Un vrai pari : le mouvement perpétuel

Bonjour
J'ai bien aimé partager ce souci avec vous. Les principes de la physique confirment qu'aucun système ne peut créer sa propre énergie qui le mue. Et je ne sais pas le cas de cette confirmation si le système se trouve dans le même milieu (homogène) ou se trouve en même temps dans deux milieux différents. Dans le cas que je vous propose, le système se trouve dans deux milieux différents : l'eau et l'air où règnent deux forces perpétuelles ; les deux verticales, parallèles et de sens contraires ; l'attraction de la terre et la poussée d’Archimède, ce qui indique un moment de rotation. Le système ici est une hélice, immergée dans l'eau jusqu'à l'axe de rotation, équipée de trois bras décalés l'un de l'autre de 120°. Chaque bras se termine par un support (hélice et support en noir sur le schémas hélice 1) sur lequel on fixe un piston (P) lourd (petit carré en rouge) libre de se glisser dans un tube (en marron) qui se termine par deux orifices, ainsi pouvant refouler l'air dedans dans un sens ou dans l'autre. Par ce piston on peut par une tuyauterie gonfler un ballon et dégonfler un autre. Voir hélice Fig.1a et Fig.1b sur pièce jointe. Dans le schéma ; hélice 1 on a deux ballons gonflés sous l'eau attachés au au bras 3, un ballon B2v gonflé par le piston 2 et l'autre B3B gonflé par le piston 3. Sans eau la position de l'hélice est celle de l’équilibre, si ce n'est pas le cas on la maintient jusqu à remplir le bassin, la présence de l'eau fait naître une force vers le haut et qui s'exerce sur le bras 3 et bouleverse l’équilibre. Suivre le sens de rotation indiqué sur le schémas et vous terminez le cycle.
Si ce moyen (par piston) s’avère impuissant, on peut adjoindre un autre moyen. Par gobelets. en forçant l'air que contient un gobelet vide immergé renversé dans l'eau de gonfler un ballon. Voir pièce jointe hélice 2, ainsi on aura toujours au moins trois ballons gonflés et même plus si on veut, soulevant le bras qui se trouve dans le le cadran 3. Et si ces deux moyens s’avèrent encore impuissant, il y a un troisième.
Un test pratique a échoué par manque de moyens (voir photo). Un test partiel de la capacité des pistons à gonfler sous l'eau un ballon et renflouer un poids du fond du bassin a réussi.
SVP ne jugez pas ce projet contradictoire aux principes de la physique. Ce système ne crée pas son propre énergie, il l'attire de la gravité et la poussée d’Archimède.
Cordialement.95384
95386
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Réponses

  • Bonjour,

    Le modéle construit est-il en mouvement perpétuel ?
  • En 1775, sous l'influence de Laplace, l'Académie des sciences de Paris condamna solennellement le mouvement perpétuel, coupable de consommer inutilement les talents, le temps et la fortune de trop de mécaniciens ingénieux.
    Référence.
  • Vu la photo, le dispositif semble déjà avoir été construit, avec les ballons et tout.

    Est-ce que qu'il marche bien ?

    Ici l'eau semble stagnante, mais en tous cas, avec des eaux vives, on peut faire des moulins à aubes. (mais les centrales nucléaires, ça marche encore mieux !)
  • J'ai essayé de faire marcher la roue, mais il faut que l'eau atteint l'axe de rotation de l’hélice? pour que le bras N° 3 s' élève par les trois ballons qui sont gonflés dessous et devient horizontal libérant ainsi la force du poids du piston qui se trouve dans le bras N°1.
    Justement, ce mécanisme travaille dans des eaux stagnantes. Pas besoin de vagues, ni de vent, ni de soleil.
    SVP. il faut comprendre le fonctionnement.
  • Math Coss écrivait : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?44,1922684,1922696#msg-1922696
    [Inutile de recopier un message présent sur le forum. Un lien suffit. AD]

    Le docteur a dit que ce patient est mort. Ça veut dire qu'il est mort même s'il bouge.
  • Normalement, il le doit.
  • SVP. Essayer de comprendre le fonctionnement du mécanisme.
  • J'ai essayé de faire marcher la roue, mais [...] Pas besoin de vagues, ni de vent, ni de soleil. [...] Normalement, il le doit.
    Besoin de rien, sauf que ça ne marche pas, c'est ça ?

    Ce que Math Coss dit, c'est que dès le 18ème siècle, les physiciens et ingénieurs avaient compris que les mouvements perpétuels n'étaient pas vraisemblables, et que c'était une perte de temps d'examiner les plans et les explications des inventeurs de telles machines.

    Si tu nous avais dit "oui voilà une machine qui fonctionne gratuitement", preuves à l'appui, ok, mais là tu montres un truc qui ne marche pas.

