XCAS et Python sur calculatrices ?
Bonjour,
Le débat sur un choix pertinent de langage en lycée (Python, Xcas,...) ne peut pas déboucher sur un choix objectif. Chaque partisan d'un langage a des arguments pertinents, mais l'essentiel reste l'algorithmique.
Alors pourquoi pas Xcas et Python sur les modèles de calculatrices qui se partagent le marché?
Si cette solution était techniquement réalisable pour un coût raisonnable, elle permettrait à chacun de choisir, voire de comparer facilement selon les algorithmes l'efficacité relative des deux langages.
Je laisse à plus compétent que moi le soin de poursuivre.
NB: Je reste persuadé que, lorsque un programme est écrit (ou lu) dans sa langue maternelle, il est beaucoup plus facile à comprendre/améliorer/corriger/maintenir que lorsque il est écrit dans la langue dominante, aussi efficace soit-elle. Et ceci vaut aussi bien pour les professeurs que pour leurs élèves.
PG
Le débat sur un choix pertinent de langage en lycée (Python, Xcas,...) ne peut pas déboucher sur un choix objectif. Chaque partisan d'un langage a des arguments pertinents, mais l'essentiel reste l'algorithmique.
Alors pourquoi pas Xcas et Python sur les modèles de calculatrices qui se partagent le marché?
Si cette solution était techniquement réalisable pour un coût raisonnable, elle permettrait à chacun de choisir, voire de comparer facilement selon les algorithmes l'efficacité relative des deux langages.
Je laisse à plus compétent que moi le soin de poursuivre.
NB: Je reste persuadé que, lorsque un programme est écrit (ou lu) dans sa langue maternelle, il est beaucoup plus facile à comprendre/améliorer/corriger/maintenir que lorsque il est écrit dans la langue dominante, aussi efficace soit-elle. Et ceci vaut aussi bien pour les professeurs que pour leurs élèves.
PG
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Réponses
L'essentiel étant que les objectifs concernant l'algorithmique soient "dans le viseur".
PG
-- Schnoebelen, Philippe
Ou alors unlambda/brainf*** pour le fun.
Au lycée, les calculettes servent avant tout à mettre des pompes pour passer les examens sans réviser, et les diverses activités où elles sont nécessaires (comme calculer des bornes d'intevralle de confiance) sont totalement artificielles ("il y a 1000 moutons dans un troupeau, la probabilité qu'un mouton soit blanc est de (...) on approxime par une loi normale ...") sont là pour dire qu'il ne serait plus possible de s'en passer (quid des partenariats de l'EN avec les fabricants).
La cérémonie grotesque qui consiste à examiner une boucle for et qui apparaît maintenant rituellement dans les sujets d'examens participe pleinement à cette mascarade. De là à parler d'algorithmique...