Conseils constructifs sur mes travaux

2

Réponses

  • @Calli :

    Je crois qu'on a plutôt : $\displaystyle{{card}_Q(2\N^*) = \frac{1}{2} \,\, {card}_Q(\N^*)}$.
  • C'est ce que j'ai écrit.
  • J20:

    C'est possible que je fantasme mais pourquoi ne fais-tu pas ce que les autres te disent de faire? Ce qui t'est demandé ne me semble pas abusif.
    Tu fais les ajustements demandés et tu vois ce que cela donne. J'ai l'impression qu'il y a une réticence, une résistance à le faire. Si tu peux, demande toi pourquoi.

    Je ne me souviens plus si on a déjà parlé de ça.
    Tout ce texte est à ranger dans la catégorie article de recherche, matériel pédagogique?
  • @Ludwig,

    Tu auras remarqué que ce que Michel Coste appelle " "cardinal" ", je l'appelle désormais "cardinal quantitatif", et ce qu'on appelle "cardinal", je l'appelle aussi "cardinal équipotentiel".

    "Historiquement, avant Cantor, la notion de "cardinal" désignait la véritable notion de quantité d'éléments d'un ensemble. Depuis Cantor, cela n'est plus vrai, il désigne l'équipotence. Alors trouvant la notion véritable de quantité d'éléments d'un ensemble, plus importante, plus fondamentale et plus fine, que la notion d'équipotence, c'est celle à qui on devrait et à qui on doit attribuer le qualificatif de "cardinal". Mais comme ce mot était déjà utilisé mais maladroitement, j'ai dû inventer les terminologies "cardinal quantitatif" et "cardinal équipotentiel", pour les distinguer."

    Par ailleurs, mes travaux ne se contentent pas d'essayer de redire ce qu'a dit Michel Coste, mais tentent d'en dire plus, et tentent de les généraliser.

    Malheureusement, Michel Coste, ne m'a plus aidé dans cette affaire.
  • Calli a écrit:
    C'est ce que j'ai écrit.

    Non.
  • Il ne sait pas lire, pas étonnant qu'il écrive n'importe comment :)o
  • @Calli on a déjà dit à J20 qu'il ne peut pas définir son cardinal quantitatif sur toutes les parties de $\mathbb{R}^n$ exactement à cause du genre de "problème" que tu signales mais il n'a rien modifié...

    @J20 tu vois c'est pour cette raison que tu ne peux pas être pris au sérieux. Depuis 2007 que tu bosses sur cette notion de cardinal quantitatif et tu ne t'es jamais aperçu que tu ne pouvais pas le définir sur $\mathcal P(\mathbb{R}^n)$.
  • @raoul.S

    Est-ce que pour toi, cela était évident que ${vol}^n$ la mesure de Lebesgue, de dimension $n$, sur $\R^n$, n'était pas définie sur $\mathcal{P}(\R^n)$, mais sur $\mathcal{B}(\R^n)$, et ce même en ayant reçu des cours de Théorie de la mesure et de l'intégration.

    Mais ${card}_Q$ s'exprime en fonction de ${({vol}^i)}_{i \in [\!\![0,n]\!\!]}$, les mesures de Lebesgue généralisées ou de Hausdorff, de dimension $i \,\,(i \in [\![0,n]\!])$, sur $\R^n$, donc il est facile de définir son ensemble de définition, mais je ne pouvais le faire, au stade de l'axiomatisation donnée dans la définition, et d'ailleurs si je l'avais fait, cela aurait paru artificiel et parachuté.


    Par ailleurs, ce qu'a dit @Calli est faux : On a plutôt : $\displaystyle{{card}_Q(2\N) \neq \frac{1}{2} \,\, {card}_Q(\N)}$

    et $\displaystyle{{card}_Q(2\N^*) = \frac{1}{2} \,\, {card}_Q(\N^*)}$

    Je te renvoie à la section :

    Autres tentatives de généralisation du cardinal quantitatif sur $\R^n$


    (Lien de secours : Cardinal quantitatif)



    @raoul.S, tu es bien sévère avec moi.
  • J20 a écrit:
    Calli a écrit:
    C'est ce que j'ai écrit.

