Sacrée rentrée 2
Salut tout le monde. Comme le fil que j'avais ouvert a été fermé grâce à notre ami dont je tairais le nom, j'en ouvre un autre si jamais vous n'y voyez pas d'objection.
C'est fait ! Je suis officiellement baptisé professeur depuis ce matin, et ce n'est pas de la tarte. J'ai beaucoup de mal avec la gestion de classe sur plusieurs aspects. Premièrement, sur la discipline (au sens "militaire"). Je n'arrive pas à obtenir le silence, et encore moins l'attention, de beaucoup d'élèves. Cela m'embête tout particulièrement vis à vis de ceux qui veulent travailler et ne disposent pas de bonnes conditions pour le faire. Deuxièmement, l'hétérogénéité est vraiment très importante. Certains plient les exercices en moins de temps qu'il n'en faut pour distribuer la feuille à toute la classe quand d'autres, l'heure écoulée, n'ont toujours pas compris la consigne. Chers collègues, vous ne faites pas un métier facile !
C'est fait ! Je suis officiellement baptisé professeur depuis ce matin, et ce n'est pas de la tarte. J'ai beaucoup de mal avec la gestion de classe sur plusieurs aspects. Premièrement, sur la discipline (au sens "militaire"). Je n'arrive pas à obtenir le silence, et encore moins l'attention, de beaucoup d'élèves. Cela m'embête tout particulièrement vis à vis de ceux qui veulent travailler et ne disposent pas de bonnes conditions pour le faire. Deuxièmement, l'hétérogénéité est vraiment très importante. Certains plient les exercices en moins de temps qu'il n'en faut pour distribuer la feuille à toute la classe quand d'autres, l'heure écoulée, n'ont toujours pas compris la consigne. Chers collègues, vous ne faites pas un métier facile !
Réponses
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Sacrée rentrée oui. Tu veux bien nous rappeler le contexte :
- dans quelle académie tu es
- quelles classes tu as -
Académie de Bordeaux dans un collège "presque REP" d'après les collègues et le principal, avec deux classes de cinquième à ma charge.
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Bonjour,
Un conseil : plan de classe avec les bavards tout devant. Alternance fille garçon à chaque fois.
Une classe que j'avais de 4ème était bruyante, depuis le plan de classe ce matin, plus aucun bruit.
Ne commence pas à parler tant qu'ils se taisent pas, et regarde les sans rien dire. Ceux qui parlent encore, prends leur carnet.
J'ai eu ce matin ma tutrice dans mon cours pour une autre classe de 4ème.
Première demi-heure correction d'exercices, aucun bavardage, aucun bruit, élèves attentifs.
Deuxième partie du cours, j'ai fait une activité, et ils ont commencé à faire du bruit et trop bavarder. Ils bossaient l'activité mais faisaient trop de bruit. J'ai vu que la tutrice l'a remarqué et regardait un peu les élèves qui discutaient.
Je pense changer les règles au prochain cours : plan de classe puis interdiction de travailler en groupe même lors des séances d'activité.
J'ai aussi une classe de 6ème très calme, mais un gros élève très perturbateur qui essaie d’entraîner les autres, son AVS m'a dit de le virer pour la bêtise qu'il a fait ce matin. Il est resté 10 min aux toilettes il s'amusait. -
Boole et Bill a écrit:C'est fait ! Je suis officiellement baptisé professeur depuis ce matin,
Bonne chance et bonne continuation!Une fonction est un ensemble $f$ de couples tel que pour tous $x,y,z$, si $(x,y)\in f$ et $(x,z)\in f$ alors $y = z$. -
@ Boule & Bill.
Ah ben schtroumpf alors !
J'ai dû me faire excommunier...
Bonne rentrée.
e.v.Personne n'a raison contre un enfant qui pleure. -
Après quelques cours j'ai enfin trouvé quelques marques. Ma technique consiste à faire un cours très dynamique avec beaucoup d'interactions, en particulier dans la classe que j'avais qualifiée de difficile. J'accroche presque la totalité des élèves, je vois qu'ils comprennent, et je m'éclate ! Par contre c'est crevant d'agiter les bras pendant plusieurs heures de la journée.
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Oui moi ce matin les 4èmes pas un bruit, super calme.
Puis les 20 dernières minutes, ils ont commencé à s'agiter. Ils avaient un peu de mal avec les troncatures / valeurs approchées.
Un élève de 4ème m'a dit "d'habitude je comprends rien en maths, mais en fait c'est facile". C'était sur les quotients d'entiers relatifs.
Lors des activités, exercices comment ils sont concentrés ?
