Inspection parallélogrammes particuliers

Bonjour,

je suis inspectée mardi en 5ème. Je serai en plein chapitre "Parallélogrammes particuliers".
J'aurais vu les propriétés caractéristiques sur les diagonales d'un rectangle, losange, carré et nous aurons fait 4 ou 5 constructions.

Voilà ce que je pense faire durant la séance d'inspection :
- correction d'un exercice où il faudrait utiliser une de ces propriétés pour justifier un résultat
- activité avec les élèves pour démontrer qu'un parallélogramme ayant un angle droit est un rectangle
- cours : faire noter cette propriété
- application
-donner un exercice du même typpe à faire pour le lendemain

Voici mes questions :
-pensez vous que la démonstration du parallélogramme à angle droit est plus sujet à faire à l'oral (avec par exemple un élève au tableau) ou plus à l'écrit???
- est-ce que je fais l'application à la suite du cours ou partie exercices?

Merci de vos conseils.
Si vous avez des idées d'exo ou d'activités, je prends :)

Réponses

  • à la fin, tu peux aussi donner un "défi": prouver qu'un quadrilatère non croisé qui des côtés opposés de même longueur est un parallélogramme, dire que c'est difficile, promettre un 18 de moyenne garanti au 3ième trimestre à qui trouve et laisser les élèves lever la main pendant 10mn pour proposer des solutions erronées et leur signaler chaque la partie qu'ils ne justifient pas. Ca peut faire bonne impression et tu te reposeras pendant 10mn, donc t'auras un peu moins à préparer pour la période précédente (et si un élève trouve tients parole ;) ).
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Je crois qu'il est souvent apprécié que les choses viennent des élèves, donc envoyer un élève au tableau faire la démo me paraît être une bonne idée (à condition d'avoir préparé, il faut pouvoir aider l'élève en question et en choisir un assez dégourdi, mais pas trop fort).

    Le mot d'ordre actuel pour les inspections dans mon académie (Lille) est "il faut faire du concret". Donc si tu arrives à inclure un exercice qui va dans ce sens, n'hésite pas.

    Ce serait peut-être pas mal aussi de poser un petit problème "ouvert", comme le propose Christophe Chalons (éventuellement au début du cours). Et si ce petit problème était concret et reposait sur des propriétés du cours (celui que tu vas faire par exemple), ça pourrait être franchement bien.

    Concernant l'exercice d'application, je le ferais en partie exercices.

    Voilà mon avis, qui est peut-être mauvais... Après tout, tu as ta liberté pédagogique (cf loi).
  • Je ne vois pas trop l'intérêt de faire passer un élève au tableau s'il s'agit du cours. De plus, écrit-on vraiment des démonstrations des propriétés en 5e ? Il me semble que l'activité doit justement servir à cela, non ?
    Enfin bref, bon courage pour ton inspection ;-)
  • bonsoir,
    si tu as la possibilité et surtout si les élèves en ont l'habitude, peut être que ton activité peut être visualisée avec un logiciel de géométrie dynamique avec vidéo-projecteur, lors de sa conclusion.
    par contre, ne pas sortir tout le matériel si la classe n'en a pas l'habitude, l'inspecteur le verrait.
    On peut, ceci dit, faire des choses très bien avec un ou deux transparents.
    En plus les inspecteurs adorent : à chaque fois ils m'en font la remarque.
  • Bonjour,

    Pour ma part, j'ai des 5ème aussi et je pense que ton plan de cours me paraît des plus intéressant. Par contre, je pense qu'il est préférable de faire chercher les élèves d'abord seul avant de faire passer quelqu'un au tableau. Le temps de recherche est un temps d'appropriation non négligeable pour un élève car dès qu'un élève est au tableau les autres sans tout de suite moins concentré sur l'exercice (après tout dépend des classes mais dans mes propres classes c'est le cas en tout cas).

