Gravité entropique et espace-temps fluide

Bonjour à tous
Je m'appelle Roman Baudrimont, et je viens ici pour vous faire part de deux articles scientifiques que j'ai publiés sur Academia.edu, Research Gate et The General Science Journal. Pour l'instant, mes deux articles n'ont été soumis à aucune revue à comité de lecture (pièce jointe).

L'un traite de la gravité comme force entropique, l'autre du concept d'espace-temps fluide via une reformulation du tenseur énergie impulsion des équations d'Einstein assimilable à la mécanique des fluides.
J'aimerais avoir vos avis sur ces deux articles. J'ai aussi écrit une version anglaise de l'article (disponible sur le site).

Description Entropique de la Gravité par la Thermodynamique des Fluides Relativistes et par la Théorie de l'Information

RESUME : Le but de ce papier est de montrer une nouvelle approche d'unification entre la théorie de la relativité générale et la physique quantique. Pour cela, nous nous basons sur la thermodynamique, la mécanique des fluides ainsi que la théorie de l'information. Nous verrons alors que l'entropie de Shannon, de Boltzmann et de Von Neumann peuvent être la source de la gravité, qui serait alors qu'une forme émergente. Pour cela, nous étudierons dans un premier temps ce qui fait défaut à l'unification de la relativité générale et de la physique. Dans un second temps, nous expliquerons le concept de gravité entropique en introduisant les calculs d'Erik Verlinde. Ensuite, nous expliquerons le concept de l'entropie de Boltzmann, Shannon, Von Neumann et les liens qui les unissent. Puis, nous modifierons les équations d'Einstein en transformant le tenseur des fluides parfait en fonction de l'entropie. Enfin, nous ferons le lien de notre théorie avec une expérience déjà réalisé dans le cadre d'un lien entre gravité et théorie quantique.
http://entropyfluid.e-monsite.com/pages/my-scientific-articles-mes-articles-scientifiques/description-entropique-de-la-gravite-par-la-thermodynamique-des-fluides-relativistes-et-par-la-theorie-de-l-information.html

Étude du Tenseur Énergie Impulsion en Mécanique des Fluides

RESUME : Ce papier vise à résumer l'implication du tenseur énergie impulsion dans l'étude de la mécanique des fluides. Dans la première partie, nous verrons l'implication que porte le tenseur énergie impulsion dans le cadre de la relativité générale. Dans une seconde partie, nous étudierons le tenseur énergie impulsion dans le cadre de la mécanique des fluides parfaits, qui nous permettra d'aboutir en troisième partie dans le cas de fluides newtoniens, et en dernière partie nous verrons qu'il est possible de définir l'espace-temps comme un fluide non-newtonien.
http://entropyfluid.e-monsite.com/pages/my-scientific-articles-mes-articles-scientifiques/etude-du-tenseur-energie-impulsion-en-mecanique-des-fluides.html

Merci d'avance pour vos réponses,
Cordialement,
BAUDRIMONT Roman

[Inutile de mettre le titre en majuscules. Poirot]

Réponses

  • Je mettrai dans ce fil des remarques sur le long terme. Pas de discours. Contrairement aux maths, en physique, il n'y a pas de labos de "logique physique".

    Je réagis aujourd'hui à un intervenant à qui j'envoie un MP pour lui signaler ma réponse. Il s'agit de: http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?11,1737692

    Je ne crois que ce que tu as écrit puisse être accepté en l'état en comité de lecture. Je n'ai lu qu'en diagonale, mais il y a des choses qui m'ont choqué, or un article acceptable, je pense, ne me choquerait pas aussi vite et facilement, d'autant que je ne connais strictement rien aux outils mathématiques qui ont été renforcés pour traiter la relativité générale, dont, même si le principe est simple, la mise en place [small] [De Gaulle: "ce n'est que de l'intendance"] [/small] est d'une difficulté calculatoire complètement astronomique. La RR, la physique classique et la MQ additionnée ne sont que de petites initiations d'école primaire à côté.

    Le passage FAUX est ta citation de Serge Laroche qui dit que la somme des deux parties dépassent le tout. Il vient après un rappel succinct de la partie "non quantique" de la théorie quantique (l'équation de Schrödinger") et l'affirmation texto, je ne change rien, de ta part du déterminisme de cette dynamique équationnelle.

    Cela donne une impression assez désagréable que tu ne comprends pas du tout ces choses. Je ne dis pas que tu ne les comprends pas, mais c'est l'impression, même en lisant en diagonale, qui ressort de mon subjectif point de vue.

