De la lecture

Réponses

  • Un peu risqué de laisser ça ici avant la soutenance, non? En tous cas je vais lire ça m'intéresse, il y a longtemps que je tourne autour de ce qu'a initié Girard sans avoir vraiment eu le courage de m'y mettre à fond.
  • leon : en quoi est-ce risqué ?
  • Ben si tu postules MDC ou CNRS j'imagine qu'il vaut mieux faire circuler un produit fini, c'est-à-dire une thèse acceptée qui inclus les corrections suites aux rapports de jury (tu parles de possibles grosses bêtises restantes).
  • cela ne circule pas vraiment, comme tu peux le constater je n'ai pas mis un lien depuis ma page professionnelle pour tromper Google. De plus, la majorité des résultats ont été publiés, donc relus. Au pire, même s'il y a une erreur, d'un côté je doute que l'engouement pour ce fil soit tel que ma thèse soit diffusée à grand tirage, et d'un autre côté, quand bien même cet exemplaire arriverais entre les mains de membres d'une hypothétique commission : tout le monde peut faire des erreurs.
    De toute façon si je suis recruté par des gens qui ont lu ma thèse en détail ça sera la bonne blague (ou alors ce sont les rapporteurs)...
  • J'ai rien compris (le seul endroit où je comprends les mots, c'est les algèbres d'opérateurs !), mais c'est très joli. Sinon, méfie-toi quand même : suppose que TF1 s'en empare pour en faire un jeu de télé-réalité ! Qui récupérera les royalties ??? :P
  • J'espère que tu fais référence aux beaux dessins quand tu dis que c'est joli. Parce que c'est la contribution essentielle de cette thèse : un paquet $\LaTeX$ ! :)
    Sinon j'imagine le jeu de TF1, on fait choisir au gens une boite étiquetée par des sémantiques, et étant donné un chemin on leur demande de trouver à quelle boite il correspond. Comme il ne vont rien y comprendre, je pense que c'est assez surement équivalent à un choix arbitraire. Moralité : toute émission de TF1 issue de cette thèse se réduit sur une émission déjà existante et on a même un foncteur d'oubli.
  • > leon : en quoi est-ce risqué ?

    risqué, pas vraiment mais c'est un peu maladroit. Tu mets le nom des rapporteurs sur un document qu'ils n'ont pas validé, disons que ça se fait pas trop. Evidemment en pratique ça ne pose pas de problème parce que le directeur s'est assuré avant que le manuscrit sera accepté par les rapporteurs.

    C'est un peu le même problème, dans une moindre mesure, que les gens qui mettent sur leur page web un article avec marqué "soumis à Annals of Mathematics".
  • Oui effectivement, j'ai mis une version où les noms n'apparaissent plus. Ce n'est tout de même pas très grave. Hypothèse 1: la thèse est validée et alors ça ne comptait pas vraiment. Hypothèse 2 : La thèse est refusée et je retire le document. Cela ne devient réellement gênant qu'à partir du moment où la thèse ayant été refusée je laisse ce document.
    Maintenant en pratique, j'espère ne pas être pire qu'un Bogdanov...
    Pour le fait de mettre qu'un article est soumis à un journal précis, cela ne pose de problème que si l'auteur s'en sert comme un argument d'autorité sur la valeur du papier. Du style : mon théorème est important, il a été soumis à Annals of Mathematics. Pour une page web ou pour un dossier...
  • Je te souhaite effectivement un meilleur destin scientifique que celui des deux zozos... et je t'imagine plus honnête!

    Pour l'histoire des papiers soumis, je vois ça souvent et étant en phase de candidature MdC ça m'énerve prodigieusement. Bon, faut pas être parano non plus, c'est fait honnêtement en général mais je souhaite bien du courage aux membres des commissions pour juger tout ça sereinement...
  • Pour l'histoire des papiers soumis, je vois ça souvent et étant en phase de candidature MdC ça m'énerve prodigieusement.

    Là, il ne faut pas trop s'inquiéter. Ca ne compte pas vraiment, sauf si quelqu'un peut garantir que le papier en vaut vraiment la peine.

