisais le raisonnement erroné suivant:
    -en supposant que 1=2, en faisant +2 des deux cotés, on retombe sur 3=4, et donc le théorème est correct. $1=2\implies 3=4$ est vrai.
    Ce raisonnement est parfaitement correct.
  • pour l'implication "si 1=2, alors 3=4"

    Pour déterminer la valeur de vérité de la proposition (1=2) => (3=4) il suffit de regarder la valeur de vérité de l'antécédent et du conséquent.
    Ici : la proposition antécédente est (1=2) qui est évidement fausse
    : la proposition conséquente est (3=4) qui est évidement fausse

    donc on doit évaluer la valeur de vérité de l'implication (faux => faux). On consulte le tableau de vérité et on voit que (faux => faux) a pour valeur de vérité vraie. Donc l'implication (1=2) => (3=4) est vraie.

    Laissons de côté la logique formelle et démontrons que si 1=2 alors 3=4.
    Par hypothèse 1=2 alors 1+ (2) = 2 + (2). Donc 3=4. CQFD.

    Si l''antécédent est faux et l'implication est vraie alors on ne peut pas en deduire que le conséquent est nécessairement varie. I.e. d'une proposition fausse on peut démontrer n'importe quoi (de vraie ou de faux).

    La déduction naturelle en mathématique GARANTIT que si l'on part d'hypothèses vraies et on applique un raisonnement logiquement et mathématiquement correcte la conclusion est nécessairement varie.
  • Petit exercice (classique)
    Des cartes portent une lettre d'un côté et un nombre de l'autre côté.
    Sur une table sont posées quatre telles cartes. On y voit un E, un P, un 7 et un 12.
    Quel est le nombre minimal de cartes à retourner pour s'assurer que l'énoncé suivant est vrai :
    "Pour toute carte sur la table, s'il y a une voyelle d'un côté, alors le nombre de l'autre côté est pair".
  • Ok je crois que jai compris cette fois pour de bon^^

    La définition garantis qu'une implication est vraie (ou fausse), et mon "raisonnement erroné" n'est pas erroné, on peut l'effectuer à chaque fois pour vérifier que l'implication est vraie, mais ce n'est pas la bonne méthode pour trouver si l'implication est vraie.

    Je trouvais cet exemple assez perturbant, car, de mon point de vue, il sous entends qu'un lien logique entre les deux énoncés doit exister, et donc que deux énoncés faux ne garantissent pas une implication vraie.

    Merci encore pour votre aide à tous!

    GaBuZoMen: une seule, c'est le 7!
  • Sur une table sont posées quatre telles cartes. On y voit un E, un P, un 7 et un 12.
    Quel est le nombre minimal de cartes à retourner pour s'assurer que l'énoncé suivant est vrai :
    "Pour toute carte sur la table, s'il y a une voyelle d'un côté, alors le nombre de l'autre côté est pair".


    Le nombre minimum de cartes à retourner est 2.
    Il suffit de retourner la première et la troisième carte.
  • GaBuZoMen: une seule, c'est le 7!
    Raté !
    Same player, shoot again.
  • ouuups fail

    le E et le 7 ^^
  • @Serge: en principe ceux qui pensent avoir compris ne font pas les exercices destinés à ceux qu'on aide .

    @track : il y a des liens logiques entre tous textes. Ce n'est pas ça qui est en jeu. C'est me semble-t-il que tu serais tout autant étonné si on te disait que 3+7 est un produit. Les opérateurs logiques opèrent sur la valeur des phrases et non sur la suite de caractères utilisée pour écrire chacune.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • C'est me semble-t-il que tu serais tout autant étonné si on te disait que 3+7 est un produit. Les opérateurs logiques opèrent sur la valeur des phrases et non sur la suite de caractères utilisée pour écrire chacune.
    Une erreur récurrente de Christophe. Le terme $3+7$ est une somme et pas un produit. Un connecteur logique opère sur les formules pour produire une nouvelle formule.
  • @Serge: en principe ceux qui pensent avoir compris
    ne font pas les exercices destinés à ceux qu'on
    aide .
    [

