Suite de Syracuse

Je propose une étude originale et personnelle de la suite de Syracuse avec des conclusions originales et personnelles.

Réponses

  • Bonjour.

    Je n'ai rien vu d'original, et seule la présentation est personnelle. Des milliers de personnes avant toi ont fait ce genre d'affirmation non justifiée.
    Ceux qui connaissent les maths ne l'ont pas fait, sachant que ça ne sert à rien.

    Désolé pour toi !

    NB : Tu peux regarder sur ce forum, tu trouveras plusieurs intervenant qui ont eu la même idée, la plupart étant allé bien plus profond que toi. Sans rien prouver ..
  • Intéressant, merci de ton intérêt, mais le problème n'est il pas justement que dans la suite de Syracuse, il n'y a rien à prouver si on la considère dans le sens que j'ai abordé..
    Et les études aussi complexes soient-elles depuis bientôt 100 ans n'ont-elles pas seulement servi à obscurcir un simple problème arithmétique, pour en faite un problème pour lequel "les mathématiques n'étaient pas encore prêtes", toutes ces études ont-elles fait avancer les mathématiques aussi peu que ce soit ? J'ai bien peur que tu te places dans ce cadre et que tu imagines qu'on trouvera enfin quelque chose, mais que tout cela est très très complexe et nous dépasse actuellement.
    Si j'en crois ce que tu me dis il devrait être facile de démontrer que ce que j'avance (sans démonstration) est faux, donc à toi de jouer.
    Pour ma part je maintiens que la seule suite qui se termine par 1 est S(1) ; il n'y a pas besoin de démonstration ; lire le tableau suffit amplement.
    Deuxièmement qu'il n'a pas de cycles possibles.
    As-tu de ton côté démontré qu'il y avait une suite qui ne se termine pas par 1.
    As-tu trouver un cycle autre 4,2,1,4,2,1.?
    Bien amicalement.
  • GERTBER : a écrit:
    Et les études aussi complexes soient elles depuis bientôt 100 ans n'ont elles pas seulement servi à obscurcir un simple problème arithmétique, pour en faite un problème pour lequel " les mathématiques n'étaient pas encore prêtes", toutes ces études ont elles fait avancer les mathématiques aussi peu que ce soit? J'ai bien peur que tu te places dans ce cadre et que tu imagines qu'on trouvera enfin quelque chose, mais que tout cela est très très complexe et nous dépasse actuellement.

    C'est l'argument et la motivation favoris des Shtameurs !

    Bruno
  • GERTBER a écrit:
    il n'y a pas besoin de démonstration; lire le tableau suffit amplement

    Ça aussi ça revient souvent dans cette partie du forum malheureusement.
  • Au moins il admet qu'il n'a rien démontré mais juste observé, c'est déjà mieux que 99% des shtameurs qui font semblant de faire des calculs bidons pour masquer le fait qu'ils ne font qu'observer mais ne démontrent rien, tout en pensant qu'ils ont vraiment démontré quelque chose (bah oui, il n'y a qu'à observer le tableau !).
  • skyffer3 écrivait:
    (bah oui, il n'y a qu'à observer le tableau !).

    J'adore cette démo.
  • Le Shtameur de base ne se rend pas compte de:

    Les gens qui écrivent des articles publiés dans des revues en vue ne se consacrent pas à leur travail de recherche le soir après leur 8 heures de boulot à l'usine ou à faire quelque chose qui n'a strictement rien à voir avec un travail de recherche. Ils sont payés* pour y consacrer une bonne partie de leur activité professionnelle.
    Ils reçoivent une formation et ils ont une bonne mémoire de ce que les autres ont fait/font dans leur domaine de recherche. Tout du moins c'est le regard que je porte de l'extérieur sur le travail de chercheur.

    Ne pas comprendre que c'est un avantage comparatif énorme par rapport au Shtameur de base qui n'a pas de formation (ou bien qui n'a pas bien assimilé ce qu'on lui a dispensé pendant sa formation) et qui ne peut pas consacrer autant de temps à un tel travail de recherche, et qui de surcroit n'a aucune mémoire de ce qui est fait/a été fait dans le domaine de recherche qu'il prétend investir (ce n'est pas si facile d'entretenir cette veille ) comment le dire....