    @deufeufeu : oui, j'ai vraiment admiré les dessins, à défaut d'être capable de comprendre le contenu...
  • Bonne chance pour ta soutenance de thèse, Deufeufeu. Je dois avouer, j'ai parcourut ta thèse en diagonale, mais la logique ne me passionne pas vraiment.

    J.
  • Moi cela me rappelle des souvenirs : la géomètrie de l'interaction et les jeux de Joyal devaient prendre parti dans ma thèse qui n'a jamais vue le jour contrairement à mon premier fils dont j'ai du m'occupper seul et finalement je n'ai pas perdu au change !

    Les gens sont toujours là comme Danos qui était mon directeur de thèse à l'époque...

    Même si tu penses que ta contribution est minime, c'est un sujet difficile, et je suis sur que tu réussiras ta soutenance.

    Ed.
  • edouardo : ah tiens, tu étais étudiant de Vincent, le monde est petit... d'ailleurs il n'est plus vraiment là, vu qu'il est parti à Edinburgh et qu'il fait plus de la bio-info maintenant. Les jeux de Joyal, tu parles des money games ? ou des catégories tracées de jeux ?
    Personnellement j'ai à la fois fais une fille et une thèse, mais c'est vrai que ma femme m'a beaucoup assisté :)
    Tu as fait quoi du coup après ta thèse ?
  • Je suis parti à la Réunion où j'avai passé mon enfance et je suis prof au collège.
    Je n'ai pas vraiment eu le temps de me remettre à la logique car j'ai dû gérer pendant quelques années la maladie mentale sévère de mon ex-femme qui s'est révélée à la naisssance de notre fils, et que je voulai utopiquement guérir alors qu'elle devenait dangereuse pour mon fils et moi même... Et il faut se reconstruire aprés !

    Bref, maintenant je coule des jours heureux avec ma famille recomposée depuis 2007 dans une belle maison vue sur mer que j'ai faite construire dans le sud sauvage, je profite de mes deux fils (dernier 1 an 1/2), et en dehors du tennis que je pratique (15/3) sous le soleil j'apprends la maçonnerie.

    Je ne regrette pas d'être là : j'adore les enfants et j'ai redécouvert cela au collège même si ce métier est spécial. Ce qui m'a de toute manière décidé à ne pas continuer ma thèse à l'époque était la pénurie des postes et l'exemple de tous mes copains en bourse postdoc à l'étranger et ramant comme des fous... De plus je pense que dans mon cas le phénomène de se couper de tout quand on est chercheur et de tout ramener à ses recherches était trop accentué chez moi et m'empêchait de profiter du monde réel en même temps, alors que certains savent le faire.

    Il s'agissait je crois des catégories tracées de jeux pour les jeux de joyal, d'ailleurs je me souviens que j'avais lue une thése avec tout le cadre des catégories dans lequel la géomètrie de l'interaction s'insérait...(à moins que mes souvenirs ne me jouent des tours).

    C'est marrant j'ai exhumé tout un carton de papiers, articles et livres moisis, après notre discussion sur Zorn pour retrouver le livre de Poizat sur la théorie des modèles où il y a un petit chapitre sur les ordinaux et cardinaux. En fait je me suis mis à préparer l'agrègation interne et je voulai revoir rapidement les fondements.

    Mes deux copains de promo qui doivent toujours être dans le coin étaient Thierry Joly (grand ami à l'époque, et brillant), et Lorenzo Tortora di falco (comme toi !) qui est peut être reparti en Italie . Il avait trouvé un résultat négatif sur les multiplicatifs.
    Si tu les croisent donne leur mon bonjour car je les ai un peu perdu de vue.

    Je croise les doigts pour que ta soutenance t'apporte une distinction.
    Edouard.
  • Salut,

    j'ai une question (hypernaïve): est-ce qu'une boucle de feedback dans un réseau (A entrée branché sur A sortie (i.e. A--[R]--A) comme dans les boucles de la page 18 peuvent signifier qu'une hypothèse n'est pas utilisée dans une démonstration? (comme une coupure inutile? inutile de commenter le terme "inutile", le Haupsatz n'est pas le sujet)

    J'avoue que j'ai beaucoup de mal à comprendre (interpréter) les réseaux par-rapport à mes références habituelles en mathématiques.