    Je suis désolé.
    Tu peut toujours demander à trackmapper d'écrire la raisonnement complet pour voir s'il a bien compris.
  • christophe c: ce que j'entendais par lien logique est le fait que passer de 1=2 à 3=4 est très simple, et l'auteur de mon livre de logique semble sous entendre que cette implication est démontrable (et simple), alors que d'autres ne le seraient potentiellement pas, et donc fausse

    et sinon pour l'exo, j'explique volontiers voir si jai bien compris
    retourner la lettre P ne sert à rien, car qu'on aie un nombre pair ou impair derriere, cela ne contredit pas la regle. Cela correspondrait aux lignes 3-4 de la table, avec l'énoncé A qui est faux dans la table, et quelque soit la valeur de B, l'implication est vraie.
    De meme retourner le 12 ne servirai a rien. On aurait tendance à penser que trouver une consonne derriere serait une contradiction, mais cela est faux du au fait que la règle est une implication, et non une équivalence. Cela correspondt aux lignes 1 et 3, ou B est vrai et A change de valeur.
    en retournant la lettre E: si on a un nombre impair, la regle est définitivement fausse, et pas besoin de retourner plus loin. mais si on a un nombre pair, la regle n'est pas encore confirmée: Il est possible que derriere certaines voyelles se cachent des nombres pairs, mais aussi impairs.
    Ainsi on regarde la carte 7: si il y a une consonne derriere on est certain que la règle est vraie sur cette table, alors que si il y a une voyelle, on a trouvé la faute.
  • Aux lecteurs: je n'y pensais plus mais le private joke de GBZM me le rappelle. Bien sur que non je ne commets pas d'erreur. GBZM non plus d'ailleurs car il a ses raisons, qu'il sait défendre, de vouloir mettre un interface intermédiaire entre la suite de caractère et la valeur , interface des termes qui aurait sa propre utilité. Mais bon ce luxe spécialisé ne concerne pas assez me semble-t-il les "clients" du présent fil probablement bien éloignés de ça. Pour être précis: 3+7 c'est EVIDEMMENT 10 et rien d'autre et quand on est pas spécialiste je recommande d'utiliser une notation différente (par exemple 3+7 pour parler du terme interfacant et encore une autre par exemple [<3;+;7>] pour parler de la suite de caractères.

    Pour être complet d'ailleurs j'ajoute que je disais à track que (3=8) est EGAL à FAUX. Et que c'est ça qui lui pose souci.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • mettre un interface intermédiaire entre la suite de caractère et la valeur
    Absolument pas. Je fais juste la différence entre la formule (la suite de caractères) et sa valeur de vérité, ce qui me semble sain. Je ne comprends pas pourquoi Christophe, qui s'enflamme quand il trouve que les pédagogues (injure suprême sur son clavier) racontent des craques aux élèves, est partisan de raconter des inexactitudes aux non spécialistes sur ce point.
  • Mais tu écris toi-même que la valeur que tu donnes à la suite [3;+;7] est le terme 3+7 et non pas le nombre 10. Alors explique-moi ce que je n'ai pas compris dans ta pensée.

    On est d'accord qu'il faut distinguer mais la valeur de la suite c'est 10 (tout contexte réglé bien sûr), ce n'est pas je ne sais quel terme abstrait de je ne sais quel chapitre de M1 de logique ou d'algèbre commutative. Ça, peu de gens connaissent. Et tes accusations que je refuse de distinguer sont assez bassesses dans ta bouche. Ça ne te ressemble pas la mauvaise foi.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Autre chose: "et" par exemple est une application de {vrai;faux}^2 dans {vrai;faux} !! Tu ne sembles pas l'avoir remarqué si j'en juge par la phrase en plus après avoir parlé de 3+7. C'est track lui même qui l'a exigé (les tables de vérité quand elles sont prises comme définition son t des graphes d'applications et je n'y suis pour rien je ne suis pas l'enseignant de track il est venu avec son pack).

    Je veux bien te voir lui proposer un cours alternatif mais bon courage parce que tu risques de lui remettre des problèmes dans la tête alors qu'il venait juste de s'eclairicr.

