Explication sur les nombres premiers jumeaux

Réponses

  • Bonjour.

    Beaucoup de phrases qui n'ont pas vraiment de sens. Je me contente de la première (mais il y en a plein d'autres) :
    "... si la proportion des nombres premiers en fonction des autres n’est jamais égale à zéro"
    En cherchant à décoder, je comprends que tu demandes que la proportion $\frac p n$ où p est le nombre d'entiers premiers entre 1 et n soit non nulle. Mais comme 2 est premier, dès que $n\ge 2$, p est non nul et la fraction aussi. Donc soit tu veux dire autre chose, soit tu ne fais pas attention à ce que tu écris.

    Ton message est du même tonneau : "En fichier joint vous trouverez ma démonstration pour la conjecture des nombres premiers jumeaux." (j'ai rajouté le mot manquant) "Ce n'est pas du tout une démonstration rigoureuse, mais plus une explication"
    C'est une démonstration ? Ou une explication "pas rigoureuse du tout" ?

    D'accord, tu es au lycée, et il te manque des outils mathématiques. Mais tout ça c'est du français courant, et tu sembles aussi ne pas le maîtriser, ou t'en moquer. Donc ce n'est pas sérieux. La jeunesse n'est pas une excuse, et en maths, elle est parfois géniale (Abel, Galois, ..) quand les jeunes font très attention à ce qu'ils écrivent. l'inexpérience non plus n'est pas une excuse quand on s'attaque à un problème sur lequel tant de gens très costauds ont buté.

    Donc si tu penses avoir une preuve (une vraie, pas un "explication, ça, on en a tous), tu la rédiges correctement, suivant les règles de la preuve : partir du vrai (du connu) et appliquer à chaque étape uniquement et strictement des règles mathématiques reconnues.

    Cordialement.

    NB : On trouve facilement des cours d'arithmétique et de théorie des nombres et on peut apprendre une bonne partie de l'arithmétique en étant lycéen (je l'ai fait en mon jeune temps).
  • Je ne vais pas être diplomate du tout : c'est n'importe quoi.
    Dans la fin, tu rédiges comme si c'était une démonstration: " Il existe donc une infinité de nombres premiers jumeaux !". Il faut choisir.
    Soit du considères que c'est une démonstration... et tu mets la conjonction 'DONC'.
    Soit tu sais que ce n'est pas correct, et que tu n'as rien démontré, et tu emploies les mots correspondants.

    Un peu avant tu fais un certain comptage sur les nombres jumeaux. Et comme ce comptage donne un résultat faux pour $p(1)$, hop,on y va, on divise par 2. Ce n'est pas sérieux.

    C'est bien de s'intéresser aux maths, aux nombres premiers, mais il faut plus de rigueur.

    Le sujet des nombres premiers est très complexe. Faire un exposé de ce que tu sais, c'est parfait, c'est intéressant et je t'invite à le faire. Par contre, faire des démonstrations de tel ou tel résultat, c'est trop compliqué ; même avec un niveau Bac+5, ça reste un sujet très compliqué.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • lourrran : si seulement ce n'était plus compliqué après un Bac+5 :-D
  • Cette "preuve" revient régulièrement.
    Lire ma réponse ici:
    preuve jumeaux?

    et une analogie ici (premier post de la page):
    theta-twins
  • Bonsoir,

    Je propose que tu éclaircisses ton document.
    Il est très facile de le critiquer mais ce n'est pas mon ambition.

    Comme l'a dit Gérard, c'est la première chose que l'on lit qui est étonnante :
    "Les nombres premiers sont infinies si la proportion des nombres premiers en fonction des
    autres n’est jamais égale à zéro".

    Cela tend à dire que "les nombres premiers ne sont pas infinis" puisque "la proportion des nombres premiers" en fonction des autres n'est pas égale à zéro (puis qu'il en existe au moins 1 et que pour tout entier $n$ non nul, $\frac{1}{n}$ n'est pas nul).

    Ensuite, je ne comprends pas du tout cette assertion dans l'exemple choisi :
    "7 est premier car 2-4-6-8 / 3-6-9 / 4-8 / 5-10 / 6-12"

    Si on peut deviner ce que tu veux dire, cela n'est pas satisfaisant pour quelqu'un qui propose une preuve de quelque chose. Il faut de la clarté.
    Au passage, tu propose plutôt de tester les entiers inférieurs ou égaux à $\sqrt{7}$ et ainsi le "2-4-6-8" aurait suffit selon toi. Le lecteur trouve ainsi une incohérence dès le second paragraphe. Il peut abandonner la lecture...

