Etudes Mathèmatiques

Certaines personnes ici présent sur ce forum pourrait-elles m'aiguiller...

Je suis actuellement en maths SUP (TSI).
rappel: les taupins TSI son des bacheliers technologiques.

Il est certain que le programme de cette fillière est un bon niveau en dessous de celui de MP (* ou pas) ainsi que des autres prépas à bases scientifiques.

Le temps m'a donné goût au mathèmatiques, ainsi je souhaiterai continuer dans cette branche, le problème étant que ma filière forment des technologues et non des vrais matheux!

Voilà pourquoi je demande conseil:
- Que faire? une 2éme année puis direction licence? en quelle année? mon cursus me le permettra-t-il? Certains ici ont peut-être eu le meme problème...

Merci de me répondre...

Réponses

  • Ne dévalorise pas ta formation ! D'ailleurs, aucune filière de classe prépa ne forme des 'vrais matheux', elles les préparent à des concours ! Les facs non plus, vu que les bons en maths sont ailleurs ! D'ailleurs, je ne sais pas ce qu'est un vrai matheux.
    Pour la licence, renseigne toi au lycée, mais aussi à la fac de sciences la plus proche (même si ton lycée te dit le contraire, il y a peu de chances que la licence de maths d'à côté puisse se permettre de refuser un élève de niveau moyen de classe prépa).
    Expérience vécue: Il y a quelques années, la licence de maths de Jean Monnet à St Etienne a pris tous les candidats d'une prépa de Fauriel (St Etienne) qui avaient tous un refus d'orientation en licence de leur conseil de classe !
    D'autres passent un concours en fin de première année, pour justifier une réussite et inégrer une 2ème année de DEUG.
  • Si tu as le courage, passe un DEUG de math en candidats libres pendant ta spé. Tu seras sûr de pouvoir entrer en licence (certaines facs sont unpeu tatillonnes pour les équivalences) et il est vraisemblable que le préparer ne te demandera pas beaucoup de travail vu le niveau que tu auras après ta spé).
  • Bonjour,

    "Les facs non plus, vu que les bons en maths sont ailleurs !"

    Merci...

    Paul
  • Désolé, Paul, si je t'ai choqué, mais c'est la réalité statistique ! Plus précisément, l'essentiel des bons en maths de TS passent en prépa, en médecine, en école d'ingénieur post bac (genre INSA), etc.
    Alors, quand un bon en maths passe en DEUG, au lieu de se trouver affronté à d'autres bons en maths, il suit une formation de niveau général assez moyen.
    Voilà pourquoi la plupart des matheux de France passent par des prépas, qui ne sont pas faites pour ça (sauf les ENS, évidemment, mais ça concerne les très forts).

    Je suis d'une génération ancienne, les prépas étaient peu nombreuses, le niveau des facs bien plus costaud. J'ai passé l'agreg sans rien y comprendre, car le programme d'algèbre de fac était trop léger. J'ai depuis repris, 20 ans après ces programmes d'algèbre sans difficultés pour l'agreg interne, donc ce n'était pas mon niveau qui était faible. Mais dans le système actuel, les étudiants à mention qui étaient autour de moi en 1968 n'auraient pas fait la fac.
  • ah, c'est la collection automne hiver 2004 : mathèmatiques avec un accent grave ...


    (après la collection printemps été 2004 - mathmatiques par Benoît Mandelbrot, la collection automne hiver 2003 - mataimatic par Fredj...)
  • Que celui qui n'a jamais tapé une faute d'ortogaphe lui jette la première pierre !
    (J'ai tiré mon 'ortogaphe' d'une fiche de critères de notation : 'qualité du français et de l'ortogaphe ', que j'ai maintes fois utilisée sans voir !)
  • c'est juste pour rire deux secondes. On fait tous des fautes, moi le premier.

