Conseils constructifs sur mes travaux

Conseils constructifs sur mes travaux sur le Cardinal quantitatif :


Des conseils constructifs m'ont été donnés ici, par Homo Topi :


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Ma réponse : Je vais peut-être, donner 2 versions de l'Introduction de mes travaux : Une version 1 : Celle que tu souhaites, et une version 2, l'ancienne version.

De manière générale, dans le 1er § donné dans l'introduction, je fais un résumé de mes travaux, et donc j'introduis, nécessairement, des notions encore non définies et qui le seront {dans|par} la suite.

Homo Topi a écrit:
- que le CQ est la notion optimale/véritable notion de nombre d'éléments d'un ensemble. Tu ne justifies absolument pas en quoi les autres notions sont moins bonnes (et pourquoi ?) que cette nouvelle notion que tu introduis (sans l'avoir définie pour le moment)

Le 1er § donné dans l'Introduction a pourtant était en bonne partie justifié, dans la suite de l'Introduction.
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Réponses

  • Homo Topi a écrit:
    - que la notion usuelle de cardinal ne va "pas assez loin" mais cf ce que je viens de dire, on ne sait pas en quoi tu trouves cette notion insuffisante

    Je l'ai justifié sur un exemple simple dans la suite de mon Introduction.

    Justification : C'est une notion qui conserve le caractère intuitif que l'on a déjà de la notion de cardinal (de Cantor), dans le cas des ensembles finis, dans le cas des ensembles infinis, et qui se veut la notion optimale de quantité d'éléments d'un ensemble, même si pour le moment on ne sait pas aller au delà des parties compactes, convexes, de $\R^n$, de classe ($C^0$) et ($C^1$ par morceaux).

    Enfin, moi, je me suis essayé à aller plus loin.
  • Honnêtement Je n'ai strictement rien compris à ta justification.
    Je m'interroge surtout sur le sens à donner à <<et qui se veut la notion optimale de quantité d'éléments d'un ensemble>>.
  • Si nous te disons "tu ne justifies rien", ça ne sert à rien de dire "ben si, j'ai justifié" puisqu'on a déjà dit que ce que tu penses être des justifications n'en sont pas.

    Il est où, "l'exemple simple" dans la suite de ton introduction ?

    Et mon autre question est plutôt : pourquoi trouves-tu qu'il n'est pas suffisant de dire "si $A$ s'injecte dans $B$, on dit que $card(A) \leqslant card(B)$" ? Quelles mathématiques veux-tu faire pour lesquelles ce cardinal-là n'est pas suffisant ?
  • Je n'ai pas lu les évolutions depuis 2 ou 3 jours.
    Quand j'ai lu cette fameuse phrase d'introduction (une seule phrase ... qui nécessite plusieurs jours de discussion !), voici ce que je me suis dit :

    Il faudrait une première phrase 'Etat des lieux' : la notion de cardinal classique définit xxx xxx ;
    Deuxième phrase : quelles sont les lacunes reconnues ou pas de ce cardinal classique. Pourquoi ces lacunes sont elles restées 'non-résolues' au fil du temps, si ce sont réellement des lacunes reconnues.
    Troisième phrase : comment tu comptes combler ces lacunes ; quelle est la valeur ajoutée de ta nouvelle idée.
    Quatrième phrase, facultative : Si ton cardinal Quantitatif introduit d'autres lacunes (tu remplaces un défaut du cardinal classique, par un autre défaut, a priori moindre), alors tu présentes succintement ce problème.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • @Fin de partie,

    La notion de Cardinal quantitatif qui s'identifie à la notion de Cardinal (de Cantor), dans le cas des ensembles finis, est la notion optimale de quantité d'éléments, dans le cas des ensembles finis.

    Le fait que la notion de Cardinal quantitatif conserve les propriétés intuitives que l'on a déjà du Cardinal, dans le cas des ensembles finis, dans le cas des ensembles de ${PV}(\R^n)$ (et en particulier aux ensembles infinis de cette classe), fait que cette notion est la notion optimale de quantité d'éléments, dans le cas des ensembles de ${PV}(\R^n)$ (et en particulier aux ensembles infinis de cette classe).

