x = n : est un entier naturel positif supérieur à 4 , donc forcément le carré de n est positif aussi.
je rappelle que n est censé exprimer le nombre de décomposition .....
si vous ne lisiez pas à partir de la page n°1 et que vous compreniez en plus l'enchainement des idées , alors vous ne pouviez pas avoir Envi de lire quoi que se soit .
Toujours la même erreur logique dans le papier de Berkouk :
Si A==> B et B est vrai j'ai prouvé A C'est une ânerie.
Voilà pourquoi il y a tant de lignes à "prouver" que n² est positif. Sinon, le texte devient si pauvre que Berkouk lui-même se pose des questions. D'où ce remplissage qui s'apparente à une escroquerie.
Comme cette erreur lui a déjà été signalée, une conclusion s'impose : Berkouk n'est pas un "nul en maths" qui croit que ce qu'il fait est bien des maths, mais seulement quelqu'un qui veut faire croire qu'il est un génie et qu'il a prouvé en quelques lignes ce que des mathématiciens de renom n'ont pas été capables de voir.
"on compte les manières de décomposer en somme de deux entiers (non nécessairement premiers) le nombre n "
oui c'est ça avec n pair, oubliez G(n) et ne considérez que Pi (n).
@Poirot : c'est vrai le LEMME 1 mérite une démonstration par récurrence que tout n pair génère n/2 couples (a,b) répondant à la sommation Goldbach, tels que 0 < a et b < n,.. si quelqu'un pouvait m'esquisser cette récurrence....
@gerard0 : vous confondez ma présente démonstration basé sur le nombre de décomposition en couplet (CG forte) , et celle que j'avais présentée, il y a quelques mois, basée sur la logique (http://vixra.org/pdf/1507.0196v7.pdf).
Heu....pour le Lemme 1 :
Soit $n$ pair strictement supérieur à $2$, alors il existe un entier $k$ strictement supérieur à $1$ tel que : $n=2k$.
Soit $i$ un entier supérieur ou égal à $1$ et inférieur ou égal à $k$, alors : $i+(n-i)=n$
Il suffit de compter ces décompositions (à commutativité près), et de démontrer qu'il en existe exactement $k$ c'est à dire $\dfrac{n}{2}$.
Cela demande une petite preuve si on veut être rigoureux.
Bon.
Mais je crois que @Poirot a lu trop vite ce passage (voir mon message précédent).
Je pense que le texte est en partie responsable de cela.
==> tu démontres en 1 page des résultats idiots (la somme de 2 impairs est paire) etc..
==> les résultats importants tu utilises du charabia et du langage que tu ne maitrises pas pour faire passer la pilule "la logique inductive dit, équipotence, l’académie des sciences impériales en Europe ????
Conclusion : Arrête le massacre
Si ça fait 3 ans que tu postes sur tous les forums ton pdf et que tu obtiens des réactions négatives à chaque fois c'est qu'il y a une raison
Bonjour
@ noobey : je comprend que vous êtes embrouillé à la lecture de cette précédente demo. je vous conseille de lire le mode -résumé (abstract) ci-joint attaché .ça vous rendra un grand service.
@ Dom : merci pour l'esquisse , j'aimerais que quelqu’un me développe cette démonstration par récurrence à partir de l' initialisation ...etc ( je pense à Poirot )
Berkouk, tu ne comprends pas ce qu'est une surjection...
Il existe bien une surjection f de P² sur D ce qui veut dire
Pour tout n pair, il existe bien (p,p') tel que n = f(p,p') là je suis d'accord avec toi
Et alors?
Pourquoi n = p + p'?
En vrai tout ce qui est écrit avant et après la surjection que tu exhibes (tu n'as pas montré qu'elle existait) est du gros bullshit et du gros remplissage.
Maintenant vasy essaie de montrer que la surjection que tu exhibes existe? (bon courage)
Toujours le même procédé chez Berkouk : du baratin inutile (par exemple le"lemme" qui dit "toute somme de deus premiers est pair" (sous-entendu, le premiers sont supérieurs ou égaux à 3) pour noyer le poisson, puis la manipulation de mots qu'il ne comprend pas (surjection, bijection) et la tricherie ultime : l'existence d'une surjection est transformée en "cette surjection est justement l'addition p+p'" Tricherie.
Je le maintiens, Berkouk n'est pas un innocent qui croit faire des maths, il est sur des forums depuis assez longtemps pour avoir appris que ce qu'il fait n'est pas des maths. Il est là pour se faire mousser auprès des copains (j'ai prouvé quelque chose que les meilleurs mathématiciens ne savent pas faire).