    Serge sait de quoi il parle et a juste produit un petit slogan vulgarisateur pour ses soirées club med, quand des gens du même club viennent le voir quand il est en vacances et le serinent pour en savoir plus. Retrouver une phrase vulgarisante dans un article de recherche ne peut se faire qu'à des endroits assez bien annoncés et délimités. Or toi, c'est dans le corps "en dur" du texte. De plus, ça entre en violente contradiction avec le choix (conscient?) que tu fais de ne présenter que la structure quantique (le multimonde formel où tout est superposé) simple, sans évoquer un instant comment des yeux ou des mesureurs voient leur tranche. A partir du moment où tu fais ce choix (respectable), tu ne peux même pas, et même sous le statut vulgarisant, balancer dans le même contexte la citation de Serge qui émerge JUSTEMENT de la partie "réputée magique" de la théorie quantique, souvent appelée "réduction apparente ou réelle du paquet d'onde"

    La seule chose qui "valide" le slogan Larochien est de faire le choix (connu comme FAUX, et assumé par les praticiens) d'utiliser A TOUTE FIN PRATIQUE la matrice densité: dans ce cas, effectivement, il ne suffit pas d'avoir la MD de x et celle de y pour avoir celle de (x,y). Mais tu ne donnes pas l'impression de faire les choses "à toute fin pratique" dans ton discours, et il n'y a pas une ligne d'excuse ou de mise en place de "j'avertis le lecteur que je vais commettre les abus X,Y,Z,T, etc.... donc". Il n'y a pas une ligne du tout d'ailleurs, au point que le referee, s'il est compétent, te demandera à minima de préciser ton mode (et c'est très long et très fin comparé aux quelques calculs brutaux que tu listes)
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Bonjour à toi,

    Je constate que ton commentaire est une critique de l'article "Description Entropique de la Gravité par la Thermodynamique des Fluides Relativistes et par la Théorie de l’Information". Quel est ton avis sur l'autre article ?

    Avant d'apporter une quelconque critique, je te recommande de lire l'intégralité de mon article. Et si les concepts mathématiques initiés sont trop complexes pour toi, je t'invite à lire le résumé de l'article et sa conclusion.

    Je connais très bien les concepts mathématiques de la relativité générale. Il suffit de lire mon article "Etude du Tenseur Energie Impulsion en Mécanique des Fluides" pour en avoir une pleine conscience.

    Concernant Serge Laroche, il s'agit simplement d'une citation présente sur le cours de Chaire de Physique intitulé "Mesure de l'intrication : Entropie de Shannon et Von Neumann" et non d'une vulgarisation. Le lien du cours est https://www.college-de-france.fr/media/serge-haroche/UPL55028_SHaroche_050202.pdf] .

    L'entropie est une mesure du désordre (en thermodynamique) et une mesure de l'incertitude sur l'information. Serge Laroche explique simplement que l'information ne peut être que maximale si l'intrication de deux particules sont corrélés à 100%. Une perte de corrélation s'accompagne d'une hausse entropie. Autrement dit, on peut dire que plus il y a de décohérence, plus l'entropie est forte.

    Je vais me permettre de "vulgariser" ce que je vais dire : Prenons deux particules, A et B intriqués à 100%. Ce que dis la physique quantique, c'est qu'il est impossible de décrire d'un côté l'état quantique de A et l'état quantique B, mais uniquement l'état quantique globale (AB). Lorsque l'on constate une perte de corrélation, cela implique automatiquement que l'on peut "mesurer" l'état de A et celle de B séparemment. Or, la mesure de l'entropie de A + celle de B est supérieur à l'entropie AB.

    Ce que j'énonce là ne sont que les propriétés de base de la cryptographie quantique et de la physique quantique.
  • Ce Serge Laroche sur la chaire de physique (pardon, la « Chaire de Physique ») dont vous parlez, c'est un avatar canularesque de Serge Haroche, professeur au Collège de France sur la chaire de physique quantique ?
  • Oui excusez moi, Serge Haroche en effet et pas Serge Laroche. Je ne sais pas pourquoi mais dans ma tête je le prononce toujours "Laroche" au lieu de "Haroche" sans le vouloir^^
  • Dans "Entropic Description of Gravity by Thermodynamics Relativistic Fluids and the Information Theory", page 6, l'expression de $G_{ij}$ fait apparaître deux indices $i$, l'un muet, l'autre pas, ce qui n'a pas grand sens. Je trouve très suspecte l'expression de $S(p)$ qui suit, parce qu'elle semble dépendre du choix de deux indices $i$ et $j$. L'expression \[S(p)=\frac{c^4G_{ij}V}{16\pi GNT}\] semble dépendre de $(i,j)$ à droite alors que $S(p)$ ne semble pas en dépendre. L'idée de parler d'entropie dans une situation à une seule particule est aussi vraiment étonnante.

    Pour revenir en arrière, le paragraphe 2 utilise des formules classiques de physique classique comme $PV=nRT$ (qui parle d'un gaz parfait formé de particules sans interactions entre elles et sans masse – c'est paradoxal si on parle de gravité) ou $v=\sqrt{2gh}$ (chute d'un point massique dans un potentiel de gravité uniforme) et, dans la ligne suivante, $G=Mm/R^2$ (loi gravitation de Newton, qui n'a de sens que si on se met à des échelles où la situation de champ uniforme n'en a plus) (au fait, qui sont ces deux masses ? on parlait de gaz il y a deux minutes) et on met cet amalgame déjà bien hétérogène en rapport avec l'équation de Shrödinger et l'énorme $G_{ij}=\cdots$ (relativité générale) – je ne sais vraiment pas comment faire le lien entre toutes ces choses.

    En essayant d'énumérer les objets décrits plutôt que les formules, on voit un piston plein de gaz parfait sur Terre et soumis aux lois de la thermodynamique, une hauteur et une vitesse (de quoi ?), deux masses $m$ et $M$ soumises à un potentiel newtonien, une théorie holographique, des trous noirs, des compartiments en nombre variables pour y mettre les particules de gaz et sans doute d'autres.