    Dans, le cas, des ensembles infinis, la notion de Cardinal (de Cantor), ne conserve pas les propriétés intuitives que l'on a déjà de lui, dans le cas des ensembles finis, et bien qu'on puisse concevoir une telle notion mathématiquement, c'est problématique.

    Par exemple avec la notion de Cardinal, le tout n'est pas, nécessairement, strictement plus grand que chacune de ses sous-parties strictes.

    Ce qui n'est pas le cas avec la notion de Cardinal quantitatif.
  • lourrran a écrit:
    Deuxième phrase : quelles sont les lacunes reconnues ou pas de ce cardinal classique. Pourquoi ces lacunes sont elles restées 'non-résolues' au fil du temps, si ce sont réellement des lacunes reconnues.


    Attention, je n'ai pas dit que la notion de Cardinal a des lacunes, mais que ce n'est pas la meilleure notion de quantité d'éléments d'un ensemble, mais plutôt un ordre de grandeur de la quantité d'éléments d'un ensemble, dans le cas des ensembles infinis.

    Exemple : $card([-1,1]) = card([-2,2])$ alors que ${card}_Q([-1,1]) < {card}_Q([-2,2])$

    et même $\displaystyle{\frac{ {card}_Q([-2,2]) - {card}_Q(\{0\})}{ {card}_Q([-1,1]) - {card}_Q(\{0\})} = \frac{ {card}_Q([-2,2]) - 1}{ {card}_Q([-1,1]) - 1} = 2}$.

    Exemple : $card({[a,b]}) = card([a,b] \times [c,d]) = card([a,b]) \,\, card([c,d]) = \aleph_1$

    alors que $card_Q({[a,b]}) < card_Q([a,b] \times [c,d]) = {card}_Q([a,b]) \,\, {card}_Q([c,d])$,

    où $[a,b]$, $[c,d]$ sont des intervalles non vides et non réduits à un singleton.

    La notion de Cardinal est valable pour toutes les parties de $\R^n$, alors que concernant la notion de Cardinal quantitatif, on ne sait pas, pour le moment, aller au delà des parties de ${PV}(\R^n)$, mais il fallait le dire avant de dire qu'une telle généralisation était impossible, au delà des parties finies.

    Mais, je pense, qu'avec une petite astuce et quelques concessions, on peut au moins aller jusqu'aux parties de ${PV2} (\R^n)$ (Cf. mes travaux)
  • Tu dis que la notion de cardinal classique (notée A) n'est pas la meilleure. Si elle n'est pas la meilleure, c'est qu'il y a une variante (notons la B) qui est meilleure.
    Et si B est meilleure que A, alors A a des lacunes.
    Donc, même si tu ne dis pas noir sur blanc que la notion de cardinal Classique a des lacunes, tu le dis quand même.

    Ensuite, tu dis :
    La notion de Cardinal est valable pour toutes les parties de $Rn$, alors que concernant la notion de Cardinal quantitatif, on ne sait pas, pour le moment, aller au delà de bla bla

    Encore une phrase alambiquée.
    La structure de ta phrase dit : La notion de Cardinal classique sait faire différentes choses, alors que la notion de cardinal quantitatif ne sait pas.

    Pour n'importe quel lecteur normalement constitué, cette phrase nous dit que le CQ est moins bien que le cardinal classique.
    Je vois bien qu'il y a quelques mots ici et là qui font que le sens général de la phrase est l'exact opposé de son sens apparent. Je le vois parfaitement.

    Des remarques comme ça, on peut en faire sur chacune de tes phrases.
    Ca veut dire quoi ? Ca veut dire que dans ton cerveau, tout est cablé à l'envers, c'est un gros bordel.
    Et je vois très mal comment un cerveau qui n'est pas capable de délivrer des messages clairs pourrait être capable de bâtir des choses compliquées.

