Corollaire du TVI & théorème de la bijection

Bonjour à tous,

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Réponses

  • Peut-être devrais-tu préciser ce que tu entends par "corollaire du TVI", on peut appeler des milliers d'énoncés ainsi.
  • J'ai déjà vu ces distinctions de vocabulaire, je ne me rappelle pas précisément dans ton cas, mais je sais qu'à l'époque j'avais constaté que oui, ce sont les mêmes choses et que la distinction est une invention artificielle du secondaire, sans pertinence ensuite.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Yes,

    Edit
  • Le TVI dit que l'image d'un intervalle $I$ par une fonction continue $f$ est un intervalle $J$.
    Mais $f:I\to J$ n'est pas forcément injective (penser à $f:[-1,1]\to [0,1]$, $x\mapsto x^2$ par exemple).
    Le corollaire assure l'injectivité en rajoutant l'hypothèse de stricte monotonie.
  • Bref Flora, le corollaire tel que tu le donnes n'assure pas que $f$ est une bijection (et même jamais en l'occurrence).
    Vois-tu pourquoi ?
  • Parce

    Edit
  • Comment définis-tu une bijection ?
    C'est un peu le cœur de ton questionnement.
  • Yes, pour

    Edit
  • Comme il y a eu un edit, je ne sais pas l'ancienne version, mais ce que tu dis ça va. Le TVI affirme la surjectivité, la stricte monotonie qui en temps normal sur un ordre total est une condition SUFFISANTE d'injectivité se trouve aussi être une condition nécessaire avec IR SSC, mais comme tu l'énonces, c'est parfait*** et cette nécessité supplémentaire n'apparait pas.

    Donc confirmation, c'est une "fausse distinction" du secondaire (comme les expressions engoncées "formule des probabilités totales, etc" pour signaler des trucs de CM1).

    *** l'expression "par le TVI il existe blabla" ou l'expression "par le TVI il existe un unique blabla" quand la fonction est injective serait acceptée par correcteurs $\geq L1$, à mon avis.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • L'édit
  • La notion d'ordre total est enseigné en ECE ?
  • Une fonction continue $f:[a,b]\to\R$ n'est jamais surjective.
  • Flora
    Peut-on savoir ta version en cours du théorème de la bijection pour trancher.
    Si c'est la même définition que dans https://www.educastream.com/theoreme-valeurs-intermediaires-terminale-s
    ou que dans https://fr.wikipedia.org/wiki/Théorème_de_la_bijection ?
    Le 😄 Farceur


  • Oui, d'accord avec Christophe, la distinction entre les deux énoncés est purement pédagogique et ne vaut pas la peine de s'y arrêter.

    À mon avis le "corollaire du TVI", c'est simplement la version du "théorème de la bijection continue monotone sur un segment" que l'on donne avant que la notion de bijection ait été définie.
  • Je pense (ou j'espère) qu'elle a compris. C'était une affaire "quasi-typographique". Se noyer dans les turpitudes d'un secondaire qui, pour des raisons parfois inexplicables se met à zozoter de la rigueur ++ quand 99% du temps il fait du nawak, c'est bizarre, à ça, j'avoue ne pas connaitre l'explication.

    Peut-être des négociations entre eux de règles de correction chez des collègues ne voulant pas s'offenser les uns les autres (c'est assez classique), du genre "ah oui, le tien il n'a pas écrit "par le théorème de la bijection", je lui ai mis 3.75, ça te va?" :-D

    Ceux qui ne sont pas dans le secondaire n'imagineront jamais à quel point on est éberlué chaque jour par ces émergences d'aquarium. C'est vraiment un truc à voir.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • @Flora :
    Pour moi, l'énoncé que tu donnes :
    Soit f une fonction continue et strictement monotone de $[a,b]$ dans $\R$. Pour tout réel $u$ compris entre $f(a)$ et $f(b)$, l'équation $f(c) = u$ admet une unique solution dans $[a, b]$.
    a toutes les raisons de s'appeler "corollaire du TVI" mais je préfère que mes élèves précisent "appliqué aux fonction strictement monotones".


    Quand ils s'aperçoivent que c'est lourd de le dire ainsi, je leur fais écrire l'énoncé différemment :
    Soit f une fonction continue et strictement monotone de [a,b] dans R.
    Alors $f$ réalise une bijection de $[a,b]$ sur son image qui est $[f(a),f(b)]$ ou $[f(b),f(a)]$ suivant le sens de variation de $f$.
    Celui-ci est logiquement appelé "théorème de la bijection"... mais on voit qu'il n'est pas très satisfaisant car d'une part on doit distinguer suivant le sens de variation et d'autre part, le TVI est caché dans le fait que l'image est un intervalle, sans que ce soit écrit.


