P!=NP ?

Vu sur linuxfr: http://linuxfr.org/~ftrahay/30036.html

Un chercheur chez HP annonce avoir prouvé que P!=NP

http://www.scribd.com/doc/35539144/pnp12pt

Réponses

  • Il semblerait que le résultat annoncé soit P $\neq$ NP

    Ce qui ne m'empêchera pas de planter mes salades.

    amicalement

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • C'est un chercheur tout à fait sérieux en tout cas, spécialiste du sujet. Pour l'instant les autres spécialistes se mettent à regarder tel ou tel point précis pour voir si les écueils de base ont étés évités http://rjlipton.wordpress.com/2010/08/08/a-proof-that-p-is-not-equal-to-np/ Pour l'instant rien n'est sûr, mais d'ici une semaine ou deux on devrait être fixés. L'auteur a mis en ligne aujourd'hui une version avec des changements "mineurs" http://www.hpl.hp.com/personal/Vinay_Deolalikar/Papers/pnp_updated.pdf A suivre...
  • Si vraiment il a raison je trouve ça dommage : j'eusse grandement préféré que ces deux classes coïncidassent, c'eût été nettement plus esthétique à mon sens (et trois verbes au subjonctif imparfait dans la même phrase, vlan !).
  • Le premier et le dernier ne sont pas du subjonctif imparfait mais du conditionnel passé deuxième forme.
  • Oui, Guego et donc ce sont les auxiliaires (qui sont aussi des verbes !) qui sont au subjonctif imparfait.
  • j'eusse préféré : préférer, conditionnel passé (forme littéraire).
    (subjonctif imparfait : (que) je préférasse).

    que ces deux classes coïncidassent : subjonctif imparfait.

    c'eût été : conditionnel passé (forme littéraire).
    (subjonctif imparfait : (que) ce fût).
  • Je suis bien d'accord ! J'aurais peut-être dû dire que le subjonctif imparfait était présent trois fois dans ma phrase (une fois pour le verbe "coïncider", et deux fois pour l'auxiliaire "avoir").
  • comprends pas .. pas grave :)
  • C'est pourtant simple : le conditionnel passé deuxième forme d'un verbe donné se forme en conjuguant l'auxiliaire (avoir ou être) au subjonctif imparfait et en lui adjoignant le participe passé dudit verbe.
  • ah oui ! Je ne m'étais jamais rendu compte qu'il se construisait ainsi ! ... Mieux vaut tard ...
  • Jeune que je suis, j'ai l'impression de vivre l'effervescence qu'on a pu connaître lors de l'annonce de la preuve du théorème de Wiles ou de la conjecture de Poincaré (théorème de Perelman ? :) ).
  • Il n'empêche que si la preuve est correcte, ce sera le deuxième problème de l'institut Clay résolu avant l'hypothèse de Riemann, dont l'énoncé est pourtant nettement plus accessible et pour laquelle on dispose de nombreuses approches...C'est assez piquant tout de même !
  • Jeune que je suis, j'ai l'impression de vivre l'effervescence qu'on a pu connaître lors de l'annonce de la preuve du théorème de Wiles ou de la conjecture de Poincaré (théorème de Perelman ? ).

    De quelle efferevescence parles-tu?? De la subite empoignade de GG et Sylvain sur l'imparfait du subjonctif (en tout cas bravo pour la tentative, Sylvain... :D)

    Concernant le résultat, j'espère qu'il sera traduit en français, j'ai parcouru le résumé anglais, bof bof, je ne capte pas grand-chose malgré la présence d'un "synopsis".

    C'est un peu dommage cette "compétition" qui conduit certains chercheurs à ne pas simplifier avant publication (je comprends la nécessité de la prise de date évidememnt), mais maintenant, on va devoir rester en haleine, le temps qu'un texte qui tienne la route soit présenté au public.