    Essaie de recruter un interprète. Un type qui va reformuler toute ta pensée. Evite tout contact direct avec le public que tu vises : tout ce que tu dis ne peut que décrédibiliser ton travail, puisque chaque phrase que tu écris se lit en double ou triple lecture. Et confie toute la partie 'communication de ton travail' à cet interprète.
    J'emploie le mot 'interprète', je pourrais parler de conseiller en communication...
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Je lui ai déjà dit que son travail n'est pas structuré de manière compréhensible.

    Peut-être que ça reflète effectivement le fait que les choses ne sont pas claires dans sa propre tête, sauf qu'il n'en est pas conscient.

    J'attends toujours de voir un exemple où son CQ permet de faire quelque chose d'utile et hors de portée du cardinal ordinaire.
  • @lourrran personnellement je ne suis pas tout à fait d'accord avec ce que tu dis. En effet je pense que même si les propos de J20 ne sont globalement pas clairs, et la lecture de son document en témoigne, on arrive néanmoins à comprendre quel est son but.

    Il veut obtenir un outil qui permet de "mesurer" plus finement la taille d'un ensemble que ce que le cardinal fait (il a donné un exemple avec les intervalles) et que ce que la mesure de Lebesgue fait (pour Lebesgue, un singleton est de mesure nulle J20 veut obtenir $1$ plutôt). Mais le problème est qu'il en demande beaucoup à cet éventuel outil ce qui fait qu'il ne peut pas le définir sur toutes les parties de $\mathbb{R}^n$, il doit donc se restreindre à une classe plus petites de parties qu'il essaie de déterminer (peut-être $PV$ comme il dit).
  • lourrran a écrit:
    Donc, même si tu ne dis pas noir sur blanc que la notion de cardinal Classique a des lacunes, tu le dis quand même.

    Dire que la notion de Cardinal classique a des lacunes, signifie qu'on ne peut pas concevoir cette notion mathématiquement et qu'elle n'est pas rigoureuse sur le plan mathématique, or ce n'est pas, du tout, ce que j'ai dit.
    lourrran a écrit:
    Ensuite, tu dis :
    La notion de Cardinal est valable pour toutes les parties de Rn, alors que concernant la notion de Cardinal quantitatif, on ne sait pas, pour le moment, aller au delà de bla bla

    Encore une phrase alambiquée.
    La structure de ta phrase dit : La notion de Cardinal classique sait faire différentes choses, alors que la notion de cardinal quantitatif ne sait pas.

    Tu interprêtes mal ce que j'ai dit :

    Je dis que la notion de Cardinal quantitatif sait faire des choses que le Cardinal classique ne sait pas faire, en allant, au moins, jusqu'aux parties de ${PV}(\R^n)$.

  • Ce qui est cool à chaque fois dans le shtam c'est le côté "bot" des shtameurs.
    Dès qu'on demande une explication (sans même penser à mal, mais au fond si), ils vont c/c la "définition" de leur message d'intro sans rien ajouter et ça donne un côté savoureux à toute la rubrique.
    "Je comprends pas...
    -Le cardinal quantitatif est la notion optimale de cardinal
    -Mais en quoi celui de Cantor est obsolète ?
    -Il n'est pas optimal alors que le cardinal quantitatif est la notion optimale de cardinal".

    Ça me fait penser à l'autre avec ses calculs de puissance "suivez le chemin de calcul et soyez épatés par les formules !", sans jamais expliquer comment suivre les fameux chemins (je n'ai toujours pas pigé les schémas).
  • RLC : L'autre fois, quelqu'un (je ne sais plus qui) avait partagé dans un fil (je ne sais plus lequel) un site web qui génère littéralement des textes qui ont l'air d'être des mathématiques avancées, mais ne sont en fait que du charabia. Donc un bot shtameur, en principe, ça existe déjà !
  • J20 a écrit:
    Par exemple avec la notion de Cardinal, le tout n'est pas, nécessairement, strictement plus grand que chacune de ses sous-parties strictes.

    Et le fait que ce ne soit pas le cas vaut le qualificatif non optimal?