    Sachant que la théorie dit que ça ne peut pas marcher, que veux-tu qu'on te réponde ? Que c'est normal que ça ne marche pas ? (c'est normal que ça ne marche pas !)
  • Salut,

    Si j'ai bien compris l'idée est celle-ci:
    -les ballons sont gonflés lorsqu'ils sont au plus profond, donc permettent de transmettre une puissance mécanique au mouvement de rotation lors de leurs remontée (via Archimède).
    - Puis ils sont dégonflés plus haut (pour minimiser leurs volumes en phase descendante dans l'eau).

    Alors oui, un tel système va mettre la roue en rotation, pas de problème. En revanche, pas de mouvement perpétuel (ne cherche même pas, ça n'existe pas).

    Tu dois fournir (via la pompe) une énergie mécanique aux ballons pour les gonfler, tu peux éventuellement récupérer une partie de l'énergie lors du dégonflage (avec un système vraiment très bien pensé et impeccablement réalisé). Mais tu gonfles les ballons là où la pression est la plus forte, tu les dégonfles là où la pression est la moins forte, l'énergie que tu as transmis à la rotation de la roue est (au mieux) la différence de coût entre le pompage et la récupération.
    Le seul truc qui pourrait sauver le système ce serait que l'eau soit très froide et l'air très chaud et que les échanges thermiques au niveau des ballons soit ultra-rapide (je ne vois aucune solution technique pour ça), ainsi la dilatation thermique compenserait les pertes. Mais ce ne serait pas un mouvement perpétuel, tu exploiterais seulement une différence de température (de manière originale).

    Ne cherches même pas, il n'y a aucun moyen de faire du mouvement perpétuel. Même si tu te dis qu'il se passe des choses différentes dans l'eau et dans l'air, le système est à l'équilibre mécanique (le plus dense en bas, le moins dense en haut, ça ne bouge pas...) et on n'extrait rien d'un système à l'équilibre. Tu as besoin de différence de température ou de potentiel chimique (ou électrique ...) ou d'un potentiel ou mouvement mécanique préexistant pour mettre quelque chose en mouvement.

    Il y a plein de bricolage sympa et sensé à faire en rapport avec l'énergie, essaie un panneau solaire thermique ou une petite éolienne, aide toi de plans, il doit y en avoir sur internet, c'est moins original, mais on est quand même fier de soi quand ça fonctionne vaguement.
  • D'une part, la gravité et la poussée d'Archimède ne sont pas des sources d'énergie ; d'autre part, tous les mécanismes présentent du frottement qui engendrent des pertes d'énergie. Comment est-ce que cela pourrait bouger ou ne pas arrêter de bouger ?

    La théorie dit que ça ne peut pas marcher ; apparemment la pratique montre que ça ne marche pas. Qu'est-ce qui peut inciter à croire à ce mécanisme ?
  • @Math coss: on peut parler d'énergie à partir du moment où il y a un travail, par exemple, lorsqu'une planche de bois coincé au fond l'eau remonte à la surface, tu peux considérer qu'il y a eu un transfert d'énergie via la force d'Archimède.

    Il est tout-à-fait possible de mettre la roue en mouvement via les ballons en se servant du travail de la pompe. Considère que tu remplis un ballon d'un litre d'air à disons une température de 300K et une pression de 1.1 bar (utilise la loi des gaz parfait, néglige les forces d'élasticité du ballon, c'est juste pour se faire une idée), ce ballon subit ensuite une détente adiabatique jusqu'à 1 bar. Le ballon (lors de sa dilatation) a fourni un travail vers l'extérieur, en première approximation, c'est cette énergie que doit fournir la pompe au système et sans prendre en compte les frottement et autres pertes de charges, c'est l'énergie qui sera transmise à la rotation de la roue. La roue tourne tant qu'on continue de pomper.

    Bu meu gazo ga (En Shadok: "Ce n'est qu'en pompant que vous arriverez à quelque chose, et même si vous n'y arrivez pas, ça ne vous aura pas fait de mal").
  • Je viens de lire un peu plus précisément le message de base, qu'est ce qui active les pistons? Si on veut mettre le truc en route, il faut que le "delta" volume du ballon une fois gonflé soit supérieur au volume d'eau ramassé (plus précisément, le rapport doit être supérieur au rapport entre la hauteur à laquelle on veut faire monter l'eau, par rapport au niveau de l'eau, et la profondeur maximal si le cycle est parfaitement réglé).
  • Ce système ne peut pas marcher car ce serait un perpetuum mobile. Mais il y a beaucoup d'inventions où c'est difficile de voir pourquoi ça ne marche pas, et cet exemple en est une illustration.
    Le problème vient du rapport du poids dans le piston, et de la poussée d'Archimède provoquée par le ballon. Pour que le poids du piston soit suffisamment grand pour gonfler un ballon en "tombant", il sera aussi trop lourd pour être levé par le ballon en question par la poussée d'Archimède. Le centre de gravité des masses dans les pistons ne se trouve pas dans l'axe, mais en-dessous et à droite sur le schéma qui provoquera un moment de forces qui équilibre parfaitement le moment de la poussée d'Archimède des ballons gonflés.
  • Je ne m’y connais pas assez en Physique.