    Pour Wiles et Poincaré encore, je peux comprendre que ça n'ait pas été fait (vue la nature calculatoire des énoncés), mais là, loool y a intérêt à ce qu'il y ait un vrai synopsis peaufiné qui soit construit pour le reste des spectateurs!!!! :X
  • Je profite de l'intervention de Christophe pour poser une question en rapport avec ce problème P vs NP. Si j'ai bien compris, le résultat annoncé (P différent de NP) signifie qu'il existe un problème NP-complet dont la solution ne peut-être trouvée à l'aide d'un algorithme en temps polynomial. Mais a priori, est-il possible que cette solution soit trouvée* en temps polynomial par un processus non algorithmique ?

    *quand je dis "trouvée", je veux dire "pas retenue parmi une liste pré-existante de solutions possibles".
  • en fait, c'est "il existe une classe NP de problèmes " pas "un" problème (c'est un abus de langage usuel)

    Bin pour te répondre "oui": par exemple, si on admet un nombre infini d'états pour les machines de Turing, on peut même construire un automate fini qui résout tout (classe de) problème en temps linéaire :D

    Mais toute la question est: "est-ce honnête?"
  • Je ne vois pas en quoi ce serait malhonnête mais merci pour ta réponse. En fait cette question m'est venue à l'esprit sous la douche (comme souvent) : j'ai repensé à l'idée de Penrose comme quoi la conscience ferait appel à des processus non algorithmiques, et je me suis dit qu'il devait exister des problèmes solubles par un humain (être doté de conscience, même s'il peut parfois paraître légitime d'en douter...) mais intrinsèquement insolubles par un ordinateur (ou par une machine de Turing).

    Si on démontrait l'existence de tels problèmes, on démontrerait du même coup la proposition de Penrose non ?
  • oui, mais Penrose (ce qui n'entache pas son incroyable inspiration et son investissement, je lui dois presque tout d'ailleurs en ce qui concerne la MQ) s'est trompé dans son approche du problème.

    En fait, précisément, il nie la thèse de Church et a plus ou moins prétendu expliquer pourquoi dans "les ombres de l'esprit" (livre que je recommande à tous).

    Il a le mérite d'être clair et d'entrer dans les détails.

    Mais il postule (ça fait partie de ses axiomes) qu'il y a un ensemble E de vérités mathématiques sûres auquel le cerveau humain a ou aura accès au bout d'un certain temps, ensemble d'énoncés qui ne serait pas récursivement énumérable (par le théorème de Godel).

    C'est vrai que son H==>sa conclusion est correct, mais hélas, nonH. (Alors qu'il croit à H et croit ça partagé même par les spécialistes au fond d'eux.

    En fait, l'enseignement qu'a initié le th de godel est en gros très simple: il y a des degrés de certitudes. Par exemple la consistance de Peano est "un peu moins sûr" que l'infinité des nb premiers, etc, etc. Quanf on approche de la consistance de ZF, on est déjà en terrain nettement moins sûr, etc, etc. C'est très "continu".

    Penrose nie ça farouchement! Il s'est construit une sorte de foi platonicienne qui va jusqu'à "fixer" le E ci-dessus (et en croyant à son E, évidemment, il le croit non récursivement énumérable, mais ça c'est pas le côté "dur" de la découverte de Godel)

    Comme il connait bien la MQ, il cherche d'ailleurs dans plusieurs directions et voudrait aussi trouver dans la MQ de quoi peut-être "expliquer E", du moins son accessibilité à l'humain en même temps que sa non rec enumérabilité.

    Il est allé jusqu'à enquêter auprès des biologistes pour trouver les "microtubules" des petits constituants du cerveau qui seraient quantiques.

    Mais encore une fois, sa position de "foi" (de très grande conviction du moins) le conduit à des erreurs inévitables quand on "veut" absolument quelque chose. En MQ, par exemple, il a décidé de nier les MP et du coup est entrain de se taper la tête contre les murs. Mais il se la tape tellement bien qu'il a proposé une expérience, presque simple, dont il pronostique un résultat contraire à ce que la MQ prévoit, dans laquelle la gravité "réduit" la fonction d'onde (selon l'expression consacrée). Ca aura le mérite d'être tranchée probablement dans un avenir pas si lointain.

