Psychologie d'un shtameur ?

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Réponses

  • Ludwig:

    Pourquoi ton 8 est couché? Il s'est choppé cette cochonnerie de virus avec un nom de bière? X:-(
  • Ne nous moquons pas. Il existe des situations, comme la conjoncture actuelle, où de pauvres personnes débloquent.

    Soyons humbles.
    Si l’intelligence a ses limites, la connerie n’en a aucune.

    Bye bye définitivement.
  • @Ludwig,


    Tu fais vraiment n'importe quoi.

    Apparemment, tu ne connais pas la nature des objets mathématiques que tu manipules.

    Tu aboutis à des contradictions flagrantes, dans ton raisonnement : C'est donc que ton raisonnement est faux.


    Soit $a \in \R$.

    On a nécessairement : $a \neq \pm \infty$
  • Bonsoir

    @LudWig :

    -1/12 en tant que représentant de l'infini est inatteignable ( preuve : -1/12= 0.0833333333333333....et ça continue avec 3 jusqu' ...)
    mais l' infini est approchable dans une certaine limite par les 2 racines de l’équation dont on sait :
    (-3-R3) /6. < (R3-3)/6 < -1/12 disons que (R3-3)/6 est la plus proche de -1/12 ( 0.21132.. est proche de 0.083333.).au lieu de (-3-R3) /6 .
    Dom a écrit:
    ...cette égalité est fausse.

    cette égalité n'est pas fausse par ce que l'équation est résorbable dans R , d'autant que l'application a été vérifié expérimentalement en physique ( voir détail dans l'effet Casimir ..)

    il parait que ceux et celles du groupe B , distribuent vite et facilement des jugements " FAUX ou FAUSSE " sur les assertions qui émanent du groupe A ou C en dehors de toute approfondissement . non ? .


    BERKOUK
  • Merci Ludwig, J20, Berkouk, j'adore votre humour.

    Ca fait du bien de rigoler en ces temps moroses.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Je ne fais pas n'importe quoi, et je ne suis pas un troll non plus. Je me met simplement en situation (puisqu'il s'agit d'étudier la psychologie d'un shtameur). Je vous rappelle mon premier post dans ce fil.

    @ Berkouk : mais si, ce que j'ai écris dans mes deux posts précédents est complètement faux ! Perdu
  • @BERKOUK2

    Tu racontes, vraiment, n'importe quoi : Tu as les idées confuses et toutes mélangées.

    "$+\infty$" n'a, ici, rien à voir avec le nombre de décimales d'un nombre, et ce n'est pas parce qu'une suite de nombres est constituée de nombres ayant chacun une infinité de décimales, qu'elle approche $\pm \infty$ ou tend vers $\pm\infty$.

    (Un nombre peut avoir 2 écritures décimales possibles : Par exemple, comme $0,999 \cdots = 1$, "$0,999\cdots$" et "$1$" sont 2 écritures du même nombre.)

    [Au passage, dire qu'"un nombre (ou un nombre constant ou fixe) approche $\pm \infty$ ou tend vers $\pm\infty$" ou un réel " : Ça ne veut rien dire.

    Parcontre, dire qu'"une variable (ou un nombre variable) approche $\pm \infty$ ou tend vers $\pm\infty$ ou un réel", ça a du sens].

    On ne dit pas
    BERKOUK2 a écrit:
    l'équation est résorbable dans R
    ,

    on dit "l'équation est résolvable dans $\R$"
  • J20,

    "résolvable" n'est pas français ! Essaie encore !
  • "solutionnable" est bien mieux ! X:-( Mouahaha
  • 1/6 = 0,1666... possède une infinité de 6, donc c'est un autre représentant de l'infini, donc 1/6 = -1/12 ?

    C'est bon, je fais du shtam, là ?

    Sinon BERKOUK : c'est quoi tes histoires de groupes A, B, C ?
  • Un, c'était déjà sympathique, mais là, je tiens plus !
  • lourrran a écrit:
    Merci Ludwig, J20, Berkouk, j'adore votre humour.

    Ca fait du bien de rigoler en ces temps moroses.