    Est-ce que l’impossibilité du mouvement perpétuel est un axiome de la physique ?
    Ou bien est-ce que l’on démontre cela avec des axiomes de la physique ?
    Ou encore, est-ce équivalent à certains axiomes ?

    Bien entendu, je ne suis pas prêt pour vous dire ce que j’appelle « axiomes de la physique ».
    Quelqu’un saurait-il mettre à plat tout ça ? Ou bien est-ce très long à coucher en un message ?

    Pardon pour cette initiative digressive.
  • Bonsoir,
    Les réponses aux questions posées par Dom m'intéressent aussi.
  • Bonjour,

    Ça prendrait une semaine de cours pour le démontrer.

    En gros : le mouvement perpétuel est impossible parce qu’il équivaut à un travail sans apport d’énergie.

    Ceci viole le premier et le second principes de la thermodynamique.

    C’est là que ça devient chaud :)

    Il existe plusieurs formulations de la thermodynamique. Certaines sont démontrées mathématiquement équivalentes, d’autres non.

    Dans la formulation de la thermodynamique en physique moderne, la physique statistique permet de démontrer le second principe. Mais comme toute démonstration, on fait des hypothèses. Ici, l’hypothèse fondamentale porte sur l’absence de corrélation dans le passé. Ainsi, la seconde loi de la thermodynamique s’applique dans notre Univers serait une conséquence des conditions initiales. Dans ce sens, le second principe n’est pas absolu. Si les conditions initiales étaient différentes on aurait une autre loi.

    La démonstration se fait en physique statistique classique et quantique. Mais, que je sache, pas dans des espaces-temps courbes...

    Vous pouvez lire sur le net.
  • Si on pouvait créer de l'énergie à partir de rien avec un mécanisme aussi simple cela ferait longtemps que cela aurait été déjà fait.
    Où est-ce que j'ai mis mon E2PZ? B-)

    PS:
    Ce truc me rappelle une histoire courte de SF d'Asimov.
    Dans cette nouvelle il est question d'une invention: un aspirateur à poussière qui a une particularité: tu ne vides jamais le réservoir à poussière. La poussière aspirée disparait comme par magie après avoir été aspirée.
    Devinez la fin de la nouvelle? Toute la poussière aspirée réapparait en une seule fois: l'aspirateur "magique" projetait la poussière dans un univers parallèle: les habitants excédés par cette poussière finissent par la retourner aux envoyeurs.
    Un jour on trouvera peut-être un moyen d'extraire de l'énergie du vide et on se rendra compte que "pomper" cette énergie fragilise le continuum espace-temps et le multivers.
  • Salut,
    J'essaie d'étoffer un peu la réponse de YvesM. Je vais mettre pleins de mots savants, du coup ça risque d'être imbitable, mais si vous lisez ça et que vous êtes intéressé, vous avez une barre de recherche à portée de clavier.

    En gros la physique statistique est assez bien définie dans deux cas: la mécanique quantique (le caractère probabiliste est postulé par les postulat de mesure et de réduction) et une mécanique "fondamentalement classique", c'est-à-dire une mécanique d'un système de point matériel lié entre eux par des potentiels entièrement définis par leurs positions relative (on peut mettre plus de variables dans les potentiels, mais ne compliquons pas).
    En fait dans les deux cas, on est capable de définir des fonctions nommés entropies de Boltzmann (c'est comme l'entropie de Shannon, mais ça ne parle pas de bits) liées au fait que l'espace des états possibles est mesurables (dans le deuxième cas, on parle de "mesure de Liouville", c'est la mesure de Lebesgue défini sur l'espace des phases, un truc de mécanique hamiltonienne). Il faut savoir que ce qu'on appelle équation de Boltzmann, qu'on défini typiquement pour les gaz parfait est aisément généralisables aux autres systèmes classique via le formalisme hamiltonien.

    Tout cela était techniques, mais voilà en gros ce qui se passe (même si l'explication n'est pas parfaitement canon): à un niveau microscopique on ne sait pas trop ce qui se passe, on a via les détecteurs accès qu'à un petit nombre de variables, quand ces variables sont connues, on sait qu'elle ne correspondent qu'à une certaine partie mesurable de l'espace des phases, plus une partie est de grande mesure plus elle correspond à une entropie élevée (je zappe la partie "ergodicité", je suppose que l'idée des "conditions initiales" à laquelle fait référence YvesM est en lien avec les conditions pour l'observer, mais pragmatiquement et grossièrement, il faut savoir que une différence d'entropie de $1.J.K^{-1}$ entre deux états macroscopiques signifie que le système passera à peu près $exp(7\times 10^{22})$ fois plus de temps dans l'état de plus haute entropie que dans l'état de plus basse, donc quand on est physicien, on ne s'emmerde pas et on dit qu'en gros que le système fonce vers l'état de plus haute entropie).