    Non.

    Si. Je le ré-écrit : $${card}_{Q}(2\mathbb N) = \frac12 {card}_{Q}(\mathbb N) =\frac12 ( {card}_{Q}(\mathbb N^*) +1) = \color{red}{ \frac12 {card}_{Q}(\mathbb N^*)} +\frac12 = \color{red}{{card}_{Q}(2\mathbb N^*) }+\frac12 = {card}_{Q}(2\mathbb N) -\frac12 $$
    J20 a écrit:
    Par ailleurs, ce qu'a dit @Calli est faux

    Oui, c'était le but de ma démonstration. En appliquant les axiomes du cardinal quantitatif, on obtient une absurdité : ${card}_{Q}(2\mathbb N) = {card}_{Q}(2\mathbb N) -\dfrac12 $. Et tu as confirmé les étapes de mon calcul. Un tel objet ne peut donc exister.
  • Tu viens de modifier ton message 20 minutes après l'avoir posté, ce qui fait que la conclusion mon message précédent devient caduque...

    Pourquoi a-t-on $\displaystyle{{card}_Q(2\mathbb N^*) = \frac{1}{2} {card}_Q(\mathbb N^*)}$ et $\displaystyle{{card}_Q(2\mathbb N) \neq \frac{1}{2} {card}_Q(\mathbb N)}$ ?
  • @Calli,

    Ce que tu supposes, dès le départ est faux :

    On a : $\displaystyle{{card}_Q(2\N) \neq \frac{1}{2} \,\, {card}_Q(\N)}$
  • Oui et on a $\text{Pourquoi} \neq \text{Est-ce que}$. Je te demande de justifier ton assertion, pas de la répéter.
  • @Calli

    On a : ${card}_Q(2\N^*) = \frac{1}{2} \,\, {card}_Q(\N^*)$

    donc $\displaystyle{{card}_Q(2\N) = {card}_Q(2\N^*) + 1 = \frac{1}{2} \,\, {card}_Q(\N^*) + 1 = \frac{1}{2} \,\, \Big({card}_Q(\N) - 1 \Big) + 1 =\frac{1}{2} \,\, {card}_Q(\N) - \frac{1}{2} + 1 = \frac{1}{2} \,\, {card}_Q(\N) + \frac{1}{2}}$

    $\displaystyle{\neq \frac{1}{2} \,\, {card}_Q(\N)}$
  • J'aurais dû appeler cette discussion : "Cardinal quantitatif : Le grand combat".
  • Moi, j'aimerais une démonstration de $\displaystyle{{card}_Q(2\mathbb N^*) = \frac{1}{2} {card}_Q(\mathbb N^*)}$ qui permette de voir pourquoi on ne peut pas conclure que $\displaystyle{{card}_Q(2\mathbb N) = \frac{1}{2} {card}_Q(\mathbb N)}$. Pourquoi ça marche avec $\mathbb N^*$, mais pas $\mathbb N$ ?
  • @Calli,

    Je te renvoie à la section :

    Autres tentatives de généralisation du cardinal quantitatif sur $\R^n$

    Ton exemple se traite de la même manière.

    Lire aussi en complément : Séries de remarques 1


    (Liens de secours : Cardinal quantitatif et Discussion Cardinal quantitatif)
  • Laissez tomber, dès qu'il botte en touche, il nous "renvoie à telle section". Du déni absolu.
  • C'est toi qui peux fermer les fils de discussion et bannir des utilisateurs, pas nous :-D
  • @Poirot,

    Non, ce n'est, vraiment, pas du déni : Réadapter les calculs mentionnés dans les sections concernées, avec toutes les conditions et hypothèses nécessaires, est vraiment long et fastidieux.
  • @J20, la méthode de "démonstration" dont tu donnes le lien "prouve" $\displaystyle{{card}_Q(2\mathbb N^*) = \frac{1}{2} {card}_Q(\mathbb N^*)}$ autant que $\displaystyle{{card}_Q(2\mathbb N) = \frac{1}{2} {card}_Q(\mathbb N)}$.
  • J20 : je vais te dire comment ce que tu as écrit se traduit dans la tête des autres. "Je veux que vous me félicitez pour mon travail, mais c'est trop long pour moi de le rendre compréhensible pour vous, alors faites-le vous-même".