    Maintenant qu'est-ce qui est le plus probable qu'un Shtameur, ou quelqu'un qui bénéficie de l'avantage comparatif décrit ci-dessus fasse une percée réelle dans un domaine de recherche en mathématiques?

    *: dans certaines publications il est de bon ton (question de politesse, de gratitude je suppose) de rappeler qu'on a reçu un soutien (financier mais on ne parle pas de gros sous dans une publication mathématique) de telle ou telle organisation.
  • Pour ma part je maintiens que la seule suite qui se termine par 1 est S(1); il n'y a pas besoin de démonstration; lire le tableau suffit amplement.

    Tu dis que le tableau suffit amplement, ça veut donc dire qu'un tableau plus court pourrait être suffisant.

    Est-ce que, partant d'un tableau suffisant et lui enlevant une ligne bien choisie, on a encore un tableau suffisant ?
  • Gertber a écrit:
    SI j'en crois ce que tu me dis il devrait être facile de démontrer que ce que j'avance ( sans démonstration) et faux, donc à toi de jouer.

    Voila la tricherie habituelle des fabricants de fake news : Prouvez que mon mensonge est faux.
    C'est toi Gertber, qui affirmes, c'est à toi de justifier que ce que tu dis est vrai. Comme tu refuses de justifier, tu mens. Au moins en oubliant de dire "c'est mon avis, mais je ne suis sûr de rien". Et ton avis, qu'est-ce qu'on s'en moque !!
    Le reste de ton argumentation est tellement risible qu'il vaut mieux ne pas en parler.
  • Ouille ouille ouille !
    Quand math-E va lire ce travail, il risque fort de revenir à la charge, en disant que son travail à lui est beaucoup plus sérieux que le travail des autres sthameurs.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • bjr Bonjour Bruno
    Je ne pensais pas que ma réponse à gerard0 entraîne autant de commentaires qui nous éloignent du sujet.
    En fait quand je dis il suffit de lire le tableau, c'est la condition nécessaire, mais il est vrai que si je ne m'explique pas ce n'est pas suffisant : le tableau indique simplement que l'on peut "construire les suites de Syracuse". Et une fois cette construction effectuée on peut développer en utilisant la règle n impair 3n+1.
    O
    n obtient donc des suites de suites qui donnent un développement semblable quant au résultat au développement habituel mais non identique dans la forme, puisque il n'est plus question de durée de vol, d'altitude. Dès lors je pense qu'il s'agit d'étudier" les suites de suites" et non les termes 7,11,17,13,5,1.
    P
    our reprendre l'exemple n = 7, on peut même si l'on veut remplacer ces termes par 28,44,136,208,80,1 qui appartiennent au suites S(7),S(11),S(17),S(13),S(5),S(1).
    De plus une fois les suites construites, il n'y a rien à démontrer quant au fait que la seule suite qui se termine par 1 est la suite S(1) ; il suffit de lire le tableau !
    Démontrer que toutes "les suites de suites" se terminent par S(1) devient alors le problème, cela reste à faire mais cela doit être bien plus aisé que tous les essais entrepris jusqu'à présent, d'où ma critique apparemment très mal perçue. À vrai dire je ne pensais pas que sur ce site on trouve les même conneries qu'en politique quotidienne "hoax", menteur, etc. cela prête à rire.
    Bien à toi.
  • Je cite : Démontrer que toutes "les suites de suites" se terminent par S(1) devient alors le problème, cela reste à faire

    Parfait. Après un petit quiproquo, on est maintenant d'accord.
    Je résume ton propos : tu aimerais prouver la conjecture de Syracuse, et tu n'y es pas arrivé.

    Bienvenue au club ! Moi aussi j'ai essayé de prouver cette conjecture, et moi aussi, j'ai échoué.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • GERTBER : a écrit:
    à vrai dire je ne pensais pas que sur ce site on trouve les même conneries qu'en politique quotidienne "hoax", menteur, etc.