    Sur le style, le soin mis à factoriser une grandeur (p. 5) et la nécessité d'écrire les deux formules \[S(p)=\frac{G_{ij}V}{T}\quad\text{et}\quad G_{ij}=\frac{S(p)T}{V}\] semblent un peu trop pointilleux face à la complexité des objets mis en jeu (le tenseur de courbure, c'est quand même autrement compliqué que le passage de $v=d/t$ à $t=d/v$).

    Pour résumer, je ne comprends strictement rien mais je parierais volontiers que ce n'est pas que de ma faute.
  • Bonjour,

    Merci de participer à cette discussion. Je vais essayer d'éclaircir du mieux que je peux les points que vous soulevez.

    S(p) est un scalaire, pas un tenseur, donc c'est normal qu'il ne dépende pas de i et j.
    La première équation que vous avez écrite est une simplification de l'équation suivante :

    4EJHsZP.png

    La première équation que vous avez cité est une simplification de l'équation ci-dessus, pour laquelle on étudie uniquement le cas de matière pure avec une entropie dite maximale. On peut alors dire que le tenseur énergie impulsion de la matière pure est similaire à une énergie divisé par un volume en thermodynamique. Il est vrai que le passage de tenseur en scalaire est assez rapide ; mais en vérité le tenseur énergie impulsion ainsi réduit en cas de matière pure devient un tenseur d'ordre 0.

    Les deux dernières équations que vous citez sont aussi la source de cette simplification. Pour une meilleure analyse, j'ai considéré N = 1, et j'ai "enlevé" les constantes, comme on le fait lorsqu'on veut étudier le lien qu'il y a entre plusieurs variables entre elles.
    Etudiez l'entropie d'une seule particule est tout à fait faisable.

    Concernant votre paragraphe qui commence à "Pour revenir en arrière [...]" et qui finit à "je ne sais vraiment pas comment faire le lien entre toutes ses choses [...]" je vais essayer d'être claire.

    Tout d'abord, cet article n'utilise pas les équations quantiques, à part la définition de l'entropie quantique que j'y ai mise. Ensuite, je pense que vous avez tout lu en diagonale, ce qui fait que vous ne comprenez pas l'article et que vous faites des liens là où il y en a aucun. Enfin, si vous connaissez pas les travaux de Erik Verlinde (publié sur Arxiv) c'est tout à fait normal que vous ne compreniez rien à ce que j'ai écrit.

    Pour mieux comprendre, vous avez dans ma bibliographie en fin d'article la référence [5]. Elle est largement accessible à tous, et une grande partie de vos questions seront certainement résolues. Je vous met le lien si-dessous.

    https://sciencetonnante.wordpress.com/2011/06/06/la-gravite-une-force-emergente-dorigine-entropique/
    "En essayant d'énumérer les objets décrits plutôt que les formules [...] pour y mettre les particules de gaz et sans doute d'autres."

    Et en effet, il s'agit bien d'un "mélange" entre physique thermodynamique des trous noirs, théorie holographie, gravitation^^ Lisez bien l'article.
  • Merci pour ta réponse: je suis d'accord que pour à voir un sens scientifique dit fondamental et non pas "en pratique" la notion de tropie à besoin de la magie quantique. Je sais ce qu'est l'entropie dans être un pratiquant des manuels qui en parlent ou avoir fait des exercices dessus.

    Mais dans ton dernier paragraphe de ta dernière réponse je ne vois ce que vient faire l'intrication comme néguentropie. J'ai bien lu que tu dis que c'est une base mais tu parles de mesurabilite alors que même intriquee une paire n'empêche pas ses parties d'être mesurées. Elle les empêche juste d'avoir un état (dit pur je précise puisque à tort certains physiciens considèrent comme "état" la MD).

    Si tu avais un lien gros calculs qui fonde ce dogme ce serait sympa. En termes de café philo je deviné bien pourquoi on transforme une perte de connexion en affirmation de désordre mais c'est passer allègrement du "à fins pratique" à fondamental or j'ai souvent prouvé que cette passerelle ne marche pas (toujours) et est trompeuse.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • De mon téléphone pardon pour coquille (je viens de voir le film "un homme pressé " Luchini mime PARFAITEMENT les victimes d'AVC (ma grand mère a eu les mêmes problèmes de langage EXACTEMENT pendant quelques semaines). Les posts téléphonique ressemblent -:D
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Bonsoir,

    Vous savez, j'ai mis 5ans avant de publier ce papier... Et je sais que je suis encore loin d'avoir quelque chose de parfaitement bien construit.
    Cela fait maintenant 2ans que je cherche un moyen mathématique permettant d'écrire une égalité simple démontrant que la gravité influe sur la correlation de deux particules intriqués.

    Je sais que ce que j'ai énoncé plus haut est vrai. Juste avant la citation d'Haroche, j'ai expliqué l'expérience de David Edward Brushi, qui a su démontré qu'il existe un lien profond entre physique quantique et gravité. Le soucis actuel est de trouver la bonne manière pour décrire ce lien.

    Comme je l'ai peut être dit avant, je suis membre d'Academia.edu mais aussi de Research Gate. Mes recherches sont suivis par divers scientifiques plus ou moins connus, comme Franck Delplace, Evgeni B. Starikov, Jean Pierre Petit, H.G. Callaway etc... Et plusieurs personnes m'ont contacté concernant mes travaux comme Quantum Gravity Research dirigé par Klee Erwin ou encore Samuel L Braunstein...