    Dans ce message (celui dont j'ai extrait la citation ci-dessus) c'est le seul passage qui ne me semble pas relever du jargon managérial ou ne pas être de la grosse banalité.
  • J20 a écrit:
    la notion de Cardinal quantitatif conserve les propriétés intuitives que l'on a déjà du Cardinal, dans le cas des ensembles finis

    Et si tu explicitais ce que tu veux dire quand tu écris des choses comme ça ? Plutôt que de faire des phrases à rallonge du style "regardez, mon truc à moi est mieux mais j'ai pas envie de vous dire pourquoi !".
  • Mon langage est travaillé, et je m'exprime quasi invariablement et rigoureusement de la même façon : Donc mon langage est cohérent.

    Le problème que je rencontre est celui des personnes qui sont, toujours, face à elles-mêmes, elles croient bien faire, elles s'habituent à des tournures de phrases qu'elles croient bonnes et compréhensibles pour tout le monde, alors que ce n'est apparemment pas le cas.

    Pourtant, j'y ai mis toute la rigueur du monde.

    Peut-être que ceux qui me critiquent, n'ont pas un niveau en mathématiques suffisant, pour pouvoir me comprendre, et je ne peux pas faire grand chose pour eux, à ce niveau là.

    Comme le dit raoul.S, et que j'ai déjà dit dans mes travaux, le Cardinal quantitatif se veut une notion plus fine que le Cardinal classique.
  • @Poirot, je te renvoie à certaines sections de mes travaux, de la partie connue.
  • Ton niveau de déni est incroyable.

    Penses-tu vraiment que tout le monde est soit bête, soit ligué contre toi, que tu t'exprimes parfaitement clairement mais que les gens font exprès/ne font pas l'effort de te comprendre ?
  • J20 a écrit:
    Mon langage est travaillé, et je m'exprime quasi invariablement et rigoureusement de la même façon : Donc mon langage est cohérent.
    Aucun intérêt. On te demande d'être compréhensible; pas "cohérent".

    Mais ça fait au moins 15 ans que tu remplaces la communication en direction des autres par tes petites manies que tu appelles ta "cohérence". Tant pis pour toi, des dizaines de gens sérieux ont renoncé ...
  • Homo Topi,

    il se protège des critiques destructrices par ce procédé. Il lui reste toujours l'excuse "ils n'ont pas réussi à me comprendre". C'est assez classique dans certaines pathologies mentales ...

    Cordialement
  • Homo Topi a écrit:
    Ton niveau de déni est incroyable.

    Non ce n'est pas du déni, je suis sincère, j'ai fait tout mon possible, je me suis lu et relu, de très nombreuses fois, et j'ai sincèrement pensé que mes phrases étaient bien construites, qu'elles s'articulaient et s'enchaînaient bien, qu'elles sonnaient bien à l'oreille et à la lecture, et qu'elles étaient claires, fluides et limpides, et depuis tout le temps que je m'exprime ainsi ou qu'on m'a laissé m'exprimer ainsi, je reçois brutalement et frontalement vos critiques, et j'avoue ne pas les comprendre, et j'aurai bien dû mal à me défaire de la façon dont je me suis exprimé et dont je m'exprime en général, par écrit, car elle est profondément ancrée en moi et est profondément constitutive de moi et de ma personnalité.

    Peut-être que vous n'avez pas besoin des mêmes choses que moi, pour comprendre un texte mathématique.
  • J20 a écrit:
    qu'elles sonnaient bien à l'oreille et à la lecture

    Je crois que j'ai compris le problème. :-D
  • A tous,


    Je pense qu'il y a de profonds malentendus et beaucoup d'idées fausses et de préjugés à mon égard et à l'égard de mes travaux.

    Vos critiques sont très voire trop compliquées à gérer, pour moi :

    Peut-être qu'elles demandent de ma part, d'immenses efforts, que vous seriez, totalement, incapables de fournir vous-mêmes.
  • J20 a écrit:
    Peut-être qu'elles demandent de ma part, d'immenses efforts, que vous seriez, totalement, incapables de fournir.