    Merci pour les soi-disant "conneries" alors que je faisais remarquer que tu avançais les mêmes arguments spécieux que tous ceux qui s'attaquent à ces problèmes d’apparence facile.

    Bruno
  • @ Gertber :

    Tu nous dis maintenant, si je comprends bien, que ce que tu as écrit dans ton pdf ne doit pas être compris comme des affirmations. J'en prends bonne note, mais tout de même, quand on écrit en gras des phrases claires, annonçant qu'il n'y a qu'une seule suite qui se reboucle, comment faut-il le lire ?

    Donc, à ton avis, la " connerie " , où est-elle ?

    Tout le monde fait des erreurs, tous les jours. Il n'y a pas de honte à les faire, ni à les reconnaitre.
  • Merci de ta réponse, tu as bien compris ce que j'ai écrit.
    Mais ce que je veux surtout mettre en avant, c'est que la démarche que j'adopte est totalement différente de la démarche classique "je construis" ce que j'appelle une suite de Syracuse par exemple S(1) en partant de l'infini pour se terminer par 1.
    Pour S(3) idem on part de l'infini la suite se termine à 3
    Toute suite est donc borné à droite par un nombre impair.
    Et ensuit on applique la règle 3 n+1 et l'on observe que tout se passe au sein des suites, ainsi la suite
    S(7) 7 renvoie -t-elle à S(11), S(17), S(13), S(5), S(1) par 11,17,13,5,1 donc ce qui est important ce sont les suites et non 11,17,13,5,1 sur lesquels s'appuie "la suite classique" et les études classiques, d'où comme je l'indique à Bruno, il n'y a plus de durée de vol, ni d'altitude, car je le redis quitte à être un peu lourd tout se passe "dans les suites", et comme je l'indique dans mon article toutes les suites sont reliées à S(1). Voilà, je ne prétends pas avoir démontré en revanche je peux affirmer que par construction du tableau la seule suite qui se termine par 1 est S(1), au premier abord beaucoup on raisonné en terme de
    Syracuse classique 1,4,2,1 pour moi 1 appartient à S(1) :infini .........8,4,2,1 S(1) je répète encore étant par construction la seule suite qui se termine par 1.
    Cordialement
  • Désolé de t'avoir froissé, mais les " conneries" ne s'adressaient nullement à toi, je m'adressais spécifiquement à ceux qui parlaient de"hoax" et de "menteurs" à mon égard, et je pointais que je trouvais plutôt drôle de voir sur ce site des arguments de ce type dont les média nous abreuvent tous les jours, mais eux au moins ils ont un avantage sur nous ils sont payés pour.
    Cordialement
  • svp voir mes réponses à Bruno et Lourran,
    tu sors un fragment de texte, hors il faut lire tout le texte, et l'on comprends que dans mon approche;concernant le fait que j’affirme que la seule suite qui se termine par 1 est S(1) est tout simplement que j'élabore les suites ainsi .Il suffit donc de lire le tableau, il n' y a rien à démonter, je ne me place pas à ce moment là dans le cadre de "l'étude classique".une fois les suites construites et mises en tableau, entre en jeu la règle n impair 3n+1, et à partir de là tout se passe à l'intérieur de suites qui sont bornée à droite par les nombres impairs.
  • Là encore, "les conneries" s'adressaient à ceux qui parlent de "hoax" et de "menteurs", je pense que sur ce site on n'est pas dans le monde des politiciens.
    Quand j'affirme et je le maintiens que la seule suite qui se termine par 1 est S(1) c'est parce que je construis ainsi les suites ; au départ je ne me place pas dans le cadre de l'étude classique, je fais un tableau toute suite part de l'infini et chaque suite se termine par un nombre impair.
    Ensuite j'introduis l'usage de la règle n impair 3n+1 et tout se passe " à l'intérieur" des suites, on a des "suites de suites", d'où pour moi il n'y a plus d'altitude, ni de durée de vol, et je répète la seule suite qui se termine par 1 est S(1) mais je ne prétends pas avoir démontré pourquoi et comment les suites de suites se terminent aussi par S(1), encore que je pointe la piste suivante toute suite est elle même reliée à S(1).
    Cordialement
  • J'adore aussi ta réponse, il suffit de lire le tableau ne prétend rien démontrer, en fait je pense à présent au vu de la plupart des commentaires que les shtameurs se sont fourvoyés sur mes propos, et je pense en connaître la raison.
    Dans l'étude que j'appelle "classique" de la suite de Syracuse ; l'étude de la suite débute par 1 S(1) : 1,4,2,1 3 S(3) : 10,5 ... 1 or pour ma part 1 NE DÉBUTE pas S(1) il termine S(1) d'où d'ailleurs l'introduction de l'infini dans mon tableau. Toute suite débute à l'infini et se termine (est bornée à droite) par un nombre impair et c'est seulement là qu'entre en jeu la règle n impair : 3n+1. Dès lors (il n'y a plus d''altitude, ni de durée de vol) on obtient des "suites de suites" et tout se passe à l'intérieur des suites, la suite S(3) se termine toujours par 3, la suite S(n) n impair se termine toujours par n et bien sûr de même pour la suite S(1) comme je l'indiquais IL SUFFIT DE LIRE LE TABLEAU.
    Par contre je ne prétends pas avoir démontré que toutes "le suites de suites" se terminent par S(1), j'observe simplement là encore il suffit de lire le tableau que toutes les suites sont reliées à S(1) par un coefficient multiplicateur, c'est une piste.
  • Intéressant.
    Pour ma part je ne me range pas dans la catégorie des professionnels, et je ne prétends pas avoir démontré la suite de Syracuse, je propose une idée d'étude qui en fait est à contrario de " l'étude classique" l'étude classique fait débuter S(1) par 1, moi par construction je fais terminer S(1) par 1 idem pour S(n) ni impair n termine S(n) je peux donc affirmer que la seule suite qui se termine par 1 est S(1) je n'enfreins pas la règle n pair n/2, j'applique en suite la n pair 3n+1.
  • Qu'est-ce que c'est l'"étude classique"?