    Sinon, Philippe, je ne comprend pas trop ta remarque voire même que je la trouve un brin "flippante" en fait.Heureusement qu'il y a des démonstration en 5ème et même en 6ème d'ailleurs (égalité des angles de la base d'un triangle isocèle via la conservation des mesures de la symétrie axiale par exemple et il y en a d'autre) vu que les mathématiques reste la science de la démonstration. D'ailleurs, pour novice, tout dépend où tu enseigne mais pour ma part, dans l'académie de Versailles, il sera très très apprécier que tu fasses la démonstration directement dans le cours et donc que tu fasses noter la propriété d'abord et que tu réfléchisse par abduction par exemple à comment la démontrer au lieu de faire une activité déjà près mâchée cela te permettre de faire participer les élèves en direct et c'est très bien vu en inspection le rapport oral avec les élèves.

    Bon courage pour ton inspection!
  • Bonjour Novice,

    Je partage totalement le point de vue de JeroM.

    Je te suggèrerai aussi la possibilité d'une activité à l'oral impliquant le groupe entier.
    Par exemple,
    Une feuille sur laquelle sont dessinés de nombreux quadrilatères.
    Mettre une crox rouge à l'intérieur des parallélogrammes, une bleue....
    Puis discuter les résultats obtenus.

    Un DM.
    Le travail à la maison pourrait justement être de rédiger une caractérisation des rectangles à partir de la famille des parallélogrammes. (en une phrase, c'est vite corrigé)
    Tu pourrais ensuite ramasser les "Devoirs maison", valider les réponses correctes.
    Chaque élève peut alors mettre dans son cours sa propre propriété.
    Pour les autres, tu donnes deux ou trois possibilités de rédaction au tableau.

    Pour l'inspection, méfie toi du temps passé sur la correction de l'exo en début de séance.
    Cela peut parfois devenir un calvaire, car on ne sait jamais trop combien de temps cela va prendre.

    Bon courage.
  • Merci pour votre aide, hier j'avais mis tout ca au point avec vos commentaires et ceux recueillis sur un autre forum, mais au final, j'ai appris ce matin que notre inspecteur annulait l'inspection... Donc je vais quand même faire ce qui était prévu, mais je viendrai sûrement vous resolliciter fin mai...
    Merci encore.

    (je pensais finalement les faire chercher 10mn l'activité, puis envoyer deux élèves au tableau et faire commenter les élèves "qu'est-ce qui va, qu'est ce qui ne va pas")
  • remarquons
    - la définition naturelle (côtés deux à deux parallèles) n'est pas valide
    pour les parallélogrammes aplatis
    - si ABCD est un parallèlogramme, ACBD n'en est pas un

    p-e le but de la leçon est de faire comprendre à un élève $\lambda$ (moyen)

    - que la notion de parallèlogramme est une notion plutôt affine qu'euclidienne
    - qu'un rectangle (ou un losange) est un parallélogramme, en particulier que les objets se définissent par leurs propriétés
  • Bonsoir Capésard.
    capesard a écrit:
    la définition naturelle (côtés deux à deux parallèles) n'est pas valide pour les parallélogrammes aplatis

    Tu y vas un peu fort. Elle reste valable pour la plupart des parallélogrammes aplatis.
    capesard a écrit:
    si ABCD est un parallélogramme, ACBD n'en est pas un

    Sauf peut-être quelques parallélogrammes aplatis dont il était question plus haut.
    capesard a écrit:
    le but de la leçon est de faire comprendre à un élève $\lambda$ (moyen)

    - que la notion de parallélogramme est une notion plutôt affine qu'euclidienne

    Doucement avec la hache, Eugene ! Nous avons été certes élevés avec de l'affine et de l'euclidien dans le biberon (et un peu de projectif dans le quatre heures) mais je doute que ce genre de nuance n'ait d'écho dans le cerveau d'un élève de 5e - aussi $\lambda$ fut-il - de nos jours.
    capesard a écrit:
    ...en particulier que les objets se définissent par leurs propriétés.

    J'aurais tendance à penser que les objets se définissent par leurs définitions. Mais je suis de la vieille école...

