Questions sur le métier de professeur

Bonjour à tous,
Comme je souhaite devenir professeur de mathématiques, j'aurai voulu avoir l'avis de professeurs sur les questions suivantes :
1) Quel cursus avez-vous suivi ?
2) Pourquoi avoir choisi ce métier et pas un autre ?
3) Quel sont les avantages et les inconvénients de ce métier ?

Je précise que je m'adresse surtout à des professeurs de collège ou de lycée étant donné que je souhaite devenir prof au collège ou au lycée mais tous les avis sont les bienvenus !
Merci pour vos réponses !

Réponses

  • 1) Après avoir fait 3 années de prépa (5/2 oblige), j'ai intégré l'ENSAM (Arts & Métiers), puis je me suis aperçu que le métier d'ingénieur n'était pas fait pour moi, j'ai choisi d'enseigner les maths (étant passionné par cette discipline). J'ai donc été enseignant contractuel jusqu'à ce que je passe le Capes externe (en me préparant seul chez moi !)

    2) J'ai choisi ce métier parce qu'il répond à mes souhaits et m'apporte beaucoup de richesse (non materielle ;-))

    3)Avantages : quand on aime son boulot, on n'a pas l'impression de travailler (j'ai l'impression d'être resté étudiant avec un salaire en plus.)
    Le volume horaire permet d'avoir une vie extra-professionnelle.

    Inconvenients : C'est parfois très éprouvant nerveusement et emotionnellement car notre tâche est très prenante. Il faut savoir prendre ses distances, et quand on débute, c'est pas toujours évident, surtout dans les bahuts difficiles...
  • questions deja maintes fois posees. Pour des reponses, utilise le moteur de recherche interne.
    Bonne annee
    Jctout
  • Merci de ta réponse!

    Je suis assez d'accord avec toi au niveau avantage/inconvénient.
    Je voudrais aussi un peu plus de précision sur ton cursus car je n'ai pas compris ce qu'était un enseignant contractuel. Je voudrais aussi savoir s'il est possible d'évoluer dans le métier?
    Merci d'avance.
  • bonjour

    un professeur contractuel est un enseignant engagé pour une année (en remplacement d'un collègue dans le secondaire) ou encore pour des cours magistraux, des vacations ou des travaux dirigés dans le supérieur. Il n'est pas statutaire et sa situation professionnelle est forcément précaire. Cela dit il peut gagner correctement sa vie. La tendance moderne dans les instituts (IUT), les grandes écoles, les établissements qui pratiquent l'alternance pour la préparation des BTS et désormais aussi dans les universités est d'embaucher des contractuels.
    Si tu as vocation à enseigner dans les collèges et lycées il faut passer le Capes; si tu souhaites enseigner dans le supérieur tes diplômes universitaires peuvent suffir pour assurer des vacations et autres missions de formation et de recherche. Dans les deux cas la vocation est nécessaire, la compétence aussi et il faut avoir le sens de la communication orale et celui du contact avec les jeunes.

    bien à toi
  • Salut et bonne année

    De plus en plus, en collège et lycée, le prof est aussi éducateur. Il ne suffit plus de bien connaître la dsicipline que l'on enseigne.

    L'horaire hebdo de cours (15 ou 18 heures) peut paraître léger à un non-enseignant. Mais en fait c'est lourd: beaucoup de travail à la maison (et même de plus en plus), beaucoup de réunions, beaucoup de fatigue nerveuse, etc ...
  • Merci de vos réponses! (et bonne année à tous)

    Je vois que le métier de prof dans le secondaire nécessite de la pédagogie et de la patience.

    Je me demandais également s'il est possible de changer de "branche" en cours de carrière, par exemple de passer de prof de lycée à prof de prépas, et
    savoir en quoi consiste le travail personel (est-ce que l'on prépare ses cours soit-même en début d'année, ce genre de chose...).

    Merci d'avance!
  • Bonjour kaderate !
    Je suis un vieux (! ? ?) prof de maths (CAPES 1972). Je suis devenu prof parce que l'école normale d'instituteur n'a pas voulu de moi (En 1964, on recrutait les futurs instituteurs en fin de troisième). Je suis passé par la fac (4 années, mais 3 suffisent pour passer une licence puis un an de plus pour le Capes).
    J'ai enseigné 20 ans en lycée, puis depuis 10 ans en IUT (un poste était disponible dans l'IUT de ma petite ville, et j'ai eu la chance de convenir à l'équipe du département).