    Amicalement,

    F.D.
  • Salut,

    donc l'analogie "boîte noire" = "fonction" (au sens mathématique) ne fonctionne plus vraiment :
    f(A)=A n'est "qu'un point fixe".
    En fait, la "boîte noire" est exactement un lien au même sens qu'un lien coupure, axiome, =>d etc. dans une preuve formalisée.
    Suis-je plus dans le vrai?
    Un réseau d'interaction serait, donc, une preuve mais sous forme d'un "circuit électrique", ce circuit étant (potentiellement) un réseau électrique BREF un programme.

    Je sais, c'est naïf mais j'ai besoin de me représenter les objets...

    Amicalement,

    F.D.
  • En fait, en terme de preuves on fait apparaitre explicitement les coupures et on considère des séquents $\vdash \Gamma, [\Delta]$ où $\vdash \Gamma$ est le séquent qu'on prouve en piochant les coupures dans $\Delta$.
    On voit alors la preuve comme une fonction $f : \Gamma \cup \Delta \rightarrow \Gamma \cup \Delta$ et on calcule un point fixe de cette fonction selon $\Delta$. En terme de catégorie tracée on calcule $Tr^\Delta_{\Gamma,\Gamma}(f)$.

    En fait, si matriciellement f s'écrit $\left(\begin{array}{cc}A & B \\ C & D\end{array}\right)$, par blocs, on a une formule explicite $Tr^\Delta(f) = A + B (1 - D)^{-1} C = A + B \sum_i D^i C$.

    Alors maintenant ce point fixe n'existe pas forcément, typiquement la quasi-preuve $\vdash [A,A^\bot]$ qui fait une coupure mal foutu sur $A$ puis un axiome, mène à une fonction de matrice n'ayant que le bloc $D = \left(\begin{array}{cc}0 & 1 \\ 1 & 0\end{array}\right)$, à partir de laquelle on ne peut pas calculer de point fixe car $D^{2i} = I$ et $D^{2i+1} = D$, et ça ne converge pas un brin.

    Maintenant quand je présente les réseaux d'interaction par l'intermédiaire de la rétroaction, je triche un peu. Je fais directement mon calcul dans des injections partielles, et je fais des sommes disjointes modulo une restriction et une co-restriction des domaines. Dès lors, à chaque étape mon domaine diminue strictement, il est par hypothèse fini, et donc je converge tout le temps. Et ce, même si il y a des boucles!!
    Ce qui tombe bien, car j'ai envie de les récupérer ces boucles, et là on s'en sors avec une petite observation : autour d'une boucle tout ce passe comme si on avait des permutations, on peut donc trouver des orbites et décrire les boucles comme des paires d'orbites bien choisies.

    En fait, pour faire un parallèle logique, on est content que le système F nous garantisse la normalisation forte de toutes les programmes sur l'arithmétique qu'il type. Mais dans la vraie vie on écrit des programmes qui ne terminent pas, et ce n'est pas un souci, mais on se sert du fait qu'il y a un sous-système qui a de bonnes propriétés.
    Là c'est pareil, on fait des trucs qui ne sont pas des preuves dans les réseaux d'interaction, mais en gardant à l'esprit que cela ressemble très fort à des preuves.
  • Salut,

    je vais méditer sur ce dernier message qui dépasse les notions que je connais.

    Je lis Danos/Regnier, Proff-netys & Hilbert Spaces (crayon en main, je note, traduis et dessine).

    La thèse de Vincent Danos est-elle disponible? Je ne connais pas très bien le $\lambda$-calcul et, donc, je ne saisis pas toujours les enjeux.

    Soit dit en passant, je n'en suis pas encore au passage sur le $\lambda$-calcul de ta thèse, je pense avoir une chance d'y trouver ce que je cherche.