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • Bonsoir ev,

    > J'aurais tendance à penser que les objets se
    > définissent par leurs définitions.

    ah d'accord. les définitions sont plutôt côté sémiotique et les propriétés plutôt côté sémantique. En clair, dans une définition, on peut utiliser des éléments de base (comme par exemple, le "point" en géométrie)
  • > Doucement avec la hache, Eugene !

    Ho, et capesard qui ne relève pas l'excellente référence. :)
  • Bonsoir,

    Sans déconner, Capasard, tu t'es jamais dit qu'un élève de 5ème n'avait pas bac plus 5 ? ET que par coséquent tout ton blabla à la sauce des ex-IUFM c'est un peu pompeux et surtout beaucoup inutile pour tout élève de 5ème.

    Surtout qu'aujourd'hui on prend bien le temps de faire écrire et de mentionner au élève la nuance entre quadrilatère croisé et quadrilatère non croisé.

    Bref, tu parles dans le vent de mon point de vu surtout pour des conseils à une inspection. Genre en 5ème face à un inspecteur, jouer le gros pompeux en parlant d'affine et de nuance bidon juste pour le fun intellectuel du prof. Si ça te fait plaisir de te "[***modéré***]" avec des mots pompeux c'est cool mais tes élèves (si tu en a mais j'en doute vu tes propos), ils doivent bien se marrer (je ne dit pas qu'avec moi, il ne se marre pas non plus mais bon au moins j'essaie d'être cohérent avec leur âge en quelque sorte et dans la logique de ce qu'ils connaissent en 6ème).

    Donc le capasard, je pense qu'il faudrait que tu arrêtes le capes et que tu passes au côté pratique juste pour le fun d'appliquer tes belles paroles plus livresque que pédagogique ni intellectuel car tu finiras à force qu'on te comprendre tout seul avec tout tes mots pompeux (ne t'inquiète pas je sors des études donc je comprend bien ton langage mais entre suivre bêtement et avoir un esprit un brin cohérent entre la théorie et la réalité du métier, il faudrait franchir ce pas...).

    Cordialement,
  • Et un bon point pour HAL !

    e.v. (décidément de la vieille école !)
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • Je n'osais pas demander la référence.

    Bientôt au programme du bac option musique (je sais pas si cela se dit encore comme cela) : morceau inconnu de Pink Floyd.

    (inconnu pour tous)

    S
  • @rémi: malheureusement, toi qui semble exercer le métier d'enseignant, tu es animé d'un réflexe anti-intellectuel des plus inquiétants. les gens comme toi annoncent le degré zéro de la culture.
  • la posture de Rémi, très anti-intellectuelle, est une sorte d'intimidation qui nous conduirait à ne plus parler de rien sur un forum de pédagogie: pas de linguistique, pas de didactique des mathématiques, pas de psychologie, surtout pas de Freudisme, surtout pas de Piaget, pas de Marx non plus . Le Vide absolu. Pour ma part, ça m'attriste car l'Europe a tout de même été longtemps une civilisation complexe, avancée du point de vue scientifique et avancée du point de vue technique, même si l'Ethique n'a pas toujours suivi les avancées techniques. faudrait renoncer à tout cela ? à tous les travaux concernant l'humain,l'apprentissage, la didactique,la psychologie ? au profit de quoi, c'est un peu ça la question ?
  • @Capesard
    Intellectualiser l'enseignement c'est bien si ca amene a quelque chose, et débouche sur de vraies
    plus values dans l'enseignement. Si c'est utiliser des mots savant pour frimer ou pour donner l'illusion
    de faire un travail complexe et utile comme j'ai vu en IUFM (donc en pratique pour justifier son salaire), je
    pense aussi qu'a un moment il faut savoir dire stop (la manière de le dire est une autre affaire), et apprendre
    à parler aux élèves avec des mots simples sans enrobage inutile. Pardon, je voulais dire "aux apprenants" bien sûr ...


    eric
    ps: on a aussi le droit de parler avec des mots simples aux collègues, pas seulement aux élèves....
  • Bonjour.