    De mon téléphone
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Précision: GBZM. Je suis plutôt de ton "bord politique" (en tant que logicien). J'ai dit au moins 4847 fois sur le forum DANS UN AUTRE CONTEXTE que le vrai et le faux n'existe pas en maths à certains interlocuteurs pris qui arrivaient avec leur platonisme attaché en bandoulière.

    Mais en 2017 un matbeix de 15ans qui écrit : " ((3> 5) = faux ) = (1=1)" n'a pas à rougir de son platonisme. Ce n'est pas une ligne pedagogiste. C'est formel et limpide. Ce qui serait pedzgogiste ce serait de tergiverser et ne jamais conclure face à lui.

    Par ailleurs on peut noter que track a utilisé 0 et 1 et non pas vrai faux
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • J'ai déjà expliqué, je ne vais pas me répéter. Tu peux lire.
  • Dans ce fil tu n'as rien dit. Et tu as même nié la reformulation que je t'attribue et a décrète quasiment texto que les connecteurs logiques ne sont pas des opérations internes sur 2.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Réalises-tu que ton message ci-dessus est inconsistent ? Je n'ai rien dit, mais j'ai dit quelque chose avec lequel tu n'es pas d'accord (sauf que tu déformes ce que j'ai écrit, mais ça c'est habituel).
  • De mon téléphone : je viens de vérifier tu as écrit peu de poste avant les deux derniers et dans aucun tu ne justifies que la valeur de 3+7 n'est pas 10 ou que la valeur de (0 ou 1) n'est pas 1 (pour reprendre les notations de track).

    Je t'accorde que tu L'AFFIRMES ( de manière peu cash d'ailleurs, l'une au détour d'un post l'accusant d'erreur récurrente, l'autre assez vaguement dans ta première intervention) mais une affirmation n'est pas une preuve.

    De plus pour la 3ieme fois je te redis que tu as nié ma reformulation de ta pensée qui t'attribuait de mettre 3 étages: la suite de caractères(1); le terme formel (2); la valeur (3) où j'ai qualifié d'interface le (2). Et même si tes 3 derniers posts sont ambigus, tu n'as toujours pas démenti. N'importe quel lecteur, vu que tu as nié mettre (2) et nié (2)=(3) va comprendre (comble de la stupidité et personne ne te soupconne d'être aussi bête que ça) même si tu ne le voudrais pas que tu prétends (2)=(1), autrement dit j'insiste, que SUITE DE CARACTERES = TERMES.

    Ce n'est pas moi qui décide de faire apparaitre ce que tu dis comme aussi stupide qu'une interprétation (1)=(2). C'est ce que tu as écrit.

    Donc continue de me casser si tu veux gratuitement d'évoquer les pedagos ou autre évocations générales si tu veux. Tout ce que tu auras à la fin c'est d'avoir dit (1)=(2) et finalement indirectement validé tous les HS contre lesquels tu voulais aider (track, fdp et bien d'autres qui ont 1000 fois tenté de défendre que => n'est pas de même statut que "ou" et n'est pas (en L1,L2 pour faire simple) une application de 2^2 dans 2 (où 2 :={vrai;faux})

    Je ne suis pas ton ennemi: je suis le premier à dire que les preuves prennent en arguments des suites de caractères et non des phrases. Mais ce n'est pas une justification pour faire disparaitre complètement les modèles (le ce qui attribue une valeur à chaque phrase). Et d'ailleurs pour clamer qu'une preuve est une forme j'ai besoin que l'erreur opposée soit faite.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Et pourquoi un terme d'un langage, ou une formule de ce langage, n'est pas une suite (correctement formée suivant les règles), de "caractères" qui sont des variables, des symboles de fonction ou de relation, des quantificateurs (et éventuellement de parenthèses) ? Qu'est-ce qu'un terme, ou une formule, alors ?
    Tu me reproches d'affirmer sans preuve.
    Toi, tu affirmes en déclarant stupides ceux qui ne sont pas d'accord avec toi, et c'est le seul argument que tu apportes. C'est du terrorisme intellectuel pur et simple. Désolé, ça ne marche pas avec moi.