    Le troisième paragraphe est obscur également.

    Ainsi, crois-tu pouvoir proposer un texte clair ? Ce n'est pas si simple lorsque l'on n'est qu'au lycée.
    J'oserais dire que c'est impossible dans le sens où l'on enseigne très peu (certains disent même qu'on ne l'enseigne pas du tout) le langage des démonstrations (certains disent même "le langage mathématique"), même si des démonstrations ont lieu, disons, en respectant des modèles tout faits.

    Mais même avec le langage courant, tu dois pouvoir proposer un texte plus clair.

    Bon courage.
  • La question n'est pas de savoir combien "il en reste potentiellement" à chaque étape, mais de savoir combien sont "produits" ou "assurés" et en quelle quantité. L'exemple des teta-twins est là pour en faire prendre conscience: Il a beau en rester une infinité à chaque étape pour une infinité d'étapes, mais aucune étape n'en "produit" un seul. A l'autre extrémité, il suffit de montrer qu'un nombre premier est "produit" à chaque étape (c'est le premier élément de chaque nouveau set), et qu'il y a bien une infinité d'étapes.
  • Je pense que si on considère que ce document est cohérent, et si on remplace 2 par 3 dans ce document, alors non seulement on a prouvé qu'il y a une infinité de couples de nombres premiers jumeaux, mais on a aussi prouvé qu'il existe une infinité de couples de nombres premiers (a,b) qui vérifient b=a+3.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Comme dit plus haut, ce que tu dois montrer c'est combien de jumeaux sont produits à chaque étape (ou dans l'ensemble). Un jumeaux n'est "produit"/"assuré d'être jumeaux" que quand le premier élément de $A_n$ est $p_{n+1}$, or ce n'est pas toujours le cas. Rien ne dit que malgré l'infinité de jumeaux potentiels on arrive pas à un moment où plus aucun n'est "produit" (comme pour des teta-twins). Bonne chance, c'est un bon exercice pour comprendre les nombres premiers, mais ne t'emballe pas trop vite non plus.
  • SamuelJoary,

    tu rêves un peu : " L'objectif de ce post était avant tout de partager mon idée de résolution de ce problème afin de m'aider à le rendre rigoureux et éventuellement le démontrer." Ton idée est venue à l'esprit de bien d'autres avant toi, dont de nombreux mathématiciens professionnels spécialistes de la question (*) qui n'en ont rien tiré. Si quelqu'un était capable de t'aider à la démontrer, comme la preuve viendrait de lui (l'idée, "ton idée", est publique depuis des siècles), il n'aurait aucun intérêt à t'aider, il y a un prix attribué à la résolution du problème numéro 8 de Hilbert parmi les 23 qu'il a signalés au congrès international des mathématiciens de 1900. Mais je suis tranquille, si un mathématicien actuel s'intéresse à la question et est près à progresser vers la solution, il ne vient pas sur ce forum.

    Cordialement.

    NB : Ce que je dis ne remet pas en question le fait que tu sois intelligent (éventuellement très très intelligent), je pointe seulement ta naïveté (méconnaissance de la réalité).


    (*) il faut être bien innocent pour croire qu'on va avoir au lycée une idée nouvelle sur une énigme posée depuis 2 siècles et connue de tout le monde.
  • Bonjour

    @SamuelJoary:
    J'ai juste une question : Comment tu as trouvé , que les nombres premiers jumeaux Pj sont comme les autres:
    ils sont cycliques??? car tu t'appuies sur le cycle des nombres premiers pour en calculer une proportion, et tu penses qu'ils en est de Même des Pj....

    Comme te l'ont fait remarqué les intervenants, il faut vraiment être jeune est innocent pour croire que les nombres Pj sont cyclique...!
    C'est plutôt le contraire....justement à cause des nombres premiers P inférieurs à Pj, produisant des multiples de P...!
    Ce que te fait remarquer Collag3n.