    Un tableau n'est pas nécessairement une preuve de quelque chose quand on essaie de démontrer une propriété qui est possiblement vraie pour une infinité de nombres. Peux-tu justifier par démonstration que les lignes/colonnes qui ne figurent pas dans ton tableau (difficile de représenter une infinité de lignes et/ou de colonnes) obéissent aux propriétés qui sont mises en évidence dans les quelques lignes/colonnes qui sont représentées?

    PS:
    Quand on a des a priori trop positifs sur ce qu'on a fait, on a tendance à ne pas faire proprement le travail de vérification nécessaire parce qu'au fond de soi on le considère comme inutile et on a bien tort: c'est humain de prendre ses désirs pour la réalité.
  • Gertber a écrit:
    Pour ma part je ne me range pas dans la catégorie des professionnels, et je ne prétends pas avoir démontré la suite de Syracuse, je propose une idée d'étude qui en fait est à contrario de " l'étude classique" l'étude classique fait débuter S(1) par 1, moi par construction je fais terminer S(1) par 1
    " l'étude classique" ?? Pourquoi classique ? As-tu des références dans la littérature mathématique qui montrent que cette façon de faire est classique ? Bizarrement, j'en connais plein qui font plutôt comme toi
    " je propose une idée d'étude" ? Tu es sans doute l'un des milliers d'amateurs qui ont proposé cela depuis qu'existent les forums de maths. Pourquoi proposer quelque chose qui est déjà mille fois vu.
    "idem pour S(n) ni impair n termine S(n)" ?? parce que tu as décidé ça. Donc tu n'apportes rien ! Tout le monde sait que pour n impair petit (disons moins de 20 chiffres), la suite continue et finit par arriver à 1. Donc tu parles pour rien !!
    "je peux donc affirmer que la seule suite qui se termine par 1 est S(1)" Oui, c'est vrai, puisque c'est par convention (décidée par toi) que ça se passe ainsi.

    Finalement, tu ne fais même pas de mathématiques, juste un baratin creux (*). Pourquoi être venu ici te ridiculiser ???