    Donc actuellement je cherche plusieurs méthodes mathématiques qui permettent de passer de l'échelle quantique à l'échelle relativiste. Il existe un grand nombre de théories qui ont déjà pu avoir ce petit succès, comme la relativité d'échelle de Laurent Notalle.

    Je vais vous citer une longue d'idée pour marier ces deux domaines :
    - Faire de la relativité une mathématique basé sur les nombres complexes (appelé relativité hypercomplexe)
    - Se baser sur la théorie des fractales (relativité d'échelle)
    - Utiliser les concepts mathématiques tels que la diagonalisation de matrice
    - Etudier l'entropie des courbes et la théorie du chaos

    Donc c'est toujours en cours mathématiquement^^ Mais je suis ouvert à toutes suggestions évidemment ;)
  • EntropyFluid a écrit:
    Comme je l'ai peut être dit avant, je suis membre d'Academia.edu mais aussi de Research Gate. Mes recherches sont suivis par divers scientifiques plus ou moins connus, comme Franck Delplace, Evgeni B. Starikov, Jean Pierre Petit, H.G. Callaway etc... Et plusieurs personnes m'ont contacté concernant mes travaux comme Quantum Gravity Research dirigé par Klee Erwin ou encore Samuel L Braunstein...

    Quel est l'intérêt dans cette conversation d'étaler ton CV ? Si tu comptes nous impressionner ça fait juste l'effet inverse... Comme une impression qu'il y a des choses que tu as envie de compenser. On te pose des questions sur ce que tu écris, pas sur tes exploits personnels. Einstein pourrait avoir lu ton papier, ça ne l'empêcherait pas d'être du grand n'importe quoi pour autant.

    En plus, quand on voit que tu est capable d'écrire des formules comme

    4EJHsZP.png

    il est difficile de ne pas imaginer qu'on a plus affaire à du Shtam qu'à un article sérieux.
  • Je reprécise ma question un peu plus sur cette histoire d'entropie prétendument soutenue par S.Haroche. Je veux bien le croire et tu as le mérite d'avoir mis une oeuvre, mais j'aimerais autant aussi une page et un paragraphe, mais en attendant, précision:

    1/ La TQ n'est pas une théorie de gestion de l'ignorance: l'indétermination ou l'incertitude sont hélas des mots bien maladroits qui ont été initialement choisis et gardés à tort. On ne manque pas d'information en disant qu'il y a un étalement de la particule, elle est REELLEMENT à chacun des endroits. Il n'y a pas de proba a priori en TQ, et les regles du jeu qui font appeler probas certains nombres ne respectent absolument pas les probas qu'on enseigne.

    2/ La notion d'entropie est jusqu'ici très exactement une théorie "à toutes fins pratiques" qui ne fait que gérer l'ignorance.

    3/ L'état qu'il soit un produit tensoriel bien gentil ou qu'il soit une somme de produits tensoriels de couples d'états de base, est un état unique. En termes "d'ignorance", c'est un singleton.

    4/ Si ton propos consiste à dire qu'étant donné deux matrices densité $G,D$, on regarde l'ensemble $A$ des états possibles $e$ du produit tensoriel vérifiant que la partie gauche de $e$ a $G$ comme MD et la partie droite de $e$ a comme MD la matrice densité D, et que $A$ n'est pas un singelon, je suis bien d'accord, mais c'est une approche "à toutes fins pratiques" que tu le veuilles ou non. Une fois encore la MD n'est qu'un outil, elle n'a aucune prétention "fondamentale".

    4bis/ Ce que je viens de raconter peut se généraliser, donc, oui, à ce genre de jeu, on peut écrire une "thermodynamique de l'intrication" *** et j'imagine que nul besoin de s’appeler S.Haroche et d'enseigner au CDF pour ça. Par contre, comte-tenu des aspects déductifs de la chose, on peut alors considérer que tu prétends avoir déduit la gravité des axiomes quantiques et de la relativité générale. Sauf qu'il y a un problème. La relativité générale n'étant que "des histoires de gravitations", et comme bien sur il faut retirer la gravitation (je la nomme "axiome G") de la théorie prétendue, ce que tu prétends c'est que tu peux déduire la gravitation de la ... théorie [TQ+RR].

    Alors dans ce cas, bravo!!!! Mais sauf erreur de ma part, c'est un double prix Nobel qu'il y a à la clé, donc je pense qu'il te faut soigner tes écrits, car ce n'est pas un petit article numéro 23156410 de thésard qui demande une bourse.

    Si maintenant je me trompe et que tu prétends juste être un énième candidat à l'unification des principes quantiques, relativistes (RRestreinte) et gravitationnels (RG), sois prudent parce que tout ceci me parait assez ambigu pour les non spécialistes que nous sommes.

    *** Elle sera déduite, puis "idéalisée"**, mais restera dans ce statut

    ** comme l'argument de Boltzman s'idéalise en la decription pure de Carnot (et d'un autre, je ne sais plus qui, bref, qui ont formalisé ça en fluides de chaleur, etc). Mais logiquement, tu n'ajoutes pas "d'axiomes qualitatifs"
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Bonsoir,

    Je préfère que l'on se vouvoie.