    Alors peut être, qu'il te faut déjà montrer que la proportion de couples Pj par rapport aux nombres P , par familles jumelles et de même densité...

    tu as trois couples de Familles Jumelles en progression arithmétique de raison 30.
    [11,13] ; [17,19] ; et [29,31] .
    Est ce que ces 6 familles, ont une même densité de premiers P en règle générale...?
    pour pouvoir calculer une même proportion de couples Pj...en fonction de n

    pou n < 3500 :
    il y a 33 couples Pj pour les deux Familles [11,13]
    il y a 27 couples Pj pour les deux Familles [17,19]
    il y a 31 couples Pj pour les deux Familles [29,31]

    Si cela peut t'aider à comprendre la répartition de couples Pj par familles , je te joins un extrait du crible E modulo 30, par Famille. Pour les trois couples de Familles...
  • @LEG, Lors d'un processus de sieving de nombres premiers, à l'étape $n$ (élimination de $p_n$ et de ses multiples), la répartition des nombres relativements premiers à $p_n$# ainsi que des multiples déjà éliminés, est cyclique (de cycle $p_n$#) et symétrique (au sein d'un cycle).
    Dans un cycle il y a $\prod_{p<=p_n} {(p-1)}$ "premiers relatifs".

    L'élimination des jumeaux potentiels (au départ tous les $6n\pm1$, eux-même symétriques et cycliques au sein des primorelles) suit la même logique. A l'étape $n$, il y a bien cycle/symétrie des jumeaux (relativement premiers) au sein d'une primorelle, et on en trouve $\prod_{p<=p_n} {(p-2)}$ (si on l'exprime en densité, on utilisera plutôt la formule de Samuel).

    C'est dans ce cadre là qu'il parle de cylces et/ou de proportions.

    Mais effectivement, dans l'absolu, il n'y a pas de cycle. D'où la répartition "apparemment" aléatoire des nombres premiers, et la difficulté à prouver la conjecture des jumeaux.
  • Ton texte est très difficile à comprendre.

    D'après lourran ci-dessus, ton texte démontre aussi qu'il existe une infinité de couples de nombres premiers de la forme $(p,p+3)$, ce qui est impossible puisque si $p$ est premier, $p+3$ est pair. C'est une objection importante, non ?

    L'affirmation à la fin de la première page, à savoir que l'on peut calculer la proportion de nombres premiers entre $p_x^2$ et $p_x^2+\prod_{k=1}^xp_k$ (exclu), est fausse pour $x=3$. En effet, il y a $7$ nombres premiers entre $25$ et $25+30-1$ (à savoir $29$, $31$, $37$, $41$, $43$, $47$ et $53$), d'où une proportion de $7/30$, alors que $\left(1-\frac12\right)\left(1-\frac13\right)\left(1-\frac15\right)=\frac4{15}$. L'écart est plus important encore entre la prédiction $p(4)=8/35$ et la proportion réelle de nombres premiers entre $49$ et $49+209$, qui vaut $40/210=4/21$.

    Note que le produit $\prod_{k=1}^x\left(1-\frac1{p_k}\right)$ est la proportion des nombres entre $1$ et $N=\prod_{k=1}^xp_k$ qui sont premiers avec $N$ (qui n'ont aucun diviseur commun). Ce serait tout bonnement extraordinaire que ce soit aussi une proportion de nombres premiers dans un intervalle facile à écrire. L'expérience suggère malheureusement que ce n'est pas le cas.

    En dessous, tu dis :
    Pour les nombres premiers jumeaux, le principe est le même...

    Une extension non justifiée d'un « principe » faux, je ne sais pas trop ce qu'on peut en espérer.
  • Parce que ce n'est pas un raisonnement.

    Il y a une technique qui s'appelle 'Chaine de Markov'. On prend différents ouvrages qui parlent d'un certain sujet (ici les nombres premiers jumeaux). On met tout ça dans une base de données informatique. Pour chaque mot, on recense les mots qui viennent souvent juste après. Par exemple le mot nombre est souvent suivi du mot premier, ou du mot pair, ou du mot entier. Et à partir de tout ça, on lance un programme qui va construire des phrases, aléatoirement, mais qui respectent les mêmes statistiques. C'est un jeu très amusant.

    Ton PDF m'a fait penser à un texte généré de cette façon.

    Prenons la première phrase : "Les nombres premiers sont infinies si la proportion des nombres premiers en fonction des autres n’est jamais égale à zéro." (je laisse volontairement la faute d'orthographe.)

