Soit Flora a une vision idéalisée du role de DRH, soit elle manipule déjà très bien les ficelles utilisées par les DRH, qui sait ?
Par contre OOShine qui serait en Burn-out, je ne suis pas d'accord du tout.
OOShine organise son temps, il n'a pas la tête dans le guidon, il prépare ses cours longtemps à l'avance ... plein de signes qui disent qu'il n'est pas du tout en burn-out.
Est-ce qu'il fait tout ça bien ou mal, c'est une autre question.
Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
juste une fille qui fait des études et qui est potentiellement cadre ou DRH d'une grande entreprise et dont le métier avant de diriger, est surtout de s'assurer du bien-être des employés et de reconnaître les signes avant-coureur de burn-out ou de mal-être chez les travailleurs.
Moi aussi cette déclaration me fait réagir. Si tu es un jour DRH d'une grande entreprise et que tu es au contact du "petit personnel" (mais pas seulement) du mal-être chez ces gens cela risque d'être ton lot quotidien. Dans le cadre professionnel* qui est le mien, qui n'est sans doute pas ce qui se fait de pire, des gens pleurent très souvent: dégradation des conditions d'emploi, gestion du personnel calamiteuse etc, des trucs qu'on voit un peu partout me semble-t-il.
*: j'y travaille que par intermittence alors je suis un peu épargné par ce mal-être.
@physicius & Lourran
Rooh mais elle vient du fameux cours de RH qu'on a à l'école la définition, c'est trop bien en cours on a vu qu'on pouvait même organiser des teams building, des sessions de rendez-vous de bilans, etc pour le bien-être des employés, et d'ailleurs on a aussi eu un partiel là dessus, et des cours de psychologie avec un monsieur d'Harvard. Mais pour l'instant je ne sais pas si je vais me spécialiser dans ça ou en marketing, car ça a l'air d'être cool de faire du marketing dans le milieu du luxe ou de la nourriture. ( Bon évidemment je sais que c' est des milieux difficiles mais bon)
Non mais militaire je ne disais pas cela, c'était dans un autre contexte ahah ;-)
Pour moi si un peu, il se mène dans trop de projets, trop d'exos parfois non finis sur le forum, déprime, et a déjà fait part de sa volonté d'arrêt maladie car il était fatigué.
@FDP je vais vous faire une révélation, dans la vie je me suis toujours promise une chose, peu importe ce que je deviens, cadre, PDG ( ça faudra attendre un peu car je ne suis pas à HEC non plus), DRH, directrice marketing, peu importe, je ferais mon maximum pour toujours rester proche du " petit personnel", sans eux le travail ne serait rien, et je le sais. En tant que fille d'ouvriers je sais ce que c'est leur quotidien. Mon père me disait un jour, il y a quelques années que lui et ses collègues aimaient beaucoup un patron en particulier car au lieu de manger avec les cadres, il mangeait toujours avec le petit personnel, prenait leurs nouvelles, s'assurait qu'ils vont bien, et je veux être cette personne.
J'ai galéré pour arriver jusqu'ici, mais j'ai pu le faire grâce à des gens qui croyaient en moi, je n'étais pas à ma place dans une prépa, mais dans une autre ( ma dernière prépa) mes profs ont toujours cru en moi en fermant les yeux, ils disaient toujours Flora, peu importe l'école que t'as, nous on croit en toi, idem en école, donc oui aujourd'hui j'ai des opportunités à Singapour, à Barcelone, à Paris chez carte noire, et d'autres trucs, mais sans ces gens-là je ne serais rien, donc je veux moi aussi aider des gens :-)
P.S: par respect pour le fil d'Oshine ne dévions pas le sujet sur moi ;-)
Flora: Tous les gens qui sortent d'école de commerce ne se retrouvent pas au contact avec le "petit personnel".
Si cela t'est insupportable de voir des gens que le travail rend malade (et ils sont nombreux) naturellement tu t'arrangeras pour ne pas être exposé directement à cette réalité si tu le peux et tu auras bien raison.