Se faire mousser auprès de qui ? Tout le monde voit bien qu'il y a zéro math sur ce fil. C'est à force d'essayer d'en trouver qu'on pourrait faire croire que c'est sérieux, mais il n'y a justement rien de sérieux.
Je l'ai dit : Auprès de ses copains pas matheux évidemment. Comme les copains savent lire, il faut qu'il soit écrit que c'est du flan.
Berkouk a depuis longtemps renoncé à l'avis des matheux, il ne tient pas compte de nos avis.
prouvez moi que je n'ai pas le droit de considérer f(p,p') = p+p'
1) le fait , que selon la théorie des ensembles , il existe une Bijection entre l'ensemble des entier Pair et l'ensemble
des couples de premiers ( P^2) ce qui implique qu'il existe aussi une surjection qui comme par hasard dans les termes de cette surjection en général SE TROUVE être la même chose que la négation de la réciproque de la conjecture forte Goldbach
Essayer de prouver un gros résultat par la logique alors que très clairement la logique et toi ça fait deux...
effectivement dans cet affaire il y a deux Logiques , celle de la théorie des ensembles de Cantor qui dit qu'il ya surjection ...etc , et celle ( de je ne sais qui ) qui stipule le contraire , c'est à dire qu'il ne peut y avoir Surjection , ce qui est tout à fait légitime vu que pour un pair donné on peut avoir plusieurs décomposition , donc ça casse la bijection entre l'ensemble des entier Pair et l'ensemble des couples de premiers ( P^2) c'est pour cela que j'ai entamé une nouvelle démonstration basé sur le fait qu'il existe au moins une décomposition de couples de premiers tel que n=p+p' ...etc :
ce qui m’étonne , c'est de constater la véracité de la conjecture forte de Goldbach en entamant deux pistes diamétralement "opposés" d'un point de vues conception mathématique , j'ai bien peur que la citation de Skyffer 3 soit Vraie :
1) vous pouviez les constater par vous mème en lisant bien la démo. ( D , P^2.....ETC)
2) elle existe , car elle découle de l'existence de la bijection de D et P^2 intiment lié à Goldbach
( une bijection est à la fois injective et surjective par définition , et ça c'est pas du remplissage)
1) f(p,p') ne reste pas général, elle est bien spécifiée f(p,p') =p+p' , comme on sait que la somme de premiers >2 est toujours pair , donc (p+p') appartient à D :
\begin{array}{cccl}
f :& P^2 &\longrightarrow& D\\
&(p,p')& \longmapsto &f(p,p') = p+p' = N pair
\end{array}
2) si vous aviez bien lu ma démonstration concernant la conjecture forte de Goldbach , dans le cadre de la théorie des ensembles : le lemme fondamental et le lemme 1 ( fonction du couplage de CANTOR ) , ces deux lemmes permettent d'aboutir aux conclusions suivantes:
card (P^2) = card( D) => P^2 est équipotent à D
donc P^2 est en bijection avec D , donc P^2 est en surjection dans D
( tant qu'elle est bijective , on "sait" qu'elle est surjective et injective , @noobey )
Je sais (certainement mieux que toi) ce qu'est une bijection, une surjection et une injection.
J'ai dans un panier des pommes. (fonctions). Parmi elles j'ai des pommes rouges (bijections). Je tire une pomme (f(p,p') = p + p'). Montre moi que cette pomme est rouge.
Parce que moi je prends le même raisonnement que toi avec $g(p,p') = p^{2017} + p'^{2017}$ T'as bien une fonction qui va des couples de premiers dans les entiers pairs mais est-ce que c'est une bijection de $P^2$ sur $D$?
Berkouk : " donc P^2 est en surjection dans D"
oui, donc il existe une surjection S dont tu ne sais rien. Tu affirmes que c'est celle-ci ((p,p')-->p+p') alors que tu ne la connais pas (tu ne connais pas S). Donc tu parles sans savoir, tu ne prouves rien, au point de vue des maths, tu triches (tu dis que tu as gagné alors que tu n'as rien fait). En fait, affirmer que (p,p')-->p+p' est une surjection est exactement l'hypothèse de Goldbach.
Désolé, mais tu rêves que tu as fait un exploit, alors que tu n'as fait que du baratin.