    Cette phrase est floue, je ne sais pas dire si elle est vraie ou si elle est fausse, parce que, en fait, elle ne veut rien dire.
    Il y a un mot 'JAMAIS' qui arrive là. Donc on imagine que tu raisonnnes sur un intervalle ... un intervalle de plus en plus grand. On imagine. Est-ce que tu parles de l'intervalle [1,n], avec n de plus en plus grand, est-ce que tu parles de l'intervalle[n,2n], avec n de plus en plus grand , est-ce que tu parles de l'intervalle [n, + infini [, avec n de plus en plus grand ???? On ne sait pas. D'ailleurs, tu ne sais probablement pas toi-même quel est l'intervalle sur lequel tu travailles.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Vous êtes balèzes ! Moi je ne comprends vraiment pas la première phrase, même avec un pistolet sur la tempe je ne saurais pas dire ce que je pense que l'auteur a voulu dire, pour moi c'est du charabia complet.

    Déjà les nombre premiers sont infinis si [...], je n'ai même pas envie de lire ce qui suit le si, on sait déjà que les nombres premiers sont infinis donc c'est une implication inutile.

    Ensuite la proportion des nombres premiers en fonction des autres, il y a une infinité de nombres premiers, donc comment on calcule cette proportion ? Et puis les autres quoi ? Les autres nombres premiers ? Mais lesquels ? Les autres nombres pas premiers ? Mais il y en a une infinité aussi ! Et enfin, jamais égale à zéro, parce que cette proportion (donc un nombre bien défini) peut parfois être égale à zéro et parfois non ? Ca dépend des jours où on regarde ce nombre ?

    Voilà, et ça c'est juste pour la première phrase ...
  • SamuelJoray écrivait:
    " j'essaie juste de comprendre pourquoi mon raisonnement ne fonctionne pas ou du moins pas complètement !"

    Parce que tu confonds tes désirs avec une preuve. Comme beaucoup avant toi (des dizaines chaque année dans le monde), tu expliques, mais tu ne prouves rien. Et le problème avec l'infini, c'est qu'il est traitre, seule une démonstration très solide permet de s'en sortir. de plus, ce que tu fais à l'école ne t'apprend pas à démontrer (on le fait très peu au lycée) et à vérifier des preuves.
    Un conseil :
    Reprends ton "raisonnement"; élimine toute phrase qui n'est pas complétement utile. réécris toutes les phrases restantes pour qu'elles soient compréhensible par n'importe lequel de tes camarades. Puis vérifie que c'est une preuve, c'est facile : Le passage d'une phrase à l'autre, ou de plusieurs phrases déjà établies à une nouvelle, est l'application stricte d'une règle mathématique reconnue (*). Si ça ne marche pas, il faut construire une preuve, rajouter tout ce qu'il faut pour arriver à ton affirmation.
    Bien entendu, tu partiras de propriétés déjà connues et démontrées sur les nombres entiers.

    Si tu n'es pas prêt à faire ça, inutile de venir demander de l'aide, tu ne veux pas faire des maths. Car c'est ça, faire des maths.

    Cordialement.

    (*) jamais l'affirmation d'une conviction, ça n'est pas un élément de preuve. On n'est pas au tribunal, l'intime conviction, même d'un mathématicien éminent, n'est pas une preuve.
  • @Samuel : Je pense que tu es en train de confondre deux notions, au moins dans ta façon de parler : « nombres premiers entre eux » et « nombres premiers ».

    L'expression « premier en fonction de $3$ » n'a aucun sens standard, peut-être pourrais-tu préciser ce que tu veux dire.
  • En ajoutant le mot relative, tu ne changes rien. Une proportion est forcément relative. Montre nous un exemple de proportion qui n'est pas relative, dans le domaine de la vie courante, si tu penses que ça existe.
    Argument ridicule.

    Par ailleurs, en langage courant, on ne dit pas a est premier en fonction de b ; on dit : a et b sont premiers entre eux, ou même, dans les cas que tu cites, on dit que a est ou n'est pas un multiple de b.

    Faire une erreur, faire preuve d'innocence, ce n'est pas grave. Ton premier message était sympathique. Tes derniers messages sont ridicules.

    Errare humanum est, Perseverare diabolicum.