    Et je maintiens que c'est une erreur grave que tu fais en mélangeant syntaxe et sémantique sous prétexte que ça serait plus facile "pour les petits".
  • Je ne vois pas quel terrorisme je commets. Et je ne comprends pas pourquoi tu persistes à être de mauvaise foi en l'accusant de mélanger syntaxe et sémantique alors que C'EST TRES EXACTEMENT L'OPPOSE que je défends contre ce qui me semble être ta position.

    Et pourquoi tu fais exprès de mal comprendre que par "stupide" j'entends l'attitude qui consiste à sembler affirmer qu'un terme est une suite de caractères SANS RIEN DIRE DE PLUS et d'en rester là en prenant des airs énigmatiques. Si par contre tu décidais de justifier que la valeur de 3+7 n'est pas 10 comme tu l'as prétendu on pourrait te poser des questions. Mais la tu te contentes d'affirmer un truc "REVOLUTIONNAIRE" que personne n'a jamais vu et en plus tu sous entends que c'est "banal". Je te rappelle que quand on parle les mots désignent leur valeur et pas eux mêmes et ça n'a strictement rien à voir avec "c'est plus facile pour les petits". Paris N'EST PAS un mot de 5 lettres. Ce n'est pas la chaine [p;a;r;i;s] qui elle oui est un mot de 5 lettres.

    Quant à ta toute première phrase tu sembles toi même t'apercevoir que tu pédales dans la semoule puisque tu éprouvés le besoin d'ouvrir une longue parenthèse : on n'a plus affaire à une suite de caractère s'il faut ouvrir une parenthèse interminable et tu d'emblée en avoir conscience. D'autant plus si on commence à dire que certaines sont interdites ou mal formées. Mais ce n'est pas le plus grave. Le plus grave est que si tu veux assumer ton (2)=(1) voir mon post d'avant, et donc affirmer que 3+7 désigne la suite de caractères [3;+;7] tu sais très bien qu'il va falloir sacrement expliquer cette position révolutionnaire et la contradiction flagrante avec le fait de prétendre dénoncer les gens qui ne distinguent pas syntaxe et sémantique puisque c'est ce que tu fais justement.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • L'orgueil est vraiment mauvais conseiller: j'avais rendu ta position sauva le en t'attribuant une troisième voie entre mot et sa valeur. Par orgueil tu as voulu rejeter et tu te retrouves à tenter de justifier l'impossible. C'est dommage. La troisième voie que je t'attribuais n'avait rien de honteuse
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  • Bon, je m'attendais bien à te voir ressortir une fois de plus ton histoire de Paris P.a.r.i.s
    Si par contre tu décidais de justifier que la valeur de 3+7 n'est pas 10 comme tu l'as prétendu
    J'ai prétendu que la valeur de 3+7 n'est pas 10 ? Où ça ? Exemple typique de la façon dont tu déformes ce qui est écrit. J'ai écrit très exactement que "Le terme 3+7 est une somme et pas un produit." L'analyse syntaxique élémentaire du terme 3+7 montre qu'il a été obtenu avec le symbole fonctionnel + mis entre ses deux arguments. Je sais, c'est absolument stupide de dire ça.

    Inutile de continuer à discuter avec toi, vu que tu persistes à employer ce genre de procédés. Je ne répondrai plus dans ce fil qu'à d'éventuels autres intervenants.

    PS. Je t'avais demandé de définir ce qu'est un terme ou une formule d'un langage, selon toi. Je constate que tu ne l'as pas fait.
  • Peux tu mettre un lien vers le post où tu prétends m'avoir demandé de définir ce que signifie "terme"; "formule".

    La colere et les accusations (tu viens d'en produire beaucoup en peu de posts) ne tiennent pas lieu de justification. S'enfuir non plus.

    En disant que 3+7 n'est pas un produit, tu sais pertinemment que tu nies par exemple que 3+7 EST LA MEME CHOSE QUE 5 fois 2. Ce n'est pas à toi que j'ai besoin d'expliquer ce que signifie "=", donc le coup du "tu me prêtes des propos que je n'ai pas tenus" n'est pas réglo de ta part.