    Comme quoi j'avais raison dans la gueulante que j'ai poussée.
  • @Calli,

    As-tu lu ? : Séries de remarques 1

    (Lien de secours : Discussion Cardinal quantitatif)

    Si oui, j'irai voir ça de plus près.


    Petit Correctif, pour désambiguïser les choses :


    On fixe les ${(A_n)}_{n \in \N}$, ${(B_n)}_{n \in \N}$ vérifiant les conditions et hypothèses.

    et si pour tous ${(C_n)}_{n \in \N}$, ${(D_n)}_{n \in \N}$ vérifiant les conditions et hypothèses,

    on a : $\displaystyle{\frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(B_n)}_{n \in \N}]\Big)} = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(C_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(D_n)}_{n \in \N}]\Big)}}$

    alors, on pose : $\displaystyle{\frac{{card}_{Q,{\cal R}}(A)}{{card}_{Q,{\cal R}}(B)}= \frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(B_n)}_{n \in \N}]\Big)} = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(C_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(D_n)}_{n \in \N}]\Big)}}$
  • J'ai vu que tu y as écrit que le principe de passage à la limite dans le CQ que tu utilises ne marche pas tout le temps. Mais je ne vois écrites les conditions auxquelles il fonctionne, donc ça ne m'avance pas beaucoup.
  • NB : VOIR MESSAGE CORRECTIF, PLUS BAS, DANS LA DISCUSSION.

    @Calli

    ===Série de remarques 1===

    J'aimerais avoir un avis sur et qu'on me signale les éventuelles erreurs que j'aurais commises dans la version actuelle de ma page de recherche, sur le cardinal quantitatif, voire qu'on me propose des améliorations possibles.


    '''Remarque :'''


    1) Si $A \in {\cal P}(\mathbb{R}^N)$
    et $\forall n \in \mathbb{N}, \,\, A_n \in {\cal P}(\mathbb{R}^N)$
    et $\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} \uparrow A_n = A}$,

    '''on a :''' $\displaystyle{{card}_{Q,{\cal R}}(A) = {card}_{Q,{\cal R}}(\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} A_n}) = \lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} {card}_{Q,{\cal R}}(A_n) }$,

    '''que sous certaines conditions''',


    notamment (Cf. les PDF de Michel Coste), en particulier,

    si $A \in {PV}_N(\R^N)$,

    et si $\forall n \in \mathbb{N}, \,\, A_n \in {PV}_N(\R^N)$.

    ('''Michel Coste dit plutôt :''' si $A\in {PV}_N(\R^N)$, de classe $C^1$, et si $\forall n \in \mathbb{N}, \,\, A_n\in {\mathcal{P}olytope}_N(\R^N)$).


    '''Je tente de faire certaines généralisations.'''

    Cela est, probablement, toujours, vrai,

    si on remplace "${PV}_N(\R^N)$"

    par "${PV}(\R^N)$",

    ou par "réunion finie de parties de ${PV}(\R^N)$, disjointes",

    [et peut-être même, en supposant que $A$ est une réunion (dénombrable [éventuellement, nécessairement, infinie]) de parties de ${PV}(\R^N)$, disjointes, et $\forall n \in \mathbb{N}, \,\, A_n$ réunion finie de parties de ${PV}(\R^N)$].

    Si tel n'est pas le cas, il est facile de ramener le second cas au premier.