    Je pense que beaucoup d'enseignants ne peuvent pas se permettre ce que tu fais: privilégier des petites manies qui rendent difficile toute communication écrite.
  • Pourquoi cette manie de nous dire constamment que tu fais des choses que l'on ne pourrait pas faire ? Tu sembles avoir d'énormes problèmes de confiance en toi.

    Quand à cette phrase
    J20 a écrit:
    Peut-être que ceux qui me critiquent, n'ont pas un niveau en mathématiques suffisant, pour pouvoir me comprendre, et je ne peux pas faire grand chose pour eux, à ce niveau là.

    ça se passe de commentaire !
  • @Poirot, je n'ai pas dit que ça, et je voulais plutôt parler, seulement, d'une partie de ceux qui critiquent, mes travaux, mais le fait que tu fasses partie de ceux qui critiquent mes travaux, est problématique.
  • J20 a écrit:
    @Poirot, je te renvoie à certaines sections de mes travaux, de la partie connue.

    Cette réponse est significative, plutôt que de répondre clairement à une demande de précision, tu préfères envoyer le lecteur se noyer dans tes écrits.
  • J20 : Je suis de bonne foi, sérieusement. J'ai essayé de commencer à lire ton Wiki. La phrase dans l'introduction, celle qui commence par "CQ comme cardinal quantitatif" et qui fait 5 lignes.

    Elle n'est tout simplement pas compréhensible. Et je t'ai listé, point par point, ce qui n'allait pas.

    Donc.

    Explique-moi/nous, par un enchaînement de phrases courtes, ce que ton CQ représente pour toi.
  • Bonjour,
    Je précise que je n'ai pas lu ce qui s'est passé pour l'instant. Ça dure depuis trop longtemps pour que je rattrape.

    @J20 : J'ai regardé une partie de https://fr.wikiversity.org/wiki/Recherche:Cardinal_quantitatif. Tu écris que le cardinal quantitatif est une application ${card}_{Q,{\cal R}} \,\, : \,\, {\cal P}({\R}^n) \longrightarrow (F, +, \times, \leq)$ où $(F, +, \times, \leq)$ est un anneau commutatif unitaire intègre ordonné. Mais tu ne définis pas cet anneau et tu écrit "moi je crois qu'on peut construire ${card}_{Q,{\cal {R}}}$". On dirait que tu as une idée intuitive de ton objet et de ses propriétés, mais tant que tu ne l'auras pas défini rigoureusement (i.e. tant que tu n'auras pas construit ton objet), les fondements de ta théorie resteront bancals (on se sais pas si ton objet existe bien) et il sera difficile pour les autres de te comprendre. On voit que tu cherches à définir une notion de cardinal plus proche de l'intuition que celle de Cantor, à mi-chemin entre les cardinaux définis par Cantor et la mesure de Lesbesgue. Pourquoi pas, si tu arrives à construire un objet ${card}_{Q,{\cal {R}}}$ qui satisfait les propriétés que tu donnes, ça peut être intéressant. Mais quand je lis ta page wiki, je ne peux m'empêcher de me dire "on ne sais même pas si cet objet existe bel et bien ; si ça se trouve tout ça tombe à l'eau car on ne peut pas définir d'application ${card}_{Q,{\cal {R}}}$ qui a ces propriétés".

    Un dernier truc. Tu poses $${PV}(\R^n) = \{A \in \mathcal{P}(\R^n) \,\, \Big| \,\, A\,\, sous\mbox{-}vari\acute{e}t\acute{e} \,\, compacte, \,\, convexe, \,\, (connexe) \,\, de \,\, \R^n, \,\, de \,\, classe \,\, (C^0) \,\, et \,\, (C^1 \,\, par \,\, morceaux)\}$$ mais je ne suis pas sûr de ce que tu appelles variété. C'est une variété topologique ? Tu peux me donner juste un exemple d'élément de ${PV}(\R^n)$ stp ?
    Plus tard, tu parles du cardinal quantitatif d'ensembles qui ne sont visiblement pas dans ${PV}(\R^n)$ et le rôle que joue ${PV}(\R^n)$ dans cette histoire de cardinal quantitatif n'est pas clair. :-S
  • Et une autre question. Est-ce que tous les CQ des sous-ensembles de $\R^n$ qui possède un CQ sont comparables ? Par exemple, pour $n=1$, ${card}_{Q,{\cal {R}}}(2\mathbb Z)$ et ${card}_{Q,{\cal {R}}}(\mathbb N)$ sont-ils comparables ? En d'autres termes, parmi ces deux ensembles, y en a-t-il un strictement plus grand que l'autre, sont-ils de la même taille ou est-on juste incapable de les comparer (ces 3 possiblités s'excluant les unes les autres) ?
  • Vous n'avez pas fini d'embêter Guillaume avec des questions auxquelles il ne peut pas répondre ? Puisqu'il vous dit qu'il a fait tout ce qu'il faut pour écrire de belles phrases, vous n'allez quand même pas lui demander qu'elles aient un sens mathématique ...
  • @Calli,