    La prétendue analyse syntaxique que tu produis est très exactement ce que produisent les pedzgogistes que tu prétends dénoncer je suis atterré que plutôt que reconnaitre que tu t'es enfoncé tu préfères pousser la provocation** jusqu'à son maximum afin de justifier une rupture. En temps normal ce n'est pas digne de toi. Je sais bien que tu as un style irritable un peu automatique mais je te trouve de vraiment mauvaise humeur au point de chuter étrangement sur des bases.

    ** consistant à passer en mode syntaxe tout en utilisant les mêmes chaines de caractères que lorsqu'on parle normalement juste pour le plaisir de se contredire soi-même 2 posts avant en guise de bras d'honneur.

    Aux lecteurs: je rappelle que 3+7=10 et que tout ce qui arrive à 10 arrive aussi à 3+7 en particulier le fait d'être EGAL À 5 fois 2. Ce n'est pas une approximation pedagogiste de dire ça. Ce qui l'est c'est d'utiliser l'expression 3+7 dans un autre contexte entre autre celui d'analyse syntaxique de la suite [3;+;7] qui n'a STRICTEMENT RIEN À VOIR avec 3+7. Les spécialistes par ABUS DE LANGAGE retirent parfois les crochets et points virgule mais ils se comprennent et savent leur contexte. Rien à voir avec l'espèce de.confusion que GBZM veut entretenir guide plus par une sorte de mauvaise humeur qu'autre chose.
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  • [small]
    En tout petit, car je ne veut pas vraiment m'immiscer dans cette discussion et ce n'est pas le sujet de la discorde.
    @cc
    On en a déjà parlé, utiliser "arrive" est une invention pédagogique de ta part (je ne critique pas ici).
    Ce n'est pas du @cc-bashing.
    C'est un mot qui ne veut rien dire à des lycéens tant qu'on ne leur définit pas (là j'interroge avec un fond de critique sous-jacent).
    Tu pourras répondre bien plus tard, ou ailleurs, en prenant un réel temps d'échange, sans se précipiter.
    Je créerai peut-être un fil sur cette satanée égalité.
    Je préfère le verbe être "identitaire" à distinguer d'autres emplois du verbe être. [/small]

    Je sais que la discussion est certainement de plus haut vol mais je dis ce que je comprends :

    3+7 est le nombre dix.
    L'écriture 3+7 est une écriture en somme de deux termes du nombre dix.
    (@GBZM a dit "le terme 3+7" et pas "3+7" tout seul. Mais il a dit qu'il n'interviendrait plus donc je ne vais plus parler à sa place. Et d'ailleurs je ne saurais le faire davantage. )

    Puis, je continue : l'abus de langage : "3+7 est une somme" est malheureux, oui c'est vrai.
    C'est comme pour « $\dfrac{3}{4}$ est une fraction ».
    Je préfère dire « $\dfrac{3}{4}$ est un rationnel écrit en écriture fractionnaire ».
    Et je comprends bien ton envie de créer des symboles pour distinguer la chose de son écriture (chaîne de caractère).
    Je ne sais pas si ce serait une bonne chose dans le secondaire si tel est ton projet. Je n'ai pas d'avis bien tranché.
  • pour détendre l’atmosphère : 3+7 = DIX = 509.

    S
  • @dom: je n'en veux pas à GBZM d'avoir un point de vue sans doute concocté le long de toute une expérience et ce n'est pas un ignorant. C'est pour ça que je l'ai sévèrement interpellé. Si on ne voyait PS le pseudo "GBZM" 99% des pros du forum le reprendraient avec un air à la fois bienveillant MAIS condescendant quand il affiche comme ça des propos volontairement fautifs et choquants avec évidemment une idée derrière la tête.

    Après qu'il estime ne pas avoir envie de perdre son temps car estime s'être DEJA EXPLIQUÉ dans d'autre fils passés (ce n'est pas faux mais j'avoue que ça ne m'a pas marqué) ne devrait pas l'autoriser pour autant à me taper dessus en croyant que ça valide son propos.