@noobey :
1) votre exemple de panier de pomme colorée n'est pas adéquat car les nombres premiers n'ont pas de couleur
2) g(p,p') = p^{2017} + p'^{2017} est nécessairement une bijection de P^2 sur D
( avec p et p' > 2 , pour rester dans le contexte Goldbach...)
car tout N=p^{2017} + p'^{2017} est PAIR ( vous savez certainement mieux que moi que p^{2017} et
p'^{2017} sont respectivement impairs puisse que la puissance d'un impair par un impair est IMPAIR
et que la somme de deux impairs est PAIR )
@gerard0 :
" affirmer que (p,p')-->p+p' est une surjection est exactement l'hypothèse de Goldbach." oui j'affirme
et j'ajoute : et que cette surjection a été démontrée VRAI par la théorie des ensembles de CANTOR - que je répète :
2) si vous aviez bien lu ma démonstration concernant la conjecture forte de Goldbach , dans le cadre de la théorie des ensembles : le lemme fondamental et le lemme 1 ( fonction du couplage de CANTOR ) , ces deux lemmes permettent d'aboutir aux conclusions suivantes:
card (P^2) = card( D) => P^2 est équipotent à D
donc P^2 est en bijection avec D , donc P^2 est en surjection dans D
le refus de comprendre de Berkouk est soit de l'imbécillité, soit de la tricherie, soit le refus maladif d'entendre les arguments des autres.
Ce qui est encadré a été lu par tous, n'est pas remis en question car connu par tous (pour ma part depuis 50 ans) et sans rapport avec la question.
Toute insistance de Berkouk me ferait fortement pencher vers la première hypothèse.
@BERKOUK3 : un argument de cardinalité (ce que tu appelles argument de Cantor) prouve qu'il existe au moins une surjection de $\mathcal P^2$ sur $D$. Ça ne prouve pas que ton application $(p, p') \mapsto p + p'$ est bel et bien une surjection. Tu aurais très bien pu prendre $(p, p') \mapsto 38p + 6p'$ ou encore $(p, p') \mapsto 2$, ces fonctions n'ont rien à voir avec l'argument de cardinalité suscité. Si tu refuses d'admettre cela, tu n'as rien à faire sur un forum de mathématiques. Ne penses-tu pas que s'il suffisait de dire que $\mathcal P^2$ et $D$ ont même cardinal pour démontrer la conjecture de Goldbach, ce serait fait depuis belle lurette ? Réfléchis sincèrement à la question.
On considère l'application qui à un couple de nombres premiers $(p,q)$ associe le nombre $2pq$
L'image d'un tel couple est bien un nombre pair (l'application est définie de l'ensemble des couples de nombres premiers vers l'ensemble des entiers pairs) mais clairement ce n'est pas une application surjective car le nombre $24$ n'a pas d'antécédent.
Toutes les applications qui à un couple de nombres premiers associe un nombre pair ne sont pas surjectives.
PS:
En mathématiques quand on fait des "traductions", c'est pour faire entrer le problème à traiter dans le cadre d'une théorie déjà connue et donc appliquer des outils empruntés à cette théorie pour faire progresser la résolution du problème et pas pour faire de la prestidigitation.
(on reconnait généralement le shtam à cette propension à noyer le problème avec de la terminologie qui n'apporte rien à la résolution d'un problème)
BERKOUK3 écrivait:
> 1) f(p,p') ne reste pas général, elle est
> bien spécifiée f(p,p') =p+p' , comme on sait
> que la somme de premiers >2 est toujours
> pair
Bon, donc si je résume ton pdf tu admets que tu n'as rien prouvé. Tu dis juste que s'il existait un contre-exemple on l'aurait trouvé depuis le temps. Merci mais c'est pas nouveau, c'est bien pour ça que c'est une conjecture valide.
Était-ce nécessaire de nous faire subir toutes tes gesticulations pour à la fin admettre enfin que tout cela n'est que du vent ? Tu invoques des arguments de cardinalité alors que tu n'as aucune base en maths, et tu espères démontrer ainsi Goldbach. Tu ne manques pas d'audace.