    C'est un homme remarquable car pour partager tout ça, il n'est pas avare de son temps et de ses efforts: il a écrit trois livres inoubliables où il essaie de tout reprendre à la base pour soumettre ses arguments jusqu'à l'homme de la rue. Je te recommande ces trois livres: "l'ordinateur, l'esprit et les lois de la physique" repris presque entièrement par "les ombres de l'esprit" et son dernier (que j'ai, le seul) "les lois de l'univers".

    Pour te répondre, sinon, ce serait malhonnête car ça déplacerait le problème: un nombre infini d'états, est un ensemble quelconque d'états acceptants, autant dire que c'est donner gratuitement une solution à chaque problème. C'est déjà pas mal et notable d'avoir ce protocole turinguien très simple (un nombre fini d'états et de transitions) qui va si loin que personne n'a ne serait-ce qu'égratigner la thèse de Church à ce jour.
  • \begin{itemize}
    \item synoptique générale de l'idée globale : on prend $N=1$ et $P=0$,
    \item preuve détaillée : $1\times 0=0$ donc $P\neq NP$.
    \end{itemize}

    Ah, au fait le million de dollars, je le donne à G.P.

    S
  • Bonjour à tous,
    Je profite de ce fil et des interventions de Sylvain et ccnc pour poser une question qui me préoccupe depuis longtemps à propos de P=NP.

    Quelqu'un connait-il des exemples de phénomènes naturels - ou de dispositifs physiques artificiels - dont les évolutions ne peuvent être prédites que par la résolution de problème NP-Complet (typiquement je pense par exemple à un phénomène ayant un état initial instable qui évoluerait vers un état stable tel que ce dernier nécessite la résolution d'un problème NPC pour être prédit à l'avance).

    Le cas échéant peut-on considérer que ces phénomènes/dispositifs "résolvent" des problèmes NPC ?
    Dans quelle mesure des phénomènes continus peuvent-ils être discrétisés et pris en compte comme exemples de phénomènes résolvant des problèmes NPC ?

    Quels temps (exponentiel, polynomial?) prennent ces phénomènes pour parvenir à l'état prédit en fonction de l'état initial?

    Si vous ne savez pas, sauriez vous où trouver des informations sur ce sujet? (J'ai lu l'Esprit, l'ordinateur et les lois de la physique de Roger Penrose)

    PS: ne me répondez pas "un exemple de dispositifs physique est un écran affichant les solutions d'un problème NPC résolu par ordinateur . La prédiction de l'évolution de l'affichage de l'écran est un problème NPC". Seuls les dispositifs ne pouvant pas être ramenés de manière évidente à une machine de Turing ont un intêret.
  • GG écrivait:
    > ah oui ! Je ne m'étais jamais rendu compte qu'il
    > se construisait ainsi ! ... Mieux vaut tard ...

    Eh oui : en français, au sein d'un mode, les temps composés font système avec les temps simples. C'est bien pourquoi il est absurde de bannir de l'école primaire l'étude du futur antérieur et du passé antérieur par exemple, alors que ce n'est pas plus difficile que le futur simple et du passé simple (de l'auxiliaire).

    Jean-Yves Degos
  • je crois que du savon répandu sur une toile d'araignée (artificielle et métallique) par exemple, ça marche, ça minimise une contrainte alors que le réussir sur le papier est NP complet (pas totalement sûr, mais il me semble que ça a été souvent affirmé)
  • T'as pas un article sur les mondes parallèles, viable, à sortir sinon que ces trucs que j'y comprends rien ?
    pardon de donner des leçons.
    S
  • Bin le problème sur les algorithmes quantiques (l'utilisation des mondes multiples si tu préfères) c'est que ceux connus (en tout cas de moi) ne résolvent pas des problèmes NP complets (en fait, le seul que je connaisse factorise les entiers et même si on ne sait pas le faire polynomialement de manière classiques, il n'est pas prouvé que c'est un problème non polynomial)

    Tape "Shor informatique quantique" sur google

    Quant aux autres magies quantiques, elles font carrément des trucs prouvés impossibles classiquement: les plus parlant sont l'algorithme de LovGrover et celui de D.Deutsch