Le travail a un statut ambigu: il peut à la fois faire en sorte que des gens s'épanouissent mais il peut aussi les rendre (très) malades (je ne peux pas dire que le travail m'ait beaucoup aidé à m'épanouir, bien au contraire)
Petit ou grand personnel, quand il faut lui annoncer qu’il doit sortir de l’entreprise pour une raison ou pour une autre, aucune bienveillance n’est suffisante.
Il est beau le monde de Oui-Oui.
Je me rappelle du discours d'un DRH qui mettait fin à ma période d'essai:
"Nous allons vous libérer..."
Recréer tout un discours et une terminologie hypocrite pour rendre plus confortable la tâche de virer un salarié pour celui ou celle qui doit l'annoncer au dit salarié. C'est magnifique non? :-D
Je pense que c'est comme dans beaucoup de boulot*, les gens qui exercent cette profession suffisamment longtemps ont des dispositions d'esprit particulière (imagine un monde dans lequel personne ne voudrait avoir sur la conscience d'avoir viré quelqu'un)
*: il y a sûrement un phénomène analogue dans l'enseignement. Les gens qui ne supportent plus le travail demandé à un enseignant démissionne ou se font recaser dans une autre administration.
J'ai bien aimé le coup du journal ! Il m'est arrivé de faire une fois ou deux un truc similaire (mais c'est à la fac, on ne va pas comparer).
Je ne sais pas si l'on pourrait tenir un discours de ce type : le ministère ne s'appelle plus comme autrefois "ministère de l'instruction publique" mais "ministère de l'éducation nationale". Les professeurs ont donc désormais, en plus de leur mission d'instruction, une mission d'éducation [que les parents ne font pas toujours, mais là on ne le dira pas]. Il s'agit donc de préparer "son mémoire en défense" (comme diraient les juristes) afin d'étayer la thèse selon laquelle, si le prof prend son journal, cela n'a certes pas une valeur d'instruction, mais cela a une valeur éducative sur le comportement en société (les images fortes sont parfois plus compréhensibles que les discours).
En tout cas, si tu es stagiaire, ce n'est peut-être pas la meilleure année pour faire ce genre de choses.
Sans trop vouloir digresser, Flora,
ton père a raison, il est essentiel pour un cadre supérieur de manger avec le personnel.(tu)
Cela change du tout au tout la relation.
Sinon je te conseillerais plutôt de choisir le marketing que la RH, moins glamour.
Les RH sont un métier difficile, très vertical, hypocrite, où on est déjà content si chacun a un salaire, un chef et une fiche de poste. Et ceci malgré toutes les bonnes volonté parfois réelles. (fin de la digression)
Tous les trucs comme celui du journal sont à manier avec précaution. Suivant la relation (dégradée) qu'un(e) enseignant(e) entretient avec une classe ces trucs peuvent faire un bide complet et se retourner contre celle ou celui qui les utilisent. Le prof' qui lit son journal cela peut être perçu par des élèves comme un signe qu'ils ont "quartier libre" par exemple. :-D
merci beaucoup pour votre petit message. C'est vrai que marketing c'était mon objectif lorsque je suis arrivée en école de commerce.
Mais plus le temps passe et plus j'ai d'autres visions des choses. Car à côté je vois mes camarades, qui eux veulent faire un truc plutôt " sérieux" dans des cabinets d'audit, font des stages en finance au Luxembourg, en Suisse etc...Et se construisent une vraie carrière.
Alors que moi voilà c'est encore flou, j'hésite. Et ce confinement m'embête aussi beaucoup, je voulais tester de nouveaux trucs, de nouveaux cours, avoir des expériences à l'Internationale etc.. Pour le moment les frontières à Singapour sont fermées, mon échange universitaire est en ligne on ne sait ce qu'il va advenir, et d'un côté je vois aussi de bonnes opportunités dans des milieux auxquels je n'y songeais pas et dont je ne connais rien et qui attirent ma curiosité. Comme les alumnis dans mon école qui sont venus nous sélectionner pour des stages chez Nestlé, Ubisoft, Pwc, carte noire etc...
Mais bref on verra bien ;-)
Bonne nuit et merci pour vos petits conseils.
( Fin de la digression)
J’ai parcouru les trois pages, même les absurdités.
Puis-je suggérer à OShine ou un modérateur de changer le titre du fil par un autre plus approprié ?