    Un peu plus tard encore, je remets une couche avec le "théorème d'homéomorphisme" :
    Soit f une fonction continue et strictement monotone de l'intervalle $I$ dans R. Alors :
    - l'image de l'intervalle $I$ par $f$ est un intervalle $J$,
    - $f$ réalise une bijection de $I$ sur $J$.
    - la réciproque de cette bijection est continue sur $J$.
    Autrement dit, $f$ réalise un homéomorphisme de $I$ sur son image $J=f(I)$.

    Dans ce dernier théorème, on voit le TVI à la première affirmation, on devine l'injectivité due à la stricte monotonie à la deuxième... et surtout on voit que le point qui apporte une vraie nouveauté est le 3ème !
  • gebrane, tu es mon idole. Quelle finesse pince sans rire !!!!! Bravo!


    gebrane a écrit:
    Si c'est la même définition que dans [www.educastream.com]
    ou que dans fr.wikipedia.org] ?
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • gebrane a écrit:
    Peut-on savoir ta version en cours du théorème de la bijection

    Edit
  • Pour moi, le théorème du sandwich au jambon, c’est celui-là : https://echecetmath.blogspot.com/2013/02/theoreme-du-sandwich-au-jambon-et-le.html (noter que le théorème écrit sur bibmath est faux, l’unicité n’est pas toujours vraie comme dans le cas d’une bougie cylindrique à trois couleurs).
    Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about.
            -- Schnoebelen, Philippe
  • Merci à tous pour vos réponses :-)

    Belle journée ensoleillée à tous !
  • Pour éviter les ambiguités, je voudrais préciser quand-même, au delà de l'aspect blague:

    1/ Faire des maths c'est prouver tout ce qu'on dit.

    2/ A ce titre, il y a des étapes 2 ou 3 par exemple pour naviguer entre des énoncés proches.

    3/ Mais demander UN NOM DE THEOREME, surtout via des conventions "internes et locales" moyennement bien fixées, voire pas fixables c'est autre chose et c'est surtout hypocrite car il y a une multitude d'étapes qui ne portent pas de noms dans les preuves des etudiants et qui ne sont PAS MOINS des théorèmes et non des axiomes logiques.

    4/ Pour les enseignants pointilleux, à la rigueur, exiger que l'élève ENONCE les théorèmes importants (ce qui n'a rien à voir avec un pointeur poétique, cmme gendarme, sandwich, etc). Et je ne parle même pas des "théorèmes fondamentaux de ceci cela" qui alors eux, c'est le clou du spectacle et le secondaire n'y est pour rien.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • J'ai bien rigolé quand j'ai vu la preuve du théorème 12 du document posté par Flora.
    "Par théorème, $f$ réalise une surjection de $I$ sur $f(I)$", avec un exercice pour ça. :-S
    N'ayons pas peur des mots !
  • Yes,

    Edit
  • Je comprends bien Flora.
    C'est le "Par théorème" qui me gêne.
  • Merci Flora pour la doc. C'est plus clair maintenant.
    Je trouve très inquiétante la maladresse du prof pointé par Gai requin. Peut-tu aussi dévoilé le sujet de l'exercice de Td6
    Le 😄 Farceur


  • @gebrane il n'y a pas de maladresse. L'expression*** "par théorème" est inélégante, mais un simple coup d'oeil aux cours dispensés en lycée par des profs du secondaire te ferait aduler ce prof comme un grand scientifique.

    Certes, on peut rédiger de façon plus "fluide", mais il y a des problèmes bien plus graves.

    *** qui veut juste dire "on ne le justifie pas ici présent, on renvoie à ailleurs".
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Cc je maintiens maladresse ( ajout par le theoreme) car toute application de I sur f (I) est bien surjective ou bien il y a une surprise des logiciens
    Le 😄 Farceur


  • En ES et même en S de plus en plus de professeurs ne s'embarrassaient même plus de ce corollaire du T.V.I. et mettaient tout dans le même sac T.V.I....Ils pouvaient même se justifier par une pirouette en traduisant T.V.I. par théorème de la valeur intermédiaire ou par théorème des valeurs intermédiaires...:-D De toute les manières pour le bac vous écrivez ''d'après le T.V.I.'' et ça passe et si en plus vous balancez le mot magique ''continue'' alors c'est mention directe:-D Je plaisante mais ce n'est pas loin...
  • @Biely Pas dit!? Les maths, c'est facile dans le secondaire (les hypothèses des théorèmes, c'est un peu surfait!).... Je ne comprends pas! ^^
  • @gebrane, je ne comprends pas ta question: d'après un théorème oui. Donc?