    (mais ne pas oublier qu'une orthographe correcte est une des meilleures marques de respect de l'autre et que lorsque l'on fait des maths il est tout aussi important de bien écrire que d'être bon en maths)

    (et d'être bon en anglais par dessus le marché...)
  • GERARD,

    Je suis d'accord avec vous. Tout fou le camp. J'ai chez moi des manuel scolaire de terminale C de 1986. Hé bien le niveau et le contenu des programmes étaient beaucoup plus élevé que ce que l'on faisait en 1993 lorsque j'ai passé mon bachot.
  • Et t'as pas vu ceux de 1973... :-)
  • Gilles,

    Tu as le programmes de 1973 ? Qu'est -ce qu'il y avait en plus qu'en 1986 ? Ca m’intéresse.

    Ce qui m’intéresse également c'est le programme du bachot maths elem (ancien bac C). A l’époque (je ne sais même pas quand) il n'y avait que 3 bacs: maths elem, science exp et philo.
  • Ci-joint les premières page du tome 2 du manuel de Term C et E. Je n'ai pas plus d'info (par rapport au tome 1), mais c'était plus costaud qu'en 86 (j'ai aussi des manuels de cette époque)
    BO.zip 654.7K
  • Gilles,

    Où ca, ci-joint ? T'as oublié d'attacher ta piece...
  • Ha non, pardon, je l'ai trouvé elle est là.
  • Visiblement elle est endommagé.
    Je recommence
    BO.zip 654.7K
  • <!--latex-->Mince toujours pareil !
    <BR>Voir sur <a href=" http://auriolg3.free.fr/BO.zip"&gt; http://auriolg3.free.fr/BO.zip</a>.<BR&gt;
  • Bonsoir,

    Ne t'inquiète pas, Gérard, je ne suis pas choqué ;-)
    Il est vrai que le niveau exigé en DEUG MIAS n'est pas très élevé, comparé à celui d'une MP (même pas *)... Par contre, l'arrivée en Licence (euh, en 3ème année de Licence, maintenant) des prépas relèvent le niveau!

    A quelqu'un qui veut faire des amths de bon niveau, je conseille, s'il peut le faire, de faire une sup', voire une spé, et d'intégrer ensuite la fac. Le niveau de la licence (3ème année) et de la maîtrise (master 1ère année) est, à ma connaissance, bon, voire plus. Je viens de Rennes, où le niveau est me semble-t-il très bon. Et personnellement, j'ai plus appris en DEUG 2ème année qu'en sup MPSI, c'est une question de motivation.

    Amicalement,

    Paul
  • Gilles, t'as premiere piece jointe était OK. Il n'y a qu'un seul tome mais les images sont OK. Où est le probleme?
  • Il se passe que lorsque je télécharge les PJ je ne peux pas les relire ! Sur mon ftp ça marche. Enfin bon, ça arrive souvent ce genre de problème avec les pj du forum.
  • Attention par contre, il ne faut pas penser qu'en quittant un CPGE pour la fac ça va llé tout seul.
    Je suis en DEUG MIAS 2 eme année et j'etait surpris de voir que pas mal de gens venant de classe preparatoire avez un peu de mal a s'adapter et etaient loin d'etre ceux qui avaient les meilleurs resultats.
    De plus dans la plupart des cas ceux qui "debarquaient" en milieu de premiere année avait tendance a se ramasser aux partiels de janvier.
    D'une part parce que la maniere de travailler n'est pas la meme et d'autre part il ne faut pas oublier que ces eleves se retrouvaient avec des matiere informatiques a fort coeff ou ils n'y connaissaient rien (Ils avaient fait uniquement du mapple en CPGE)
  • Il n'y a qu'un seul p a maple, Alex, un seul p.
  • maple désolé, je ne l'ai jamais utiliser mais je vais m'y mettre ça a l'air puissant comme outils de calcul.
  • Bonjours,
    je viens de suivre votre pseudo debat concernant le niveau des bacs et les lieux ou l'ont fait des maths et je trouve vos arguments bien contestable...