    Je n'ai rien à voir, ni affaire, avec Ludwig et BERKOUK2.

    Tu ne peux quand même pas me comparer à ces 2 là.
  • @lourrran et @kioups,


    Si vous vous étiez lancés dans un travail tel que le mien sur le "Cardinal quantitatif", vous ne vous en seriez, très probablement, pas sortis.

    Mais vous auriez, probablement, abandonné ou vous auriez fait, en sorte, de rester dans l'ombre ou dans l'anonymat.

    Alors arrêtez de me critiquer et de vous moquer de moi, un peu trop facilement.
  • Homo Topi:


    Tu veux être toi aussi adoubé apparatchik des mathématiques par Berkouk? X:-(

    Mais je suis le roi, il m'a adoubé en premier. :)o
  • J20 : oui, pour se moquer de toi facilement, on peut regarder comment tu parles à tes enseignants, c'est plus pertinent puisque c'est plus facile à lire que tes tentatives de faire des maths.
  • Berkouk:
    J'adore l'effet Casimir:

    Heureusement que Westworld reprend ce soir. :-)
  • Homo Topi a écrit:
    J20 : oui, pour se moquer de toi facilement, on peut regarder comment tu parles à tes enseignants, c'est plus pertinent puisque c'est plus facile à lire que tes tentatives de faire des maths.

    J'écris, rarement, comme ça, à mes enseignants, par email, et, je n'ai, jamais, parlé, comme ça, à un enseignant, physiquement.

    Par ailleurs, j'ai déjà fait, beaucoup, de maths, scolairement parlant, et ce ne sont pas des tentatives, même si cela ne s'assimile pas à un vrai travail dans le domaine de la recherche en mathématiques.
  • Si, tu veux, je peux aussi, critiquer, ton travail, sur, le, cardinal, quantitatif.

    Rien que le tout début de la page du Wiki. C'est 5 lignes de baratin qui ne permet pas de savoir, après l'avoir lu, de quoi tu parles. Pose une définition mathématique, avec des quantificateurs, de ce qu'est un CQ. Tu le fais, je crois, plus loin sur la page, mais avant la définition que tu donnes, tu introduis sûrement un paquet de notations et définitions qui servent pour la suite mais que personne n'a envie de lire, puisque tout ce qui est potentiellement utile dans ce que tu écris est noyé dans une tonne de baratin.

    Structure ton travail : pose une définition bien carrée de l'objet que tu veux étudier, ensuite tu peux faire une paragraphe "remarques" où tu résumes ton baratin en une explication de pourquoi tu définis l'objet en question et pourquoi tu le trouves intéressant.

    C'est quelque chose qu'on reproche à tous les shtameurs : vous voulez qu'on vous félicite pour votre travail, mais vous êtes tellement focalisés sur vous-mêmes que vous ne rendez pas votre travail lisible pour quelqu'un qui ne s'est pas enfoncé dedans autant que vous.
  • @Homo Topi,


    Les 5 lignes de baratin dont tu parles, donnent déjà une idée intuitive de ce qu'est la notion de cardinal quantitatif.


    Selon toi, cette définition donnée par une série d'axiomes de définition, n'est pas carrée. (Il faut peut-être restreindre d'avantage l'ensemble de définition, à cause des conséquences du paradoxe de Banach-Tarski) :

    Définition du cardinal quantitatif sur $\R^n$ (axiomes de définition, généraux + axiomes de définition, dans le cas des parties bornées)

    (Lien de secours : Wikiversité/Cardinal quantitatif)

    Dans mes travaux, contrairement à ce que tu dis, j'ai, beaucoup, utilisé, les quantificateurs et l'écriture formelle : Peut-être, même, un peu trop, pour certains.

    Je n'ai pas été focalisé sur moi-même, j'ai été focalisé sur mes travaux.

    Le problème, comme je l'ai mentionné plus haut, est que je me suis trop familiarisé avec mes travaux, que je les comprends, que je me comprends moi-même, et que je suis seul et sans soutien, face à ces derniers, donc je n'ai pas le recul nécessaire pour me mettre à la place des autres lecteurs.
  • Tu vois, le lien que tu viens de donner, pour ta définition, ben il y a un kilomètre de texte avant. Il est utile ou pas ? Parce qu'il ne donne pas envie de le lire.