    A moins que tu ne veuilles pointer le fait que le petit mot "sur" serait déterminant, je ne vois pas. Aaah mais non, tu considères "$f(I)$" comme l'image directe de $f$ et déclares que c'est évident, c'est ça?

    De toute façon, c'est un théorème aussi évident soit-il, mais si la maladresse est là, alors oui, je peux confirmer qu'il y a maladresse, mais je dois relire le passage dans ce cas, je vais voir et postes un deuxième post.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • gebrane a écrit:
    très inquiétante
    Edit
  • Bon, je suis allé relire. Pour te dire, je n'avais pas lu jusqu'à la fin et avais loupé le truc, mais dans ce qui semble être ce qu'il raconte, c'est du grand n'importe quoi et ce prof a tort et GR a tort et toi tu as tort de qualifier ça de maladresse, c'est du bug en pack de personne pas réveillée du tout.

    L'injectivité de $f$ SUFFIT évidemment à assurer que $f$ est une bijection de $I$ sur $f(I)$ dès lors qu'on suppose que la notation $f(I)$ désigne l'image directe de $I$ par $f$. Point barre. Il n'y a aucun TVI, ni rien d'autre là dedans, et ça n'a rien d'une maladresse, c'est un bug (ie une coquille de personne ayant tapé trop vite).

    Cela dit, les gens sont tellement familiers qu'ils ne lisent pas (la preuve: moi), et considèrent à tort $f(I)$ comme (avec $I:=[a,b]) :

    $$ [min(f(a),f(b)), max(f(a),f(b))] $$

    justement à cause du TVI, et même pas pour eux, mais dans la bouche de leur interlocuteur (ils lui prêtent une intention). Je suis contre le mot "maladresse" alors, je préfère "faute" (c'est pas grave, mais c'est plus cash).

    D'une manière générale, de toute façon, ces cours alambiqués avec des encadrés et qui envoient le message "hein, rappelez-vous bien, faut apprendre ses leçons", avec ces présentations trop emphatiques et délayées donnent vite lieu à ce genre de bug. De la même façon que rouler à 45km/h en téléphonant fait risquer l'accident sur une route 80km/h.

    Comme je l'ai dit 1000 fois, les énoncés de maths devraient être formels et rigoureux dans les cours, sans abus de langage ou implicites. sinon, effectivement on tombe sur ces bugs (et ils ont des milliers dans TOUS les cours de ce genre, je ne cherche même plus à les débusquer,je les décommande et c'est tout, d'une manière générale tout cours long "écrit une fois" et "pour toujours" court ce risque, les éditeurs le savent très bien).
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Flora a écrit:
    il doit forcément y avoir une raison, c'était quelqu'un de très rigoureux. Il est d'ailleurs quelques part sur ce forum, mais je pens

    C'est bien justement pour ça, parce qu'il est sérieux, qu'il a fini par commettre cette erreur. C'est le sérieux qui met le nez sur le guidon et conduit à de "micro-burn out invisibles" quand les gens rédigent des tartines. Les "pas sérieux" ne rédigent pas des tartines avec de beaux encadrés colorés etc.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Christophe c a écrit:
    ces cours alambiqués avec des encadrés

    Edit
  • CC a écrit:
    L'injectivité de $f$ SUFFIT évidemment à assurer que $f$ est une bijection de $I$ sur $f(I)$ dès lors qu'on suppose que la notation $(I)$ désigne l'image directe de I par f. Point barre. Il n'y a aucun TVI, ni rien d'autre là dedans, et ça n'a rien d'une maladresse, c'est un bug (ie une coquille de personne ayant tapé trop vite).

    Mais si tu lis jusqu'au bout il le dit que le TVI n'est là que pour préciser que $f(I)$ est un intervalle.
  • cc a écrit:
    Bon, je suis allé relire. Pour te dire, je n'avais pas lu jusqu'à la fin et avais loupé le truc, mais dans ce qui semble être ce qu'il raconte, c'est du grand n'importe quoi et ce prof a tort et GR a tort et toi tu as tort de qualifier ça de maladresse, c'est du bug en pack de personne pas réveillée du tout.

    Du grand n'importe quoi ?! Flora dit que l'auteur est un collègue du forum (je crois savoir qui). Tu pourrais faire un peu plus attention à ta façon de t'exprimer. Et aussi être plus prudent. J'ai relu la Proposition 12 et sa démonstration. Laisser en références l'injectivité et la surjectivité au lieu de rappeler les démonstrations pourrait faire croire que ce sont des choses compliquées, mais je ne vois ni faute ni autre maladresse (*).
    cc a écrit:
    L'injectivité de f SUFFIT évidemment à assurer que f est une bijection de I sur f(I) dès lors qu'on suppose que la notation f(I) désigne l'image directe de I par f. Point barre. Il n'y a aucun TVI, ni rien d'autre là dedans, et ça n'a rien d'une maladresse, c'est un bug (ie une coquille de personne ayant tapé trop vite).