    Bravo, en tous cas, pour ce travail de synthèse que je trouve très pédagogiquement correct (lol).

    Mes amitiés,

    F.D.
  • pédagogique ? non franchement j'aurais pu faire plus d'effort, il n'y a quasiment aucun exemple sur des choses simples. Je me suis d'ailleurs fait remonter les bretelles dans ce sens par un de mes rapporteurs.
    Pour l'article PNHS, j'ai personnellement mis pas mal de temps à comprendre ce qu'il faisait en plus ou en moins par rapport à l'article GoI1. J'en discute à la fin du chapitre 7. Pour la partie sur le lambda-calcul c'est un peu ras du sol et technique, mais j'ai eu récemment une piste pour faire cela de manière plus aérienne.
    Sinon je pourrais te passer mes slides, il y a une partie bien introductive au début pour que ma maman comprenne....
  • Salut,

    ça vire à la discussion privée ça... lol

    Bonne chance pour demain.

    amicalement,

    F.D.

    PS: !merde ;-)
  • Merci FrancoisD, effectivement cela vire au message privé, on pourra en discuter par mail.
    Sinon pour les autres, vous pouvez effectivement lire cette thèse, l'éminent jury m'ayant délivré le grade de docteur en mathématiques cette après-midi.
  • Je peux te dire bonjour comme ça maintenant : "Quoi de neuf, docteur ?" ?
  • {\it l'éminent jury m'ayant délivré le grade de docteur en mathématiques cette après-midi}

    Toutes mes félicitations.


    Borde.
  • rémi: mon père me l'a faite juste après...
  • Mes plus sincères congratulations, docteur.
    Faut-il dire deudeufeufeu désormais ?

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • Toutes les félicitations
    d' Edouard Cidrolin et
    d'Indiana Cidrolin (le chien).
  • La plus petit compliment en moins de _____ mots : BRAVO!

    F.D.
  • Félicitations ! Tu as eu une ceinture noire ? http://abstrusegoose.com/143
  • Tu ne pouvais pas décemment échouer un 28, nombre parfait s'il en est ! :)
    Félicitations en tout cas.
  • Bravo deufeufeu ! Par contre, la deufeufatation se traîne toujours sur Google, il faut que tu fasses quelque chose !
  • Tchieee!!!!, Monseigneur a decide de nous tirer tous dessus. ;)
  • Ne t'en fais pas Kito, je ne dézingue que les méchants.
  • Mes félicitations Docteur Deufeufeu!
  • Félicitations et bon courage pour la suite
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Salut,

    Deufeufeu : peux-tu m'envoyer tes slides? (par M.P. sinon je t'enverrai mon adresse mèl).

    A tous : y a-t-il quelque chose <<à tirer>> de la $\Omega$-logique?

    Je suis un peu curieux et je vais regarder ça ce soir (quand j'aurai fini mes copies).

    Amitiés à tous,

    F.D.

    PS: et encore bravo à l'ami Deufeufeu...

    PPS: je commence à lire le fil de Christophe sur le Forcing, mais c'est très intéressant tout ça...

    PPPS : Mais et le th d'Erdös qui utilise HC pour lier Mesure / Topologie, quelqu'un connait? (suis en forme moi)
  • thank you,

    j'ai achevé la lecture de ta thèse, j'avoue que j'ai posé le stylo au niveau du $\lambda$-calcul.

    Là, je me suis concentré sur l'esprit car la lettre me passait nettement au-dessus du neurone (le gauche). Enfin, s'il était besoin de traduire mathématiquement la difficulté réelle d'une preuve mathématique et, donc, effacer le voile de la "transparence",
    la KAM est un bel outil. (lol)

    Je pense reprendre cette lecture au cours de l'été. En parallèle, j'ai repris le point aveugle (vol 1 & 2) et, effectivement, comme Christophe le disait dans et comme toi-même tu me le disais, il faut confronter les points de vue pour arriver à voir le fil d'Ariane de la pensée de Girard.
    Je maintiens aussi ce que je disais sur ledit fil, son côté polémiste me plaît beaucoup!!! (en même j'ai appris plusieurs mots dans ces livres "poliorcétique", "nestorianisme" même si celui-là me passe un peu au-dessus, ma foi).