    Et ce n'est pas compliqué : choisis ton public (quels prérequis exiges-tu pour que quelqu'un puisse comprendre ton truc ?) et écris tes travaux au niveau de ce public-là. Si tu veux être lu par des matheux avancés, fais ce que te disent ceux que tu croises ici : moins de philo, plus de maths. Tu écris beaucoup trop de texte qui ne sert à rien et qui embrouille les idées. L'avantage d'une définition claire et concise, sous forme d'une liste d'axiomes, c'est qu'elle permet de retrouver tout le reste (donc le texte qui la précède devient du baratin inutile et incompréhensible, alors que du texte après servirait à illustrer et clarifier).

    C'est quand la dernière fois que tu as lu un bouquin sur quelque chose de mathématique que tu ne maîtrisais pas ? Ben il faut écrire tes travaux comme un bouquin comme ça.
  • Voilà. Par cet auto-portrait, tu viens de donner une très bonne définition du shtameur,

    Leg, J20, Berkouk, même combat.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • @Homo Topi,


    Qu'est-ce que tu reproches à cette partie ? :

    Introduction


    Il s'agit d'une partie qui introduit et présente la notion de cardinal quantitatif, intuitivement :

    Elle est tout à fait légitime, et a son importance et sa place.


    Après cette partie et Remarques secondaires, il y a relativement peu de baratin, et beaucoup de formalisme.


    (Lien de secours : Wikiversité/Cardinal quantitatif)


    J'ai déjà précisé le niveau du public dans Les-mathematiques.net/Shtam/Cardinal quantitatif.

    Il faut au moins avoir le niveau d'une L3, avec un petit peu de M1 et de M2.
  • Ce que je lui reproche... accroche-toi.

    Tu définis les "petites variétés". Bon, d'accord. Mais ensuite, la phrase d'après, personne à part toi ne peux comprendre ce que tu racontes.

    Tu dis :
    - que le CQ est la notion optimale/véritable notion de nombre d'éléments d'un ensemble. Tu ne justifies absolument pas en quoi les autres notions sont moins bonnes (et pourquoi ?) que cette nouvelle notion que tu introduis (sans l'avoir définie pour le moment)
    - qu'elle est déjà construite pour les petites variétés. C'est simplement faux, tu n'as encore rien construit à ce moment-là du texte, donc ça ne fait qu'embrouiller un lecteur qui découvre.
    - que le nombre d'éléments d'un singleton vaut $1$, sauf que ça c'est le cas pour les cardinaux usuels aussi
    - que tu cherches à "aller plus loin" mais on ne sait pas vers où tu veux aller plus loin ni pourquoi, donc ça ne sert à rien de dire ça
    - que la notion usuelle de cardinal ne va "pas assez loin" mais cf ce que je viens de dire, on ne sait pas en quoi tu trouves cette notion insuffisante
    - que la notion usuelle de cardinal n'est qu'une mesure de l'ordre de grandeur, et pas du nombre exact d'éléments, dans le cas des ensembles infinis. Là, d'accord, c'est vrai, mais c'est normal aussi... comment veux tu compter des objets qui existent en nombre infini ?

    En dehors de ces points-là, il y a juste ta façon de rédiger : dans ton texte, ce truc est une seule phrase, assez alambiquée en plus d'être peu claire. Découpe tes idées en une succession structurée de phrases, ça traduira la structure de ta pensée et permettra aux autres de comprendre ce que tu fais et où tu vas.
  • Bonsoir
    Ludwig a écrit:
    Je ne fais pas n'importe quoi, et je ne suis pas un troll non plus. Je me met simplement en situation (puisqu'il s'agit d'étudier la psychologie d'un shtameur). Je vous rappelle mon premier post dans ce fil.