    Tu trouveras, toutes tes réponses dans le PDF "La saga du "cardinal"" (version 4) de Michel Coste, dans la section "Liens" de mes travaux sur le Cardinal quantitatif.

    Les variétés dont je parle sont des variétés topologiques, à bord.

    Je n'ai pas pu faire mieux que ce qu'a fourni Michel Coste, car il n'a pas laissé assez d'éléments et de sources, pour ça.
  • D'accord. J'attends quand même ta réponse à ce message : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?43,1956218,1956486#msg-1956486.
  • @Calli voici la saga du cardinal (je ne l'ai pas trouvé sur la page de J20, c'est Corto qui me l'a filé... mais je suis miro j'avoue).

    Tu remarqueras que la rédaction de ce dernier document est beaucoup plus claire que celle de J20... va savoir pourquoi.
  • Poirot a écrit:
    J20 a écrit:
    @Poirot, je te renvoie à certaines sections de mes travaux, de la partie connue.


    Cette réponse est significative, plutôt que de répondre clairement à une demande de précision, tu préfères envoyer le lecteur se noyer dans tes écrits.


    Voici, les sections que tu me demandes : C'est du travail que de te les fournir, ici, alors qu'en un coup d'oeil, tu aurais pu les repérer, dans la table des matières de mes travaux, et cliquer dessus.

    Construction et définition

    Résultats sur les intervalles $I$, bornés, de $\R$, et en particulier, sur les parties de ${PV}(\R)$

    Résultats généraux concernant le cardinal quantitatif sur ${PV}(\R ^N)$


    (Lien de secours : Cardinal quantitatif)
  • Je cidte intégralement :
    J20 a écrit:
    Non ce n'est pas du déni, je suis sincère, j'ai fait tout mon possible, je me suis lu et relu, de très nombreuses fois, et j'ai sincèrement pensé que mes phrases étaient bien construites, qu'elles s'articulaient et s'enchaînaient bien, qu'elles sonnaient bien à l'oreille et à la lecture, et qu'elles étaient claires, fluides et limpides, et depuis tout le temps que je m'exprime ainsi ou qu'on m'a laissé m'exprimer ainsi, je reçois brutalement et frontalement vos critiques, et j'avoue ne pas les comprendre, et j'aurai bien dû mal à me défaire de la façon dont je me suis exprimé et dont je m'exprime en général, par écrit, car elle est profondément ancrée en moi et est profondément constitutive de moi et de ma personnalité.
    Est-ce vraiment nécessaire de lister tous les synonnymes que tu connais pour exprimer une idée ?
    Cette phrase de 5 lignes pouvait parfaitement être formulée en 2 lignes ?

    A part la volonté de saouler l'auditeur/le lecteur, je ne vois aucune raison de s'exprimer ainsi. A moins que ce ne soit une pathologie ?

    Cette façon de noyer une idée dans une accumulation de mots redondants, on la retrouve dans tes productions mathématiques : plein de verbiage, pour rien au final.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Tu viens (encore) de nous prouver que tu n'écoutes pas.
  • Il faut que j'adapte ma prose à ceux qui ont des petits QI(*) ou des petits empans mnésiques.

    (*) Dans le sens, où il ne peuvent pas traiter un ensemble de données complexes, à partir d'un seuil raisonnable de complexité.