    Celui de Grover trouve un nombre compris entre 1 et n en posant racine carrée de n questions en moyenne (les questions sont obligées d'être de la forme "est-ce que c'est x?") (tape quantique Lov Grover sur google)

    Celui de Deustch réussit à savoir si une fonction f à valeurs dans 2 est constante ou (on dit qu'elle est équilibrée) est telle que 0 a autant d'antécédents que 1 en ne calculant qu'une seule valeur (ie la "machinequantique" choisit un élément x et demande à la boite noire combien vaut f(x), puis donne sa réponse. Elle ne se trompe que si on lui ment à propos de f(x), ou si f n'est ni constante ni équilibrée

    Je soupçonne par ailleurs que le principe deFermat (qui était un axiome et a été élucidé par la MQ) doit contenir des instances NP complète. (ie on s'amuse à dessiner plein de milieux différents, avec tout plein de vitesse de la lumière différentes pour chacun et faut trouver le chemin le plus rapide)

    La façon dont s'y prennent les machines quantiques ci-dessus est descriptible d'une manière assez brutle et formelle: elles donnent l'illusion de ne poser qu'une seule question, mais elles en posent en fait suffisamment pour résoudre le problème en les répartissant dans les tranches du multimonde voisines.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • je suis entrain de lire Univers parallèles de T.Lepeltier plus ou moins en même temps que Les métamorphoses du calcul de G.Dowek

    -> Les mondes parallèles : merci pour les idées dans l'histoire de tout cela (à voir la suite)
    -> Les métamorphoses du calcul : je comprends pas les noeuds à la tête des nattes qu'ils se font à la tête. Je suis très con, je comprends pas en quoi l'égalité par définition les aide.

    Pour se la péter en société, ou draguer en boîtes, en l'état, je dis : pourquoi pas ?

    S
  • Je suis septique, puisqu'on a atteint les limites de l'intelligence !

    Marie
  • Les métamorphoses septiques alors ?

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • Visiblement ça semble sentir le sapin : voir la critique de la preuve
  • eeeuuu vous palez en langage crypté là!

    Alors elle marcherait pas la preuve en question c'est ça???
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • D'après le lien, Neil Immerman (one of the world’s experts on Finite Model Theory) semble émettre deux sérieuses réserves.
  • Bonjour chat d'eau

    ben je crois que le problème est que tout système qui "calcule" peut justement se ramener a une machine de Turing. (d'apres la thèse de Church Turing). Donc si tu trouves un système physique qui peut calculer ce qui ne l'est pas par une MT alors tu auras démontré que la thèse de Church est fausse... Donc je pense qu'on ne pourra pas te donner l'exemple que tu demandes.

    Sinon j'ai lu un très bon livre sur ces différentes notions (rapport entre système physique et MT) qui est : "La métamorphose du calcul" de Gilles Doweck.

    [Alonzo Church (1903-1995) et Alan Turing (1912-1954) méritent tous deux leurs majuscules. AD]
  • Merci pour l'information, bon bin, je ne dis même pas snif, parce quelque part, ça me plait de garder un espoir que P=NP (et même = PSPACE) éventuellement.

    De toute façon, j'avais parcouru le synopsis, et je trouvais étonnant d'appeler à la rescousse autant de chapitres, dont des probabilités je crois?

    Je ne prétends pas qu'il ne faut pas y faire appel pour trouver, mais je pense que le gars qui aurait trouvé après y avoir fait appel aurait presque immédiatement vue la nature du problème***ensuite la possibilité d'isoler le point clé purement "logique ou abstrait" et donc la version publiée ferait apparaitre une ligne de ce type (même si je sais que les gens se dépècheront de publier)

    *** très général, hypergénéral même pourrait-on dire, il ne s'agit pas d'un énoncé extrémement pointu (de typ Fermat and co), et donc un progrès juste "de maths" ne me parait pas vraiment pouvoir permettre de prouver P$\neq $NP. Je pense que toute preuve (mais je peux complètement me tromper) nécessitera un argument (j'entends par là un lemme encore plus général que l'énoncé lui-même, du genre "invention du raisonnement par récurrence", etc) vraiment général
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Pour revenir au su sujet initial, Wikipedia cite un wiki de mathématiciens qui a trouvé des "erreurs irréprables" dans le papier.