    @ Berkouk : mais si, ce que j'ai écris dans mes deux posts précédents est complètement faux ! Perdu

    l'analyste gére assez mal son transfert
    J20 a écrit:
    ....Tu ne peux quand même pas me comparer à ces 2 là.

    ici l'analyste est perturbé par son double transfert
    FDP a écrit:
    Berkouk:
    J'adore l'effet Casimir :

    ici on perçoit le déni de la réalité
    Homo Topi a écrit:
    Sinon BERKOUK : c'est quoi tes histoires de groupes A, B, C ?

    voir mon message çi-dessus page 4 :
    -1/12 est unique dans votre systeme -1/12 # -1/6 MAIS -1/12 en tant que représentant de l'infini est aussi unique et " intouchable" ( du moins la somme infini des entier positifs = -1/12) dans ce cas IL faut se référer aux travaux de Cantor ( théorie des ensembles) pour aboutir à qql soit a appartenant à R on a :

    -1/12 * a = -1/12 et -1/12 + a = -1/12 ( pas seulement si respectivement a= 1 ou a= 0 ou a=1/2 )


    @Dom : j’espère que vous ne ratiez celle là je ne dis pas que c'est un excellent remède contre la connerie humaine


    BERKOUK
  • Je trouve ça incroyable que tu parles de "déni de réalité" et que juste après, tu m'écris que la somme des entiers vaut effectivement $-1/12$.
  • J20 a écrit:
    Il faut peut-être restreindre d'avantage l'ensemble de définition, à cause des conséquences du paradoxe de Banach-Tarski.

    Il faut oui.
  • Berkouk:

    Tu as une vidéo où tu vois Casimir en action et tu me parles de déni de réalité? :-D
  • Petite parenthèse sur le fait que la notation $\displaystyle{1 +2 +3 +4 +5 + \cdots = -\frac{1}{12}}$ n'est pas si abusive que ça et on peut la justifier avec des arguments purement algébriques.

    L'idée est de considérer l'espace $\R^{\N}$ des suites réelles (ou complexes si on veut être plus général) et de se demander s'il existe une application "somme" sur cet espace.

    Une application somme serait une forme linéaire $S:\R^{\N} \rightarrow \R$ qui se comporte comme la somme usuelle. Plus précisément elle devrait vérifier les propriétés suivantes :

    1) Si $x=(x_n)_{\N}$ est une suite nulle sauf sur un sous-ensemble fini de $\N$ alors $S(x)$ est la somme usuelle des termes de $x$. Exemple : $S(1,2,3,0,0,...)=6$. Dans ce cas on peut donc écrire $S(x)=\sum\limits_{i\in \N} x_i$.
    2) $S$ est invariante par décalage à droite. Un exemple est plus parlant : $S((1,2,3,...))=S((0,1,2,3,...))$

    On peut se demander si une telle forme linéaire existe. Une réflexion rapide me suggère que oui (même si je crois qu'il faille utiliser Zorn pour le montrer).

    Ensuite on peut l'utiliser pour calculer la somme "algébrique" de certaines suites :

    Exemple :

    Si on note $x:=(1,-1,1,-1,...)$ alors on remarque que $x$ peut s'écrire comme $x=(0,-1,1,-1,1,-1,1,...)+(1,0,0,...))$ et donc $$S(x)=S((0,-1,1,-1,1,-1,1,...)+S((1,0,0,...))=S(-x)+1=-S(x)+1.$$
    Par conséquent, $S(x)=1/2$. Ce qu'on pourrait noter par $\sum\limits_{k\in \N} (-1)^k=1/2$.

    Le même genre de calcul (mais plus long et j'ai la flemme...) appliqué à la suite $(1,2,3,4,...)$ permet de montrer que $S((1,2,3,4,...))=-1/12$.

    Question : est-ce que l'application "somme" définie ci-dessus est unique ?... Je sépas :-S
  • Nan, mais... entre dire que quand la sommation classique donne l'infini, on peut essayer de trouver une valeur finie "qui ait un sens" en sommant à la Ramanujan, et dire que $-1/12$ est un représentant particulier de l'infini, il y a un léger écart quand même.
  • Un écart que BERKOUK2 a franchi sans vergogne...

    Je ferme. Ce fil ne parle plus de "psychologie d'un shtameur" mais est devenu la rubrique shtam elle-même, avec ses caractéristiques : assertions non démontrées voire fausses, discussions interminables... --JLT
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