En effet, l’inspection ne s’est pas « mal passée ». L’inspectrice n’a pas dit à OShine que c’était entièrement sa faute si les élèves étaient mal élevés. L’inspection s’est donc très bien passée. Le B.A.-BA de l’éducation nationale. Félicitations pour ta titularisation, OShine !
@OS : c'est bien ce que je pensais ; tu n'as pas été inspecté. Tu as eu une visite-conseil de la part d'un chargé de mission, voire d'un formateur INSPE qui a rédigé un rapport.
Le chat ouvrit les yeux, le soleil y entra. Le chat ferma les yeux, le soleil y resta. Voilà pourquoi le soir, quand le chat se réveille, j'aperçois dans le noir deux morceaux de soleil. (Maurice Carême).
Mais cette visite était effectuée par une inspectrice tout de même, peut-être ?
En effet, Thierry, la sémantique est importante.
D’ailleurs, il n’y a plus d’inspections mais des rendez-vous de carrière.
Enfin, si, un chef d’établissement peut par exemple solliciter une inspection (je crois que ça se dit encore comme ça) quand il considère que le prof déconne à plein tubs ou quand il a une dent mesquine ou non contre lui.
@Dom : les seuls à avoir l'honneur et le privilège d'être éventuellement inspectés deux fois par un (vrai) inspecteur sont les agrégés, administrés par le Ministère de l'EN (pas par les Rectorats) : un IPR la première fois et un IPGN la seconde fois si besoin est (en cas de gros problèmes).
Le chat ouvrit les yeux, le soleil y entra. Le chat ferma les yeux, le soleil y resta. Voilà pourquoi le soir, quand le chat se réveille, j'aperçois dans le noir deux morceaux de soleil. (Maurice Carême).
Mais est-ce encore une « inspection » en ces termes ?
J’ai un doute, de nos jours.
Je me souviens avoir entendu « inspection de titularisation » avant les dernières réformes PPCR.
Cela dit, on peut considérer qu’on s’en fiche (et que ça n’intéresse que moi (:P) ).
les seuls à avoir l'honneur et le privilège d'être éventuellement inspectés deux fois par un (vrai) inspecteur sont les agrégés, administrés par le Ministère de l'EN (pas par les Rectorats) : un IPR la première fois et un IPGN la seconde fois si besoin est (en cas de gros problèmes).
Dans les textes. Sur le terrain, c'est le rectorat qui fait le ménage.
en cherchant un dessin particulier de Gérard Matthieu, (il illustre depuis des décennies les recueils de problèmes des prépas scientifiques), je suis tombé sur ce dessin que je ne connaissais pas mais qui me semble coller au sujet du fil.
...
Ils m'ont reproché de ne pas faire assez d'évaluations, pour le semestre 2, j'ai déjà 4 notes alors que j'ai vérifié tous les autres profs du collège ont maximum 1 note pour l'instant.
Donc j'ai 4 fois plus d'évaluations que tous les profs du collège mais ce n'est pas assez ?
@OS : c'est oublier qu'il existe de multiples façons d'évaluer chaque élève (je n'ai pas écrit "d'évaluer tous les élèves (en même temps)"), de manière à y prendre plaisir (des deux côtés), tout en ne rejetant pas le socle commun que tous les élèves doivent acquérir. Beaucoup de profs de Mathématique font encore de la résistance, là où les autres disciplines ont su se démarquer, y compris la Physique-Chimie. Les évaluations formative et sommative en Mathématique sont encore entreprises de manière archaïque, même si des professeurs tentent de sortir du lot.
Le chat ouvrit les yeux, le soleil y entra. Le chat ferma les yeux, le soleil y resta. Voilà pourquoi le soir, quand le chat se réveille, j'aperçois dans le noir deux morceaux de soleil. (Maurice Carême).
Mais non.
Si l’on veut comparer, il faut regarder le nombre de notes en maths.
Et surtout faire mine de s’appuyer sur la tutrice et son nombre de notes.
Évidemment, sorti de là (j’entends du statut de stagiaire), la discussion est ahurissante.
A l’époque où l’on parle de compétence, ça me faire rire d’entendre qu’il faudrait un paquet de notes.
[small]C'est une blague les chargés de mission non ?