    Le travail personnel d'un prof du secondaire est une notion assez élastique (elle dépend plus de la conscience professionnelle que du reste). Ce travail comprend la préparation des cours (La plupart des profs reprennent très souvent leurs préparations, jamais parfaites - De plus, les élèves changent, ce qui oblige à modifier les techniques pédagogiques; Sans compter les changements de classes, et de programmes), la correction des copies, et (essentiel à mon sens) la mise à niveau (stages, lectures scientifiques ou philosophiques, notions de psychologie, etc.).
    Suivant les niveaux, la répartition des différents domaines peut changer nettement (Corriger des copies de 6ème va plus vite qu'en terminale).
    Par contre, le prof a le choix, dans une certaine mesure, du moment de son travail personnel (C'est ce qui fait qu'il donne l'impression de ne rien faire : Il est très souvent disponible quand d'autres sont occupés - Même s'il doit corriger ses copies de 10h à minuit chaque soir!)

    Mais un prof est quand même nettement plus libre, en moyenne, qu'un cadre de l'industrie (ingénieur).
  • A ce propos, quelqu'un se sent il le courage d'expliquer toutes les nuances des "grades" des profs? J'avais commencé à comprendre ce qu'il se passe au niveau d'enseignement des profs; agrégés, profs avec le capes, un doctorat...
    Je sais approximativement ce qu'il faut pour pour être prof dans le secondaire, en fac ou en prépa. Là où je suis perdu, c'est quand j'ai découvert l'existence des échelons, des chaires, des profs première classe, classe exceptionnelle, maitres de conf etc...
    A défaut, si il existe un site officiel pour ça, je suis preneur.
    Merci
  • le metier de prof est considéré comme le plus beau métier du monde , film joué par Gérard depardieu il y a quelque temps, Si tu souhainte changé de "branche" de lycée à prépa, il faut que tu sais que avec un capes, on enseigne dans le secondaire, cad college et lycéeà tous les niveaux, et avec une agrégation, tu peux aussi enseigner aux lycées et colleges mais aussi aux classes préparatoirs cad maths sup et spé. Mais si tu vise l'enseignement en amphi dans une université, la il te faut un doctorat (bac +8).
    Bonne chance à toi.
  • Merci de me répondre mais ça je le savais. Ce que je voudrai savoir est un peu plus précis...
  • ben deja le site de l education nationale.
  • j'aimerais devenir prof de maths donc j'ai besoin de quelques conseils comme:

    comment devenir prof?
    qu'elle sont les inconvénients?
    Quels sont les avantages?

    Merci d'avance. Ilona, 8 ans
  • Bonjour Ilona.

    Le ùétier évolue tellement vite que :

    1°) On peut se demander s'il existera encore des professeurs dans douze ans.

    2°) Quels seront alors les avantages.

    3°) Comment devenir professeur.

    Bruno
  • En effet, le métier évolue tellement vite qu'on ne va plus le reconnaître d'ici peu.
    Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about.
            -- Schnoebelen, Philippe
  • Bonsoir Ilona.

    Vu ton âge, tu as largement le temps de changer d'idée ou de te renseigner. Disons que pour devenir professeur, il faut que tu réussisses des études jusqu'à 23 ou 24 ans. Tu vois que tu as le temps ...
    Par contre il y a des choses que tu peux faire maintenant et qui t'aideront : Essaie de comprendre le maximum de choses qu'on t'apprend à l'école, en particulier les français (orthographe et grammaire). Car un prof doit être capable de parler facilement un français compréhensible. Tu as aussi intérêt à bien travailler les maths, même si plus tard tu fais prof de français ou langue : L'apprentissage des maths donne une capacité à penser les situations très utile.

    Bon week-end.
  • Bonsoir Ilona, bonsoir Gérard.

    Au jour d'aujourd'hui il est plus important pour un professeur de mathématiques de bien parler une langue étrangère plutôt que le français.

