Rattraper le niveau du bac C

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Réponses

  • @Chamavo :
    En effet, tu as raison, j'avais mal lu et j'ai donc modifié mon message. Le bac du Cameroun doit être d'un niveau L1 en France, et celui français accessible aux meilleurs étudiants de Première C camerounais.
  • OShine http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?18,2161384,2166354#msg-2166354 si tu avais travaillé plus et mieux au collège et lycée tu ne pataugerais pas autant aujourd'hui.
    C'est bien de faire des maths toute sa vie, mais rester des années sur le programme de premier cycle c'est nul et cela sans pouvoir prendre du recul dessus!

    Mohammed R les pdf camerounais sont bien pour la technique mais on ne voit pas beaucoup de réflexion.
    Pour réussir ULM il te faudra avoir une compréhension de fond des sujets.
  • EDIT : J'ai encore raconté n'importe quoi ...
  • Mohamed R a écrit:
    Le bac du Cameroun doit être d'un niveau L1 en France
    Les choses se mesurent elles de façon aussi simple ? Espérons que oui.
    On peut faire des examens qui peuvent paraître très compliqués, mais n'a-t-on pas vu des copies presque conformes les années d'avant.
    Les profs qui exercent encore ont en eu l'expérience à plus ou moins grande échelle (même quand c'est un examen national). Et je suppose que les devoirs surveillés auxquels tu as droit doivent ressembler à ce que vous faites en classe.
    Cherche surtout à développer plus les notions que tu as au programme mais sans aller plus loin.
    Donc je pense que tu devrais essayer de gravir les échelons pas à pas et surtout ne te mets pas trop la pression. Les autres n'ont pas nécessairement autant d'avance.
  • Je renchéris un peu mon point de vue : pour moi, le meilleur moyen de prendre du recul, c'est de voir la suite et de s'y prendre suffisamment tôt pour que le temps de décantation nécessaire commence le plus précocement possible.
    A toi de faire ton choix Mohamed.
  • J'ai dit il y a 2 ou 3 jours que je ne crois pasà l'utilité de prendre de l'avance... J'ai toujours peur que l'élève apprenne 'de travers'. Il croit avoir compris un concept, il est moins attentif le jour où on lui apprend ce concept pour de bon, et il reste sur ses erreurs. Il y a un bénéfice possible, mais aussi un risque d'accident.
    Mais je le redis : mes points de repère, c'est ma scolarité, c'est donc les années 70-80. Et je sais que les choses ont beaucoup changé depuis.

    Par contre il y a un truc qui me paraît très utile, c'est de se confronter aux épreuves type concours général. Des épreuves pour élèves de 1ère ou Terminale, mais de haut niveau.
    Pas forcément y participer, mais déjà faire les exercices des archives.

    Idem, il y a les IREM.
    Voici par exemple une page avec des sujets de travail, pour des Terminale.

    Il y a aussi moyen de se procurer des exercices type exercices de 1ere de LLG.

    Tout ça, ca me paraît utile, et surtout, ça ne présente pas le risque de 'désapprendre'.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Pour avoir fait ça au lycée, ça ne sert à rien. Enfin si, ça sert à perdre son temps.

    En fait, tu te retrouves à lire et à comprendre certaines choses (typiquement les premiers chapitres sur les ensembles et applications), donc tu te dis "cool, je vais pouvoir prendre de l'avance !". Sauf qu'assez rapidement tu te retrouves à seulement avoir l’illusion de comprendre alors qu'en réalité il n'en est rien.

    Pire ! Comme t'as l'illusion de comprendre des cours que l'on pourrait qualifier d'avancé, tu commences à délaisser ceux de ton niveau (Seconde, Première ou Terminale, même combat) et tu te retrouves inexorablement à couler au lycée.
    Pour tout dire, ça m'a couté l'entrée en prépa ! Alors même qu'en Seconde et durant les deux premiers trimestres de Première j'avais de 16 à 18 de moyenne en maths/physique.

    Vraiment, pour l'avoir tenté je sais à quel point c'est un jeu très risqué. Il vaut mieux se contenter de maitriser les cours de son niveau (en faisant tous les exercices de son livre par exemple) et à la limite de chercher des livres d'approfondissement (toujours de son niveau) afin de voir un peu plus loin que ce que son prof donne.
  • J'ai toujours peur que l'élève apprenne 'de travers'. Il croit avoir compris un concept

    Si il suffisait d'avoir un prof en face de soit pour comprendre correctement les concepts!
    En fait, tu te retrouves à lire et à comprendre certaines choses (typiquement les premiers chapitres sur les ensembles et applications)

    Ces chapitres étaient vus au lycée dans les années 1970, C était construit par anneau quotient et les espaces vectorielles au programme.