    Oui pour "arrive" tu m'en as déjà parle.
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  • Je viens de virtualiser ma petite tête dure avec les systèmes d'exploitation de cc et GBZM :

    $\text{somme}\, S:=\exists x,y\,\, S=x+y$ selon cc
    $\text{somme}\, S:=\underbrace{x+y}_S$ où $x$ et $y$ sont des termes d'un langage selon GBZM

    alors que la S.O.M.M.E est un département à moins que ce ne soit la SOMME.

    Fascinant le langage quand même, hein ?

    S
  • Christophe,

    Le message que tu cherches de GBZM est juste 4 messages au dessus de celui où tu réclames un lien.
  • Merci Rémi. J'ai mis du temps à percuter. La seule phrase où une forme questionnée apparait est la première du post où l'introduction est un "pourquoi pas?" . Je ne comprends pas cette forme comme une question mais code un effet pour affirmer ce qu'on met après en rejetant la charge de la preuve sur l'autre. GBZM demande pourquoi après tout termes , formules et suites de caractères ne seraient pas STRICTEMENT la même chose. Mais c'est lui qui a introduit les notions de termes dans ce fil en revendiquant que 3+7 n'est pas 10 mais un terme (et donc qu'il n'est pas un produit par exemple qu'il n'est pas le produit 5 fois 2). J'ai respecté sa volonté en parlant de 3ie couche plutôt que l'envoyer bouler (il n'est pas dit qu'un intervenant débutant aurait eu droit à la même crédibilité). Il a refusé cette tentative de sauver son propos en identifiant suites de caractères (stricto sensu) et "termes" apparemment. Et pas avec convivialité, il a d'abord dit que je commets une erreur RECURRENTE puis s'est pose en victime "de terrorisme" je cite quand j'ai qualifié de stupide (en l'État) son identification. Ensuite il m'a accusé de déformer ses propos et de ne pas répondre tout en promettant de ne plus participer (autant dire que mon éventuelle réponse serait perdue dans la nuit).

    Comme c'est lui j'ai été.gentil je ne suis pas adepte de faire semblant d'oublier les compétences des gens même si suis contre l'ad hominem.

    C'est à lui de définir (et j'ai déjà répondu) ce qu'il entend par termes et formules AU SEIN des suites de caractères. Pas à moi de faire le télépathe. Je ne fais que constater qu'il revendique que 3+7 est un terme (ce n'est pas 10 selon lui) et qu'il le fait volontairement sans dire [3;+;7] est un terme ce qui ne susciterait aucune question.

    Bien entendu je pourrais donner des définitions des mots termes et formules etc (et ce ne sont évidemment en aucun cas des suites de caractères sinon la logique se serait vite crashee) mais il est facile de voir que ça ne lui aurait servi qu'à adopter un ton sceptique et retourner la charge de la preuve, jeu qu'il a d'ailleurs tendance à un peu trop souvent aimer.

    Bref, je.l'ai dit je ne suis pas son ennemi idéologique sur ce coup-la, combien de fois je me suis même fait accuser sur le forum d'être dans le fanatisme syntaxique en réduisant tout à un jeu formel. Mais dans un fil où un gars poste ses définitions sémantiques et galère avec juste ment le problème de ne pas voir que A => B EST le nombre val(val(A) leq val(B)) sa provocation initiale me visant n'était pas des plus utile pour dire le moins. Ensuite.s'enferrer bon c'est classique.
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  • @samok : le fil que tu as mis en lien illustre bien pourquoi j'ai parlé d'erreur récurrente de Christophe ; mais je ne me souvenais pas précisément de ce fil.
    Une petite constatation aussi : à la lecture de ce message, on s'aperçoit que Christophe ne trouvait pas stupide à l'époque (il y a dix mois) de dire que les termes ou les formules sont des suites de caractères, et n'éprouvait pas le besoin de "mettre un interface intermédiaire entre la suite de caractère et la valeur " sous peine de voir "la logique se crasher". :-D
  • C'est bizarre cette volonté d'avoir raison jusqu'au bout. T'es vraiment un enfant par certains côtés !!! :-D

    Encore une fois (et la derniere )ce n'est pas parce que tu provoques en qualifiant d'erreur ce qui te contrarie que ça va en devenir une.