@BERKOUK : les exemples que je donnais ($(p,p') \mapsto 36p + 8p'$ et $(p,p') \mapsto 2$) ne sont évidemment pas des surjections sur $D$. Mon but était de te faire comprendre que le fait de dire que $(p,p') \mapsto p+p'$ est une surjection, simplement grâce au raisonnement de cardinalité, est complètement arbitraire.
pour conclure , l'argument de Cardinalité est nécessaire mais pas suffisant pour démontrer Goldbach
démontrer l’impossibilité de trouver un contre-exemple serait le bon argument , c'est ce que je vous ai
promis dans mon troisième essai de démonstration .
je remercie tous les participants , y compris les créateurs de SCHTAM * pour le temps consacré à la C.Goldbach
je rappelle que le sujet est : Re: nombre de décompositions de Goldbach , c'est à dire ma deuxième
démonstration ci-dessous :
c'est ce que je vous ai
promis dans mon troisième essai de démonstration .
Tu es bien audacieux, bon courage...
Au fait une démonstration (non validée) de la conjecture faible de Goldbach a été rédigée en 2013 https://arxiv.org/pdf/1305.2897v1.pdf
Tu te rends bien compte je l'espère qu'au vu du niveau de l'article, il suffit pas de 1 page de démonstration (ta page 3) que personnellement je ne comprends pas pour démontrer la conjecture forte de Goldbach
A contrario, si tu as démontré la conjecture forte, le passage de la conjecture forte à la conjecture faible prend moins d'une demi page. Je ne comprends pas pourquoi tu mets 10 fois plus de temps à démontrer la conjecture faible que la forte...
Preuve :
On suppose avoir démontré la conjecture forte de Goldbach
Alors si n est un entier impair, alors n-3 est pair et s'écrit sous la forme de somme de 2 nombre premiers p et q. Du coup n = p + q + 3 est somme de 3 nombres premiers
Si n est un entier pair, alors n-2 s'écrit comme somme de 2 nombres premiers p et q et n = p + q + 2
Cite BERKOUK :
g(p,p') = p^{2017} + p'^{2017} est nécessairement une bijection de P^2 sur D
( avec p et p' > 2 , pour rester dans le contexte Goldbach...)
Bonjour @noobey :
1) en ce qui concerne la démonstration de H.A HELFGOTT , ça ne m 'étonnerait pas qu'il ne soit pas validé pour une raison simple ; c'est que quand VINOGRADOV a établit don théorème qui dit en gros que la C.Goldbach faible est vraie au delà d' un certain nombre impair à savoir C= 3^3^15 = 3^43046721 , il ne reste alors qu'à vérifier par ordinateur tout les Impairs < C chose impossible étant donnée l’énormité de C ( à moins d'un ordinateur quantique ..)
C a été ensuite rabaissé une première fois à 3.33 . 10^43000 ( Borodzin -1939) , puis une deuxième fois à C= 2.10^1346 par J.R Chen et T.Z Wang , puis une troisième fois par H.A. HELFGOTT -1213 , à C= 8.87.. .10^30 ...
imaginez qu'on passe par le biais de je ne sais quelle démonstrations d'un C d'une valeur cosmique à une C d'une valeur terrestre à la porté de nos ordinateurs actuels ? Ce dont j'ai toujours douté
2) pour des raisons logique j'ai toujours cru à l'indépendance de la démo. C.G forte et C.G faible bien qu'on peut aboutir à leurs démonstrations par le biais d'une seul démarche .
3) clarification de ma page 3 :
a) on peut exprimer la C.G par N(pair) = p+p' , par M(entier)= p+p'/2 , par " il existe au moins un couplet (p,p') tel que N=p+p' "...etc ce qui explique l’équivalence logique
b) la fonction explicite de la récurrence est de n/2 représentant le nombre ce couplet Goldbach généré par un nombre pair N ( ex N= 6
> (1,5) (2,4) (3,3) = 3 couplet à sommation Goldbach = 6/2= 3 )
c) pi(n/2)^2 = (n/2)/log(n/2) * (n/2)/log(n/2) = n^2/( 2log(n)-2log(2) qui représente le nombre de couplet goldbach et par la sommation ' et par la primalité , ce nombre positif doit exister ( par " il existe au moins un couplet (p,p') tel que N=p+p' " )
Donc n^2/( 2log(n)-2log(2) > 0 , comme le dénominateur est différent de 0 donc C.Goldbach
consiste à démontrer tout simplement l'inéquation N^2 > 0 ... vous connaissez la suite....
Tu doutes du fait que l'on puisse abaisser la constante de Vinogradov aà quelque chose d'accessible, mais pas du fait qu'on puisse démontrer la CG forte en une page avec des mathématiques élémentaires ? Pardon mais c'est du foutage de gueule.