    Ton problème vient d'ailleurs.
  • Je pense que c'est une idée reçue de croire qu'on a de bonnes chances de comprendre de travers sans prof, ou du moins plus qu'avec un prof. Je comprends que ce soit vrai pour certains et ne voudrais pas m'avancer trop loin mais je ne vois pas de raison majeure à cet état de fait.
    Je pense même que les libres ont pour eux l'avantage d'être très structurés et d'être rédigés totalement, ce qui est bien mieux que cette catastrophe pédagogique qu'est l'appui sur nos propres prises de notes.

    Si le professeur de l'auteur se propose gentiment de corriger de temps en temps ses travaux sur son temps libre, on peut probablement éviter le mal.
  • Ton problème vient d'ailleurs.
    Quel est mon problème ? D'où vient-il ?

    Merci par avance d'être mon psy.
  • D’accord avec JLT, sans doute.
    Mais il ne faut pas confondre ce qui est au programme avec ce qui est du niveau lycée. On peut faire des choses qui ne sont plus au programme mais qui restent du niveau lycée.

  • Ces chapitres étaient vus au lycée dans les années 1970, C était construit par anneau quotient et les espaces vectorielles au programme.
    Sais-tu qu'alors on voyait quelques notions sur les relations binaires, les graphes, les applications: injectivité ...
    Et donc implicitement un peu de logique.
  • Bonjour,

    dp, tu as écrit "ça m'a couté l'entrée en prépa", qui laissait supposer l'existence d'un problème.
    Si ce n'est pas le cas, tant mieux.
    J'ai fait un peu comme toi, du calcul intégral en seconde, etc ... en dilettante.
    Ça ne m'a rien coûté et je m'en suis sorti.

    Cordialement,

    Rescassol
  • nahar c'est bien de cela dont je parle, je l'ai lu dans des vieux livre mais pas vécu...
    Dans les années 1980 il y avait quand même des restes : sur les graphes, injectivités... on nous faisait manger du fog (f rond g) dès la seconde!
  • Ce qui m'a "couté la prépa" (et encore, je ne regrette absolument pas d'être allé à l'université dès la sortie de Terminale, bien au contraire!) ce n'est pas un quelconque problème mais le fait d'avoir joué au con en délaissant mes cours de lycée au profit de divagations vers celui de sup.

    Ce fût une erreur, car :
    • premièrement, ces chapitres d'avances que j'ai eu se sont estompés en l'espace de 15 jours en L1
    • deuxièmement certes, je comprenais certaines choses mais clairement pas suffisamment en profondeur pour que ça ait pu jouer un quelconque intérêt durant la suite de mes études
    • troisièmement, en ayant délaissé mes cours de lycée j'ai même pris du retard sur mes camarades de Licence qui alors avaient une meilleure aisance que moi sur certaines notions.

    Finalement je m'en suis plutôt bien sorti notamment, car au milieu du premier semestre de L1, me rendant compte que j'allais droit dans le mur, j'ai pris mon mal en patience et j'ai tout repris depuis le début (merci les Queysanne-Revuz, mes livres d'amour (donc sache, @soleil_vert, que tu ne m'apprends absolument rien à propos de la construction de l'ensemble des nombres complexes en Terminale CDE)). Ça m'aura pris tout le reste de l'année de L1 mais en fin de compte j'ai cartonné au deuxième semestre.
  • Bonsoir.
    Alors bon, je vais commencer par finir mes manuels (Spé première / Spé terminale / Mathématiques "expertes" 8-)) en parrallèle des 800 exercices de J-L Frot. Ensuite, suivant si, à ce moment $t$, je serai en cours, en vacances d'été, ou en terminale, je m'entraînerais sur les Sites que vous m'avez mis et que j'ai mis en favoris et dont j'ai téléchargé les PDFs. Puis j'achèterai éventuellement un livre qui prépare au CG avant Octobre 2021 si jamais je juge que l'ensemble des exercices de l'ensemble des sites que vous m'avez mis est trivial (ça n'arrivera pas en quelques mois). Je commencerai seulement en 2022, dès janvier, à regarder des livres de licence.