    J'ai une double experience: celle des prepas et celle de l'université (filiere maths bien sur) ... je trouve revoltant et debile que l'on puisse dire ce que vous dite concernant l'enseignement des mathematiques dans les universite ... je trouve cela malheureux car je pense que les classe prepa aux lieu de former des scientifiques humbles et efficace elle forme une majorite pretentieuese imbue de leurs positions soit disant (elite nationale) qui bien souvent se gave de formule et d'exercices indigeste et incompris (faute de temps) et qui se permet de juger l'universite de facon negative sans meme l'avoir ni frequenter ni connu sa valeur formatrice

    moi ce que j'en pense c'est que les classes prepa generaliste (MPSI MP MP*) par exemple, ne forment absolument pas a devenir un mathematicien (au sens recherche) mais plutot un bon technicien des mathematiques ... on apprend aux gens a etre efficace grace a des techniques mathematiques qui pourront etre utiliser dans leurs futur travail d'ingenieur
    donc l'objectif est non pas de comprendre pourquoi cela est ou a demontrer que ... mais a calculer que ....

    On ne devien mathematicien que lorsqu l'on acquier une methodologie de travail permettant de savoir formaliser conceptualiser et creer des notions ou des idees permettant de demontrer des faits ou calculer des objets....

    pour moi cela signifie lorsque l'on devient foncierement rigoureux (honnette intelectuellement) et visionnaire pour apprehender ou creer de nouveaux concept permettant de mieux comprendre le monde qui nous entoure ...
    et en toute sincerite c'est a l'universite qui nous apprend et nous eveille vers cela car elle apprend a devenir un scientifique chercher (contrairement aux ecole d'ingenieur qui forment des scientifiques batisseur d'un monde physique)

    et il est clair que dans un premier temps on trouve de plus brillant eleve en classe prepa qu'en DEUG mais la donne change lorsque l'on passe en lcence ou le niveau est equivalent voir parfois superieur au niveau de certaines grandes ecoles (je pense a l'universite de Provence CMI ou a Pierre & Marie Curie Paris VI ou a paris Orsay)

    donc il ne faut pas generaliser et l'universite mathematiques française n'a rien a envier ni au classe prepa ,i aux grande ecoles
  • Mauvais exemple. A Orsay, quasiment tous les élèves de licence-maîtrise viennent de prépa (je le sais, j'en viens).
  • Une bonne majorité en tout cas ! Peut-être les effectifs ont-ils légèrement changé...
    Et ce sont objectivement les élèves venant de prépa qui s'en sortent le mieux il est vrai...
  • oui c'est clair que beaucoup d'eleves en licence de math (1/3 des promos en general) viennent de classe prepa (pas forcement echec de prepa mais souvent nou reussite au concour visee tels ENS X ou Mines Pont) donc forcement vue la difficultes de ces concourt et lorsque l'on les a rate a cause d'un oral ou a un chouiia pres il es normal que l'on ai quelques facilites en licence ... mais le fond de ma pense n'est pas la , ce que je veux dire c'est que de maniere absolue l'universite apprend je pense de maniere efficace l'autonomie la modestie intelectuelle, la rigueur scientifique et la comprehension profondes des maths et a un rythme que je considere plus humains que celui des prepas...
    c'est a cela que je critique tres fortement le principe des prepas ...
    car generalement les eleves moyens de prepa sont trop imbue pour se "rabaisser a la fac" il prefere une ensi plus que moyenne que les bancs de la fac ce sont par ailleurs les plus brillants eleves des prepas qui rejoignent l'universite car ils preferent passer par une licence et maitrise pour retenter leurs coup avec les ecoles rate au niveau prepa....
    voila tout
  • "generalement les eleves moyens de prepa sont trop imbue pour se "rabaisser a la fac" il prefere une ensi plus que moyenne que les bancs de la fac " : je ne suis pas du tout d'accord. J'ai l'impression que vous oubliez que les débouchés de la prépa et de l'université ne sont pas du tout les mêmes, et que votre phrase sous-entendrait que la majorité des élèves de prépa voudraient être prof ou chercheur mais qu'ils ne le font pas pour ne pas se "rabaisser" à la fac. Je ne remets absolument pas en cause le niveau de la fac à partir de la maîtrise ( niveau auquel j'ai rejoint la fac après une ensi loin d'être "moyenne" ) mais je me suis rendu compte quand même que le niveau "moyen" des élèves de deug est inférieur au niveau "moyen" des élèves de prépa, pour moi il n'y a aucun doute la dessus. Comme l'a noté Nader il y a un gouffre entre les techniques mathématiques des deux formations ( même pour les "mauvais" élèves de prépa qui, même s'ils ne réussissent pas, accumulent une quantité de techniques sans s'en rendre compte ) mais en ce qui concerne "la rigueur scientifique et la comprehension profondes des maths", je ne vois vraiment pas du tout en quoi les élèves de deug y accèdent plus que les prépas. Après le deug, je ne dis pas, mais à ce niveau, je ne pense pas.
  • Question bête : Ou donc les élèves des ENS préparent-ils leurs licences et maîtrises pour pouvoir passer l'agregation ?