    Pour ma part, je comprends assez la réaction de Rémi, car souvent je ne saisis pas le sens des phrases de Capesard : Il y a des mots savants ou techniques dans des phrases par ailleurs simples. Parfois, je ne connais pas le mot, ce qui explique mon incompréhension. Mais généralement je le connais, et malgré ça, je ne sais pas du tout de quoi il veut parler. Exemple :
    les définitions sont plutôt côté sémiotique et les propriétés plutôt côté sémantique. En clair, dans une définition, on peut utiliser des éléments de base (comme par exemple, le "point" en géométrie)
    L'utilisation des mots savants "sémiotique" et "sémantique" ressemble plus à une tentative de noyer le poisson (qu'est-ce qu'une définition? Une propriété ?) pour retomber sur ses pieds suite à une affirmation malsaine (" ...en particulier que les objets se définissent par leurs propriétés.") qu'à une phrase explicative. Alors qu'il lui suffisait d'expliquer pourquoi il a dit cette phrase (dont une des interprétations possibles est pédagogiquement très intéressante).

    Capesard, tu te crois un intellectuel parce que tu utilises des mots savants ? Quelle pitié ! C'est le contenu des idées, qui caractérise l'intellectuel, pas le vernis des mots. C'est la cohérence de la pensée, pas l'utilisation de mots qui "font bien".

    Cordialement.
  • je suis intéressé par la distinction entre "définitions" et "propriétés".

    Il y a eu un moment, dans les années 80, un vaste débat entre J.Kristeva (qui s'occupait de sémiotique, ie, de l'étude des signes) et les linguistiques (par exemple Jacobson) qui étaient plus intéressés par le travail du sens (la sémantique) qui intervient, dans la vie du langage, en morphologie surtout et parfois en syntaxe.
    ça me semble intéressant de rappeler ce clivage précisément au niveau "propriétés" et "définitions" mathématiques. Quand on construit les mathématiques, ça passe, dans un premier temps,par des signes que l'enseignant anime. ces signes ont une existence propre (sémiotique) qui n'est que leur présence physique sur un support, la feuille de papier,et un sens qui vient de l'enseignant et des habitudes.

    je cite l'exemple particulièrement absurde suivant . un élève trace un tout petit segment de droite sur sa feuille, je lui dis "la droite est un ensemble infini"
    je prolonge le segment un peu plus loin, afin que le segment occupe les trois quarts de la feuille de papier, et après j'éclate de rire de l'absurdité d'avoir prolongé un segment en un autre segment.
    Maintenant, on voit bien au niveau des définitions que les briques de base (points,lignes,angles) n'ont pas de sens mais que ce sont les métaphores qui les font vivre
  • Il y a peut-être eu un clivage politique entre les gens, mais les maths utilisent les deux aspects sans les opposer, simplement en les distinguant.

    Après il est vrai qu'il y a des tas de gens qui se remplissent la bouche pompeusement*** de références à la notion de "sens", sans jamais pouvoir préciser ce que ça veut dire, et sont obligés de botter en touche quand ils sont réellement mis à l'épreuve.

    *** "ne perdons pas de vue le sens des choses", " donnez du sens à vos enseignements", "ça ne sert à rien cette symbolique, si on ne magnifie pas le sens des objets qu'il ya derrière", etc, etc

    En réalité, la notion de sens est bien pratique quand entre gens qui veulent aller plus vite en discutant d'un problème, ils sont tacitement d'accord sur une sorte de relation d'équivalence par laquelle quotienter leurs propos sans que ça ne crée de confusion. Mais au delç de ça, c'est du snobisme: ce qui fait l'infaillibilité de la science (pas des scientifiques) c'est son caractère formel et rien d'autre (et ce presque par définition).