    (*) Tu me rappelles un petit voisin qui n'avait pas de mobylette, mais (à 15 ans) passait en courant dans les rues du village en courant et en imitant le bruit d'une mobylette. Je suis sûr que lui aussi y croyait !
  • @Gertber
    Tu as posté en fin de matinée 6 messages.
    A priori, chacun de ces messages était une réponse à un forumeur particulier.
    Relis les 6 messages en question. Ou demande à un de tes amis de les relire.
    On ne sait pas à qui chaque message s'adresse.
    C'est un détail , mais un détail qui montre très bien que dans ta tête, les choses sont dans un grand désordre.

    Fais de l'ordre dans ta tête. D'urgence.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • bjr
    Bien sûr tout le monde ( enfin presque) au moins sur ce site aimerait démontrer le pb 3n+1, donc moi aussi, comme toi mais j'ai également à l'esprit que nous pouvons être un collectif d'où l'intérêt de ce forum
  • BJR
    Tu n'est pas convaincu par mon tableau, je m'explique donc mon tableau est inattaquable car je le répète
    c'est une construction, c'est un peu comme si j'écrivais 1,2,3,4,5 et que tu me demandes si je suis sûr qu'en continuant à l'infini je n'aurais pas une surprise.
    D'ailleurs le tableau suit cette progression S(1), S(3), S(5) etc . Comme je l'ai écrit sur un autre commentaire ce qui peut troubler et prêter à confusion par rapport à "l'étude classique" c'est que l'étude classique commence l'étude de 1 par 1,4,2,1; de 3 par 10,5,.... comme si un était le premier élément pour moi ce qui est premier c'est S(1) qui commence à l'infini et se termine par 1 (idem pour les autres suites)
    cela conduit à travailler sur une suite de suites bornées à droite par un nombre impair auxquelles on applique la règle n impair 3n+1 et l'on s'aperçoit, (encore une fois voir le tableau) que l'on passe de suite en suite pour arriver à la suite S(1) je ne prétends avoir démontré qu'il en ait toujours ainsi, je propose comme piste que toute suite et un multiple de S(1) mais c'est une idée dont pour l'instant je ne tire aucune conclusion.
  • bjr LOURRRAN
    Merci, j'en tiendrai compte .
  • bjr gerardo
    Tu te trompes encore, j'ai une mobylette.
  • Les shtameurs présentent des textes qui le plus souvent commencent par quelques formules élémentaires ainsi que par l’introduction de quelques notations personnelles.

    Si on les attaque à ce niveau, ils se régalent. Ne démontrent rien, bien sûr, ce n’est pas le style de la maison, mais font traîner en longueur des discutions stériles.

    S1 est l’ensemble des puissance de 2 et Sn = n*S1 (les éléments de S1 sont multipliés par n)
    Il n’est pas très difficile de monter que les Sn (pour n impair) forment une partition de IN.

    Tout ceci est élémentaire et ne prête à aucune discussion.
    De même, le fait que S1 soit la seule suite qui se termine par 1 ne pose pas de problème quand on sait que le plus petit terme de Sn est n …

    Vient ensuite la phrase
    Par contre je ne prétends pas avoir démontré que toutes "le suites de suites" se terminent par S(1), cela reste à faire (c’est moi qui rajoute).

    En langage perso, ceci est équivalent à, « il reste juste à démontrer la conjecture de Syracuse »
    Au lieu de passer d’un nombre à l’autre, on passe d’un ensemble à l’autre. C’est à peine plus compliqué mais certainement pas plus simple !

    « … , c'est une piste. »

    Certainement pas ! Juste une complication inutile.
  • Gerard0 a écrit:
    Tu me rappelles un petit voisin qui n'avait pas de mobylette, mais (à 15 ans) passait en courant dans les rues du village en courant et en imitant le bruit d'une mobylette. Je suis sûr que lui aussi y croyait !