    Aucune prétentions de ma part, bien entendue ! Simplement, le sujet de la gravité entropique est un axe de recherche qui existe depuis récemment, surtout vers 2010, 2011. Les équations de Verlinde ont relancé le débat.

    Concernant la partie 1.
    Je n'ai jamais dit que la théorie quantique est une théorie de la gestion de l'ignorance. J'ai simplement dit qu'il est possible d'étudier certains points de la mécanique quantique et de les relier à la thermodynamique par l'entropie.

    Concernant la partie 2.
    Je ne vois pas en quoi l'entropie est une théorie utilisée "à toutes fins pratiques".
    Une petite recherche sur Arxiv en mettant comme mot clé entropic gravity, vous avez 196 résultats. Si vous mettez gravity holography, vous avez 493 résultat de recherche. J'ai l'impression que vous méconnaissez le terme entropie est son implication dans l'histoire des sciences.

    PART 1 - DEFINITION ENTROPIE

    L'entropie de Shannon: utilisée en théorie de l'information, elle mesure l'incertitude de l'information en bits en fonction de la probabilité p. L'entropie est maximale lorsque les événements sont équiprobables (p = 1 / n). Utile pour connaître la transmission de l'incertitude de l'information via un canal ; utile en cryptographie classique par exemple.

    INFO: L'entropie métrique (ou entropie de Kolmogorov) est une entropie inspirée de l'équation de Shannon. Il peut être utilisé pour indiquer si deux systèmes dynamiques ne sont pas conjugués. C'est un invariant fondamental des systèmes dynamiques mesurés. Cela permet une définition qualitative du chaos: une transformation chaotique peut être vue comme une transformation à entropie non nulle.

    Entropie de Clausius: mesure le degré de désordre dans un système thermodynamique en fonction de la quantité de chaleur reçue et de la température. Utile à noter si, en thermodynamique, une transformation est réserrable ou irréversible. Largement utilisé dans l'environnement industriel dans le cadre d'une machine utilisant la température comme source d'énergie principale.

    Entropie de Boltzmann: Identique à Clausius, sauf qu'il utilise des mathématiques statistiques. Plus précisément, il mesure le degré de désordre en fonction du nombre de micro-états différents possibles (oméga) et de la température. En plus de déterminer si une transformation est réversible et irréversible, elle indique des propriétés supplémentaires telles que: Dans un système isolé, l'entropie ne peut que rester constante ou augmenter; Un système isolé atteint l'équilibre lorsque son entropie devient maximale.

    Entropie de Von-Neumann: Même utilité que Shannon, mais utilisée en physique quantique. C'est une fonction de la probabilité p, ou si elle est formulée différemment, en fonction de la matrice de densité quantique. Il mesure l'incertitude. Utile pour déterminer le taux de corrélation entre deux particules enchevêtrées. Ou connaissez l'incertitude liée à la réception d'informations de photons polarisés. Largement utilisé en cryptographie quantique et dans le développement des ordinateurs quantiques.

    Entropie statistique (ou entropie de Gibbs): Fusion entre l'entropie de Boltzmann et de Shannon. L'entropie de Boltzmann est une mesure du désordre; l'entropie de Shannon une mesure de l'incertitude. À partir de là, nous pouvons "unifier" l'équation de Boltzmann et l'équation de Shannon en une équation. Pour le dire simplement, il suffit de multiplier la constante de Boltzmann à l'entropie de Shannon pour obtenir l'entropie statistique. Lorsque l'entropie est maximale, on retombe sur l'équation de Boltzmann (état possible 1 = état possible 2 etc ... = p = 1 / oméga). Très utilisé en physique statistique.

    Il y a aussi une entropie topologique. Si je m'en tiens à Wikipedia, l'entropie topologique est un réel associé à tout homéomorphisme d'un espace topologique séparé et compact. Cette réalité caractérise l'action induite de l'homéomorphisme sur les recouvrements ouverts finis de l'espace considéré, ou plutôt le comportement limite de son itération lorsque le nombre d'ouvert tend vers l'infini (pour moi, c'est du charabia).

    Ces différentes entropies sont souvent utilisées dans les théories modernes ou alternatives. Par exemple, dans l'étude de la thermodynamique des trous noirs, Bekenstein, Stephen Hawking et Ted Jacobson ont déterminé que l'entropie est proportionnelle à la surface de l'horizon d'un trou noir. Leonard Susskind en a déduit le principe holographique (je vais simplifier, car il s'agit d'un mélange complexe de mathématiques de la théorie quantique des champs, de la gravité et de la théorie des cordes) déduit de la correspondance ADS CFT. Selon ce principe, les informations sont "stockées" à la surface de l'horizon des trous noirs, plus précisément chaque bit d'information est enregistré sur une surface de Planck.
    Récemment, c'est Erik Verlinde qui, en 2012, a écrit un lien entre la gravitation et l'entropie. Il écrit que le gradient d'entropie multiplié par la température est égal à la force gravitationnelle de Newton.

    Actuellement, j'essaie de généraliser son concept sans utiliser les mathématiques de la théorie des cordes et de la thermodynamique des trous noirs.

