Bonjour.
Pas Parisien stricto sensu mais Francilien. Moi qui suis le plus souvent l'actualité sur LCI, hier soir 13 novembre je ne regardais pas, j'étais chez ma fille dans le XIXème pour fêter son anniversaire, puis je suis rentré me coucher.
Ce matin au réveil je vais sur les-mathématiques.net, et c'est le message de omega ci-dessus qui me donne à penser qu'il s'est passé quelque chose.
Moi ça va. Comme tous les Français, sympathie aux victimes et à leurs proches, indignation et colère devant de tels actes monstrueux.
Depuis longtemps, les commentateurs et les spécialistes disaient : «La question n'est plus de savoir s'il y a aura un attentat en France, mais quand».
On ne peut en dire plus sur un forum de math.
F. Ch. [small]Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux. Sun Tzu[/small]
Depuis longtemps, les commentateurs et les spécialistes disaient : «La question n'est plus de savoir s'il y a aura un attentat en France, mais quand».
On ne peut en dire plus sur un forum de math.
J'en dirai un peu plus. Les modérateurs effaceront si besoin. En mathématique, on en a beaucoup parlé récemment, on est attaché au vocabulaire utilisé.
Je suis particulièrement affligé par les médias et les institutions depuis des années, voire des décennies devant le vocabulaire qu'ils emploient, participant indirectement à l'aggravation de la situation. Ces jeunes sont malades [small](c'est en plus une maladie qu'on commence à connaitre, ça commence par une recherche de reconnaissance, ça se termine, dans une proportion non négligeable, en Syrie, par égorger des gens et violer des femmes capturées)[/small].
Les qualifier d'intégristes religieux, de djihadistes, de terroristes, etc, les glorifie et n'est pas approprié. Un fléau de santé publique, ça ne se gère pas comme une flambée de violences syndicalistes. On est devant une épidémie grave et meurtrière qui touche surtout les jeunes, dans beaucoup de pays, qui n'a strictement rien à voir avec la religion contrairement aux revendications. Les épidémies, ça ne se gère pas avec des juges démocratiques et des dossiers de mise en accusation. Les contaminés (surtout que c'est assez contagieux) relèvent plus de mesures de mises en quarantaine, voire, cas extrême, d'euthanasie faute de mieux. Et par ailleurs, les premiers symptômes de la maladie doivent être pris au sérieux.
A glorifier politiquement, à lesl'honnorer de les qualifier d'ennemis dans une guerre, c'est sûr on n'est pas près d'endiguer le cancer qui est en train de s'étendre.
Donc oui, une pensée très sincère pour les victimes, mais un souhait que le vocabulaire change autant chez les médias que chez les dirigeants. Il n'y a personne à "raisonner", on ne raisonne pas un malade (j'entendais la déclaration officielle de l'Arabie Saoudite qui essaie de "raisonner" ces gens), il n'y a pas d'excuse religieuse à leur trouver (ils ne sont pas plus croyants que moi). Il y a des malades à capturer, et à soigner ou à euthanasier (ou même à exterminer si pas d'autres moyens). Que ferait-on si le vaccin contre la rage n'existait pas?
Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
Comme Christophe, j'ai appris la terrible nouvelle en me levant. Je présente bien sur toutes mes condoléances aux proches des victimes. Je veux aussi inculquer force et espoir en ces heures sombres : ça peut vous paraitre dérisoire, mais j'ai reçu une carte de remerciements de la part de l'Université Cornell suite à un don que j'ai fait pour arxiv en mémoire de RAJ, que les plus anciens du forum connaissaient. Pour moi c'est une preuve que la France et les francais ne sont pas seuls. Courage donc, on va en avoir grand besoin.
Je ne sais pas si c'est une guerre (massacrer volontairement des gens désarmés est-ce cela la guerre?) mais ceux qui ont commis cette ignominie en étaient convaincus, je n'ai pas de doute (cf. Syrie)
Ces gens sont surement dingues et lâches, ce ne sont pas des soldats mais des bouchers, des meurtriers fanatisés, mais ils n'ont pas choisi par hasard, ni par caprice de frapper la France.
La plupart des gens ne s'intéressent pas à la politique étrangère de la France, elle se rappelle à nous.