    A priori ça peut paraître très con comme façon de voir les choses, car le système doit être considéré comme étant à un instant donné dans un état donné et pas dans une partie mesurable de donnée. C'est un peu l'idée du paradoxe du démon de Maxwell. Une solution élégante au paradoxe de Maxwell est de ne pas considérer que le démon est un truc avec une connaissance infinie, mais plutôt un véritable système physique qui détecte son environnement via "l'intensité" de son interaction avec celui-ci, quelque soit le fonctionnement du détecteur (passif) que l'on considère on se rend vite compte que le truc est finalement "plutôt aveugle" et que très vite il fera autant d'erreurs que de bons coups (quand on va s'approcher de l'équilibre thermodynamique).
    -> Problème: là je suis en train de mettre un genre de schéma d'axiomes sur de la physique. Techniquement, je ne suis pas capable de démontrer que n'importe quel détecteur sur n'importe quel système posera problème, mais présentez-moi un détecteur et un système et je chercherais la petite bête. On va appeler ça un "schéma de pragmatisme", je suppose que ça vous choque (bande de matheux!), mais nous autres humains y sommes contraints.

    En ce qui me concerne, je conclue de mes réflexions personnelles comme de mes conversations (essentiellement avec un prof de physique statistique pendant mes études et un ami théoricien plus tard), j'ai l'impression qu'une idée (assez partagée et sûrement très vieille) de rapport coût (énergétique ou autre chose) de l'information / bénéfice qu'on peut en tirer sous-tend un peu la notion d'entropie. Mais c'est assez peu discuté, car mal formalisé (quand on se met à parler d'information en physique, vous pouvez être certains que ça va mal finir) et du coup on est pas capable de définir correctement les variables thermodynamiques dans une théorie des champs (parce que par ailleurs, on ne parvient pas à appliquer une mesure adapter au lois de la physique dans le cadre d'une théorie des champs) et c'est dommage, parce que ça pourrait vite devenir ultra-passionnant (notamment dans le cadre relativiste, dans lequel la vitesse de l'information pourrait jouer un rôle et je ne parle même pas des délires cosmologiques).




  • C 'est Free c'est beau.
  • Dom a écrit:
    > Est-ce que l’impossibilité du mouvement
    > perpétuel est un axiome de la physique ?
    > Ou bien est-ce que l’on démontre cela avec des
    > axiomes de la physique ?

    La physique n'est pas aussi bien axiomatisée que les mathématiques, car la physique, étant une science expérimentale, possède une "contre-réaction de contrôle" que n'ont pas les mathématiques: l'expérience.

    Mais il y a des domaines plus ou moins axiomatisés qui sont tellement confirmés par des expériences dans un domaine d'application, qu'on peut prendre ces axiomes comme vérité.

    Ici, nous avons un système purement mécanique. Il n'y a pas de physique exotique là-dedans, pas de trous noirs, pas de rayons Ga-Bu-Zeu, pas de concentrateurs à flux kinéso-plasmatiques.... Simplement de la mécanique. Alors, oui, dans ce système, on connaît parfaitement les axiomes (les physiciens parlent de lois de la physique, pas tellement d'axiomes, mais c'est la même idée). Et dans cette physique bien connue, il y a une loi, qui est la loi de conservation d'énergie. Pour les gaz, elle est un postulat de la thermodynamique classique dont il n'y a pas d'exception pour des systèmes avec des gaz et des pistons. Pour la mécanique, les forces sont conservatrices (gardent l'énergie mécanique totale, c.à.d. somme des énergies cinétiques et potentielles) ou dissipatives (convertissent une partie de l'énergie mécanique en chaleur).

    On sait donc que n'importe quel système dans ce domaine ne peut pas livrer de l'énergie sans la puiser ailleurs, sans devoir rentrer dans le détail des forces et mouvements. Si on le faisait, on trouverait que c'est le cas. Toutes les machines construites du genre ne semblent fonctionner seulement que quand on reste sur le niveau intuitif sans faire de calculs, mais aucune ne s'avérera fonctionner si on fait les calculs des forces et mouvements, car, justement, c'est une propriété de ces forces et mouvements en mécanique classique.

    Il n'est même pas nécessaire d'aller au-delà, car ce système ne postule pas d'existence de forces autres que les forces connues de la mécanique classique. C'est essentiellement l'équivalent de prétendre trouver des nombres premiers factorisables en 3 facteurs: le système conceptuel sur lequel l'engin est basé ne permet pas le résultat prétendu.
  • Fly7:

    Il y a des zillions de vidéos sur YT comme celle-ci:



    Et il y a des centaines de milliers de gens qui y croient. :-D
  • Pensez aux gobelets vides qui en entrant dans l'eau gonflent des ballons de plus. Ce qui est pratiquement testé; lorsqu'on attache au fond d'un bassin rempli d'eau une bouteille en plastique de 33 cl attachée à une autre de 1.5 L remplie de sable, on détache l'ensemble et on voit que la petite bouteille remonte la grande à la surface. Ce qui pratiquement testé que ce piston sur photo à remonté une moule 40 x 20 x 10 remplie de béton. Il y'a un troisième moyen qui peut renforcer les deux premiers et n'oubliez pas un détail important que la poussée d’Archimède dans es eaux salées est plus forte que celle des eaux douces.
  • Le gonflage des ballons se fait par la gravite. Lorsque le piston s'enfonce dans l'eau ( du cadran 1 au cadran 2) la partie lourde descend par gravite gonfle le ballon au cadran 3 et dégonfle par aspiration le ballon le ballon au dessus. Encore une fois pensez aux gobelets vides entraînés par le piston dans l'eau (du cadran 1 au cadran 2) vont gonfler d'autres ballons attachés au bras qui se trouve dans le cadran 3.
  • Il ne faudrait pas oublier non plus que si l'expérimentateur a pris un bon petit-déjeuner, il sera de meilleur humeur !

    On peut stocker de l'énergie (c'est-à-dire transmettre de l'énergie au système qui la restituera éventuellement plus tard) en mettant un objet plus léger que l'eau au fond de l'eau ou en mettant un objet lourd en hauteur mais ni la poussée d'Archimède ni la gravité ne sont des sources d'énergie. En revanche, via les frottements (solides et fluides) il y a une déperdition de l'énergie sous forme de chaleur. À moins de lui fournir de l'énergie, par exemple avec des sources de chaleur comme l'a proposé Titi le curieux, le système s'arrête nécessairement.
  • kader2020 a écrit:
    > Le gonflage des ballons se fait par la gravite.

    On a compris le "principe". Je te dis: quand tu tiendra compte de tout, ça ne tournera pas. C'est en négligeant l'effort fait sur les masses, que tu penses que cela tournera.

    Il faudrait regarder ce site: https://www.lockhaven.edu/~dsimanek/museum/unwork.htm

    La proposition dans ce fil est une variante de cette idée:

    https://www.lockhaven.edu/~dsimanek/museum/themes/bellows.htm
  • Mettons momentanément les principes de la physique à part, Vous avez devant vous un mécanisme que expérimentateur demande votre avis si ce mécanisme peut tourner ou non selon les descriptions jointes à ce message. Pour savoir plus comment fonctionne le piston et les gobelets vous pouvez suivre ce lien.
  • kader2020 a écrit:

    > Mettons momentanément les principes de la
    > physique à part, Vous avez devant vous un
    > mécanisme que expérimentateur demande votre avis
    > si ce mécanisme peut tourner ou non selon les
    > descriptions jointes à ce message.

    Si on doit mettre les principes de la physique à part, on ne peut rien dire non plus sur la pertinence d'une description. Il n'y a pas de poussée d'Archimède non plus, ni un effet de gravitation ou de pression alors. On a mis ces choses de coté.
  • Patrick123 écrivait:
    > pas de rayons Ga-Bu-Zeu

    Je proteste avec la plus grande énergie contre ce barbarisme.
  • Math Coss a écrit:
    mais ni la poussée d'Archimède ni la gravité ne sont des sources d'énergie.

    Pour le sieur Archimède je ne me prononce pas mais si on jette une boule de pétanque du haut de la tour Eiffel elle acquiert de l'énergie cinétique en tombant. Mais par contre, une fois qu'elle touche le sol cette énergie cinétique ne va pas se renouveler. On n'a jamais vu de pommes remonter sur leur pommier après être tombées. :-D
  • Kader2020,

    tu as un moyen très simple de convaincre les autres : Tu réalises ton système, tu le mets en marche (dans une eau stagnante, protégé du vent, par exemple dans une baignoire dans la maison) et s'il continue à marcher au bout de 2 jours, tu invites les journaliste locaux (*) à venir voir.
    J'avais été contacté par un inventeur de mouvement perpétuel (mieux, il faisait rouler sa mobylette sans utiliser d'essence) qui voulait savoir si ça pouvait marcher. Je lui avais promis 1000 F (150 €) s'il me faisait une démonstration, j'attends toujours (20 ans après).

    Mais tu perds ton temps à essayer de convaincre des matheux et physiciens que leurs règles de base sont fausses. Tant que tu n'as pas une preuve, tu passes pour un illuminé.

    Cordialement.

    (*) généralement faibles en physique, donc ils accepterons de venir.
  • « On n'a jamais vu de pommes remonter sur leur pommier après être tombées. » Précisément ! La chute a converti l'énergie potentielle en énergie cinétique (puis il y a eu des choses compliquées pendant le choc). Il n'y a pas eu de création d'énergie pour autant.