    Tu n'as rien compris Gerard0, il faisait du bruit avec sa bouche pour couvrir le bruit de sa mobylette invisible (qui n'était pas silencieuse) pour que vous ne remarquiez rien, il ne voulait pas déchaîner l'envie: ce n'est pas tout le monde qui est propriétaire d'une mobylette invisible X:-(
  • bjr Bonjour
    Merci
    Tu es bien dans le sujet et tu as compris ce que j'ai écrit ; cependant sur le plus compliqué j'émets des réserves ; lorsqu'on consulte les études sur la Syracuse, la complexité est loin d'être absente, je parlerai même de complexification, chaque spécialité mathématique est de la partie... sans résultats probant, la plupart des mathématiciens optent aujourd'hui pour l’indécidable. J'essaie de sortir de ce que j'appelle '"l'approche classique", et j'essaie de simplifier le problème (ainsi comme je l'ai indiqué j'élimine les notions d'altitude, et de durée de vol) avec les suites de suites chaque suite étant infinies ensuite je réfléchis au lien qui existe entre S(1) et toute suite car intuitivement (j'espère ne pas te choquer avec ce mot) je pense que c'est là que doit être cherchée la solution.
  • @GERBER

    Soit f la fonction qui à tout nombre impair fait correspondre le plus grand diviseur impair de 3x + 1.
    Pour x donné, on construit la suite définie par x(0) = x et x(k+1) = f(x(k)).
    Par exemple pour x = 11 on obtient la suite 11, 17, 13, 5, 1
    J’imagine que c’est ce que tu appelles « l’approche classique ».

    Puisque tous les éléments de Sn ont la même image par f, on peut définir une fonction d’ensemble (encore notée f par commodité) définie par f(Sn) = Sn’ avec n’ = f(n).

    Par exemple pour x = 11, tu obtiens la suite S11, S17, S13, S5, S1.

    En quoi cela simplifie-t-il le problème ? En quoi « montrer que  toutes les suites aboutissent à S1 » est-il plus simple que monter que « tous les nombres aboutissent à 1 »? (c’est-à-dire la conjecture de Syracuse elle même !)

    PS : tu ne peux pas « supprimer » les notions de vol, etc. Tu peux juste ne pas t’en servir ...
  • bjr Bonjour

    Comment calcules-tu la durée de vol, avec les suites, et comment calcules-tu l'altitude ?
  • @GERBER

    Dans un dialogue il est nécessaire de s’intéresser aux questions posées par son interlocuteur et donc d’y répondre. Même si la réponse est « je ne sais pas » cela montre au moins que l’on lu la question !

    Les notions de vol, altitude, etc. sont étroitement liées à la fonction de Collatz utilisée. Il y en a trois possibles, et donc trois valeurs pour la durée de vol, l’altitude, etc. Il existe bien sûr des relations simples entre-elles.

    La fonction que tu utilises implicitement avec tes suites est celle qui ne retient que les nombres impairs.
    Par exemple : S11, S17, S13, S5, S1 donne
    * durée de vol = 4
    * altitude = 17

    Mais, encore une fois, tu as le droit de ne pas t’en servir !

    Tout calcul de durée de vol (par exemple) utilisant une autre fonction de Collatz que celle notée f dans mon texte (celle qui ne retient que les nombres impairs) serait erroné dans le contexte de tes suites. Et bien sûr, on ne peut pas utiliser un calcul erroné pour justifier quoi que ce soit, y compris « l’élimination » de la durée de vol.

    PS : Je ne répondrai plus à aucune de tes questions tant que tu n’auras pas répondu aux miennes.
  • Bjr,
    Je pensais avoir répondu à tes questions, je pense que l'élimination de la durée de vol et de l'altitude est une simplification.
    En quoi je simplifie le pb de la conclusion habituelle toute suite se termine par 1 y compris les "suites de suites, je réponds que par construction le tableau évacue la possibilité de cycles ( autre que pour S(1))
    c'est déjà une grande avancée et une simplification.
    La conclusion finale je ne l'ai pas encore donc sur ce point je suis d'accord avec toi je ne sais pas si ce sera plus simple ou plus complexe pour y arriver.
  • Dans ce que dit Gertber, il y a 2 choses :
    - Gertber a démontré qu'il n'y a pas de cycles. (autre que le cycle trivial 1-4-2)
    - Il travaille sur l'autre aspect : Tout entier aboutit à 1 (ça ne s'envole pas vers l'infini)