    '''Si $I$ est un ensemble totalement ordonné et si $A \in {PV2}(\R^N)$ et si ${(A_i)}_{i \in I} \subset {PV}(\R^N)$ et telles que $\displaystyle{\lim_{i \in I, i \rightarrow \sup(I)} A_i = \Big[A,{(A_i)}_{i \in I}\Big]}$ (Cf. définition).'''


    '''Conjecture:''' $\displaystyle{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_i)}_{i \in I}]\Big) = {card}_{Q,{\cal R}}(\displaystyle{\lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)} A_i}) = \lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)} {card}_{Q,{\cal R}}(A_i) }$.


    2)Supposons :

    ${\cal R}$ un repère orthonormé direct de $\mathbb{R}$, d'origine $O(0)$.

    $A,B\in {\cal P}(\mathbb{R})$, réunions (dénombrables [voire, nécessairement, infinies, non bornées]) de parties de ${PV}(\R)$, disjointes,

    $A \in {\cal P}(B), \,\, B \neq \emptyset$.

    $I = \mathbb{N} \in {\cal P}(B)$ (ou telle que $I \in {\cal P}(\mathbb{R})$ et ${card}_{Q,{\cal R}}(I) \leq {card}_{Q,{\cal R}}(B)$).

    $\forall n \in \mathbb{N}, \,\, A_n,B_n \in {\cal P}(\mathbb{R})$, réunions finies de parties de ${PV}(\R)$, disjointes,

    telles que $\forall n \in \mathbb{N}, \,\, A_n \in {\cal P}(B_n) \,\, \mbox{et} \,\, B_n \neq \emptyset$

    et telles que ${(A_n)}_{n \in \mathbb{N}} \,\, \nearrow \,\, [A,{(A_n)}_{n \in \N}]$ et ${(B_n)}_{n \in \mathbb{N}} \,\, \mbox{strict.} \,\,\nearrow \,\, [B,{(B_n)}_{n \in \N}]$

    (c'est-à-dire telles que $\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} \uparrow A_n = [A,{(A_n)}_{n \in \N}]}$ et $\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} \mbox{strict.} \uparrow B_n = [B,{(B_n)}_{n \in \N}]}$),

    telles que l'on ait :

    $\displaystyle{\frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(B_n)}_{n \in \N}]\Big)} = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}(\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} A_n})}{{card}_{Q,{\cal R}}(\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} B_n})} = \frac{
    \displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty}{card}_{Q,{\cal R}}(A_n)}}{\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty}{card}_{Q,{\cal R}}(B_n)}} = \displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} \frac{{card}_{Q,{\cal R}}(A_n)}{{card}_{Q,{\cal R}}(B_n)}} = \lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} u_n}$,

    avec $\displaystyle{\forall n \in \mathbb{N}, \,\, u_n = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}(A_n)}{{card}_{Q,{\cal R}}(B_n)}}$.


    Soit $\varphi_\,\, : \,\, \mathbb{N} \longrightarrow \mathbb{N}$, strictement croissante,


    c'est-à-dire ${\Big(u_{\varphi(n)}\Big)}_{n \in \mathbb{N}}$ sous-suite de ${(u_n)}_{n \in \mathbb{N}}$.


    Dans ce cas, on a bien : $\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} u_{\varphi(n)} = \lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} u_n = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(B_n)}_{n \in \N}]\Big)}}$.


    Supposons de plus :

    $\forall n \in \mathbb{N}, \,\, C_n,D_n \in {\cal P}(\mathbb{R})$, réunions finies de parties de ${PV}(\R)$, disjointes,

    telles que $\forall n \in \mathbb{N}, \,\, C_n \in {\cal P}(D_n) \,\, \mbox{et} \,\, D_n \neq \emptyset$

    et telles que ${(C_n)}_{n \in \mathbb{N}} \,\, \nearrow \,\, [A,{(C_n)}_{n \in \N}]$ et ${(D_n)}_{n \in \mathbb{N}} \,\, \mbox{strict.} \,\,\nearrow \,\, [B,{(D_n)}_{n \in \N}]$