    Au lieu de regarder tomber une pomme, faisons tomber une bille, et au lieu de la faire tomber bêtement dans l'air, mettons-la sur une sorte de toboggan qui remonte : arrivée au fond du toboggan, la bille va remonter et convertir son énergie cinétique en énergie potentielle. Est-ce qu'elle va remonter à la même hauteur que celle dont elle est partie ? Pas tout à fait parce qu'il y a eu des frottements, donc déperdition d'énergie. Si $E$ est l'énergie perdue en frottements, $d$ la différence de hauteurs, on peut même dire que $E=mgd$, où $m$ est la masse et $g$ l'accélération de la pesanteur. Toujours pas de création d'énergie, au contraire.
  • Fin de partie a écrit:
    > Pour le sieur Archimède je ne me prononce pas
    > mais si on jette une boule de pétanque du haut de
    > la tour Eiffel elle acquiert de l'énergie
    > cinétique en tombant.

    Il fallait déjà d'abord la porter en haut de la tour, ce qui a coûté de l'énergie.
    C'est là qu'elle a acquise son énergie (potentielle). La faire tomber ne fait que convertir cette énergie potentielle en énergie cinétique. En en tombant par terre, elle a convertie cette énergie cinétique en chaleur.
  • Fin de Partie.
    Ça me reviens.
    Spéciale DEFAKATOR, sa va vous plaire.

    (:D
  • Merci
    J'ai essayé (voir photo), j'ai pas pu par manque de moyens, j'ai supplié de l'aide (voir vidéo) Il se peut à travers ces forums trouver un collaborateur.
  • gerard0 a écrit:
    > Mais tu perds ton temps à essayer de convaincre
    > des matheux et physiciens que leurs règles de
    > base sont fausses. Tant que tu n'as pas une
    > preuve, tu passes pour un illuminé.

    En fait, il s'agit ici d'un raisonnement incohérent, indépendamment si dans la réalité physique, cet appareil marche ou non, car *l'argumentaire* pour suggérer que cette machine marche, est basée, justement, sur des postulats qui indiquent en même temps que cela ne peut pas marcher. Si, par hasard, cette machine se mettait à fonctionner, en aucun cas elle marcherait à cause du raisonnement erroné qui aurait conduit à sa construction, mais pour des raisons autres qui invalideraient exactement la physique qui était à la base de son argumentaire.

    Dans la mesure où on croit que les pistons vont comprimer le gaz, que la force de gravitation va faire pousser les pistons, et que la poussée d'Archimède va faire monter les ballons, on se trouve dans un cadre axiomatique qui dit en même temps que cette machine ne peut pas tourner.

    Donc même si cette machine se met à tourner, et donc à invalider la physique classique, le raisonnement à l'intérieur de la physique classique qui était à la base de sa construction reste faux.
  • Fly7:

    En réalité, je ne savais pas que YT regorgeait de stupidités comme celle que j'ai indiquée plus haut.

    C'est la vidéo que tu mets en lien qui m'en a fait prendre conscience il y a quelque temps (je suis abonné à cette chaîne YT)
    Je voulais une vidéo pas trop longue pour illustrer cette arnaque donc j'ai tapé dans le moteur de recherche de YT "énergie gratuite" et voilà !
  • Je parle du principe qu'aucun système ne peut bouger de lui-même. ne peut créer son propre énergie. la poussée d’Archimède qui peut renflouer un navire coulé ou échoue au fond de la mer et le mettre à flot ou maintenir un bateau avec tout ce qui est à bord à dix mètres ou plus au dessus de l'eau, je ne pense pas qu'elle soit incapable de bouger ou faire tourner le poids de quelques kg du cadran 4 au cadran 1. Dans le cadran 3 de la figure hélice 2 vous avez trois ballons gonflés attachés au bras et on peut mettre plus s'il faut.95428
  • Patrick123:

    Bien évidemment mais cela ne change rien au fait qu'acheminer une boule de pétanque en altitude fait prendre à cette dernière de l'énergie cinétique. C'est comme un réservoir à énergie: on a stocké l'énergie qu'il a fallu "dépenser" pour hisser cette boule de pétanque en hauteur et cette énergie peut être restituée, en partie, en énergie cinétique si on fait retomber cette boule.

    Kader2020:

    Si tu penses que ton dispositif fait ce que tu penses qu'il fait, tu le construis complètement et tu verras ce qu'il en est réellement. Si tu comptes sur ce dispositif pour réduire tes factures d'électricité je pense que tu vas être déçu.
    Par ailleurs, l'utilisation de la force du courant d'une rivière n'est pas une invention récente.
  • kader2020 a écrit:
    > Je parle du principe qu'aucun système ne peut
    > bouger de lui-même.

    Ce principe se déduit des lois des gaz (compression etc...) et des lois de la mécanique ainsi que le modèle de forces que tu utilises (gravitation). Ce n'est pas un dogme "à coté". De la loi de gravitation de Newton, on peut DEDUIRE la conservation d'énergie. Les lois des gaz obéissent à la conservation d'énergie. Ainsi, tout système qui n'utilise que ces lois, est *automatiquement* soumis à cette loi.