    Il semble que le million de dollars soit encore disponible.
  • J'ai demandé à un ami logicien qui suit le dossier où ça en était.

    Réponse : "La preuve a été entièrement démontée. Mais depuis, le mec a dit "j'ai tout patché et envoyé à un journal". Du coup, on sait pas où ça en est."
  • bonjour

    je vois que le sujet N =? NP intéresse pas mal de gens mais une question m'intrigue (je pense que ça va dans le sens de l'idée de chalons, mais je n'en suis pas sûr), si l'on prouve P=NP est ce pour autant que l'on aura une méthode pour trouver une méthode(un algo) pour résoudre tous les problèmes NP en temps P car sans cela qu'elle sera l'intérêt d'une telle découverte.

    Deuxièmement, une deuxième question me vient sur l'algo de Deutsch ,
    il renvoit f est constante ou équilibrée certes mais sur un ensemble au plus infini dénombrable
    car le calcul se fait un nombre infini dénombrable de mondes, je crois. L'algo de Deutsch appliqué à la fonction
    f(x)=x sur R\Q et f(x)=2 sur Q ressortirait f constante ou équilibrée(notamment à cause de l'espace fini qui empêche à un ordi(même quantique) de gérer l'ensemble des nombres de R/Q ). .

    Bien à vous.
  • Selon la source Wikipédia :
    1.Très schématiquement, il s'agit de déterminer si le fait de pouvoir vérifier rapidement
    une solution à un problème, implique de pouvoir la trouver rapidement ; ou encore, si ce
    que nous pouvons trouver rapidement lorsque nous avons de la chance, peut être trouvé
    aussi vite par un calcul intelligent.

    Selon moi et sur une analyse conceptuelle épistémologique rapide, brouillon, et diffuse, orthographiquement pareil:

    oui il faut pouvoir la trouver rapidement parce que sinon ca perd en valeur et pertinence.(réflexion-réfraction),
    ca se diffuse et demande des moyens. La conservation d energie dans un referentiel inertiel, non inertiel (non biologique)
    est selon moi une petite partie de la stucture de la theorie.

    Temps la quantité ne peut faire la qualité, dans le sens ou on ne peut reproduire la qualité en quantité,
    les 2 ayants des valeurs differentes. Si c est trop rapidement ca s apparente a de la chance.(perception fines)
    le caclul est pas seulement mathématique mais biologique, cerebral, spatial, mecanique et ondulatoire.

    Un champ de lumiere porte et traverse l information meme si on est pas la pour le voir,
    "il y a les lieux connus qui ont plus besoin de lumiere pour etre distingués, perceptible
    " il s agit d un phénomene de repetitions, de connaissances passé des lieux et de matiere-energie qui se dissipe,
    le rapide est tres contrasté tandis tandis que le lent est moins pertinent car le contrastes affaiblit.

    Tout depend de la nature du probleme a pouvoir resoudre, la cause, la fonction, il y a les problemes visibles d'autres
    distinctif, sensoriel.

    Un probleme est pas que visuel, et possede differente dimensions d ondes.

    l oeil qui amene directement a la lumiere
    le gout qui amene qu a nous.
    l ouie qui fonctionne sur des frequence de courte distance et vitesse de deplacement
    l odorat qui permet de sentir sur de tres courtes distances, des vitesses encore plus lente
    besoin de vent.

    Ne vont interesser ses valeurs que ceux qui sont en mesure de les recevoirs

    Plus le probleme se dissipe de son rayon d action, engendre un transfert, une trainee,
    qui s eloigne d 1 seul point de l obsevateur. ca depend quelle energie possede, degage et engendre
    le probleme .

    Je resoud pas le probleme meme si celui ci est factuellement possible.

    Un probleme peut etre premedité, et donc en preparation et activé dans le futur,
    dans ces cas il offre une perception plus grande, un meilleur contraste, emprunte.