    Le 2ème point est à l'état de recherche ... ok, encourageons-le.
    La démonstration qu'il n'y a pas de cycle, si elle est correcte, c'est une grande avancée. A ce jour, il me semble que cette démonstration n'existe pas.
    Malheureusement, je doute fort que cette démonstration soit correcte.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Merci
    et bonsoir
    Tu as bien résumé, mais je n'ai pas " démontré" qu'il n' y pas de cycles.
    Ce qui semble poser problème dans les commentaires, et je l'ai déjà écrit c'est que le shtameurs raisonnent en terme de la " suite classique" ainsi pour le nombre 3 par exemple, il raisonneront sur 3,10,5,16,8,4,2,1
    et il faut donc démontrer sur ce modèle que toute suite S(n) se termine par 1. Toute les études "classiques" fonctionnent ainsi.
    Je ne me place pas dans ce cadre, je construis pour chaque n impair une suite qui part de l'infini pour aboutir au nombre impair. Raisonnant sur 3 pour moi 3 termine la suite S(3) simplement par application de la règle n/2. Pour les "classiques" 3 commence la suite S(3).
    Dès lors appliquant la règle 3n+1 je passe sur une autre suite la suite S(5), c'est donc par construction que je peux dire qu'il n'y a pas de cycles; les suites se suivent(!) mais ne se répètent jamais.
    De même que c'est par construction que je peux dire que S(1) et la seule suite qui se termine par 1 et également que c'est l'unique suite qui est cyclique.
    Pour terminer constatant que les suites de suite se terminent par S(1) en appliquant simplement la règle 3n+1 à "mes" suites S(n) je constate que les suites de suites se terminent par S(1) le problème est dès lors de démontrer que toute suite S(n) se termine par S(1), d'aucuns diront que le problème reste aussi difficile que par la méthode classique, peut être ; à voir à l'usage.
  • @GERBER
    « je pense que l'élimination de la durée de vol et de l'altitude ... »
    Si tu as lu (et compris) ma dernière réponse, tu peux voir que tu n’as rien « éliminé » du tout !

    D’autre part
    « l'élimination de la durée de vol et de l'altitude est une simplification. »
    Ma question n’est pas « En quoi les suites de suites apportent-elles une simplification» mais
    1) En quoi S11, S17, S13, S5, S1 est-il plus simple que 11, 17, 13, 5, 1 ?
    2) En quoi démontrer que que « Sx0, Sx1, Sx2, …. finit toujours pas S1 » est-il plus simple que démontrer que « x0, x1, x2, … finit toujours par 1 » ?

    Quand tu auras répondu à ces questions, on pourra continuer le dialogue.

    Enfin
    « Le tableau évacue la possibilité de cycles »
    Cela me laisse penser que tu n’a pas compris ce qu’est un cycle.
    Tu dis A :« De par la règle (n) impair 3n+1 tout terme impair conduit à une autre suite de terme impair », donc B :« il ne saurait y avoir de cycles. »

    Fabrique un nouveau tableau avec les S(-1), S(-3), S(-5), etc.
    On a bien le A. « Donc » on doit avoir le B
    Or S(-5), S(-7), S(-5) … est un cycle
    et S(-17), S(-25), S(-37), S(-55), S(-41), S(-61), S (-91), S(-17), … en est un autre.
    Quoi de mieux qu’un contre-exemple pour démontrer que ta proposition A => B est fausse !

    Tu ne peut pas t’en sortir en disant « j’ai oublié de préciser que x0 > 0 ».
    Comme la proposition A => B est fausse en général, prétendre que A et (x0 >0) => B est vraie nécessite de faire une démonstration montrant comment l’hypothèse supplémentaire « x0 >0 » intervient.
    Un simple « donc » ne peut pas vraiment pas suffire !

    On ne peut plus dire que la proposition «  A et (x0 >0) => B » est fausse. Mais il n’y aucune démonstration.

    En résumé
    1) certaines affirmations sont carrément fausses
    2) les autres sont des affirmations non démontrées qui, avec les notations de l’auteur, ne font que paraphraser la conjecture elle même.