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • slt


    moi, je voudrais aussi devenir prof de math mais je voudrais savoir quelques petit trucs::S


    1) je ne sais pas si je veux enseigner au college ou au primaire
    2) escekil rapporte assez ?
    3) combien il ya d'annees d'etude au minimum ?
    4) est ce ke je pourrais regretter un jour d'avoir pris cette filière ( j'ai d'autre passion):)
    voila merci de me repondre vite
    et je voudrais aussi QUE des reponses de prof

    merci !!!
  • Bonjour, on peut avoir une idée du métier de professeur en relisant les frères Grimm:


    Blanche Neige expliquait aux 43 nains une recette de tarte: "Séparez les blancs des jaunes d'oeufs (conserver les blancs)

    et mélangez les jaunes avec le sucre jusqu'à ce qu'ils blanchissent. Ajoutez les noisettes et les amandes en poudre.

    Mélangez. Montez les blancs en neige avec une pincée de sel et ajoutez-les délicatement à la préparation précédente.

    Incorporez également délicatement les groseilles..."

    Quand elle eut terminé, Grincheux dit :
    - Il fallait écrire?

    Puis Simplet demanda :
    - Est-ce qu'on doit apprendre tout ça?

    Et Dormeur :
    - Il faut le savoir par cœur?

    Atchoum ajouta :
    - C'est trop dur!

    Prof dit :
    - J'ai pas de feuille!

    Et Timide ajouta :
    - Moi, j'ai plus d'encre dans mon stylo!

    Inquiet, Joyeux demanda :
    - Y aura interro?

    Et Simplet interrogea :
    - Comment ça s'écrit "pincée" ?

    Grincheux se leva et quitta la pièce sans attendre et disant :
    - Je peux aller aux toilettes?

    Joyeux précisa :
    - Ça va sonner...

    Et Dormeur dit enfin :
    - Vous avez dit quoi après sucre?

    Alors, un Grand Gobelins de la forêt s'approcha de Blanche Neige et dit :

    - Quelle était la problématique de départ? Quels étaient les objectifs transversaux? Pourquoi ne pas avoir mis les nains en activité de groupe?

    Pourquoi cette pédagogie frontale? Était-elle la plus appropriée?

    Alors, Blanche s'assit et pleura.




    Edouard Cidrolin ( ex-professeur)
  • J'aime bien la fable de Cidrolin.

    Il faut aussi ajouter les problèmes de violence (tous ne font pas l'ouverture du 20h mais pourrissent salement tout de même la vie d'un enseignant) et le fait qu'un enseignant a une "gestion policière" plus ou moins importante à effectuer suivant les endroits, les classes, les individus (bien que je soupçonne que cette gestion ne fait que prendre de l'importance ).

    Bref, il vaut mieux savoir où on met les pieds et ne pas trop idéaliser cette profession où tu passes une bonne partie de ton temps à punir , et non pas à transmettre de la connaissance.
  • La réponse de Nicolas Patrois me semble être la plus pertinente et elle n'est pas ironique

    Au quotidien, c'est devenu pour beaucoup d'enseignants un métier dur et incohérent. Même ceux qui ont la chance de tomber dans un bahut tranquille (et ce n'est que 50%) iront ensuite de déconcertations en décontertations et ça va évoluer de plus en plus vite.

    Pour les jeunes qui envisagent cette orientation, le meilleur conseil à leur donner est de bien étudier "le monde" actuel dans son évolution: il est en effet dans une impasse.

    Sans parler d'apocalypse, ses structures inadaptées au réel cèdent progressivement, et ce "métier" n'existera plus en tant que tel au moment où vous finirez vos études, ou peut-être que vous pourrez l'exercer un peu pendant maximum 5 ans, car il est entièrement fondé sur les bases de la fonction publique qui s'écroule doucement.

    Comme, même aujourdh'ui, il est pour beaucoup une occasion quotidienne d'avaler son chapeau, et pour 50% difficile à cause de laa (non)gestion professionnalisée de la discipline, je ne saurais trop déconseiller de s'y orienter.