    Pour ce qui est de la distinction "définition/propriété" comme tu l'appelles, c'est juste la distinction entre le nom d'un ensemble et l'ensemble lui-même. Un même ensemble peut avoir plusieurs noms.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Ok Capesard mais la tu es en train d'expliquer ca a des gens qui en ont bien conscience, alors
    que l'objectif c'est de faire comprendre à un élève de 12 - 13 ans ce qu'est une droite
    et qu'on ne peut evidemment la représenter entièrement sur un dessin, et tu ne vas pas lui parler
    de métaphore j'imagine (ou plutot j'espère....), meme si le terme est déjà vu en primaire.

    eric
  • Bonjour,

    Désolé Capesar de t'avoir choqué avec mon manque "d'intelligence" comme tu le dit. Si ça t'éclate d'utiliser des mots compliqués c'est ton droit je ne t'empêcherai pas de le faire.

    Sache tout de même qu'avec mes élèves je ne leur apprend que des maths et qu'il m'arrive fort souvent de faire de grosse digression sur les notion de religion (la mort de Ben laden aidant à parler d'extrémisme par exemple ou encore la notion de respect de celles-ci qu'on soit athé ou non) ou encore à faire de la philosophie sur d'autre sujet tel que la politique via les sondage ou encore via la notion de respect ou encore d'argent en parlant franchement de la relation à l'argent qu'ils ont ces petits jeune de temps en temps. Bref, je te laisse croire ce que tu veux de mon point de vue mais bon, tes dires sont totalement erronée à mon sujet du point de vu intellectuel en tout cas car niveau réflexion j'ai toujours adoré la philo et ce n'est pas parce que j'enseigne au collège que je m'interdit d'en faire et même avec l'évolution des pensé mathématiques tout simplement sans aller chercher la réflexion sur ce qui nous entoure tout le temps (la notion d'infini fascine les 6ème comme mes 5ème ou encore la définition de Pi via une série qu'il ne comprennent pas j'en ai conscience mais cela leur montre aussi qu'il y a autre chose que ce qu'ils apprennent par exemple).

    Après, je n'ai pas besoin de sortir un dico de philo pour entamer une réflexion avec mes élèves et donc oui j'avoue mon crime d'utiliser des mots simpliste car je m'en contre balance de l'enrobage ce qui m'intéresse ce sont les idées et la réflexion tout simplement.

    Tu te marres dans tes cours particulier en allongeant des segments non borné qu'on appelle simplement portion de droite c'est cool mais l'élève lui est-ce qu'il comprend les truc drôle qu'il y a derrière ? C'est cela qui est intéressant dans l'enseignement. C'est cool si ton élève y voit une plus valu pour ma part j'y vois simplement une pivate joke d'un prof qui regrette tout ce qu'il connait et qu'il ne peut pas enseigner car ces élèves n'ont pas encore le niveau de les comprendre et du coup le dit prof essaie de mettre des mots compliqués pour montrer à l'élève qu'il n'a pas son niveau et donc qu'il lui doit le respect qui est plus une non compréhension qu'un respect pur d'ailleurs.

    Je ne pense pas enlever l'intelligence ni les fondement même des mathématiques en parlant de patate lorsque je parle d'ensemble à mes élève de 6ème ou de cochon découpé en plusieurs morceau lorsque je parle de proportion et de la non possibilité de diviser par 0 ou encore prendre une corde avec une ficelle pour montrer commenttracer un cercle à l'époque ou le compas n'existait pas et de même pour trouver l'invariant du périmètre diviser par le diamètre. En gros, j'ai pitié de tes bons mots car tu crois être intelligent en les utilisant mais tu essaie juste de mettre une barrière entre toi et ton interlocuteur qui n'a que 11-12 ans et que par conséquent tu ne devrait même pas avoir besoin de cela pour lui apprendre des choses fort compliquées et lui montrer que tu peux réellement lui apporter une plus valu qu'il n'a pas encore.

    Donc après si tu aimes tes tripes c'est le principale mais je le répète de mon point de vu c'est un "branlage" cérébrale et une barrière fictive montrant juste ton incapacité à te laisser choir de ton piédestal face à des gamins sous prétexte que tu as appris plein de choses.

    Cordialement,
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