Trop ballot, j’ai raté la copie d’écran (screenshot attrape mieux la notion d’instantanéité je trouve) pour 11742 vues (ose mille sept cent quarante-deux).
Motif factice pour remonter les couches de sédiments...
Bonne journée,
Denise
Tu as le droit. Maintenant prouve nous que f est une surjection
A dans 3 semaines
noobey
comme promis
voici une démonstration qui prouve la fameuse surjection , c'est à dire qu'il ne peut y avoir de contre-exemple
à la Conjecture de Goldbach ... comme je vous ai annoncé dans :
pour conclure , l'argument de Cardinalité est nécessaire mais pas suffisant pour démontrer Goldbach
démontrer l’impossibilité de trouver un contre-exemple serait le bon argument , c'est ce que je vous ai
promis dans mon troisième essai de démonstration .....
Réponses
[Activation du lien. AD]
Ca donne pas vraiment envie de lire...
x = n : est un entier naturel positif supérieur à 4 , donc forcément le carré de n est positif aussi.
je rappelle que n est censé exprimer le nombre de décomposition .....
si vous ne lisiez pas à partir de la page n°1 et que vous compreniez en plus l'enchainement des idées , alors vous ne pouviez pas avoir Envi de lire quoi que se soit .
BERKOUK
J'avais compris le lemme 1 comme "on compte les manières de décomposer en somme de deux entiers (non nécessairement premiers) le nombre $n$ "
Cela dit, je ne parviens pas à comprendre la suite.
L'encadré contenant l'expression "est équivalent donc" m'agace. Mais c'est donc très personnel.
Les égalités qui suivent, je ne les comprends pas.
Par exemple celle-ci :
$$G(n)=\pi(\dfrac{n}{2})$$
Mais je ne suis pas spécialiste.
Je recopie le lien car il ne fonctionne pas chez moi : http://vixra.org/pdf/1609.0398v2.pdf
Si A==> B et B est vrai j'ai prouvé A
C'est une ânerie.
Voilà pourquoi il y a tant de lignes à "prouver" que n² est positif. Sinon, le texte devient si pauvre que Berkouk lui-même se pose des questions. D'où ce remplissage qui s'apparente à une escroquerie.
Comme cette erreur lui a déjà été signalée, une conclusion s'impose : Berkouk n'est pas un "nul en maths" qui croit que ce qu'il fait est bien des maths, mais seulement quelqu'un qui veut faire croire qu'il est un génie et qu'il a prouvé en quelques lignes ce que des mathématiciens de renom n'ont pas été capables de voir.
Dom
oui c'est ça avec n pair, oubliez G(n) et ne considérez que Pi (n).
@Poirot : c'est vrai le LEMME 1 mérite une démonstration par récurrence que tout n pair génère n/2 couples (a,b) répondant à la sommation Goldbach, tels que 0 < a et b < n,.. si quelqu'un pouvait m'esquisser cette récurrence....
@gerard0 : vous confondez ma présente démonstration basé sur le nombre de décomposition en couplet (CG forte) , et celle que j'avais présentée, il y a quelques mois, basée sur la logique ( http://vixra.org/pdf/1507.0196v7.pdf ).
BERKOUK
Soit $n$ pair strictement supérieur à $2$, alors il existe un entier $k$ strictement supérieur à $1$ tel que : $n=2k$.
Soit $i$ un entier supérieur ou égal à $1$ et inférieur ou égal à $k$, alors : $i+(n-i)=n$
Il suffit de compter ces décompositions (à commutativité près), et de démontrer qu'il en existe exactement $k$ c'est à dire $\dfrac{n}{2}$.
Cela demande une petite preuve si on veut être rigoureux.
Bon.
Mais je crois que @Poirot a lu trop vite ce passage (voir mon message précédent).
Je pense que le texte est en partie responsable de cela.
==> tu démontres en 1 page des résultats idiots (la somme de 2 impairs est paire) etc..
==> les résultats importants tu utilises du charabia et du langage que tu ne maitrises pas pour faire passer la pilule "la logique inductive dit, équipotence, l’académie des sciences impériales en Europe ????
Conclusion : Arrête le massacre
Si ça fait 3 ans que tu postes sur tous les forums ton pdf et que tu obtiens des réactions négatives à chaque fois c'est qu'il y a une raison
@ noobey : je comprend que vous êtes embrouillé à la lecture de cette précédente demo. je vous conseille de lire le mode -résumé (abstract) ci-joint attaché .ça vous rendra un grand service.