Je sais bien que les morts ne peuvent répondre FdP, mais j'espère que les vivants se manifesteront et pourront nous rassurer sur leur état. Heureuse que tu en en fasses partie, d'ailleurs, ainsi que vous tous qui avez répondu.
Moi aussi, j'ai passé une grande partie de la nuit à suivre les infos qui se succédaient, les bilans qui s'alourdissaient et vérifier si ceux que je connaissais allaient bien. Pour le coup, Facebook a été assez efficace sur le sujet.
Pour le reste, pas le courage d'entrer dans la discussion concernant ces ignominies... C'est une horreur absolue et évidemment on pense d'abord aux victimes. Ma tante m'a parlé d'un ami à elle dont le fils était au Bataclan. Il n'a pas de nouvelles et fait le tour des hôpitaux...
Sans oreilles à ces paroles
L'ombre fait le maître d'école
Devant la cuvette et le broc
Et leur dit comme un fait vulgaire
Qu'à l'aurore aujourd'hui la guerre
A levé son front de taureau
Il faut recommencer qu'on meurt
Des gens dormaient dans leurs demeures
Comme ici dort cet enfant-là
L'armoire se tait, mais la porte
Proteste: Après tout, que m'importe
Ça se passe au Guatemala
Mon fils a pris cette nuit une balle dans le genou.
Il est à l’hôpital, ses jours ne sont pas en danger.
Je pars le voir, je serai moins présent sur le forum.
Alain
Bon rétablissement à ton fils Alain.
Ici on n'est pas touchés directement, mais c'est notre ancien quartier, et c'est dur de ne pas y penser sans arrêt. Hier on est restés scotchés à la télé jusque vers 0h30 alors qu'on savait que ça ne servait à rien...
Mardi quand je vais retourner à la fac, dans Paris, j'espère ne pas apprendre qu'un de mes camarades de prépa agreg est concerné...
Bon courage, Alain, et surtout bon rétablissement à ton fils !
Très peu de mots peuvent parler de ce qui s'est passé, les horreurs de cette nuit à Paris me glacent à la fois d'effroi et de volonté d'y faire face.
Bonsoir
Je rentre de l’hôpital et tous vos messages de soutien et d'encouragement font chaud au cœur.
Mon fils Alexis a été opéré ce matin, il a plein de broches et de ferraille autour du genou.
Malgré sa présence au mauvais endroit, au mauvais moment, Il a eu beaucoup de chance, mais le rétablissement sera long ...
Merci encore pour tous vos témoignages de soutien.
Alain
Toutes mes pensées au fils d'Alain, à toutes les autres victimes et à leurs familles.
L'heure est au recueillement mais il faudra bien un jour songer à notre propre responsabilité dans cette tragédie!
[small]p[/small]appus
Bon courage Alain et très bon rétablissement à ton fils tant sur le plan physique que psychique. La chirurgie orthopédique fait des miracles aujourd'hui même si c'est parfois long pour récupérer ses facultés.
Dans cette ville lumière qui s'est offerte à mes yeux
Il y a quarante ans au printemps de ma vie,
Après en avoir parcouru, et le souvenir en est encore précis,
Toutes les rues, des boulevards et cent mille autres lieux
Sans que jamais ma mémoire s'estompe ou oublie !
Dans les souvenirs de ma jeunesse en ce lundi nuageux,
Je revois près de Saint-Germain où elle est venue en taxi,
Dans un petit café à exactement huit heures et demie,
Car j'ai regardé ma montre, ce fut un hasard heureux,
Une jeune fille dont le sourire de lumière m'a ébloui
Elle a accroché dans mon regard, cette créature amie,
Le souvenir conjoint de sa ville et de ses beaux yeux bleus,
Et il me semble encore entendre le son harmonieux
De sa voix qui se promenait dans le vent comme au paradis :
Elle a gravé dans mon esprit son parfum, une eau de Givenchy
Sa jupe à l'ourlet de dentelle bigarrée, aux tons joyeux,
Qui a flirté avec mon ciel jusqu'aux alentours de midi,
A Caressé mon âme qui en était assommée, comme étourdie
Jusqu'à ce qu'un ami impromptu à elle que je trouvai mystérieux
Vienne brusquement l'arracher à jamais à ma compagnie !