    Pourtant, j'ai tout fait pour que ma prose soit une bonne vulgarisation.

    Mais peut-être que les matheux, ici, présents ne comprennent pas la vulgarisation, pour "grand public", même lorsqu'elle est bien faite, mais arrive à comprendre des interventions sur Les-mathematiques.net, d'intervenants approximatifs et pas si consciencieux que ça, dans leurs propos, et que j'ai, souvent, un peu de mal à suivre, ou des textes plus arides.

    Puis, si ma prose ne vous convient pas, que dire de celle de christophe c.
  • Lourran a écrit:
    Cette façon de noyer une idée dans une accumulation de mots redondants, on la retrouve dans tes productions mathématiques : plein de verbiage, pour rien au final

    Phénomène partagé par beaucoup de shtameurs.
    Le but n'est pragmatiquement pas d'expliquer quelque chose. Le but est de montrer quelque chose d'autre et le support mathématique n'est qu'un prétexte. Ce n'est pas forcément un acte bien identifié par le shtameur.
    Par contre, vous voyez bien la résistance: prendre en compte les critiques reviendrait sans doute à renoncer à montrer ce que le shtameur veut montrer, et qui ne relève pas des mathématiques, d'où sa détresse et sa gêne. Mais tout ceci n'est que mon humble avis.
  • lourrran a écrit:

    La phrase que tu veux exprimée en 2 lignes ne donne pas le même ressenti que celle exprimée en 5 lignes, et écarte une bonne partie du fond et du sens de qui est dit dans la phrase exprimée en 5 lignes.
  • @raoul.S : Merci. J'ai rapidement parcouru. C'est pas inintéressant cette histoire, même si c'est très rigide comme notion, les coefficients dans les "cardinaux" du type $a \mathfrak{I}^3+b\mathfrak{I}^2+c\mathfrak{I}+d$ n'ont pas tous une signification très intéressante et ils sont assez laborieux à calculer.

    @J20 : Ok, je vois.
  • Déni, encore. Fais juste ce qu'on te demande.

    Je ne parle que pour moi, mais : tu coupes la communication. Tu veux qu'on jette un oeil à tes travaux, on a essayé, on t'a dit ce qui ne va pas. Tu refuses encore, encore, encore, encore et encore de changer quoi que ce soit dans ce que tu as fait. Moi, je t'ai expliqué en détail ce que j'attendais de toi pour re-regarder ce que tu as fait. Tu ne le fais pas. Tu fais la sourde oreille. Alors je le ferai aussi, tant que tu ne fais pas ce que je t'ai demandé.

    En plus, tu es insultant. Je trouve que tu as de la chance qu'on ne t'a pas banni (encore) pour ce que tu viens de dire, parce que les shtameurs qui disent "vous êtes trop bêtes pour me comprendre", si tu veux le fond honnête de ma pensée (si je me fais taper sur les doigts par les modos pour ce que je vais dire, honnêtement, ça m'est égal, je vais dire tout haut ce que tout le monde pense tout bas mais ne dit pas), c'est des connards. Il y a toute une communauté mathématique dans laquelle les gens savent communiquer entre eux, ils sont d'accord pour la quasi totalité des maths et débattent civilement des choses où ils ne sont pas d'accord, et vous là vous venez avec vos pseudo-maths faire chier tout le monde, et ensuite vous accusez/insultez tous ceux qui ne vous donnent pas une médaille immédiatement parce que vous êtes trop imbus de vous-mêmes pour réaliser que c'est vous le problème. Et je le sais, que c'est un investissement émotionnel important pour un shtameur de partager ses travaux sur lesquels il a travaillé très longtemps, mais pour partager, il faut être ouvert à ceux dont on veut des critiques/conseils/remarques. Je ne mets pas de bonnes notes à mes élèves qui me rendent un torchon mal rédigé, alors je ne donne pas une médaille à un shtameur qui me balance sa logorrhée pseudo-mathématique dans la gueule avec un "tiens, lis, et dis-moi que c'est bien" non plus.