@ Dom : merci pour l'esquisse , j'aimerais que quelqu’un me développe cette démonstration par récurrence à partir de l' initialisation ...etc ( je pense à Poirot )
merci d'avance
BERKOUK
Il existe bien une surjection f de P² sur D ce qui veut dire
Pour tout n pair, il existe bien (p,p') tel que n = f(p,p') là je suis d'accord avec toi
Et alors?
Pourquoi n = p + p'?
En vrai tout ce qui est écrit avant et après la surjection que tu exhibes (tu n'as pas montré qu'elle existait) est du gros bullshit et du gros remplissage.
Maintenant vasy essaie de montrer que la surjection que tu exhibes existe? (bon courage)
Tricherie.
Je le maintiens, Berkouk n'est pas un innocent qui croit faire des maths, il est sur des forums depuis assez longtemps pour avoir appris que ce qu'il fait n'est pas des maths. Il est là pour se faire mousser auprès des copains (j'ai prouvé quelque chose que les meilleurs mathématiciens ne savent pas faire).
Pour ses copains : Ne le croyez pas, il ment.
Berkouk a depuis longtemps renoncé à l'avis des matheux, il ne tient pas compte de nos avis.
je rappelle que nous somme entrain de discuter sérieusement ma démo.précédente http://vixra.org/pdf/1507.0196v7.pdf
@noobey
prouvez moi que je n'ai pas le droit de considérer f(p,p') = p+p'
1) le fait , que selon la théorie des ensembles , il existe une Bijection entre l'ensemble des entier Pair et l'ensemble
des couples de premiers ( P^2) ce qui implique qu'il existe aussi une surjection qui comme par hasard dans les termes de cette surjection en général SE TROUVE être la même chose que la négation de la réciproque de la conjecture forte Goldbach
effectivement dans cet affaire il y a deux Logiques , celle de la théorie des ensembles de Cantor qui dit qu'il ya surjection ...etc , et celle ( de je ne sais qui ) qui stipule le contraire , c'est à dire qu'il ne peut y avoir Surjection , ce qui est tout à fait légitime vu que pour un pair donné on peut avoir plusieurs décomposition , donc ça casse la bijection entre l'ensemble des entier Pair et l'ensemble des couples de premiers ( P^2) c'est pour cela que j'ai entamé une nouvelle démonstration basé sur le fait qu'il existe au moins une décomposition de couples de premiers tel que n=p+p' ...etc :
http://vixra.org/pdf/1609.0398v2.pdf
ce qui m’étonne , c'est de constater la véracité de la conjecture forte de Goldbach en entamant deux pistes diamétralement "opposés" d'un point de vues conception mathématique , j'ai bien peur que la citation de Skyffer 3 soit Vraie :
BERKOUK
@remark
1) vous pouviez les constater par vous mème en lisant bien la démo. ( D , P^2.....ETC)
2) elle existe , car elle découle de l'existence de la bijection de D et P^2 intiment lié à Goldbach
( une bijection est à la fois injective et surjective par définition , et ça c'est pas du remplissage)
BERKOUK
On pose
$\begin{array}{cccl}
f :& P^2 &\longrightarrow& D\\
&(p,p')& \longmapsto &f(p,p') = p+p'
\end{array}$
$g$ est une surjection de $P^2$ sur $D$. (Elle existe comme tu l'as dit bravo un truc vrai que tu racontes)
Pourquoi $\fbox{f = g}$ ?
@noobey
@remark :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Surjection
pourquoi vous ne répondez pas à cette question
BERKOUK
@Berkouk3
Tu as le droit. Maintenant prouve nous que f est une surjection
A dans 3 semaines
noobey
\begin{array}{cccl}
f :& P^2 &\longrightarrow& D\\
&(p,p')& \longmapsto &f(p,p') = p+p' = N pair
\end{array}
2) si vous aviez bien lu ma démonstration concernant la conjecture forte de Goldbach , dans le cadre de la théorie des ensembles : le lemme fondamental et le lemme 1 ( fonction du couplage de CANTOR ) , ces deux lemmes permettent d'aboutir aux conclusions suivantes:
card (P^2) = card( D) => P^2 est équipotent à D
donc P^2 est en bijection avec D , donc P^2 est en surjection dans D
( tant qu'elle est bijective , on "sait" qu'elle est surjective et injective , @noobey )
BERKOUK
J'ai dans un panier des pommes. (fonctions). Parmi elles j'ai des pommes rouges (bijections). Je tire une pomme (f(p,p') = p + p'). Montre moi que cette pomme est rouge.