Ils m'ont reproché de ne pas faire assez d'évaluations, pour le semestre 2, j'ai déjà 4 notes alors que j'ai vérifié tous[/small] les autres profs du collège ont maximum 1 note pour l'instant.
Fin janvier(!), il faut bien se baser sur les notes marqués pas sur celles à venir (et en retard).
C'est la situation qui veut cela.
Donc j'ai 4 fois plus d'évaluations que tous les profs du collège mais ce n'est pas assez ?
Après @oshine faut faire attention, car c'est possible qu'un prof additionne les notes de plusieurs interros, pour en faire une note globale. Ou encore fasse la moyenne de toutes les notes pour mettre directement la moyenne sur le bulletin. Mes profs faisaient ça parfois au collège.
Il faut comparer par rapport à tes collègues de MATHS et au premier trimestre/semestre qui est révolu ce qui n'est pas le cas du second.
Quand tu dis "qu'en lycée, il y a trop d'élèves et que 35 copies, c'est beaucoup et qu'au collège, c'est plus cool" en gros, il me semble que le suivi des élèves au collège est censé être beaucoup plus fréquent (presque une interro par classe par semaine non ? même si ce n'est que 5/10 minutes). Et "évaluation" ne veut pas dire "note"... Peut-être te reproche-t-elle de noter tout le temps au lieu de parfois évaluer sans noter ?... Bref, au boulot ! (au moins cette année en tant que stagiaire, les suivantes, tu feras ce que tu veux avec ta moral et ta conscience).
Tu poses plusieurs question, tu laisses la classe chercher un peu, au bout tu temps imparti (soit fixé, soit tu attends la levée des stylos), tu demandes qui a eu tout bon (tu relèves le nombre d’élèves), qui a eu une seule erreur (idem). Tu n’es pas obligé d’aller chercher ceux qui ont eu tout faux. Inutile d’être exact (un élève pipote, et alors ?)
Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about. -- Schnoebelen, Philippe
Réponses
Par contre OOShine qui serait en Burn-out, je ne suis pas d'accord du tout.
OOShine organise son temps, il n'a pas la tête dans le guidon, il prépare ses cours longtemps à l'avance ... plein de signes qui disent qu'il n'est pas du tout en burn-out.
Est-ce qu'il fait tout ça bien ou mal, c'est une autre question.
Moi aussi cette déclaration me fait réagir. Si tu es un jour DRH d'une grande entreprise et que tu es au contact du "petit personnel" (mais pas seulement) du mal-être chez ces gens cela risque d'être ton lot quotidien. Dans le cadre professionnel* qui est le mien, qui n'est sans doute pas ce qui se fait de pire, des gens pleurent très souvent: dégradation des conditions d'emploi, gestion du personnel calamiteuse etc, des trucs qu'on voit un peu partout me semble-t-il.
*: j'y travaille que par intermittence alors je suis un peu épargné par ce mal-être.
Rooh mais elle vient du fameux cours de RH qu'on a à l'école la définition, c'est trop bien en cours on a vu qu'on pouvait même organiser des teams building, des sessions de rendez-vous de bilans, etc pour le bien-être des employés, et d'ailleurs on a aussi eu un partiel là dessus, et des cours de psychologie avec un monsieur d'Harvard. Mais pour l'instant je ne sais pas si je vais me spécialiser dans ça ou en marketing, car ça a l'air d'être cool de faire du marketing dans le milieu du luxe ou de la nourriture. ( Bon évidemment je sais que c' est des milieux difficiles mais bon)
Non mais militaire je ne disais pas cela, c'était dans un autre contexte ahah ;-)
Pour moi si un peu, il se mène dans trop de projets, trop d'exos parfois non finis sur le forum, déprime, et a déjà fait part de sa volonté d'arrêt maladie car il était fatigué.