    Par ailleurs (faut-il s'en plaindre d'ailleurs, sans reflechir plus globalement) le fait pour le monde développé de miser sur l'automatisation informatique et les progrès dans ce sens, va faire que "le prof de maths" sera entièrement remplaçable par un logiciel, qui EN PLUS sera plus efficace objectivement dans la mesure où un mouvement réformiste actuel élimine justement le reste (ce qui ne serait pas facile à transmettre par du simple entrainement)

    Il ne pourra qu'exister des progrès informatiques faits dans ce sens (quand on voit comment google et facebook optimisent déjà bcp de choses et parviennent à automatiser la livraison de réponses pertinentes), qui élimineront l'utilité actuel dans le secondaire du "prof de maths". On assiste donc à la fin d'un métier, comme on a assisté à la fin de d'autres artisanats, et les réformes vont dans ce sens. Les profs eux-mêmes d'ailleurs attachent la corde pour se faire pendre avec les discours "entraine-toi, apprends tes automatismes" et les pratiques consistant à livrer un corrigé et à demander de le recracher en controle.

    Le prétexte de l'échec en termes de discipline comportementale (au moins un ordi reste impassiblement sévère) etc serviront de coups de grace progressifs.

    En résumé, je ne peux que déconseiller à un jeune de faire des études en se disant "je serai prof de maths en 2015 ou en 2020". Ca n'arrivera que peu.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Je ne pense pas qu'en 2020 les ordinateurs seront capables de résoudre 90% des problèmes de maths de niveau lycée et de repérer l'endroit où se trouve l'erreur dans une copie manuscrite d'élève, ni de répondre de façon pertinente à une question imprécise d'un élève qui n'a pas compris.

    Par contre, je me ferais plus de soucis pour les professeurs de langues. A mon avis, dans 20 ans on aura des logiciels de reconnaissance vocale + traduction + synthèse vocale tels que deux interlocuteurs de langues maternelles différentes pourront se faire comprendre via la machine bien plus efficacement que s'ils avaient passé 10 ans sur les bancs de l'école à apprendre une langue étrangère.
  • Bonjour JLT.

    C'est bizarre, mais ce que tu dis sur les logiciels de traduction, je l'ai lu vers 1980 dans les propos de Seymour Papert et Neville Simon. Par contre, aucun n'avait prévu Internet.
    Il est toujours difficile de faire des prévisions.

    Cordialement.
  • C'est marrant, la blague de Cidrolin, je l'avais lue ici, mais avec Jésus à la place de Blanche-neige, et les 12 apôtres à la place des 7 nains.
    Du coup la version de Cidrolin me semble moins drôle. Mais peut-être que ça froisse la modestie des profs de se comparer eux-mêmes à des messies prêchant la bonne parole...
  • @ JLT,
    Prévision pour prévision, qui te dit qu'en 2020 la notion de copie manuscrite existera encore ?
  • à JLT, c'est une évolution lente mais un mouvement d'ensemble, l'un des arguments venant la renforcer étant l'évolution de ce qu'on lit dans une copie moyenne à mesure que les années passent. Il y a de moins en moins d'hypocrites qui font semblant de prendre au sérieux le fait qu'il faille "corriger" ou "annoter" les erreurs (la plupart d'entre elles n'étant produites que par abus du symbole jeté au hasard).

    De probables voix s'élèveront pour dire qu'avec l'interaction élève logiciel on a tout à gagner, en particulier d'éviter les réponses lascives postillonnées sur du manuscrit vite jeté à la poubelle une fois corrigé, etc, etc

    Elles s'élèvent déjà d'ailleurs...
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • C'est sûr qu'un système de contrôle des connaissances sous forme de QCM suffirait pour évaluer une bonne partie des élèves (du CP jusqu'en L1 ou L2), au sens où il suffirait pour distinguer ceux qui ont compris de ceux qui n'ont pas compris. Mais si la plus grande partie des évaluations est sous cette forme, il y aura encore moins d'élèves qui seront motivés pour apprendre à rédiger, et donc de moins en moins de mathématiciens dans le futur.

    By the way, voici le premier paragraphe du précédent message de christophe chalons traduit par Google:
    to JLT is a slow evolution but a whole movement, one of the arguments from the increase being the evolution of what we read in a copy medium as the years pass. There are fewer hypocrites who pretend to take seriously the fact that we should "correct" or "tag " errors (most of them being produced by that symbol of abuse thrown at random ).