    PS : Qui peut croire qu’utiliser un fait aussi élémentaire que « tout nombre s’écrit de manière unique sous la forme du produit d’un nombre impair et d’une puissance de 2 » (ce qui permet de construire les Sn) puisse conduire à une avancée quelconque ?
  • @lourran

    La gogolplex-ième décimale de PI est un 3. Vous ne me croyez pas ? Montrer moi que c’est faux !

    Lourran, je compte sur toi pour me féliciter pour cette avancée exceptionnelle sur le nombre PI !
  • Bjr
    Je trouve que tu t'énerves un peu; il n' y a pourtant aucune raison:
    Tu penses que la méthode que j'appelle
    "classique" est suffisante, donc ( et oui donc) inutile d'explorer d'autres voies, pourquoi pas; sauf que à ce jour les études sur la méthode classique ne démontrent pas que toute suite se termine par 1 et ne démontrent pas qu'il existe des suites cycliques telles que 1: 1,4,2,1,4,2,1 ....pour ma part c'est de cela que je parle quand je parle de cycles, de même que l'on peut penser qu'il existe un (n) tel que la suite S(n) ne se termine pas par 1 ( le fameux contre exemple) cherché à l'aide d'ordinateurs, de même on peut penser qu'il existe un nombre (n) autre que 1 tel que la suite tourne sans cesse sur elle même, on n'a pas à ma connaissance trouvé cette suite.
    Les arguments que tu m'opposes ne sont pas tous faux, mais il se placent résolument dans une approche différente de mon étude, on ne pourra pas tomber d'accord, tu n'accepte pas à priori que travailler sur des suites de suites puisse présenter un intérêt, or c'est le fondement, c'est ma base...Donc je te fais perdre ton temps, car tu ne poursuis pas ta propre recherche.... ne perd pas ton temps.
  • 1) Je ne m’énerve nullement : juste un peu de lassitude à voir qu tu refuses obstinément de répondre à mes questions.

    2) « Tu penses que la méthode que j'appelle "classique" est suffisante, donc ( et oui donc) inutile d'explorer d'autres voies »
    Sûrement pas. Personne n’ a jamais dit cela pour la bonne raison que tout le monde est persuadé du contraire ! Toutes les études un peu sérieuses sur la question utilisent des mathématique qui sont à cent lieues de ces méthodes élémentaires qui ne servent simplement qu’à explorer la « banlieue » de « 1 ».

    3) « .pour ma part c'est de cela que je parle quand je parle de cycles.  » Un cycle est un ce qui est un cycle pour le reste du monde. Sinon, il faut appeler cela un GERTBER-cycle et donner une définition. « C’est de cela que je parle » me paraît un peu vague pour une définition …

    4) « Les arguments que tu m'opposes [ … ] se placent résolument dans une approche différente de mon étude. »
    Comment peux-tu dire cela alors que mes textes utilisent exclusivement tes notations « Sn » ?

    5)  « tu n'accepte pas à priori que travailler sur des suites de suites puisse présenter un intérêt »
    Le « a priori » est de trop. Au contraire, je ne demande pas mieux ! Mais quand je te pose des questions précises qui me permettraient de voir cet intérêt, tu refuses de répondre. Il n’y a que lourran pour te croire sur parole !

    6) J’ai essayé honnêtement de t’aider à présenter tes idées à la communauté, en te posant des questions précises et cela en utilisant exclusivement tes notations. En y répondant tu aurais pu expliquer tes idées et éventuellement nous convaincre de leur intérêt. Au lieu de cela tu ne fait que répéter de message en message toujours la même chose. Aucun de tes messages n’apporte le moindre éclaircissement par rapport au texte initial. C’est quasiment du copier-coller.

    7) Ceci est mon dernier message. En fait, je n’ai pas besoin de tes réponses : c’est toi qui en a besoin !
    Si tu essayes honnêtement d’y répondre, juste pour toi pas pour les autres, tu pourras sortir de ton enfermement mathématique. Sinon, tant qu’on a la santé ...
  • Bsr Bonsoir

    La santé, est elle définissable par les mathématiques ? Je ne sais; mais nous sommes enfin d'accord tant qu'on l'a ... gardons la ; si possible dans une suite (ou une suite de suites) d'où elle ne pourra s'échapper.
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