Les quasi-oracles.

Bonsoir,

Un oracle est une fonction boîte noire (dont on ne sait pas comment elle calcule, mais dont on peut disposer pour ses calculs).

Déjà, est-ce que cela existe ?

Sinon j'ai une idée pour en fabriquer (des quasi-oracles).

Bonne soirée.

PS : pour la modération ce fil serait plus adéquat en shmat, sauf s'il existe déjà un moyen de fabriquer des quasi-oracles, merci.

Réponses

  • vous pouvez me confirmer que personne ici ne connaît.
  • On peut en programmer une peut-être.
    Un oracle "polynomial" où les coefficients sont choisis aléatoirement (au départ).
  • Mais alors cela ne serait plus une fonction, car un même nombre pourrait donner 2 résultats différents (à cause du recours à des tirages aléatoires).

    Si les coefficients sont fixés on peut retrouver le polynôme, avec quelques valeurs connaissant images et antécédents.
  • En électronique, on utilise des boites noires dont parfois on ne connaît pas le fonctionnement interne. la sortie (électrique) est une fonction de l'entrée.

    A noter : Dom ne parlait pas d'aléatoire dans le fonctionnement, seulement de choix aléatoire au départ. De plus, si la fonction a été construite aléatoirement avec des polynômes, des exponentielles, des fonctions trigo, .. il sera délicat de retrouver son expression.

    Bon, tout ça dans quel but ?
  • Oui @gérard0 a décrit ce que j'avais en tête.
  • But : proposer une manière de produire des quasi-oracles, en utilisant du logiciel et non du matériel.

    Ils pourraient être très utiles en crypto et sûrement dans d'autre domaine que je ne suspecte même pas.


    En faites la méthode est très simple : c'est de volontairement très mal programmer sa fonction et ajouter des calculs inutiles difficiles à discerner des calculs utiles, ainsi même le code source ne permettrait pas de savoir ce que fait cette fonction.
  • On peut aussi, mais je pense que cela ne va pas te plaire, donner à chaque valeur entrée, une valeur "aléatoire".
    S'interdire de redonner une valeur déjà "calculée" en entrée.
    Cela revient à préciser un graphe, à chaque demande.

    Le probleme est toujours résoluble par des polynomes dont le degré est fonction lineaire du nombre de points.
    Mais là, c'est n'importe quoi, je reconnais.
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