    EDIT : J'ai encore raconté n'importe quoi pour le reste...
  • C’est désespérant ! 31/40 ça fait 15,5/20 et non 20/20. Je ne sais pas pourquoi les profs se croient obligés de gonfler artificiellement les notes :-(

    Pour répondre à ta question, oui, ce genre de procédé est très répandu et contribue à maintenir les élèves dans la médiocrité avec l’illusion d’être performants.
  • Chamavo, faudrait faire un peu de déocimologie. Il n'y a pas de "vraie" note : l'échelle est toujours une convention artificielle. Donc elle n'existe que pour être normalisée selon des attendus institutionnels.
    Ce qui est incompréhensible, c'est les gens qui prétendent que la note a une signification ontologique comme tu sembles le faire.
  • La docimologie plutôt.

    Mais il est quand même aberrant de décréter a priori que la meilleure copie reçoive 20/20. D'après moi les notes doivent correspondre à l'impression qu'on a en lisant la copie :

    10-12 : passable
    12-14 : assez bien
    14-16 : bien
    16-20 : très bien.
  • Yirm
    "elle n'existe que pour être normalisée selon des attendus institutionnels"
    Tu pourrais préciser ce "normalisée" et "attendus institutionnels"?
    Mohammed a posé une bonne question: "supposons que quelqu'un ait 40/40, que se passerait-il pour les notes des autres ?"
    Avec ce système il ne faut pas s'étonner que les meilleurs élèves soient parfois regardés de travers par les autres...
  • Je n'ai rien à préciser puisque ce n'est pas moi qui décide de ces attendus, j'ai juste compris qu'ils existaient, comme tout le monde. Les moyennes de classe doivent à peu près tourner autour d'une certaine moyenne (souvent un peu plus que 10 mais ça dépend des endroits) et la répartition être à peu près gaussienne. C'est totalement arbitraire. Comme le sont les critères énoncés par JLT, comme le serait toute définition de "passable" ou "très bien".
  • Pour moi, par exemple "passable" signifie avoir compris les bases, mais l'ensemble reste fragile. Evidemment un 10/20 dans un mauvais établissement ne correspond pas à un 10/20 à LLG car les attendus des cours ne sont pas les mêmes. Mais dans deux lycées où on donne le même cours (définitions, théorèmes et exercices-types), il faudrait que 10/20 corresponde au même niveau dans les deux lycées.
  • Voilà JLT, tu vas dans mon sens, en disant "pour moi", puis "ça dépend de l'endroit". Mais tout le monde fait bien qu'est-ce qu'il veut avec ces mots et ces nombres (ou ces lettres, ou ces pastilles vertes rouges, toujours le même problème).
  • Je veux dire par là que si en cours on traite 20 exercices dont

    * 10 exercices de base (niveau 1)
    * 6 exercices un peu plus élaborés (niveau 2)
    * 4 exercices un peu difficiles (niveau 3)

    alors avoir 10/20 à l'épreuve doit correspondre à peu près à savoir résoudre les 10 exercices de base.

    La notion d'exercice de base dépend du cours qu'on a suivi, un exercice de niveau 2 dans un lycée pourrait être un exercice de niveau 1 dans un autre.
  • Si on note par exemple sur 40 un devoir c'est que l'on estime qu'il est possible d'avoir 40/40 même si il faut être un peu voire très doué pour cela. Avec le système décrit par Mohammed R il n'est plus utile de se décarcasser pour avoir le maximum de points, il faut juste se débrouiller pour être le meilleur de la classe et là on n'incite plus à se surpasser mais seulement à battre les autres et on peut très facilement battre les autres si ils sont mauvais. On change les repères et petit à petit les "courbes" des établissements vont se rejoindre mais ce ne sera pas une bonne nouvelle car globalement cela incitera à la baisse comme d'habitude.
  • C'est fort que les élèves connaissent déjà les critères de notation. Surtout que les épreuves communes n'auront pas lieu cette année. Et de toutes façons, pas d'épreuves communes en spécialité.....