    Réponse : dans les facs ! Le problème n'est pas fac ou prépa, mais DEUG ou prépa. Et aussi qui va où. Les profs de TS le savent bien, la très grande majorité des bons élèves vont ailleurs qu'en fac. Il y a 10 ans déjà, je devais me battre pour que les terminales n'aillent pas en DUT (prétexte : il y a 90% de réussite, contre 30% en fac - Avec des élèves triés en DUT, et n'importe qui en fac, c'est impossible de comparer).

    NB : Aujourd'hui, pour un élève de niveau moyen, il vaut mieux passer en DUT pour accéder à une école d'ingénieur (de bas niveau, pas mine-pont, évidemment) qu'aller en prépa : Moins de travail et plus de chances !
  • Je trouve que c'est un faux débat. Il est évident que l'enseignement des mathématiques est plus profond en université puisqu'en prépa on ne dépasse pas le niveau début de licence et que l'on n'aborde pas des choses essentielles comme la théorie de la mesure, les probabilités, l'analyse complexe, l'analyse fonctionnelle, l'action, etc.

    exemple : demandez à un élève de prépa ce qu'est fondamentalement l'ensemble R, il sera souvent incapable de répondre puisque qu'il n'a pas été formé pour ça.

    Prenons le cas de Polytechnique : cette école recherche des calculatrices vivantes, des jeunes qui réfléchissent 5 fois plus vite que la moyenne et qui feront donc de bons décideurs. Rien à voir avec les maths. il se trouve que de bons mathématiciens sortent de là parfois, mais ce n'était pas forcément voulu.

    La vraie question, ce sont les débouchés : les capitaines d'industrie, les directeurs du cnrs, les professeurs des grandes prépas, les médailles fields sortent de prépas pour la plupart. Une personne qui sort de l'université sait qu'arrivé à un certain stade dans sa carrière il sera bloqué, pour ne pas dire ignoré. Le seul moyen de s'en sortir (lorsque l'on est ambitieux évidemment, sinon on peut ignorer mon message) est de faire un max de barouf pour se faire remarquer (la "politique" au sens le plus péjoratif fait rage dans les universités), se faire pistonner, ou s'expatrier.

    Désolé, c'est pas moi qui veut ça, c'est le système élitiste français.

    Reste que les passionnés de maths qui refusent de perdre leur temps à faire de la chimie choisissent envers et contre tout l'université et qu'heureusement il reste des gens très doués qui vont jusqu'au bout de leur conviction.