Je l'ai cherchée bien souvent dans l'année qui suivit,
Mes pas me ramenèrent sans cesse en le providentiel lieu,
Toujours, j'ai attendu que la chance à nouveau me sourit
Et que me caresse au matin son envoûtant regard bleu,
Mais son absence a fini par s'imposer en ordre impérieux
Il m'arrive de me demander paradoxalement aujourd'hui
Si ce ne fut pas plutôt un ange descendu pour moi des cieux
Qui s'est paré des diamants de l'amour jusque dans ses habits
Pour me faire croire que cette jeune fille en ce lundi joyeux
Ne pouvait ressembler qu'au mythe universel de l'éternelle Paris !
J'ai d'abord cru que le poème de Jamel5 était d'Aragon, mais non, alors bravo !
N'ayant pas la même puissance créatrice, je veux rappeler le grand nombre de chansons célébrant Paris, dont celle-ci jadis interprétée par Joséphine Baker, si chère à notre mémoire :
{Paris, Paris, Paris}
Ne me demandez pas si j'aime la grâce
Ne me demandez pas si j'aime Paris
Autant demander à un oiseau dans l'espace
S'il aime le ciel ou s'il aime son nid
Autant demander au marin qui voyage
S'il peut vivre sans la mer et le beau temps
Autant demander à une fleur sauvage
Si l'on peut vraiment se passer de printemps
Paris, Paris, Paris
C'est sur la Terre un coin de paradis
Paris, Paris, Paris
De mes amours c'est lui le favori
Mais oui, mais oui, pardi
Ce que j'en dis, on vous l'a déjà dit
Et c'est Paris qui fait la Parisienne
Bonsoir
Merci de vous inquiéter du sort d'Alexis.
La balle a réduit en miettes sa rotule et saccagé ce qu'il y a en dessous.
Il est toujours à l'hôpital, ses broches lui immobilisent le genou, il les gardera pendant trois mois, le temps que le fémur cassé se ressoude.
Quand on lui retirera les broches, les chirurgiens se prononceront sur ce qu'ils pourront faire.
On craint une jambe raide ou avec une légère flexion ...
Mais bien sûr, il est encore en vie !
Alain
Réponses
le Français moyen va mal depuis hier soir mais les footeux vont mieux
bonne journée
Pas Parisien stricto sensu mais Francilien. Moi qui suis le plus souvent l'actualité sur LCI, hier soir 13 novembre je ne regardais pas, j'étais chez ma fille dans le XIXème pour fêter son anniversaire, puis je suis rentré me coucher.
Ce matin au réveil je vais sur les-mathématiques.net, et c'est le message de omega ci-dessus qui me donne à penser qu'il s'est passé quelque chose.
Moi ça va. Comme tous les Français, sympathie aux victimes et à leurs proches, indignation et colère devant de tels actes monstrueux.
Depuis longtemps, les commentateurs et les spécialistes disaient : «La question n'est plus de savoir s'il y a aura un attentat en France, mais quand».
On ne peut en dire plus sur un forum de math.
F. Ch.
[small]Connais ton ennemi et connais-toi toi-même ; eussiez-vous cent guerres à soutenir, cent fois vous serez victorieux. Sun Tzu[/small]
Bruno
J'en dirai un peu plus. Les modérateurs effaceront si besoin. En mathématique, on en a beaucoup parlé récemment, on est attaché au vocabulaire utilisé.
Je suis particulièrement affligé par les médias et les institutions depuis des années, voire des décennies devant le vocabulaire qu'ils emploient, participant indirectement à l'aggravation de la situation. Ces jeunes sont malades [small](c'est en plus une maladie qu'on commence à connaitre, ça commence par une recherche de reconnaissance, ça se termine, dans une proportion non négligeable, en Syrie, par égorger des gens et violer des femmes capturées)[/small].