    Excusez mon langage, mais, merde quoi. Si vous êtes bouchés à ce point, à un moment faut bien vous dire les choses dans un langage que vous comprenez.
  • @Fin de partie,

    Arrêtes.

    Tu fantasmes, tu veux que je colle, absolument, à ta théorie sur les shtameurs, et tu fais tout pour, mais je ne suis pas un shtameur comme les autres : Par exemple, il y a une grande différence entre un BERKOUK2 et moi, par exemple.
  • lourrran a écrit:
    A moins que ce ne soit une pathologie ?

    C'est la conclusion à laquelle je suis parvenue. L'usage abusif de virgules tous les deux ou trois mots indiquent également une grande difficulté à s'exprimer.
  • Poirot a écrit:
    C'est la conclusion à laquelle je suis parvenue. L'usage abusif de virgules tous les deux ou trois mots indiquent également une grande difficulté à s'exprimer.

    Absolument pas : C'est voulu, c'est pour bien délimiter les propositions et les adverbes, dans mes phrases.

    Mais s'il ne s'agit que de cela, je veux bien créer une version où j'en mettrai beaucoup moins.
  • @J20, si je suis ta logique :$${card}_{Q,{\cal {R}}}(2\mathbb N) = \frac12 {card}_{Q,{\cal {R}}}(\mathbb N) =\frac12 ( {card}_{Q,{\cal {R}}}(\mathbb N^*) +1) = \frac12 {card}_{Q,{\cal {R}}}(\mathbb N^*) +\frac12 = {card}_{Q,{\cal {R}}}(2\mathbb N^*) +\frac12 = {card}_{Q,{\cal {R}}}(2\mathbb N) -\frac12 $$non?
  • Mets celles qui sont nécessaires dans l'usage normal du français, et vire les autres.
  • J20 a écrit:
    La phrase que tu veux exprimée en 2 lignes ne donne pas le même ressenti que celle exprimée en 5 lignes, et écarte une bonne partie du fond et du sens de qui est dit dans la phrase exprimée en 5 lignes

    Tout à fait.
    Quand tu passes de 2 lignes à 5 lignes, il y a effectivement différentes informations supplémentaires qui sont données.

    En particulier une information, essentielle : ton cerveau a buggé, et a besoin d'un reformatage.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Homo Topi a écrit:

    Je vais sans doute les modifier ou créer une autre version de l'Introduction, mais je ne compte pas le faire toute suite.

    D'ailleurs si je le fais, certains liens ne seront plus accessibles, à part le lien de secours : Ce sera le cas des sections dont le titre contient du LaTeX.
  • Je descends du bus, aussi pardon pour les fautes de grammaire ou d'orthographe.
    Car j'écris vite et en marchant.

    Quelle est la relation entre J20 et Michel Coste ? Ce n'est pas clair.
    Entre l'illisibilité du wiki de J20 et la clarté de la Saga du "cardinal" par Coste, il y a tout un monde.
    Une différence marquante, qui indique à la fois une différence de potentiel, et peut-être aussi une volonté de la part de M. Coste de s'éloigner d'un parasite.
    Car dans la Saga de Coste, il y a tout un tas d'expressions ou de tournures de phrases qui pourraient indiquer une ironie, voire une moquerie :
    dès le départ il avertit : il prendra plus de précautions que lui.
    Guillaume Foucart c'est GF, mais Marcel Berger c'est M. Berger.
    Il met Cardinal entre guillemets, et dans tout son article, use et abuse consciemment d'un manque de sérieux.
    Commence-t-on une phrase par ça fait (page 7) ? Si on veut être pris au sérieux, sûrement pas non.
    Jean Dieudonné himself ? C'est Fripounet là..
    Même si je ne connais ni J20 ni Michel Coste, je pencherais pour une pression amicale du perturbateur voire perturbé J20 sur Coste, du type de celle qu'il exerce en ce moment sur ce forum. Ou bien Coste (voire n'importe qui) peut écrire à peu près n'importe quoi aujourd'hui (on parle beaucoup de la dérive des revues scientifiques actuellement).
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