    > la poussée d’Archimède qui peut
    > renflouer un navire coulé ou échoue au fond de
    > la mer et le mettre à flot ou maintenir un
    > bateau avec tout ce qui est à bord à dix mètres
    > ou plus au dessus de l'eau, je ne pense pas
    > qu'elle soit incapable de bouger ou faire tourner
    > le poids de quelques kg

    Pour renflouer un navire coulé, il faut apporter de l'énergie pour pomper l'air dans la coque. La poussée d'Archimède vient du fait que la pression est plus élevée en bas qu'en haut. Ce qui veut dire qu'il faut porter l'air à une pression plus élevée si on veut pomper l'air dans la coque plein d'eau.

    Et l'énergie apportée par la pompe d'air sera au moins aussi grande que l'énergie potentielle gagnée par la mise à flot du bateau coulé.

    Ainsi, pour soulever une masse de 5 kg de plomb (dont on néglige le volume) à une profondeur de 30 m jusqu'à la surface, il faut donc remplir un ballon de 5 litres à cette profondeur, car la poussée d'Archimède sera alors g * 5 kg, ce qui est tout juste bon pour contrer le poids du plomb.

    Pour pomper 5 litres d'air à 30 m de profondeur, il faut donc 5 litres à 4 bars, alors qu'on part de 20 litres à 1 bar.

    L'énergie dépensée pour compresser 20 litres d'air à 1 bar en 5 litres d'air à 4 bars de façon isotherme sera de:

    $E = p_1 V_1 ln (V_1 / V_2)$

    C'est $10^5 * 0.02 * \ln(4/1) J$ = 2772 J

    Élever 5 kg de 30 m nous donne une énergie potentielle gagnée de 9.81 * 5 * 30 J = 1471 J.

    Nous voyons donc que la pompe a dépensé bien plus d'énergie que ce qu'on gagne en levant la masse de 30 mètres.
    Ça vient du fait que la compression isothermique n'est pas réversible n'est pas adiabatique (*) et il y a de la chaleur qui a été dissipée dans la nature en pompant.

    (*) je corrige: une transformation isothermique peut parfaitement être réversible, et d'ailleurs l'expression que j'utilise part du principe qu'elle l'est. Par contre, pendant la compression, de la chaleur est transmise (de façon réversible) à l'environnement, et pendant la phase de décompression, cette même chaleur est transmise (de façon réversible) au gaz. Ceci ne change en rien le fait que la pompe doit bien livrer 2772 J pour pomper le ballon et chauffer l'environnement. Mais cette chaleur sera restituée pendant l'expansion du ballon, à l'air qui serait, sinon, plus froid en haut qu'en bas.
  • Je parle de renflouement par ballons gonflés et non pas de pompe https://fr.wikipedia.org/wiki/Renflouement. Je vois que vous allez loin de ce que je parle. Les ballons dans cas se gonfle par un lourd piston contenu dans un tube. lorsque ce tube sera vertical, le piston par gravité se glisse dans le tube et souffle l'air contenu dedans vers le ballon et c'est pratiquement teste., en effet le piston gonfle le ballon sous l'eau à 4.5 m de profondeur.
  • Vous connaissez l'horloge de Beverly, construite en 1864? C'est une horloge mécanique qui n'aurait pas été remontée depuis qu'elle a été construite*. B-)-

    https://fr.wikipedia.org/wiki/Horloge_de_Beverly

    *: aucun mouvement perpétuel dans cette horloge mais le mécanisme est ingénieux.

    PS:
    Et pourtant on construit des horloges qui ont besoin d'énergie: des piles, des batteries dont la fabrication dévaste l'environnement. :-(
  • Il existe aussi le mouvement presque perpétuel avec la supraconductivité.
    J'ai entendu dire qu'il existe une bobine dont le courant tourne depuis 60 ans.
    Petit bémol il faut refroidir proche du zéro absolu et ça ce n'est pas gratuit. (tu)
  • kader2020 a écrit:
    > Je parle de renflouement par ballons gonflés et
    > non pas de pompe
    > https://fr.wikipedia.org/wiki/Renflouement. Je
    > vois que vous allez loin de ce que je parle.

    Si le contenu du piston "au repos" est à pression ambiante, et son volume est $V_1$, et par son poids, il doit gonfler un ballon à la pression $P$ en profondeur $h$, alors le volume du ballon gonflé sera de $V_b$ qui sera égal à $\frac{1 bar}{P}V_1$, car le volume $V_1$ sera comprimé dans le ballon. Si le piston est de masse m, et de section S, alors il devra avoir une masse au moins égale à $g m = P S$ car en fin de course, il doit livrer la pression P, et il devra donc parcourir la distance d donnée par $V_1 = S d$ pour remplir le ballon. Le piston sera donc descendu d'une distance d.

    En profondeur h, la pression P est égale à 1 bar + $h \rho g$. La poussée d'Archimède sera de $V_b \rho g$.

    Nous avons donc que la poussée d'Archimède $V_b \rho g$ devra être supérieure au poids du piston s'il faudra le soulever.