Les qualifier d'intégristes religieux, de djihadistes, de terroristes, etc, les glorifie et n'est pas approprié. Un fléau de santé publique, ça ne se gère pas comme une flambée de violences syndicalistes. On est devant une épidémie grave et meurtrière qui touche surtout les jeunes, dans beaucoup de pays, qui n'a strictement rien à voir avec la religion contrairement aux revendications. Les épidémies, ça ne se gère pas avec des juges démocratiques et des dossiers de mise en accusation. Les contaminés (surtout que c'est assez contagieux) relèvent plus de mesures de mises en quarantaine, voire, cas extrême, d'euthanasie faute de mieux. Et par ailleurs, les premiers symptômes de la maladie doivent être pris au sérieux.
A glorifier politiquement, à lesl'honnorer de les qualifier d'ennemis dans une guerre, c'est sûr on n'est pas près d'endiguer le cancer qui est en train de s'étendre.
Donc oui, une pensée très sincère pour les victimes, mais un souhait que le vocabulaire change autant chez les médias que chez les dirigeants. Il n'y a personne à "raisonner", on ne raisonne pas un malade (j'entendais la déclaration officielle de l'Arabie Saoudite qui essaie de "raisonner" ces gens), il n'y a pas d'excuse religieuse à leur trouver (ils ne sont pas plus croyants que moi). Il y a des malades à capturer, et à soigner ou à euthanasier (ou même à exterminer si pas d'autres moyens). Que ferait-on si le vaccin contre la rage n'existait pas?
Les morts ne peuvent pas te répondre.
J'ai passé une partie de la nuit à suivre l'évolution de la situation à la radio et à voir l'horreur grandir.
Je ne sais pas si c'est une guerre (massacrer volontairement des gens désarmés est-ce cela la guerre?) mais ceux qui ont commis cette ignominie en étaient convaincus, je n'ai pas de doute (cf. Syrie)
Ces gens sont surement dingues et lâches, ce ne sont pas des soldats mais des bouchers, des meurtriers fanatisés, mais ils n'ont pas choisi par hasard, ni par caprice de frapper la France.
La plupart des gens ne s'intéressent pas à la politique étrangère de la France, elle se rappelle à nous.
Je sais bien que les morts ne peuvent répondre FdP, mais j'espère que les vivants se manifesteront et pourront nous rassurer sur leur état. Heureuse que tu en en fasses partie, d'ailleurs, ainsi que vous tous qui avez répondu.
Moi aussi, j'ai passé une grande partie de la nuit à suivre les infos qui se succédaient, les bilans qui s'alourdissaient et vérifier si ceux que je connaissais allaient bien. Pour le coup, Facebook a été assez efficace sur le sujet.
Pour le reste, pas le courage d'entrer dans la discussion concernant ces ignominies... C'est une horreur absolue et évidemment on pense d'abord aux victimes. Ma tante m'a parlé d'un ami à elle dont le fils était au Bataclan. Il n'a pas de nouvelles et fait le tour des hôpitaux...
Sans oreilles à ces paroles
L'ombre fait le maître d'école
Devant la cuvette et le broc
Et leur dit comme un fait vulgaire
Qu'à l'aurore aujourd'hui la guerre
A levé son front de taureau
Il faut recommencer qu'on meurt
Des gens dormaient dans leurs demeures
Comme ici dort cet enfant-là
L'armoire se tait, mais la porte
Proteste: Après tout, que m'importe
Ça se passe au Guatemala
Il est à l’hôpital, ses jours ne sont pas en danger.
Je pars le voir, je serai moins présent sur le forum.
Alain
Les mots font trop mal en ce moment.
À recevoir.
À écrire.
Alors, rien.
À demain.
e.v.
Ca pourrait arriver au mien ou à n'importe qui, mes pensées t'accompagnent, bon courage.
M.
Ici on n'est pas touchés directement, mais c'est notre ancien quartier, et c'est dur de ne pas y penser sans arrêt. Hier on est restés scotchés à la télé jusque vers 0h30 alors qu'on savait que ça ne servait à rien...
Mardi quand je vais retourner à la fac, dans Paris, j'espère ne pas apprendre qu'un de mes camarades de prépa agreg est concerné...
Une pensée particulière pour ton fils Alain.
Courage à tous.
Très peu de mots peuvent parler de ce qui s'est passé, les horreurs de cette nuit à Paris me glacent à la fois d'effroi et de volonté d'y faire face.
soland
Je pense à toi et ta famille ...