    Parmi toutes les définitions que j'ai mentionnées, certaines n'ont aucune dimension physique, telles que l'entropie de Shannon ou l'entropie de Von Neumann. Il s'avère maintenant que l'entropie de Von Neumann s'applique à des cas spécifiques de la mécanique quantique, tels que l'enchevêtrement quantique. Ces deux théories, ajoutées à celle de Boltzmann, peuvent donner une entropie statistique, qui peut être interprétée à la fois comme une énergie en termes d'analyse dimensionnelle, mais également comme une mesure de l'incertitude de l'information.
    Tout se passe dans "cette frontière". Il est très difficile de donner une définition de l'entropie. Beaucoup disent que l'entropie est une mesure de la quantité d'informations, mais c'est fondamentalement faux. L'entropie est interprétée comme un désordre et, en tant que telle, elle constitue en elle-même une mesure de l'incertitude de l'information (et donc également de celle de certaines connaissances lorsque l'on étudie un système thermodynamique.).
    Parmi les références citées, je vous recommande de lire le numéro [8]. Cela vous permettra probablement de comprendre mon interprétation.
  • Désolé, j'ai essayé plusieurs fois d'envoyer le reste du message, mais cela ne marche pas. Je vous l'envoie en fichier WORD.
  • PART 2 - QUANTUM ENTROPY AND GRAVITY

    There, I invite you to read the last part preceding the conclusion of my article. This is David Edward Brushi's experience. I responded to Samuel L Braustein's questions, so I replied:

    "[...] An experiment by David Edward Brushi shows that there is a profound link between the correlation of two particles in a gravitational field of gravitational field. The intensity of entanglement between the particles varies proportionally For more details, I invite you to read part of my article, entitled "Towards quantum gravity".

    This means that there is a direct link between entanglement and gravitation. This link can be made via entropy, which is just a measure of the uncertainty of the information. The thrust is one of the microsatellites is a Force. Now F = grad S * T. As a result, there is a variation of entropy. We are in the case of an isolated system, since it is an Einstein condensate. Entropy can only increase. As a result, the uncertainty on the information to increase proportionally to the variation of the intensity of the gravitational field. At this point, the correlation rate of the two entangled particles has decreased.

    I come back to the temperature. If we take the "extreme simplified" version of the equality between entropy and curvature, given by G = S * T (with G the curvature, S the entropy and the temperature) we easily see that when the temperature increases, the curvature increases . Similarly, the temperature decreases, the curvature of the gravitational field decreases.

    The question is: What happens when the temperature is zero? It is easy to see that G = 0. The curvature is zero. What does that mean? In fact, it's pretty simple. the bodies are immobilized at 0 Kelvin. There is an energy, a non-inertial energy of the same type as e = mc², but it is impossible because of the very low temperature to define the movement of bodies on a large scale. [...] "
    PARTIE 2 - ENTROPIE ET ??GRAVITÉ QUANTIQUE

    Là, je vous invite à lire la dernière partie précédant la conclusion de mon article. C'est l'expérience de David Edward Brushi. J'ai répondu aux questions de Samuel L Braustein, alors j'ai répondu:

    "[...] Une expérience de David Edward Brushi montre qu'il existe un lien profond entre la corrélation de deux particules dans un champ gravitationnel de champ gravitationnel. L'intensité de l'enchevêtrement entre les particules varie proportionnellement. Pour plus de détails, je vous invite à lisez une partie de mon article intitulé "Vers la gravité quantique".

    Cela signifie qu'il existe un lien direct entre l'enchevêtrement et la gravitation. Ce lien peut être établi via l'entropie, ce qui n'est qu'une mesure de l'incertitude de l'information. La poussée est l'un des microsatellites est une force. Or F = grad S * T. Il en résulte une variation d'entropie. Nous sommes dans le cas d'un système isolé, puisqu'il s'agit d'un condensat d'Einstein. L'entropie ne peut qu'augmenter. En conséquence, l'incertitude sur les informations augmente proportionnellement à la variation de l'intensité du champ gravitationnel. À ce stade, le taux de corrélation des deux particules enchevêtrées a diminué.

    Je reviens à la température. Si nous prenons la version "extrêmement simplifiée" de l'égalité entre entropie et courbure, donnée par G = S * T (avec G la courbure, S l'entropie et la température), nous voyons facilement que lorsque la température augmente, la courbure augmente. De même, la température diminue, la courbure du champ gravitationnel diminue.

    La question est: que se passe-t-il quand la température est nulle? Il est facile de voir que G = 0. La courbure est zéro. Qu'est-ce que ça veut dire? En fait, c'est assez simple. les corps sont immobilisés à 0 Kelvin. Il existe une énergie, une énergie non inertielle du même type que e = mc², mais il est impossible en raison de la très basse température de définir le mouvement des corps à grande échelle. [...] "

    [Merci à Google traduction. AD]
  • PART 3 - TEMPERATURE

    Once again, I gave answers to Samuel L Braustein:

    "Verlinde's equation and my equations consider temperature as an essential element.

    Verlinde's equation, which he theorized in his article "On the Origin of Gravity and the Laws of the Newton" https://arxiv.org/pdf/1001.0785.pdf, includes his fundamental equation, which is:

    Gradient of S * T = GmM / d²

    With S the entropy, T the temperature in Kelvin, G the gravitational constant, m and M two distinct masses and d a distance.

    In another article by Verlinde "Emergent Gravity and the Dark Universe" https://arxiv.org/pdf/1611.02269.pdf which is none other than the continuation of his first article, he explains in more depth the concept of entropic gravity. , and why dark matter does not exist.