Parce que moi je prends le même raisonnement que toi avec $g(p,p') = p^{2017} + p'^{2017}$ T'as bien une fonction qui va des couples de premiers dans les entiers pairs mais est-ce que c'est une bijection de $P^2$ sur $D$?
oui, donc il existe une surjection S dont tu ne sais rien. Tu affirmes que c'est celle-ci ((p,p')-->p+p') alors que tu ne la connais pas (tu ne connais pas S). Donc tu parles sans savoir, tu ne prouves rien, au point de vue des maths, tu triches (tu dis que tu as gagné alors que tu n'as rien fait). En fait, affirmer que (p,p')-->p+p' est une surjection est exactement l'hypothèse de Goldbach.
Désolé, mais tu rêves que tu as fait un exploit, alors que tu n'as fait que du baratin.
@noobey :
1) votre exemple de panier de pomme colorée n'est pas adéquat car les nombres premiers n'ont pas de couleur
2) g(p,p') = p^{2017} + p'^{2017} est nécessairement une bijection de P^2 sur D
( avec p et p' > 2 , pour rester dans le contexte Goldbach...)
car tout N=p^{2017} + p'^{2017} est PAIR ( vous savez certainement mieux que moi que p^{2017} et
p'^{2017} sont respectivement impairs puisse que la puissance d'un impair par un impair est IMPAIR
et que la somme de deux impairs est PAIR )
@gerard0 :
" affirmer que (p,p')-->p+p' est une surjection est exactement l'hypothèse de Goldbach." oui j'affirme
et j'ajoute : et que cette surjection a été démontrée VRAI par la théorie des ensembles de CANTOR - que je répète :
chose que vous faites semblant d'ignorer .
BERKOUK
le refus de comprendre de Berkouk est soit de l'imbécillité, soit de la tricherie, soit le refus maladif d'entendre les arguments des autres.
Ce qui est encadré a été lu par tous, n'est pas remis en question car connu par tous (pour ma part depuis 50 ans) et sans rapport avec la question.
Toute insistance de Berkouk me ferait fortement pencher vers la première hypothèse.
Ceci prouve que tu n'as absolument rien compris à ce dont tu parles.
L'image d'un tel couple est bien un nombre pair (l'application est définie de l'ensemble des couples de nombres premiers vers l'ensemble des entiers pairs) mais clairement ce n'est pas une application surjective car le nombre $24$ n'a pas d'antécédent.
Toutes les applications qui à un couple de nombres premiers associe un nombre pair ne sont pas surjectives.
PS:
En mathématiques quand on fait des "traductions", c'est pour faire entrer le problème à traiter dans le cadre d'une théorie déjà connue et donc appliquer des outils empruntés à cette théorie pour faire progresser la résolution du problème et pas pour faire de la prestidigitation.
(on reconnait généralement le shtam à cette propension à noyer le problème avec de la terminologie qui n'apporte rien à la résolution d'un problème)
> 1) f(p,p') ne reste pas général, elle est
> bien spécifiée f(p,p') =p+p' , comme on sait
> que la somme de premiers >2 est toujours
> pair
Salut, $7 + 2 = 9$ et $9$ est impair.
A plus.
Pourquoi ne pas essayer une preuve?
veuillez trouver ma réponse détaillée CI-JOINTE , car le système refuse de faire passer la réponse directement.
bonne lecture
BERKOUK
Était-ce nécessaire de nous faire subir toutes tes gesticulations pour à la fin admettre enfin que tout cela n'est que du vent ? Tu invoques des arguments de cardinalité alors que tu n'as aucune base en maths, et tu espères démontrer ainsi Goldbach. Tu ne manques pas d'audace.
Imaginons que f : (p,p') soit une surjection
Alors pour toute bijection g de P^2 sur P^2 (et il y en a beaucoup...) fog est encore une surjection.
f (pi,p') = 2i pour tout i, et tout p' premier
pour conclure , l'argument de Cardinalité est nécessaire mais pas suffisant pour démontrer Goldbach
démontrer l’impossibilité de trouver un contre-exemple serait le bon argument , c'est ce que je vous ai
promis dans mon troisième essai de démonstration .
je remercie tous les participants , y compris les créateurs de SCHTAM * pour le temps consacré à la C.Goldbach
je rappelle que le sujet est : Re: nombre de décompositions de Goldbach , c'est à dire ma deuxième
démonstration ci-dessous :
http://vixra.org/pdf/1609.0398v2.pdf
en attendant de vous lire
BERKOUK
Tu es bien audacieux, bon courage...