J'ai galéré pour arriver jusqu'ici, mais j'ai pu le faire grâce à des gens qui croyaient en moi, je n'étais pas à ma place dans une prépa, mais dans une autre ( ma dernière prépa) mes profs ont toujours cru en moi en fermant les yeux, ils disaient toujours Flora, peu importe l'école que t'as, nous on croit en toi, idem en école, donc oui aujourd'hui j'ai des opportunités à Singapour, à Barcelone, à Paris chez carte noire, et d'autres trucs, mais sans ces gens-là je ne serais rien, donc je veux moi aussi aider des gens :-)
P.S: par respect pour le fil d'Oshine ne dévions pas le sujet sur moi ;-)
Si cela t'est insupportable de voir des gens que le travail rend malade (et ils sont nombreux) naturellement tu t'arrangeras pour ne pas être exposé directement à cette réalité si tu le peux et tu auras bien raison.
Le travail a un statut ambigu: il peut à la fois faire en sorte que des gens s'épanouissent mais il peut aussi les rendre (très) malades (je ne peux pas dire que le travail m'ait beaucoup aidé à m'épanouir, bien au contraire)
"et je veux être cette personne."
ça m 'a touché
Kioups le devoir commun est ok mais ils ont du mal à réviser plusieurs chapitres en même temps je pense, d'où les notes catastrophiques.
La chef m'a dit que j'aurai une 2ème visite avec une classe différente, cette année de stage est épuisante :-(
Il est beau le monde de Oui-Oui.
Je me rappelle du discours d'un DRH qui mettait fin à ma période d'essai:
"Nous allons vous libérer..."
Recréer tout un discours et une terminologie hypocrite pour rendre plus confortable la tâche de virer un salarié pour celui ou celle qui doit l'annoncer au dit salarié. C'est magnifique non? :-D
Fin de partie, je m’arrête pour ne pas polluer.
C’est un travail ingrat, disons-le comme ça.
Je pense que c'est comme dans beaucoup de boulot*, les gens qui exercent cette profession suffisamment longtemps ont des dispositions d'esprit particulière (imagine un monde dans lequel personne ne voudrait avoir sur la conscience d'avoir viré quelqu'un)
*: il y a sûrement un phénomène analogue dans l'enseignement. Les gens qui ne supportent plus le travail demandé à un enseignant démissionne ou se font recaser dans une autre administration.
Je ne sais pas si l'on pourrait tenir un discours de ce type : le ministère ne s'appelle plus comme autrefois "ministère de l'instruction publique" mais "ministère de l'éducation nationale". Les professeurs ont donc désormais, en plus de leur mission d'instruction, une mission d'éducation [que les parents ne font pas toujours, mais là on ne le dira pas]. Il s'agit donc de préparer "son mémoire en défense" (comme diraient les juristes) afin d'étayer la thèse selon laquelle, si le prof prend son journal, cela n'a certes pas une valeur d'instruction, mais cela a une valeur éducative sur le comportement en société (les images fortes sont parfois plus compréhensibles que les discours).
En tout cas, si tu es stagiaire, ce n'est peut-être pas la meilleure année pour faire ce genre de choses.
ton père a raison, il est essentiel pour un cadre supérieur de manger avec le personnel.(tu)
Cela change du tout au tout la relation.
Sinon je te conseillerais plutôt de choisir le marketing que la RH, moins glamour.
Les RH sont un métier difficile, très vertical, hypocrite, où on est déjà content si chacun a un salaire, un chef et une fiche de poste. Et ceci malgré toutes les bonnes volonté parfois réelles. (fin de la digression)
merci beaucoup pour votre petit message. C'est vrai que marketing c'était mon objectif lorsque je suis arrivée en école de commerce.
Mais plus le temps passe et plus j'ai d'autres visions des choses. Car à côté je vois mes camarades, qui eux veulent faire un truc plutôt " sérieux" dans des cabinets d'audit, font des stages en finance au Luxembourg, en Suisse etc...Et se construisent une vraie carrière.
Alors que moi voilà c'est encore flou, j'hésite. Et ce confinement m'embête aussi beaucoup, je voulais tester de nouveaux trucs, de nouveaux cours, avoir des expériences à l'Internationale etc.. Pour le moment les frontières à Singapour sont fermées, mon échange universitaire est en ligne on ne sait ce qu'il va advenir, et d'un côté je vois aussi de bonnes opportunités dans des milieux auxquels je n'y songeais pas et dont je ne connais rien et qui attirent ma curiosité. Comme les alumnis dans mon école qui sont venus nous sélectionner pour des stages chez Nestlé, Ubisoft, Pwc, carte noire etc...