    Sinon, les Olympiades, c'est reporté du 17 au 23 mars.
  • EDIT : J'ai encore raconté n'importe quoi ...
  • Pas d'inquiétude !, si ces notes comptent pour le bac, d'autres personnes que les élèves, des adultes dont nous tairons la fonction, sauront inciter ces professeurs qui n'y penseraient pas d'eux-même à surnoter légèrement. Fais donc au mieux sans t'occuper des autres. ;-)

  • Ben oui, ne t'occupe pas des autres...
  • @Sato @Kioups
    C'est vrai, je dois penser à mon avenir.
    Mais n'est-ce pas égoïste ?
    Comme l'a dit @biely, il ne faudrait pas que je m'étonne si les gens ne m'apprécient guère après cela. Le problème principal est que, pour un contrôle de cette envergure, il n'est pas envisageable pour les professeurs d'écrire plusieurs sujets.
    Je suis face à un dilemne, partagé entre l'envie de voir mes camarades réussir, et être fier de moi pour voir mes efforts récompensés justement après énormément de travail.
  • "Le présent est à eux ; le futur, pour lequel j'ai réellement travaillé, est mien."
    Nikola Tesla
    Je croyais avoir compris ce que cela voulait dire, mais peut-être que non vu ton dernier message.
    Enfin c'est à toi de décider de ce qui est important ou pas.
  • @nahar :
    Bon sang, merci beaucoup.
  • Mohammed R
    Ce que j’avais dit était seulement sur les conséquences possibles d’un système à mon sens néfaste et vicieux et certainement pas un ’’conseil’’ pour ne pas viser le 40/40.
    Ne t’occupe pas des autres! Tu n’es pas à l’armée...
  • biely :
    D'accord.
  • On peut aussi ajuster des notes de façon « non linéaire », par exemple avec une fonction affine par morceaux, pour remonter proportionnellement davantage les élèves qui ont moins de 5. Tant que c’est continu, pas de souci.
    On l’avait fait dans mon lycée pour un devoir commun de 1ère S il y a 3 ans (devoir massivement raté un peu de notre faute : personne ne s’était dévoué pour le tester, et quand j’ai fait le corrigé j’ai alerté les collègues sur le fait que ça m’ait pris plus d’une heure de rédiger «  comme un élève » pour un sujet de 2h...
    Ce que je ne comprends pas, c’est que le collègue ait parlé de remonter les notes AVANT le devoir.

    Côté conseils pour éviter de perdre des points :
    Aérer la copie
    Présenter les calculs de façon organisée (quand on développe et réduit, mettre les unes sous les autres les mêmes puissances, ça évite des erreurs de calcul et c’est plus facile aussi à corriger)
    Vérifier les développements / factorisations importants (par exemple en testant sur 1, 0 et -1
    Utiliser intelligemment la calculatrice pour vérifier ses résultats (courbes, tableaux de valeurs)
    Bien rédiger : quand on applique un théorème ou une propriété, lister explicitement les hypothèses qui sont vérifiées, ne pas mélanger des symboles mathématiques et des mots (en particulier éviter => et <=> dans des phrases).
    S’il y a de la géométrie, faire une figure.

    Bref, rendre la lecture facile pour soi et le correcteur !
  • Tu as l'air très stressé par les notes, Mohammed R !
    Sans dire qu'elles ne sont pas importantes, n'oublie pas de prendre du plaisir à découvrir les maths (et le reste, c'est important dans la vie). Je me rappelle du plaisir que j'avais au lycée à lire, parfois sans tout comprendre, une encyclopédie de maths de mon grand père. Bon, c'est une histoire pittoresque (et je n'ai pas fait les ENS), mais tu vois l'idée.

    PS: je ne cherche pas à en faire de la pub, j'y repense avec nostalgie, et je vous le partage :-)116200
  • Toujours sur mon idée que 'prendre de l'avance, ce n'est pas essentiel', je suis d'accord avec Polka. En s'intéressant à ce qui tourne autour des maths, ça aide à bien comprendre ce qu'on apprend.

    Par exemple, quand tu apprends une nouvelle notion, tu apprends de nouveaux mots, ou tu utilises des mots avec un sens un peu nouveau. L'étymologie des mots est très utile :
    * tri---angle équi---latéral : tout est dit avec l'étymologie
    * quelle est l'origine du mot 'logarithme'
    * etc

    J'ai appris récemment sur ce forum l'origine du mot 'anneau' utilisé en algèbre, j'ai beaucoup aimé l'anecdote, et je trouve que ça aide (un peu) à comprendre le concept.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • @Mohammed R attention à un truc : les lycées qui fournissent 90 % des effectifs des formations dont tu rêves (les 3 premiers en fournissant 50%) sélectionnent sur toutes les matières, donc travaille tout, sinon tu vas atterrir dans une grosse boite à taupins comme Janson ou StLouis pour intégrer au mieux Gerland en 5/2 :-)
    "J'appelle bourgeois quiconque pense bassement." Gustave Flaubert
  • lourrran a écrit:
    J'ai appris récemment sur ce forum l'origine du mot 'anneau' utilisé en algèbre, j'ai beaucoup aimé l'anecdote,...