J'ai remarqué que quand je fais un cours magistral, il n'y a aucun bruit. Quand je commence les activités et exercices, j'ai plus de mal à les gérer. -
Clairement, au collège, le plus difficile à accepter pour certains élèves, c'est qu'ils doivent travailler.
Alors forcément, quand c'est l'activité principale, c'est tellement difficile que certains ne prennent même pas la peine d'essayer et qu'à la place, ils perturbent le cours.
Quand tu fais un cours magistral, il n'y a pas de bruit : ils sont trop concentrés, non pas concentrés parce qu'ils essaient de comprendre, mais parce qu'ils doivent copier... activité compliquée pour certains (trop !). -
Clairement, au collège, le plus difficile à accepter pour certains élèves, c'est qu'ils doivent travailler.
La phrase reste vraie, si on remplace collège par lycée.Karl Tremblay 1976-2023, je t'appréciais tellement. -
Et même après !
Bon, retour au sujet : oui, B&B, les gens ne se rendent pas compte à quel point certaines heures de cours peuvent être crevantes. -
C'est chaud de travailler genre quand t'es nul comme moi mdrrr
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J’en profite pour dire qu’en 2nde, l’écart gigantesque entre les élèves est d’abord lié au fait que certains ont été habitués à avoir des devoirs régulièrement, et d’autres, pas du tout.
Les premiers ont une sorte de réflexe rituel « je rentre, je me pose vite fait, je regarde ce qu’il y a demain et s’il y a du travail »***.
Ce n’est pas lié au niveau scolaire.
D’ailleurs, des « très bons collégiens » se cassent la figure dès la 2nde, notamment à cause de ça.
***[small]En ce sens le dispositif « devoir fait » est un piège pour ceux qui veulent un véritable avenir scolaire. En effet, l’argument « tu fais tout au collège comme ça tu n’as rien à faire chez toi » est presque malveillant. Car ceux qui ont pris cette habitude ont donc pris le pli de ne pas s’installer à un bureau CHEZ EUX, de ne pas se dire CHEZ EUX « qu’est-ce qu’il y a demain ? ».
Cela dit on sait très bien que pour certains l’argument est plutôt « de toute manière il ne fera rien chez lui, alors autant qu’on l’aide à le faire dans l’établissement ». Ça se défend.
Mais je maintiens : l’avenir scolaire se joue au fait de prolonger même, qu’un petit temps, le temps scolaire à la maison. [/small] -
Début d'année délicat avec mes BTS, d'un niveau très faible,(80% sont originaires de bac pro et avouent en se bidonnant n'avoir strictement rien fait pendant le confinement).
première séance: 2/3 + 3/4 = 5/7 presque à l'unanimité.
deuxième séance, sur le calcul littéral: "c'est quoi, x?".
troisième séance sur les équations du premier degré qu'ils ont l'air de découvrir, le collègue de Physique m'a confirmé qu'ils ne savent utiliser U = RI que pour calculer U.
Ils sont pour l'instant de bonne composition et assez volontaires, mais sont incapables d'écouter plus de 10 mn, comme des élèves d'école primaire.
Ce n'est pas gagné :-S -
@Oshine,Lors des activités, exercices comment ils sont concentrés ?
J'ai remarqué que quand je fais un cours magistral, il n'y a aucun bruit. Quand je commence les activités et exercices, j'ai plus de mal à les gérer. -
ronan a écrit:
L'avantage, c'est que du coup tu te mets au niveau de 5ème mais tu es payé 1,25h par heure de cours, c'est-à-dire que si tu es agrégé, tu es plus payé qu'un de mes rapporteurs de thèse pour faire son cours de M2 ; bon l'un fait un cours de niveau bac +5 et l'autre bac -5. -
Oui, mais d’un autre côté c’est plus crevant et plus usant... difficile à prendre en compte en termes de temps de travail et de récupération, mais bien réel...
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Oui, je suis assez d'accord, d'un côté, mais si je devais choisir à qui laisser mon 1.25, cela serait à ceux qui les ont eu avant moi en bacpro.
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Prof au collège même agrégé c'est sportif.
Cet après-midi les 4ème étaient agités, j'ai mis 10 min à les calmer et j'ai du mettre une observation. Il faut observer chaque fait et geste, leur dire de se taire assez souvent.
Ils m'ont demandé cet après midi : "Mr pourquoi on doit écrire autant ? Vous pouvez pas nous photocopier le cours ? Au lycée, les élèves ont des ordinateurs."
Un cours de M2 ça doit être bien plus reposant pour le prof. -
Photocopier le cours, ha ha (:D les mêmes qui demandent pourquoi il n’y a pas d’ascenseur quand il faut monter au 1er.