Mais bref on verra bien ;-)
Bonne nuit et merci pour vos petits conseils.
( Fin de la digression)
C'est la Corée du nord version économie de marché. :-D
J’ai parcouru les trois pages, même les absurdités.
Puis-je suggérer à OShine ou un modérateur de changer le titre du fil par un autre plus approprié ?
En effet, l’inspection ne s’est pas « mal passée ». L’inspectrice n’a pas dit à OShine que c’était entièrement sa faute si les élèves étaient mal élevés. L’inspection s’est donc très bien passée. Le B.A.-BA de l’éducation nationale. Félicitations pour ta titularisation, OShine !
En effet, Thierry, la sémantique est importante.
D’ailleurs, il n’y a plus d’inspections mais des rendez-vous de carrière.
Enfin, si, un chef d’établissement peut par exemple solliciter une inspection (je crois que ça se dit encore comme ça) quand il considère que le prof déconne à plein tubs ou quand il a une dent mesquine ou non contre lui.
J’ai un doute, de nos jours.
Je me souviens avoir entendu « inspection de titularisation » avant les dernières réformes PPCR.
Cela dit, on peut considérer qu’on s’en fiche (et que ça n’intéresse que moi (:P) ).
Mais si j'ai une deuxième visite, c'est que la première n'a pas été terrible.
Le titre du sujet : Inspection mal passée
Encore une Oshine de toute beauté. :-D
Son nom commence par la lettre A, ou bien, il donne des cours de trapèze volant à ses élèves? X:-(
Dans les textes. Sur le terrain, c'est le rectorat qui fait le ménage.
À fond.
e.v.
en cherchant un dessin particulier de Gérard Matthieu, (il illustre depuis des décennies les recueils de problèmes des prépas scientifiques), je suis tombé sur ce dessin que je ne connaissais pas mais qui me semble coller au sujet du fil.
...
Ils m'ont reproché de ne pas faire assez d'évaluations, pour le semestre 2, j'ai déjà 4 notes alors que j'ai vérifié tous les autres profs du collège ont maximum 1 note pour l'instant.
Donc j'ai 4 fois plus d'évaluations que tous les profs du collège mais ce n'est pas assez ?
Notamment signifier que ta tutrice n’a jamais parlé de ça et qu’elle est un exemple à suivre...
Pas grave, je fais ce qu'ils me disent et quand je serai titulaire j'aurai plus de liberté.
Bonjour Oshine, comment fais-tu pour vérifier et connaître le nombre de notes de tous collègues ?
Ils nous surchargent de boulot inutilement.
Si l’on veut comparer, il faut regarder le nombre de notes en maths.
Et surtout faire mine de s’appuyer sur la tutrice et son nombre de notes.
Évidemment, sorti de là (j’entends du statut de stagiaire), la discussion est ahurissante.
A l’époque où l’on parle de compétence, ça me faire rire d’entendre qu’il faudrait un paquet de notes.
Toujours les a-priori !!
Fin janvier(!), il faut bien se baser sur les notes marqués pas sur celles à venir (et en retard).
C'est la situation qui veut cela.
T'abuses!
Quand tu dis "qu'en lycée, il y a trop d'élèves et que 35 copies, c'est beaucoup et qu'au collège, c'est plus cool" en gros, il me semble que le suivi des élèves au collège est censé être beaucoup plus fréquent (presque une interro par classe par semaine non ? même si ce n'est que 5/10 minutes). Et "évaluation" ne veut pas dire "note"... Peut-être te reproche-t-elle de noter tout le temps au lieu de parfois évaluer sans noter ?... Bref, au boulot ! (au moins cette année en tant que stagiaire, les suivantes, tu feras ce que tu veux avec ta moral et ta conscience).
-- Schnoebelen, Philippe
La mère d'un élève qui a 3/20 a tous les contrôles de maths m'envoie :
"Je suis en train de revoir les chapitres avec *******
Je ne vois pas comment il peut apprendre correctement alors qu'il n'a pas compris.
Merci de voir avec lui."
Eux c'est moi ou elle me parle mal ? En plus son fils ne pose jamais de question en classe.
-- Schnoebelen, Philippe