    Eh bien, calculons:

    Cette poussée $V_b \rho g = \frac{1bar}{P} V_1 \rho g = \frac{1bar}{P} S d \rho g = \frac{1bar}{P^2} g m d \rho g$

    Il faut bien sûr que le ballon soit plus profond que la distance sur laquelle le piston descend: $ h > d$.

    Nous avons alors que $\frac{1}{P} d \rho g < \frac{1}{P} h \rho g = \frac{1}{1 bar + h \rho g} h \rho g < 1$.

    Donc la poussée $V_b \rho g < \frac{1 bar}{P} gm$.

    Comme $P > 1 bar$, nous avons aussi que la poussée $V_b \rho g < g m$.

    La poussée ne peut pas soulever le poids.
  • Fly7 a écrit:
    > J ai entendu dire qu il exite une bobine dont le
    > courant tourne depuis 60 ans.

    Il y a la Terre qui tourne déjà 4 milliards d'années autour du soleil... :-D
  • Bonjour,

    Depuis l'aube de l'humanité, les pauvres ne cessent de s'appauvrir.

    A+
    Il arrive qu'un prince ait des scrupules... Une république n'en a jamais. (Aristobule de Samos)
  • Le piston est dans un tube contenant assez d'a ir pour gonfler le balon. Ca c'est pratiquement teste. Il n'ya pas que les ballons gonfles par les 'pistons qui entrent en jeu, il y'a aussi les ballons gonfles par les gobelets pratiquement sans poids qui componsent la pussee qui manque. Ca veut dire que les ballons gonfles par le piston et les balons gonfles par gobelets se mettent ensemble pour soulever ou bouger le piston.
  • Merci pour les réponses.
    ;-)
  • C'est perpétuel, il y a des gens qui pompent l'air et d'autres que le piston gonfle. X:-(
  • kader2020 a écrit:
    > Le piston est dans un tube contenant assez d'a ir
    > pour gonfler le balon.

    Non. C'est ce que j'ai appelé $V_1$, et il ne contient pas assez d'air pour gonfler un ballon suffisamment pour soulever le poids du piston. C'était ce que je viens de démontrer.

    Bien sûr, il contient de l'air. Et bien sûr, il peut gonfler un ballon. Mais pas assez, c'est toute l'astuce.
    Ca c'est pratiquement
    > teste.

    Non, car ça ne tourne pas, hein. Et si c'était testé, tu ne serais pas passé à l'étape suivante:
    Il n'ya pas que les ballons gonfles par les
    > 'pistons qui entrent en jeu, il y'a aussi les
    > ballons gonfles par les gobelets pratiquement sans
    > poids qui componsent la poussee qui manque.

    Voila, donc, il n'y avait pas assez d'air, comme j'avais calculé.

    Et avec ces engins-là, c'est la fuite en avant: comme on y est "presque", on ajoute un autre système qui ne marche pas non plus, mais qui semble avoir l'avantage que le calcul détaillé qui est juste une application d'une propriété GENERALE, que ce genre de trucs ne peut JAMAIS marcher, n'est plus d'actualité. Et qu'il faut en faire un autre, qui, inlassablement, va de nouveau démontrer que les nouvelles modifications ne vont pas marcher. Mais comme "on y est presque", on va encore ajouter un autre bidule. Etc...
    Ca veut
    > dire que les ballons gonfles par le piston et les
    > balons gonfles par gobelets se mettent ensemble
    > pour soulever ou bouger le piston.

    Pourquoi alors garder les pistons ? Si les gobelets tous seuls marchent tellement bien qu'ils peuvent corriger le défaut des pistons, ils marcheront encore mieux sans pistons non ?

    Je connais ce genre de trucs. C'est sans fin. Chaque fois, tu vas découvrir que "ça ne marche tout juste pas, mais tu y es presque". Et puis, tu vas ajouter un bidule. Chaque argument détaillé (application du même principe qui dit que ça ne peut pas fonctionner) sera rejeté dans ton esprit car tu viens d'avoir une nouvelle idée de bidule à ajouter, ce qui complexifie l'analyse. Mais ça ne fonctionnera jamais, car pour "inventer" des bidules à ajouter, tu restes (peut-être sans le savoir) dans un système de pensé qui lui-même démontre que ça ne peut pas marcher en toute généralité: la mécanique et les gaz. Tu essaies de trouver un triangle rectangle où le théorème de Pythagore ne serait pas valable, tout en faisant de la géométrie Euclidienne. Tu en fais des plus grands, des plus pointus, des plus loin, des plus tournés, etc...
  • Tant que ce truc n'est pas mis à l’épreuve. je nage contre le courant.
    Il reste un petit détail: les calculs que vous avez fait, vous les avez fait sur les eaux douces ou salées.
    File:Dead_sea_newspaper.jpg?uselang=fr

    Il reste un troisième moyen: des gobelets qui se remplissent d'eau par des pompes actionnées par la roue elle-même d'eau dans le cadran 1.
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