    Kashmir
  • Je ne suis pas d'accord avec toi Gérard. Actuellement, il y a plus de places aux concours des grandes écoles que de candidats. Donc la prépa est très bien pour intégrer et devenir ingénieur. Par contre, un élève de prépa doit être réaliste sur son niveau et ne pas s'inscrire qu'aux Mines, Centrale et X lorsqu'il n'a pas même le niveau pour intégrer une bonne ENSI.

    Dans la spé où je colle, et qui n'est vraiment pas une bonne spé (pour ne pas dire carrément mauvaise), l'année dernière il y avait une vingtaine d'élèves sur 25 admissibles aux ENSI ... ce qui laisse songeur quant au niveau de certaines spé où pas même pas la moitié des élèves sont admissibles à ce concours.
  • Je pense pouer ma part qu'en France il y a de nombreuses formations qui sont « perverties à l'usage », c'est-à-dire utilisées pour ce qu'elles ne sont en principe pas ...

    Les Prépas portent bien leur nom : elles préparent à des concours ! Quelqu'un qui passe SCIEMMENT par une prépa pour ensuite aller à l'Université (je mets les ENS à part) y poursuivre des études, s'il le faut jusqu'à la thèse, tombe dans ce travers ...

    Idem avec ceux qui décrochent dans un premier temps un DUT (voire un BTS) pour continuer ensuite, en école d'ingé ou autres ...

    Attention : je pense à ceux qui en ont fait une stratégie réfléchie, pas à ceux qui se rendent compte en cours de route qu'ils peuvent se permettre d'être plus ambitieux que prévu initialement.

    Pour ma part, j'ai été cohérent avec cette analyse : Bac C mention TB en 1989, je suis allé à la fac car mon objectif était de faire des maths uniquement, en allant jusqu'à l'Agrégation, voire plus si affinités...
    Résultat : malgré quelques contretemps, ma formation purement universitaire m'a permis d'avoir le CAPES du premier coup, d'être admissible à l'Agrégation externe et d'être reçu plus tard à l'interne (que j'ai préparée en réutilisant beaucoup mes cours de fac).
  • Je trouve que pour un bon élève sortant de terminal, il est préférable d'aller en prépa pour un passionné de mathématiques c'est véritablement enrichissant de suivre ces deux ans ou l'on commence véritablement à apprendre les mathématiques. Il est évident que le niveau de prépa est supérieur. Néanmoins la fac a également des avantages, il y a plus de temps pour appronfir des sujets que l' on aime. J' ai passé deux bonnes années en prépa et je suis également heureux à présent à la fac. Mais contrairement à ce que dit Nader je ne pense pas que les élèves de prépa soient plus prétentieux cette critique me semble injustifiée.
    Pour Gérard tous les élèves de l Ens ne suivent pas leur licence maitrise à la fac, je crois qu'à Lyon et Ulm ils font cela à l'école ( en un an généralement ), à Cachan cela doit être moitié moitié. Et à l' ens Rennes 2/3 fac 1/3 école
  • Bonjour ,
    Pour moi qui ait fait prépa il y a bien longtemps (il y avait encore terminale math elem ,sciences ex et philo....), je ne crois pas que ça ait beaucoup changé aujourd'hui,les élèves prétentieux sont ceux qui se servent des classes prépa pour arriver à un poste de super management où ils pourront alors sans état d'âme ,abandonner de près ou de loin toute pratique mathématique. D'accord ,je simplifie outrageusement..Mais quand même .Les vrais amateurs de maths ,s'ils nont pas pû intégrer Normale Sup,reviennent à la Fac. ,pour assouvir leur passion.
    P.S. Je n'ai pas eu ce courage,et suis devenu un vugaire ingénieur.
    Bonne journée.
    Jean-Louis.
  • A l'ENS lyon, il y a 6 ou 7 ans, la licence n'était pas faite à la fac des sciences de Lyon I, la maîtrise l'était au moins en partie.
    Par contre, la délivrance des licences et maîtrises est faite par l'université (comme celle du bac !)
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