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Les mêmes qui demandent pourquoi la calculatrice est interdite alors que le calcul le plus difficile est 3×23, etc
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Les mêmes en L2 demandent des transparents a la place du cours et se plaignent qu’on écrit trop.
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Moi je dis on devrait gratter que à la craie comme avant mes profs de prépa faisaient.
On les a trop gâté avec les photocopies, ils sont devenus fainéants. -
Je pense qu'il faut nuancer un peu. Parce que gratter pendant 3h et sortir du cours sans avoir rien suivi/compris, c'est pas super rentable quand même. Il y a des cours au lycée (comme celui de statistiques typiquement) qui se fait mieux je trouve par photocopie en cours à trou que les autres. Certains apprennent peut-être mieux en copiant mais je pense qu'on créé aussi beaucoup de zombies ce faisant. Maintenant, au collège/lycée, pas d'excuse, il y a quasi rien à écrire en terme de cours (par rapport au supérieur, c'est peanuts). Mais bon, un cours entier de coniques avec toutes les formules et les dessins, il me semble qu'un cours projeté avec les slides en photocopies, c'est pas du luxe (éventuellement les démos au tableau à recopier). Bref, ça dépend.
Je suis un M2 de stat, j'ai soit des gros paragraphes de texte sur le sens des outils, soit des grosses formules toutes moches, soit des sorties de logiciels graphiques ou numériques donc je suis bien content des fois d'avoir ma photocopie alors que je ne suis pas fainéant et que j'ai déjà gratté beaucoup dans ma vie. Le pire c'est cours projeté à recopier par les étudiants. Le prof va très très vite sans trop se fatiguer tout en expliquant à l'oral tandis que les étudiants grattent en mode robot. On pourrait s'intéresser, à la sortie de l'heure, à la proportion de notions retenues/comprises. Quand le prof écrit, il y a un côté "solidarité" avec ses élèves qui lui accorde un peu plus de mérite. En particulier, j'avais une prof qui écrivait très vite et très bien tout en ayant le temps de faire des remarques complémentaires. Ca force le respect, doesn't it ? -
Le problème du cours à trous c’est que les élèves ne pensent qu’à demander ce qu’il faut « marquer » (ils disent bien « marquer » et non écrire) dans les trous. Ils sont très concentrés pour bien marquer les bons trucs à marquer dans les bons trous mais le pourquoi du comment, ils s’en foutent complètement. De toute façon, comme c’est un texte tapé sur ordi, le prof s’est fait plaisir à ajouter plein de petits détails qu’on n’aurait jamais écrit au tableau et, partant, il y en a trop. Enfin, c’est ce que j’ai retenu du dernier texte à trous d’une collègue remplacée au pied levé il y a des années.
Et puis, ce n’est pas parce qu’on a des troisièmes qui ne savent pas écrire plus de deux lignes aux 10 minutes qu’il ne faut pas les entraîner à aller plus vite, au contraire. -
.
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Alexique tous les profs de collège que j'ai visité projettent le cours et les élèvent recopient.
Mais au collège t'as 10 lignes maxi par heure.
Avant j'écrivais au tableau tout mais cette année mon tableau est minuscule je ne peux quasi rien écrire.
Flora oui je suis un mister :-)
[Un mystère ? AD :-D] -
"Tous les profs de collège que j'ai visités projettent le cours"
L'échantillon doit être assez réduit, je ne pense pas que ce soit majoritaire. Et c'est vraiment le truc qui ne plait pas aux IPR (l'apprenant doit construire son cours...).
[Est-ce le collège ou les profs qu'il a visité ? AD :-S] -
Ils ne projettent pas le cours en entier, mais une propriété à recopier.
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C’est mieux d’écrire soi-même. Les phrases que tu écris à la main pour les élèves et celles que tu tapes ne sont pas les mêmes. De plus, en écrivant, tu peux t’arrêter au milieu d’une phrase pour les faire participer, les interroger sur la suite. C’est quand même plus vivant.
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Quand on écoute un cours, on est passif, on reçoit de l'information... mais cette information rentre par une oreille et sort par l'autre. On a forcément la tentation : pas la peine que j'écoute, je lirai le polycopié plus tard.
Quand on doit gratter :
- option 1, on gratte bêtement, sans comprendre, on subit.
- option 2, on comprend ce que le prof raconte, au fur et à mesure qu'il le raconte, et on se retrouve avec des notes très bien structurées ; les mots importants, on les a soulignés au moment de prendre ses notes.