    Pas pire mais pas mieux qu'un élève moyen de quatrième muni d'un dictionnaire, mais probablement déjà utile pour 25% des français.
  • oups, mais tu fais l'hypothèse que "informatisation => QCM". Ce n'était pas mon alerte du tout. Dans le post initial, j'entendais craindre (ou me féliciter de?) l'existence avec le progrès de logiciels conviviaux vérifieurs de preuves et interagissant avec le testé de diverses manières.

    Dans ce cas "vilipender les QCM" devient hors-sujet. Par ailleurs la totalité des maths enseignées dans le secondaire étant non seulement formelles mais "facilement formelles", sauf si le progrès informatique n'est pas suffisant, il n'y aurait pas vraiment d'argument en termes d'évaluations des gens pour aller contre. Seule la partie coaching pourrait rester comme revendiquée améliorée par la contact humain. Mais justement le crash actuel de l'enseignement dans le secondaire ne laisse pas bcp d'arguments pour défendre cette deuxième option et comme je l'ai dit, la communauté enseignante attache aussi la corde pour se faire pendre avec ses discours à la mords moi le noeud simplifiés sur "comment acquérir les maths".
    En gros, "on est un peu cernés" et un peu échec et mat par notre propre faute.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • JLT:

    What is a "copy medium" ?

    Qu'un élève de quatrième ne sache pas placer l'adjectif avant le nom, c'est possible (mais beaucoup savent faire). Mais qu'on appelle ce texte de la "traduction" me choque, moi qui ai des difficultés avec l'anglais.

    Cordialement.

    NB : J'adore faire traduire "les poules du couvent couvent".
  • Je parle tellement mal anglais qu'elle me parait "normale" (mais j'y comprends rien). Tu parles donc pas si mal l'anglais si elle arrive à te choquer, c'est que tu "sens" quelque chose.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • J'ai bien compris que informatisation n'implique pas QCM, mais je réagissais à la phrase
    Il y a de moins en moins d'hypocrites qui font semblant de prendre au sérieux le fait qu'il faille "corriger" ou "annoter" les erreurs (la plupart d'entre elles n'étant produites que par abus du symbole jeté au hasard) (..) [des voix s'élèvent] pour dire
    qu'avec l'interaction élève-logiciel on a tout à gagner

    qui se réfère au présent et non à une utopie future. Avec les moyens technologiques actuels, je ne vois rien de mieux que le QCM, mais peut-être que je me trompe.

    Cela dit, je ne suis pas contre le principe de faire des QCM, à condition que ceux-ci ne constituent qu'une partie mineure de l'évaluation.
  • Christophe,

    "a copy medium" est un moyen de copiage ou une moyenne de copie, conformément à l'habitude anglaise de mettre le substantif à la fin : "green card" contre "carte verte". Les auteurs d'Astérix se sont amusés à faire cette inversion pour obtenir un effet comique dans "Astérix chez les Bretons" :"Quelle force ! Elle vous vient de la magique potion ?"

    Cordialement.
  • merci Gérard.

    à JLT c'est vrai qu'actuellement, on a surtout plus ou moins des QCM automatisés comme outils répandus dans les écoles, (geogebra et quelques autres outils exceptés)
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Ok c'est très sympa (tu) mais pourriez-vous répondre à mes questions ??? ;)
    http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?2,127085,657260#msg-657260
  • Bonsoir Cl@r@.

    Il n'est pas étonnant que le débat ait dérivé. Tes questions sont mal rédigées (un prof qui n'écrit pas français, ce n'est pas un prof), elles ont un air d'innocence qui fait que tu sembles avoir 12 ans donc tu as 10 ans pour te renseigner, et la demande " je voudrais aussi QUE des reponses de prof " n'a pas de sens sur un forum : Comment pourrais-tu vérifier que c'est bien un prof qui te répond ?

    Donc renseigne-toi déjà sur l'accès au métier de prof (CIO, ONISEP, ...). Et après, reviens éventuellement poser des questions précises en donnant le contexte (pourquoi tu poses ces questions sur un forum de maths, par exemple; quel âge tu as et est-ce une idée en l'air ou une volonté profonde, etc.).

    Cordialement.
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