    Merci beaucoup, en tout cas, d'avoir pris le temps de répondre à mes (hallucinantes) questions. Tu n'es pas le premier que je saoule...

    Je continue, donc, de laisser mûrir ma compréhension de tes travaux et te souhaite un très bel été,

    Amicalement,

    F.D.

    PS: bon été et bonnes vacances à tous, d'ailleurs!
  • FD, si ça t'intéresse de mélanger les 2 lignes (forcing et correspondance de Curry Howard) voici un résumé d'un principe unificateur Krivinien:

    pour passer de l'univers classique à l'univers "forcing", on remplace l'ensemble de vérité à 2 éléments vrai,faux par une algèbre de Boole complète. Les seules difficultés étant:

    1) d'avoir le courage de s'émanciper des constructions techniques initialisantes: ie définir proprement quand l'énoncé "nomA appartient à nomB" a la valeur v de l'algèbre de Boole. Mais une fois ça fait, la valeur de l'énoncé:

    $A\to B$ est naturellement la borne sup de valeur de nonA et de valeur de B

    et celle de l'énoncé

    $\forall xR(x)$ est naturellement la borne inf quand $x$ parcourt tous les noms, des valeurs de $R(x)$

    2) De créer des algèbres de Boole exotiques pour obtenir, par exemple, que la valeur de vérité de "non hypothèse du continu" soit non nulle (etc)

    Mais initialement, Cohen ne l'avait inventé de cette façon simple: il avait défini "p force A" par récurrence sur la construction de l'énoncé.

    "p force $A\to B$" signifie " pour tout $q\leq p$ qui force A, on a que $q$ force aussi B"

    "p force $\forall xR(x)$" signifie "pour tout nom a, p force R(a)"

    JLK a remarqué un truc très naturel:


    il se passe la même chose avec la "réalisation" des énoncés:

    un programme qui force $A\to B$ est un programme p tel que pour tout programme q qui force A, le programme "p.q" force B

    (l'autre cas est trivial avec quelque soit)

    Il s'ensuit qu'en regardant le "." comme l'opération "borne inf", on retombe sur du forcing.

    Ou plus précisément: le forcing est un cas particulier de "réalisation abstraite" où on définit:

    une structure "réalisante" ou "froçante" ou "garantissante" comme étant de la forme E=(P,T,F,.,force) une structure avec P considéré comme un ensemble de "programmes", T un ensemble de phrases, et "force" une partie de $P\times T$, F un ensemble d'environnement et . une application de P² dans P et vérifiant:

    p force $A\to B$ ssi pour tout q: q force A implique p.q force B

    p force $\forall xR(x)$ ssi: pour tout a, p force R(a)

    Dans ce cas, le forcing est un exemple, et les travaux de CorCuHo en donne un autre. Dans le cas du forcing, les programmes sont les valeurs de vérité d'une algèbre de Boole et le "." est l'opération borne inf

    Dans la CorCuHo, le . est l''application du lambda calcul et les programmes sont les habituels programmes de l'informatique (écrits en camL par exemple, mais ça n'est pas très important)


    Edit: je n'ai pas utilisé F, pour pas compliquer, mais voilà comment il s'utilise:


    p force A quand p ne buggue dans aucun environnement qui résiste à A.

    Un environnement e (un élément de F), résiste à $A\to B$ quand il "offre" un $p\in P$ qui force $A$ et un environnement e' qui résiste) à B

    Et ce n'est pas le mot "force" qui est "primitif", mais les mots "résiste"; "buggue"
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • FrancoisD : non tu ne me saoules pas, bien au contraire. Je n'ai pas encore répondu à ton message car je suis un petit peu à la bourre, je pars présenter mon chapitre 2 en conf à Brasíllia cet après-midi. Je te répondrai de ma chambre d'hôtel ;)
  • Au fait Marco, la dédicace de ta thèse n'est plus à jour??? :-) :-) :-)

    Bon courage pour la rentrée,

    F.D.
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