Au fait une démonstration (non validée) de la conjecture faible de Goldbach a été rédigée en 2013
https://arxiv.org/pdf/1305.2897v1.pdf
Tu te rends bien compte je l'espère qu'au vu du niveau de l'article, il suffit pas de 1 page de démonstration (ta page 3) que personnellement je ne comprends pas pour démontrer la conjecture forte de Goldbach
A contrario, si tu as démontré la conjecture forte, le passage de la conjecture forte à la conjecture faible prend moins d'une demi page. Je ne comprends pas pourquoi tu mets 10 fois plus de temps à démontrer la conjecture faible que la forte...
Preuve :
On suppose avoir démontré la conjecture forte de Goldbach
Alors si n est un entier impair, alors n-3 est pair et s'écrit sous la forme de somme de 2 nombre premiers p et q. Du coup n = p + q + 3 est somme de 3 nombres premiers
Si n est un entier pair, alors n-2 s'écrit comme somme de 2 nombres premiers p et q et n = p + q + 2
g(p,p') = p^{2017} + p'^{2017} est nécessairement une bijection de P^2 sur D
( avec p et p' > 2 , pour rester dans le contexte Goldbach...)
Soit ; alors, quel est un antécédent de $d=6$ ?
@noobey :
1) en ce qui concerne la démonstration de H.A HELFGOTT , ça ne m 'étonnerait pas qu'il ne soit pas validé pour une raison simple ; c'est que quand VINOGRADOV a établit don théorème qui dit en gros que la C.Goldbach faible est vraie au delà d' un certain nombre impair à savoir C= 3^3^15 = 3^43046721 , il ne reste alors qu'à vérifier par ordinateur tout les Impairs < C chose impossible étant donnée l’énormité de C ( à moins d'un ordinateur quantique ..)
C a été ensuite rabaissé une première fois à 3.33 . 10^43000 ( Borodzin -1939) , puis une deuxième fois à C= 2.10^1346 par J.R Chen et T.Z Wang , puis une troisième fois par H.A. HELFGOTT -1213 , à C= 8.87.. .10^30 ...
imaginez qu'on passe par le biais de je ne sais quelle démonstrations d'un C d'une valeur cosmique à une C d'une valeur terrestre à la porté de nos ordinateurs actuels ? Ce dont j'ai toujours douté
2) pour des raisons logique j'ai toujours cru à l'indépendance de la démo. C.G forte et C.G faible bien qu'on peut aboutir à leurs démonstrations par le biais d'une seul démarche .
3) clarification de ma page 3 :
a) on peut exprimer la C.G par N(pair) = p+p' , par M(entier)= p+p'/2 , par " il existe au moins un couplet (p,p') tel que N=p+p' "...etc ce qui explique l’équivalence logique
b) la fonction explicite de la récurrence est de n/2 représentant le nombre ce couplet Goldbach généré par un nombre pair N ( ex N= 6
> (1,5) (2,4) (3,3) = 3 couplet à sommation Goldbach = 6/2= 3 )
c) pi(n/2)^2 = (n/2)/log(n/2) * (n/2)/log(n/2) = n^2/( 2log(n)-2log(2) qui représente le nombre de couplet goldbach et par la sommation ' et par la primalité , ce nombre positif doit exister ( par " il existe au moins un couplet (p,p') tel que N=p+p' " )
Donc n^2/( 2log(n)-2log(2) > 0 , comme le dénominateur est différent de 0 donc C.Goldbach
consiste à démontrer tout simplement l'inéquation N^2 > 0 ... vous connaissez la suite....
BERKOUK
Motif factice pour remonter les couches de sédiments...
Bonne journée,
Denise
comme promis
voici une démonstration qui prouve la fameuse surjection , c'est à dire qu'il ne peut y avoir de contre-exemple
à la Conjecture de Goldbach ... comme je vous ai annoncé dans :
en attendant de préparer le fichier
B.Mohamed
Faut pas rigoler, tu prépares le fichier et tu le publies ou bien tu n'as rien à publier ; mais ce dernier message est insondablement creux :-X !
Bruno
Ou bien, Berkouk attend le livreur. X:-(
OK vous êtes là --- ci-joint.
en attendant de vous lire
BERKOUK M.