    In his mathematical considerations, Verlinde's entropy relies on the equations of the thermodynamics of black holes as well as string theory, notably the holographic theory, in which Ted Jacobson wrote that the entropy of a black hole is proportional to its horizon. Erik Verlinde relied on this principle to write the equality written above. As a result, Erik Verlinde does not neglect temperature, a key element in thermodynamics.

    My article is not based on the same model as Verlinde. A French source from a blog showed another formulation, simple, which allows to obtain the famous equation of Verlinde from the basic laws of thermodynamics. The demonstration is at the end of page 2, beginning of page 3 of my article.

    Next, I try to generalize Verlinde's equation to Einstein's Gravitational Equation. The proof is in part 4, page 5 and page 6. You will notice that the equation obtained includes the variable "T", the temperature. This is the "general" equation linking statistical entropy and Einstein's equation.

    To make this equation easier to understand, on page 7, I write the equation by removing the constants and considering the entropy as maximum. We then obtain:

    Einstein curvature = (Entropy * Temperature) / volume

    Obviously, the equation is not homogeneous in unit, since I deleted the constants. This equality is there to explain the deep link uniting Einstein's equation to entropy. We can easily notice that Einstein's curvature depends on the volume, the entropy, but also the temperature!

    Finally, in Part 5, I explain the link between entropic gravity and quantum mechanics. Since the theory of entropic gravity is an emerging theory, we can define a kind of "quantum gravity", a "duality" between probabilistic functions (Von Neumann's entropy) and the thermodynamic entropy associated with the curvature of space. David Edward Brushi's experiment proves that there is a connection between entropy and gravitation when studying the influence of gravitation on a bose-Einstein condensate containing an entangled particle pair."
    PARTIE 3 - TEMPERATURE

    Une fois encore, j'ai donné des réponses à Samuel L Braustein:

    "L’équation de Verlinde et mes équations considèrent la température comme un élément essentiel.

    L'équation de Verlinde, qu'il a théorisée dans son article "Sur l'origine de la gravité et les lois du Newton" https://arxiv.org/pdf/1001.0785.pdf, inclut son équation fondamentale qui est:

    Gradient de S * T = GmM / d²

    Avec S l’entropie, T la température en Kelvin, G la constante de gravitation, m et M deux masses distinctes et d une distance.

    Dans un autre article de Verlinde "Gravité émergente et l'univers obscur" https://arxiv.org/pdf/1611.02269.pdf qui n'est autre que la suite de son premier article, il explique plus en détail le concept de gravité entropique. et pourquoi la matière noire n’existe pas.

    Dans ses considérations mathématiques, l'entropie de Verlinde s'appuie sur les équations de la thermodynamique des trous noirs ainsi que sur la théorie des cordes, notamment la théorie holographique, dans laquelle Ted Jacobson a écrit que l'entropie d'un trou noir est proportionnelle à son horizon. Erik Verlinde s'est appuyé sur ce principe pour écrire l'égalité écrite ci-dessus. Erik Verlinde ne néglige donc pas la température, élément clé de la thermodynamique.

    Mon article n'est pas basé sur le même modèle que Verlinde. Une source française d'un blog a montré une autre formulation, simple, qui permet d'obtenir la fameuse équation de Verlinde à partir des lois fondamentales de la thermodynamique. La démonstration se trouve à la fin de la page 2, au début de la page 3 de mon article.

    Ensuite, j'essaie de généraliser l'équation de Verlinde à l'équation gravitationnelle d'Einstein. La preuve est dans la partie 4, page 5 et page 6. Vous remarquerez que l'équation obtenue inclut la variable "T", la température. C'est l'équation "générale" reliant l'entropie statistique et l'équation d'Einstein.

    Pour faciliter la compréhension de cette équation, à la page 7, j’écris l’équation en supprimant les constantes et en considérant l’entropie au maximum. On obtient alors:

    Courbure d'Einstein = (Entropie * Température) / volume

    Évidemment, l'équation n'est pas homogène dans l'unité, puisque j'ai supprimé les constantes. Cette égalité est là pour expliquer le lien profond qui unit l'équation d'Einstein à l'entropie. On peut facilement remarquer que la courbure d'Einstein dépend du volume, de l'entropie, mais aussi de la température!

    Enfin, dans la partie 5, j'explique le lien entre la gravité entropique et la mécanique quantique. La théorie de la gravité entropique étant une théorie émergente, nous pouvons définir une sorte de "gravité quantique", une "dualité" entre les fonctions probabilistes (l'entropie de Von Neumann) et l'entropie thermodynamique associée à la courbure de l'espace. L'expérience de David Edward Brushi prouve qu'il existe un lien entre l'entropie et la gravitation lorsqu'on étudie l'influence de la gravitation sur un condensat de Bose-Einstein contenant un couple de particules enchevêtré. "

    [Merci Google traduction. AD]
  • My model is an extension of Verlinde's model. This model has already proven itself:

    "A team led by astronomer Margot Brouwer (Leiden Observatory, The Netherlands) has tested the new theory of physicist Erik Verlinde (University of Amsterdam) for the first time through the lens of gravity. around more than 33,000 galaxies to Verlinde's prediction to the test. "It concludes that Verlinde's theory agrees with the measured gravity distribution."