Je n'aime pas du tout la phrase "suivre une formation" ou "suivre un cours". Quand on dit "suivre quelqu'un", il y a une certaine passivité.
Je préfère vraiment : "vivre un cours".
Quand on prend des notes pendant un cours, ce n'est pas pour les relire ensuite. Eventuellement, on va les relire, mais probablement pas. Quand on prend des notes pendant un cours, c'est pour se forcer à comprendre le cours et à y participer.Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin -
En fait au collège le problème quand on écrit trop au tableau certains font des conneries.
Il vaut mieux ne pas trop leur tourner le dos. -
On peut dicter aussi de temps en temps.
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Quand on prend des notes pendant un cours, c'est pour se forcer à comprendre le cours et à y participer.
Il y a une recette pour faire cela?
Personnellement je n'ai jamais pu faire les deux. -
Oui dicter permet de capter l'attention en plus.
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OShine sauf que pendant que l'on me dictait et que j'écrivais je ne comprenais rien et retenais pas grand chose.
Pour comprendre il ne faut pas que je fasse autre chose que d'écouter sinon j'ai l'option de travailler sur une feuille de papier les exercices... -
Ma tutrice dit d'abord aux élèves de poser leur stylo, elle explique puis leur fait écrire.
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Ha oui ! En gros !
1) les p’tits gars, on va écrire un truc qui veut dire ça.
C’est ok ?
2) bon, on l’écrit.
La phase 1) est la compréhension.
La phase 2) est l’écriture. Dans l’idéal, le gamin qui lit 2) chez lui se rappelle que ça veut dire 1). -
Oui, c'est le bon principe.
Ecrire un truc n'est utile que si on a compris le truc. Ecrire en se disant qu'on va comprendre plus tard ... c'est le début de l'échec.Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin -
Oui et non. Disons qu’encore une fois il y a des nuances et surtout un tas de profils différents.
Si c’est tout le temps, c’est en effet vain et voué à l’échec.
Si c’est parfois, ça passe. Personne ne comprends tout à 100% et pourtant ça a déjà écrit des lignes et des lignes.
Par exemple :
On peut copier des propriétés du parallélogramme mais si on ne sait pas ce que c’est [un parallélogramme] ou encore une diagonale, on ne peut pas comprendre les écrits qui en parlent.
Mais bon, tu as raison sur le fond. -
Lourran j'ai ce défaut de rester bloqué 1 heure sur un détail quand je ne comprends pas.
Les élèves, cela dépend de leur personnalité. J'ai une élève de 4ème dès qu'elle ne comprend pas une chose elle m'interrompt. -
C’est plus un problème d’éducation que de personnalité.
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Dure dure la rentrée !
- Des classes de seconde chargées et de niveau faible et qu'on ne me dise pas que c'est le confinement : pour certains 5,2 est un nombre entier. Une classe de second pénible.
- le masque insupportable
- 22 heures de cours
Moins de plaisir à enseigner moi qui avais eu des classes sympas et intéressantes ces deux dernières années.
Je pense que cette année va être difficile.
Cela me motive à avoir l'agreg.
Il va vraiment falloir que je prenne un congé pour souffler mais si à l'issue du congé je ne réussis pas, je pense que cela sera un coup très dur !
En même temps, j'ai peur de "gâcher" ce congé si jamais j'en ai réellement vraiment marre d'enseigner et que je souhaite me reconvertir. -
L'agreg changera quoi au niveau du plaisir d'enseigner ?
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Rien , c'est pourquoi je me pose parfois des questions sur la pertinence de la préparer
J'aurai moins d'heures et une classe en moins.Cela me soulagera un peu et me fatiguera moins. J'aurai un peu plus de temps libre . -
Oui ça c'est sûr.
Sinon tu peux regarder du côté des IUT ou des BTS. Le collègue que je remplace est allé enseigner en IUT.
Je connais un autre prof de maths qui est aussi parti enseigner en IUT.
Les collégiens lycéens sont épuisants c'est vrai. -
Attention au congé : commencer à préparer seulement l’année du congé renvoie dans 80% des cas (au moins dans ce que j’ai pu observer) l’idée d’un gâchis.
Cela dit je comprends l’idée de souffler.
Ce n’est pas la même chose de souffler ou de préparer sérieusement un concours. -
Je vais me renseigner en effet mais il faut être "pistonné" je pense.De plus, j'enseigne dans le privé alors je ne pense pas pouvoir y aller.
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Ouais, pis bon, pour les BTS, y a BTS et BTS... ;-)
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Dom, cela fait 2 ans que je prépare l'agreg seule .Mais je n'ai pas trop le temps de le bosser hormis pendant les vacances d'été.
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Bonjour!
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