    Je ne sais pas si SamuelJoray est ton vrai nom, mais si c'est le cas, dans 10 ans, tu seras bien embêté quand des gens te rappelleront cette discussion.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • A mon humble avis, en mathématiques on rajoute du vocabulaire, des concepts quand c'est nécessaire et que cela apporte quelque chose qui a un intérêt (on mesure l'intérêt d'un concept à son pouvoir de résoudre des problèmes déjà posés).

    Mais on constate qu'il y a un point commun dans une grosse partie des pseudo-démonstrations de shtameurs: rajouter des définitions, du vocabulaire. Généralement pour meubler le vide sidéral de la soit disant preuve.

    Une proportion estimée heuristiquement est une preuve de rien.

    Par ailleurs, si $\pi(N)$ est le nombre de nombres premiers inférieurs ou égaux à $N$ alors, sauf erreur, le quotient $\dfrac{\pi(N)}{N}$ tend vers $0$.

    PS:

    Ne pas confondre fonction et équation.

    PS2:

    Une des principales avancées dans le domaine des nombres premiers est la démonstration de la formule:

    \begin{align}\lim_{N\rightarrow \infty}\frac{\pi(N)\ln(N)}{N}=1\end{align}
  • >25 est un nombre premier en fonction de 3

    On dit 25 et 3 sont premiers entre eux.
  • @Samuel, tu as inversé ta définition pour 35 et 49, mais sinon on a bien compris qu'il s'agit de nombres "relativement premiers" ou "premiers entre eux". Le raisonnement est pas mal pour quelqu'un qui n'a pas beaucoup de notions dans le domaine, mais malheureusement il s'avère être très insufisant (voir carrément faux dans l'exemple des teta-twins)
  • Un autre truc.

    Si on considère la suite $U_N=\prod_{k=1}^{N} \dfrac{1}{2^k}$. Aussi grand soit $k$ , $\dfrac{1}{2^k}$ n'est jamais nul.

    et pourtant,

    \begin{align}U_N&=\frac{1}{2^{1+2+...+N}}\\
    &=\frac{1}{2^{\frac{N(N+1)}{2}}}
    \end{align}

    Et il est donc clair que cette suite tend vers $0$
  • Bonjour
    @SamuelJoray : Quand même tu pousses le bouchon un peu trop loin....non ?
    Tu es en train de reformuler le crible d'Ératosthène sans même t'en rendre compte....
    25 n'est pas un multiple de 3 , car c'est un multiple de 5....X:-(

    autrement dit, si on barre les multiples de 3 jusqu'à une limite n fixée par ex : 30000, il est clair que 25 ne serra pas barré; ni même 5*25...etc.il te faudra attendre de barrer les multiples de 5, 7,....etc $P_{n+1}\leqslant\sqrt{N}$

    Ce n'est pas par-ce-que tu introduits un "soit disant cycle " par exemple par pas de 7 , par pas de 11, de 13...etc de $P_{n+1}$...ou tous les 6n, que cela te permet de prévoir le prochain nombre premier et encore moins le prochain couple de Pj.

    Ton cycle ne risques pas de te donner la bonne densité de nombres premiers par rapport à N et encore moins celle des Pj ....Ce que te fais remarquer Fin de partie et autre intervenant..

    Ton concept qui n'existe pas encore (td)...Tu plaisantes ....?

    Étudie un peu plus sérieusement la répartition des nombres premiers P, et des nombres premiers jumeaux Pj par rapport aux nombres premiers P , sans te soucier de leurs multiples et on en reparlera...

    tu pars de 1, et utilise le "cycle" (6,1,4,2,4,2,4,6,2) pour écrire les entiers naturels impairs > 0 ce "cycle de 8 valeurs" est l'écart entre ces entiers naturels...Ce qui te permet de prévoir le prochain entier naturel
    Exemple :
    1; + 6; 7 ;+4; 11.....etc... ;+2 ; 31 ; +6; 37....etc

    la somme du "cycle = 30"

    Question :
    Quel est le "cycle" pour barrer simplement les multiples de 7 dans cet ensemble d'entiers naturels impairs...?
    ("qui exclu par conséquent: 2, 3 et 5 ainsi que leurs multiples, représentant 73,333...% des entiers naturels positifs. Ce qui et déjà pas mal, pour calculer une proportion de premiers > 5 par rapport à cet ensemble d'entiers impairs")
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