    "The theory of Erik Verlinde still needs to be closely examined, including the replication of all the observations made by the presence of dark matter or MOND, a first step seems to have been taken by Margot Browser and her colleagues. galaxies that distort the image of galaxies in the background by a weak gravitational lens effect, as predicted by general relativity Researchers compared the measurement of the mass of galaxies that serve as a lens with the predictions of emergent gravity theory Verlinde on the deformation of background galaxies The researchers find a good agreement between the observations and the calculations, which also corroborate similar results made by Mordehai Milgrom in the context of MOND in 2013. Another team, bringing together researchers from Italy, France and Switzerland, for the clusters of galaxies Abell 2142 and Abell 2319, observations and material distribution calculated from Verlinde's theory, and here again, the agreement is good. "

    https://www.pourlascience.fr/sd/cosmologie/la-matiere-noire-est-elle-une-illusion-12511.php

    Mon modèle est une extension du modèle de Verlinde. Ce modèle a déjà fait ses preuves:

    "Une équipe dirigée par l'astronome Margot Brouwer (Observatoire de Leiden, Pays-Bas) a testé pour la première fois la nouvelle théorie du physicien Erik Verlinde (Université d'Amsterdam) à travers le prisme de la gravité. Près de 33 000 galaxies ont été prédites par Verlinde "Il conclut que la théorie de Verlinde est en accord avec la distribution gravimétrique mesurée."



    "La théorie d'Erik Verlinde doit encore être examinée de près, y compris la réplication de toutes les observations faites par la présence de matière noire ou MOND, un premier pas semble avoir été franchi par Margot Browser et ses collègues. Des galaxies qui faussent l'image Les chercheurs ont comparé la mesure de la masse des galaxies qui servent de lentille aux prédictions de la théorie de la gravité émergente Verlinde sur la déformation des galaxies de fond Les chercheurs trouvent un bon accord entre les observations et les calculs, ce qui corrobore également des résultats similaires obtenus par Mordehai Milgrom dans le contexte de MOND en 2013. Une autre équipe réunissant des chercheurs italiens, français et suisses pour les amas de galaxies Abell 2142 et Abell 2319, observations et la distribution matérielle calculée à partir de la théorie de Verlinde, et là encore, l'accord est bon ".

    https://www.pourlascience.fr/sd/cosmologie/la-matiere-noire-est-elle-une-illusion-12511.php

    [Tu aurais au moins pu passer par Google traduction ! AD]
  • Désolé de vous l'envoyer en anglais. C'était la réponse que j'avais donnée à un de mes collègues en anglais, et la traduction via google traduction m'empêchait de l'envoyer sur le forum.

    J'attends toujours votre retour concernant mon second article.
    Cordialement,
  • Bon, vue la tonne de paragraphes postés, je pense que tu m'accorderas du temps ne serait-ce qu'à les lire :-D
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Bonjour, auriez-vous par hasard fini de lire ? xD

    Les articles sont par ailleurs parus sur www.preprints.org. En voici les liens :

    Entropic Description of Gravity by Thermodynamics Relativistic Fluids and the Information Theory
    https://www.preprints.org/manuscript/201903.0053/v1

    Stress Energy Tensor Study in Fluid Mechanics
    https://www.preprints.org/manuscript/201903.0061/v1

    Stress Energy Quantum Tensor : Linear Approximation of the Einstein’s Equations and Equivalence with the Klein-Gordon’s equation
    https://www.preprints.org/manuscript/201903.0060/v1
  • Bonsoir Roman,

    Poirot écrivait : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?16,1737692,1738150#msg-1738150
    [Inutile de recopier un message présent sur le forum. Un lien suffit. AD]

    Je suis assez d'accord avec Poirot (même si j'ignore ce que Shtam signifie, quelqu'un pour m'expliquer ?). Ton équation n'est pas valide d'un point de vue mathématique (ce n'est pas plus cohérent que de dire qu'une matrice d'ordre 2 est égale à un scalaire) et puis son interprétation physique est ... On va dire qu'elle est, tout simplement, ce sera plus sympa. Enfin c'est un mélange un peu bordélique de plein de concepts qui donne un résultat juste incompréhensible, même (et surtout) pour un physicien.

    Et puis, quitte à avancer des noms de physiciens, autant éviter Delplace (sur lequel je n'ai rien trouvé de sérieux). Quant à JPP je doute qu'il apprécierait que son nom soit utilisé comme ça. Le seul effet que ça pourrait avoir serait que tu ne reçoives plus aucune réponse de la part d'un physicien (même des plus ouverts ou controversés).

    Après, tu as quand même l'air d'être passionné. Si c'est bien le cas, supprime ce genre de publications (sérieux, ça pourrait te griller définitivement ça) et lance toi dans des études de physique. C'est, d'une part, ta seule chance d'être un jour pris au sérieux et, d'autre part, la seule voie qui pourra t'amener un jour à publier des papiers crédibles dans de bonnes revues. Je pense que tout le monde ici te veut du bien, alors ne le prends surtout pas mal et réfléchis y.

    Bonne soirée !

    Que la Force (enfin le résultat de la déformation de la géométrie de l'Espace-Temps, Relativité Générale oblige) soit avec vous tous :p
Connectez-vous ou Inscrivez-vous pour répondre.