    Tu dis exactement la même chose que le document en question...

    (*) En fait si, mais juste une coquille : « pour préciser que $f(I)$ étant un intervalle ».
  • gebrane a écrit:
    Cc je maintiens maladresse ( ajout par le theoreme) car toute application de I sur f (I) est bien surjective ou bien il y a une surprise des logiciens
    En effet, on peut démontrer ceci à partir de la définition de l'image directe et c'est sans doute l'objet de l'exercice cité. C'est bien pour cette raison qu'on peut parler de théorème, même s'il est très facile (mais peut-être pas pour des ECE).
  • Flora, je ne savais pas que ton prof est un membre parmi nous. Je retire ce que j 'ai dit.

    Simeon, je ne vois pas ce qu' on doit demontrer. Si y est dans f(I), par définition, il existe x dans I telque f (x)=y, d'où la surjection. Sauf si la définition de f (I) n 'est pas universelle
    Le 😄 Farceur


  • J'ai plutôt tendance à penser que Siméon est très sérieux et crédible, donc si j'ai loupé un épisode, j'irai revoir ça, mais plus tard, fais confiance à Siméon, les logiciens n'ont pas le monopole de la logique :-D

    Je n'ai effectivement pas du tout lu les pointeurs de toute façon.
    Siméon a écrit:
    Flora dit que l'auteur est un collègue du forum (je crois savoir qui). Tu pourrais faire un peu plus attention à ta façon de t'exprimer.

    Ah bin là, je ne suis pas d'accord: ce serait plutôt si ce n'était pas un collègue du forum que ce serait maladroit. Si un collègue du forum prend mal un truc provenant de cc, c'est qu'il vient seulement tous les 5 mois :-D

    J'espère que tu ne nous fais pas "Docteur, j'ai un ami" (tu)
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Je vois qu'on se marre bien depuis ma petite remarque. B-)
    Je n'ai pas dit qu'il y avait faute hein, juste l'impression qu'on a sorti l'artillerie lourde pour l'évidente surjectivité de $f:I\to f(I)$...

    @cc : C'est quand même énorme comme tu pars au quart de tour après une lecture en diagonale. :-D
  • On arrive pas à 43200 posts par l'opératoin du st esprit, faut payer de sa personne :-D

    De toute façon, je voudrais rappeler (ça me parait utile) que j'essaie d'utiliser un style économique et considère que je m'adresse à des adultes qui penseront ce qu'ils veulent de ce que je dis.

    Donc je débarque en disant "c'est comme ça épictou" tout en sachant que personne ne va dire "amen", mais éventuellement essayer de voir et même casser et c'est tant mieux, forum de maths oblige. Mais j'avoue que je devrais repréciser ce mode d'emploi plus souvent, je ne suis pas "courant" comme individu (les gens n'aiment pas se ridiculiser en général). Ce n'est pas un plaisir, j'insiste, c'est un essai de concision (dont je manque cruellement).
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • gebrane a écrit:
    Simeon, je ne vois pas ce qu' on doit demontrer. Si y est dans f(I), par définition, il existe x dans I telque f (x)=y, d'où la surjection. Sauf si la définition de f (I) n 'est pas universelle

    Si si c'est bien ça : il suffit d'aligner deux définitions. Mais ce n'est pas trivial pour des ECE qui n'ont, en sortant du lycée, absolument aucune familiarité avec le formalisme ensembliste, les quantificateurs et même la notion de démonstration.

    Cher christophe, tu vas rigoler, il s'agit effectivement d'un copain ! :-) Mais j'aurais réagi de la même façon pour n'importe qui, je ne supporte pas les lynchages (le mot est trop fort, je n'en ai pas trouvé de meilleur). Surtout qu'en l'occurrence c'est toi qui as lu trop vite.
  • Fais un énorme bisou à ton copain et dis-lui que si un jour j'arrive à me déconfiner, je serais ravi de boire un verre. ;-)
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • N'y a-t-il pas des gens qui prétendent que les coquilles dans les livres de maths ont pour vertu de forcer le lecteur à être attentif, à exercer une "lecture active" ? Peut-être le mot "théorème" a-t-il été placé là à dessein dans l'espoir de faire réagir les élèves. :-D
  • Simeon,
    Tu transmets mes excuses à ton copain.
    Le 😄 Farceur


  • Salut brian,
    C'est exactement pour ça que j'ai réagi, sans surréagir de mon côté. ;-)
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