    En fait tout depend de la complexité du probleme. ou encore un probleme doit se resoudre dans une frequence similaire.
    (on ne peut "biolologiquement organiquement" utiliser et lire un disque dur sans ses autres composants.)

    1.on ne peut pas doper physiquement la machine musculairement ou mentalement.
    2. la machine ne repond pas a la volonté de notre organisme

    Un probleme c est une manoeuvre qui a une origine, c est une infraction, effraction, cumulation, detournement, dereglement, defaillance etc
    Un probleme s enrichit et un probleme qui se condense qui possede son propre facteur de resolution.

    C est presque aussi difficile que de vouloir observer notre systeme solaire
    en entier, a l oeil nu, deja parce que le ciel est bleu une bonne partie du temps.
    empechant une visualisation en tout points de l espace, sans compter les elements
    nuageux, ou encore les lumieres des villes. et connaitre son fonctionnement general.

    Il me semble qu on rentre et interagit dans des domaines de l ordre du photon, neutron..

    le temps c est de la quantité,

    un probleme peut avoir (initier, generer) et croiser differentes formes d interactions,

    avec celui qui recherche la cause "premeditation" ou travail organisé,
    ou par hasard de circonstance: de type perimetrique, "echographique", mais
    sans memoire de reconnaissance du fait de cette fonction "hasardeuse",
    celui ci est comme programmé dans 1 disque sans pouvoir restituer l information.

    le probleme envoie un signal "electrique" et vibratoire qui se deploie par le mecanisme physique ,

    et en théorie seul le signal peut resoudre le probleme.

    c est comme un probleme plus il reste longtemps sur place plus
    il obtient une charge de condensation, une empreinte, perceptibilité,
    c est la duree, un probleme etant un arret. (c est sa resolution)

    Un probleme qui ne pourrait etre resolu ou percu ne passe pas pour un probleme.

    un probleme peut etre vu, imaginé, prévu, estimé, en direct,
    un probleme etant souvent sous jacent, il est a l etat passif.
    un probleme genere une radiation.

    Le resultat est peut etre mathématique, mais il me semble qu ca s apparente
    plus a de la physique, biologie, chimie, que de maths pur. P=NP pourtant c est court et concentré comme
    equation :)
  • Une magnifique preuve de rien à partir de rien.
    Une annonce Clay tu dis? Alors laise moi quand même rigoler un bon coup.
    Mais tant qu'à rigoler, pourquoi ne pas s'instruire un petit peu.


    j'ai noté cependant à la minute 50 une énorme anerie sur les hypothèses de Riemann:
    "there are no hidden patterns in prime numbers"

    Amitiés.
  • Philosophiquement et brièvement parlant:

    La météorologie est une preuve de cette courte distance de prévision nécessaire du au mouvement,
    si on ne la trouve pas rapidement, il est impossible d avoir la bonne solution.
    A cela on reste dans 1 marge restreinte de possibilités.

    on sait que l on va avoir un problème. Et en fait avec p=np on aimerait arriver à faire et trouver
    les 365 jours du probleme en une fois. Pour connaitre l heure de son arrivée,
    ca c apparente à de la genetique. Dans cette formule biologique, la résolution du problème
    ou de la maladie n est donc pas de la chance mais c est trouvable par un calcul intelligent.
  • La conservation de l'énergie sur wiki et selon moi roublarde, leur exemple de chute de la balle est pas juste et me semble
    complètement erronée. J aimerai bien voir ca a l infini, ce qu ils disent est pas juste dans leur exemple de la chute d une balle !

    La balle il faut la monter ! et le fait de monter la balle utilise de l energie, ne fait pas conserver l energie depensée
    et utilisée pour pouvoir la redescendre, bien au contraire ! ca ne marche donc pas tel qu ils le décrivent.
    Car si on conserve l energie en montant une balle, je veux bien la faire tomber seul tous les jours !

    L'energie est depossédée elle est pas conservée dans leur exemple.
Connectez-vous ou Inscrivez-vous pour répondre.