Je rentre de l’hôpital et tous vos messages de soutien et d'encouragement font chaud au cœur.
Mon fils Alexis a été opéré ce matin, il a plein de broches et de ferraille autour du genou.
Malgré sa présence au mauvais endroit, au mauvais moment, Il a eu beaucoup de chance, mais le rétablissement sera long ...
Merci encore pour tous vos témoignages de soutien.
Alain
Soutien aux Parisiens.
L'heure est au recueillement mais il faudra bien un jour songer à notre propre responsabilité dans cette tragédie!
[small]p[/small]appus
Dans cette ville lumière qui s'est offerte à mes yeux
Il y a quarante ans au printemps de ma vie,
Après en avoir parcouru, et le souvenir en est encore précis,
Toutes les rues, des boulevards et cent mille autres lieux
Sans que jamais ma mémoire s'estompe ou oublie !
Dans les souvenirs de ma jeunesse en ce lundi nuageux,
Je revois près de Saint-Germain où elle est venue en taxi,
Dans un petit café à exactement huit heures et demie,
Car j'ai regardé ma montre, ce fut un hasard heureux,
Une jeune fille dont le sourire de lumière m'a ébloui
Elle a accroché dans mon regard, cette créature amie,
Le souvenir conjoint de sa ville et de ses beaux yeux bleus,
Et il me semble encore entendre le son harmonieux
De sa voix qui se promenait dans le vent comme au paradis :
Elle a gravé dans mon esprit son parfum, une eau de Givenchy
Sa jupe à l'ourlet de dentelle bigarrée, aux tons joyeux,
Qui a flirté avec mon ciel jusqu'aux alentours de midi,
A Caressé mon âme qui en était assommée, comme étourdie
Jusqu'à ce qu'un ami impromptu à elle que je trouvai mystérieux
Vienne brusquement l'arracher à jamais à ma compagnie !
Je l'ai cherchée bien souvent dans l'année qui suivit,
Mes pas me ramenèrent sans cesse en le providentiel lieu,
Toujours, j'ai attendu que la chance à nouveau me sourit
Et que me caresse au matin son envoûtant regard bleu,
Mais son absence a fini par s'imposer en ordre impérieux
Il m'arrive de me demander paradoxalement aujourd'hui
Si ce ne fut pas plutôt un ange descendu pour moi des cieux
Qui s'est paré des diamants de l'amour jusque dans ses habits
Pour me faire croire que cette jeune fille en ce lundi joyeux
Ne pouvait ressembler qu'au mythe universel de l'éternelle Paris !
Aldo.
N'ayant pas la même puissance créatrice, je veux rappeler le grand nombre de chansons célébrant Paris, dont celle-ci jadis interprétée par Joséphine Baker, si chère à notre mémoire :
{Paris, Paris, Paris}
Ne me demandez pas si j'aime la grâce
Ne me demandez pas si j'aime Paris
Autant demander à un oiseau dans l'espace
S'il aime le ciel ou s'il aime son nid
Autant demander au marin qui voyage
S'il peut vivre sans la mer et le beau temps
Autant demander à une fleur sauvage
Si l'on peut vraiment se passer de printemps
Paris, Paris, Paris
C'est sur la Terre un coin de paradis
Paris, Paris, Paris
De mes amours c'est lui le favori
Mais oui, mais oui, pardi
Ce que j'en dis, on vous l'a déjà dit
Et c'est Paris qui fait la Parisienne
Bonne soirée.
F. Ch.
je viens de voir ce qui est arrivé à ton fils. Mes plus profonds soutiens.
Prompt rétablissement à ton fils.
Merci de vous inquiéter du sort d'Alexis.
La balle a réduit en miettes sa rotule et saccagé ce qu'il y a en dessous.
Il est toujours à l'hôpital, ses broches lui immobilisent le genou, il les gardera pendant trois mois, le temps que le fémur cassé se ressoude.
Quand on lui retirera les broches, les chirurgiens se prononceront sur ce qu'ils pourront faire.
On craint une jambe raide ou avec une légère flexion ...
Mais bien sûr, il est encore en vie !
Alain
M.
Amicalement,
Bruno