    J'ai loupé ce passage. Quelle est l'origine du mot "anneau" utilisé en algèbre ?
  • A l'origine, c'est le mot allemand Ring.
    En allemand , ein Ring ist ein Gruppe von Menschen : un anneau est un groupe de personnes. Le mot Ring est quasiment un synonyme du mot Gruppe, mais avec des subtilités.

    Et par ailleurs , le mot Ring désigne aussi une bague (un anneau dans le sens de bague). C'est un homonyme.

    Puis les 2 concepts Ring et Gruppe sont apparus en maths. Deux concepts très voisins, donc on réutilise les 2 mots Ring et Gruppe, qui existent déjà dans la vie courante, et qui sont des notions très voisines.

    Et quand tout ça a été traduit en français, Ring est devenu Anneau, logique, ou quasiment logique, ou grosse erreur (?). Gruppe est devenu Groupe, logique. Et la cohérence entre Anneau et Groupe a totalement disparu par cette traduction.

    En fait, il faudrait remonter un cran plus en arrière. J'imagine (je fantasme ?) que le mot Ring(Bague) a été utilisé pour désigner un groupe de personnes avec des intérêts communs, parce que ces groupes de personnes portaient une même bague, comme signe de ralliement.
    Du coup, le mot Ring(Bague) et le mot Ring(Groupe de personnes) ne sont pas réellement des homonymes, c'est la même racine, c'est volontairement le même mot.
    Et dans ce cas c'est normal d'avoir la même traduction.

    Je ne suis pas sûr que tout ça soit très clair .... mais je me comprends, et c'est l'essentiel.

    PS : J'ai totalement oublié mes cours d'algèbre ; je ne sais plus si un Anneau est plus 'fort' qu'un groupe, ou plus faible. Mais ça ne change rien à l'anecdote.


    Edit : Voici le lien vers la discussion en question ; A la Fin Poirot et surtout Seirios donnent 2 liens intéressants.

    Edit 2 : Je parlais de la cohérence entre Ring et Gruppe dans la langue originale, l'Allemand. A priori, le mot Corps est dans la même lignée.

    Dans l'organisation des hommes, il y a les Corps (le corps médical, le corps enseignant) , les Gruppe, et les Ring , et dans le monde des nombres on a les mêmes notions.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Mohammed, je suivrai régulièrement ce fil pour savoir comment tu t’en es sorti aux Olympiades de mars et aussi au Concours Général l’an prochain : tiens-nous au courant !

    Quant à votre épreuve commune de maths, je ne sais pas pourquoi les professeurs ne mettent pas des notes au jugé vu que leur seul intérêt semble être d’embellir vos bulletins de notes.
  • Un ami m'a rapporté que dans son ancien lycée, un collègue demande à ses élèves quelle note ils pensent meriter et il leur donne ; résultat 17 de moyenne de classe en spé maths en 1ere...
  • @lourrran ok merci pour les liens.
  • J'espère passer le bac l'année prochaine. Depuis tout petit je visais le 20 au bac de maths. :-X.
  • Et apprendre le plus de trucs possibles pour cultiver son esprit ?

    PS:
    Est-ce que cela changerait quelque chose sur la motivation des gens si on remplaçait l'épreuve de mathématiques par une course en sac les yeux bandés? Je me le demande parfois. 8-)
  • Si on remplaçait l'épreuve de mathématiques par une course en sac les yeux bandés?

    Les plus avertis commenceraient à s’entraîner dès l’enfance116262
  • Chamavo:

    Sans les yeux bandés c'est trop facile. B-)-

    Si l'ambition des gens est de montrer qu'ils sont meilleurs que tout le monde, qu'on leur fasse passer des examens de mathématiques ou de course en sac les yeux bandés cet esprit de compétition peut s'exprimer de toute façon.
  • Fin de partie
    Visiblement tu n'as pas lu le premier message de Mohammed R...Je ne pense pas qu’une course en sac soit très motivant pour lui. Tu considères que travailler les mathématiques est une perte de temps et ne fait pas partie de la ’’culture de l’esprit’’?
  • Fin de partie
    Mohammed R ne veut pas écraser les autres il veut seulement se surpasser, c’est bien ce que tu voulais non? Il a même hésité a se freiner volontairement pour ne pas ’’pénaliser’’ les autres étant donné le système de ’notation’ mis en place...
  • Un peu de lecture pour toi, Mohammed R. Le titre du fichier est explicite.
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