    (c'est-à-dire telles que $\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} \uparrow C_n = [A,{(C_n)}_{n \in \N}]}$ et $\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} \mbox{strict.} \uparrow D_n = [B,{(D_n)}_{n \in \N}]}$),

    telles que l'on ait :

    $\displaystyle{\frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(C_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(D_n)}_{n \in \N}]\Big)} = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}(\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} C_n})}{{card}_{Q,{\cal R}}(\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} D_n})} = \frac{
    \displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty}{card}_{Q,{\cal R}}(C_n)}}{\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty}{card}_{Q,{\cal R}}(D_n)}} = \displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} \frac{{card}_{Q,{\cal R}}(C_n)}{{card}_{Q,{\cal R}}(D_n)}} = \lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} v_n}$,

    avec $\displaystyle{\forall n \in \mathbb{N}, \,\, v_n = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}(C_n)}{{card}_{Q,{\cal R}}(D_n)}}$.


    '''A-t-on $\displaystyle{\lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} v_n = \lim_{n \in \mathbb{N}, \,\, n \rightarrow +\infty} u_n }$ ?'''


    Petit correctif :

    On fixe les ${(A_n)}_{n \in \N}$, ${(B_n)}_{n \in \N}$ vérifiant les conditions et hypothèses.

    et si pour tous ${(C_n)}_{n \in \N}$, ${(D_n)}_{n \in \N}$ vérifiant les conditions et hypothèses,

    on a : $\displaystyle{\frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(B_n)}_{n \in \N}]\Big)} = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(C_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(D_n)}_{n \in \N}]\Big)}}$

    alors, on pose : $\displaystyle{\frac{{card}_{Q,{\cal R}}(A)}{{card}_{Q,{\cal R}}(B)}= \frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(B_n)}_{n \in \N}]\Big)} = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(C_n)}_{n \in \N}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(D_n)}_{n \in \N}]\Big)}}$
  • Non mais inutile de tout recopier, je l'avais déjà vu.
    Comme je l'ai dit précédemment, tant que tu n'auras pas donné un fondement solide à ta théorie, elle ne vaudra rien. J'en reste là pour ma part. Bonne soirée.
  • J20 a écrit:
    Réadapter les calculs mentionnés dans les sections concernées, avec toutes les conditions et hypothèses nécessaires, est vraiment long et fastidieux.

    Laisse tomber alors.

    Tu t'es amusé à écrire ce document, tu as surement appris quelques trucs mais il ne faut pas que tu t'y accroches plus que ça. Passe à autre chose, je ne sais pas moi choisis un autre sujet de réflexion...

    Ceci dit, à mon avis, si tu veux vraiment améliorer ton cardinal quantitatif il faut déterminer une fois pour toute un ensemble de définition (qui n'est pas $\mathcal P(\R^n)$) et montrer que le cardinal quantitatif existe et est éventuellement unique. Sans ça, je crois bien que personne ne sera jamais intéressé à ton idée.
  • A) @Homo Topi (et compagnie),

    Homo Topi est comme le major normalien A.

    A exige que les autres aient, tous, le même niveau d'exigence que lui et soient aussi exigent que lui.

    A estime donc qu'il est pleinement légitime pour décider {de ce que sera le niveau du BAC|du niveau du BAC}.


    B) Un algorithme retourne soit "C'est bien, tu sais faire une multiplication simple", soit "Retourne en maternelle".

    Bref, "l'algorithme" rabaisse et est méprisant, quoiqu'on fasse en l'utilisant.

    La seule solution serait de ne pas l'utiliser.

    C'est un peu ce que vous faîtes avec moi.
  • Consulter d'abord : Autres tentatives de généralisation du cardinal quantitatif sur $\R^{n}$


    Correctif 1 de Série de remarques 1


    1) Si $I$ est un ensemble totalement ordonné et si $A \in {PV2}(\R^N)$ et si ${(A_i)}_{i \in I} \subset {PV}(\R^N)$ et telles que $\displaystyle{\lim_{i \in I, i \rightarrow \sup(I)} A_i = \Big[A,{(A_i)}_{i \in I}\Big]}$ (Cf. définition).