    Maintenant comme je te l'ai déjà dit ce n'est pas en me tapant dessus que tu vas justifier que 3+7 n'est pas 10 auprès de tes lecteurs. Et je ne vois pas en quoi mon discours aurait soit disant changé. Le fil mis en lien focalisait plus sur la distinction des instit entre somme et addition mais le fond de mon discours à moi est le même: on ne peut pas utiliser 3+7 pour désigner 10 et pour désigner EN MEME TEMPS ce que tu veux appeler suite de caractere s ou termes et ce n'est pas auprès de moi mais auprès des gens qui te lisent qu'il te faut te faire comprendre. Deux objets différents doivent porter des noms différents. Si tu veux casser cette règle tu es suffisamment pro pour le faire bien au lieu de tergiverser dans une opposition dérisoire et estivale à cc.
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  • Et je le répète une deuxième et dernière fois ce que j'ai qualifié de stupide ce n'est pas d'annoncer dans une introduction ou un abstract la révolutionnaire idée << Msieurs-dames, moi GBZM, je m'en vais vous décrire pourquoi 3+7 est une suite de caractères et non pas le nombre 10 ou le produit 5*2>> suivi D'UN TEXTE SERIEUX ET SANS AMBIGUITE relativement long (forcément!!) qui légitime l'annonce loufoque , c'est de faire cette annonce comme suit << cc se trompe, tout le monde sait que 3+7 est une somme yaka lire et non pas le produit 10, pfff, combien de fois faudra-t-il lui rappeler que 3+7 est la suite de caractère [3;+;7] il est dur de la feuille>>

    C'est le numero2 à peu de choses près que tu as adopté.
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  • @cc
    Je vois à chaque fois que tu loupes la citation, même vulgarisée à ta sauce.
    Je ne sais pas si c'est voulu ou non.
    Dans les phrases contestées, on a quand même un mot qui introduit l'objet de la discorde.
    Le nombre 3+7 ...
    L'expression 3+7 ...
  • La notation autonyme dissipe tous les malentendus : c'est la convention selon laquelle, pour parler d'un élément de langage dans ce même langage, on le met entre guillemets. Elle met fin aux tempêtes dans un verre d'eau.

    Paris est une grande ville,
    "Paris" a cinq lettres,
    7 est un nombre,
    "7" est un chiffre,
    10 est pair,
    "10" a deux chiffres,
    3 + 7 = 2 × 5,
    3 + 7 est un produit,
    Le premier terme de la somme "3 + 7" vaut 3,
    L'expression "le premier terme de 3 + 7 (ou de 10, ou de 2 ×5)" n'a pas de sens,

    etc, etc.
  • @GG : éclaire-moi plus précisément sur la discussion qui a cours ici.

    Devrais-je mettre des guillemets dans les phrases suivantes ?

    La formule $x\geq 0 \implies \exists y\ \ x=y\times y$ du langage des corps ordonnés est une implication.

    Le terme $(1+x)\times y$ du langage des anneaux est un produit.
  • toujours pour détendre l'atmosphère :-)

    - Chef c'est un terroriste du langage du premier ordre, qu'est-ce qu'on fait ?
    - On le somme de se rendre.
    - Et si cela ne produit rien?
    - On échange les mots "piscine" et "buffet" dans les pancartes qui finissent par "de l'hôtel".
    - Et si on échangeait les pancartes plutôt !
    - Non, c'est pas pareil.
    - D'accord chef !

    S
  • @Dom : j'avais déjà relevé dans l'autre discussion cette entourloupe, bien sûr volontaire, de Christophe qui consiste à "oublier" systématiquement les mots expression ou terme.
  • @GBZM,
    Formellement, Il me semble, oui. Mais ne pas les mettre est un abus de langage qui ne ne porte pas à conséquence, tant que l'interlocuteur en est conscient et est sur la même longueur d'onde. Sinon, ça donne ce fil .. :-)
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