    Conjecture : $\displaystyle{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_i)}_{i \in I}]\Big) = {card}_{Q,{\cal R}}(\displaystyle{\lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)} A_i}) = \lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)} {card}_{Q,{\cal R}}(A_i) }$.


    2)Supposons :


    ${\cal R}$ un repère orthonormé direct de $\mathbb{R}$, d'origine $O(0)$.

    $A,B\in {\cal P}(\mathbb{R})$, réunions (dénombrables [voire, nécessairement, infinies, non bornées]) de parties de ${PV}(\R)$, disjointes,

    $A \in {\cal P}(B), \,\, B \neq \emptyset$.

    $I$ ensemble totalement ordonné tel que $I \in {\cal P}(B)$ (ou tel que $I \in {\cal P}(\mathbb{R})$ et ${card}_{Q,{\cal R}}(I) \leq {card}_{Q,{\cal R}}(B)$).

    $\forall i \in I, \,\, A_i,B_i \in {\cal P}(\mathbb{R})$, réunions finies de parties de ${PV}(\R)$, disjointes,

    telles que $\forall i \in I, \,\, A_i \in {\cal P}(B_i) \,\, \mbox{et} \,\, B_i \neq \emptyset$

    et telles que ${(A_i)}_{i \in I} \,\, \nearrow \,\, [A,{(A_i)}_{i \in I}]$ et ${(B_i)}_{i \in I} \,\, \mbox{strict.} \,\,\nearrow \,\, [B,{(B_i)}_{i \in I}]$

    (c'est-à-dire telles que $\displaystyle{\lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)} \uparrow A_i = [A,{(A_i)}_{i \in I}]}$ et $\displaystyle{\lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)} \mbox{strict.} \uparrow B_i = [B,{(B_i)}_{i \in I}]}$),

    La conjecture implique que l'on ait :

    $\displaystyle{\frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_i)}_{i \in I}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(B_i)}_{i \in I}]\Big)} = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}(\displaystyle{\lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)} A_i})}{{card}_{Q,{\cal R}}(\displaystyle{\lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)} B_i})} = \frac{
    \displaystyle{\lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)}{card}_{Q,{\cal R}}(A_i)}}{\displaystyle{\lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)}{card}_{Q,{\cal R}}(B_i)}} = \displaystyle{\lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)} \frac{{card}_{Q,{\cal R}}(A_i)}{{card}_{Q,{\cal R}}(B_i)}} = \lim_{i \in I, \,\, i \rightarrow \sup(I)} u_i}$,

    avec $\displaystyle{\forall i \in I, \,\, u_i = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}(A_i)}{{card}_{Q,{\cal R}}(B_i)}}$.


    Je sais qu'il faut qu'on démontre cette conjecture, pour que ça marche.


    Correctif 2 de Série de remarques 1 :


    On fixe les ${(A_i)}_{i \in I}$, ${(B_i)}_{i \in I}$ vérifiant les conditions et hypothèses.

    et si pour tous ${(C_i)}_{i \in I}$, ${(D_i)}_{i \in I}$ vérifiant les conditions et hypothèses, on a :

    $\displaystyle{\frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_i)}_{i \in I}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(B_i)}_{i \in I}]\Big)} = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(C_i)}_{i \in I}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(D_i)}_{i \in I}]\Big)}}$

    alors, on pose : $\displaystyle{\frac{{card}_{Q,{\cal R}}(A)}{{card}_{Q,{\cal R}}(B)}= \frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(A_i)}_{i \in I}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(B_i)}_{i \in I}]\Big)} = \frac{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([A,{(C_i)}_{i \in I}]\Big)}{{card}_{Q,{\cal R}}\Big([B,{(D_i)}_{i \in I}]\Big)}}$


    (Lien de secours : Cardinal quantitatif)
  • @raoul.S,
    raoul.S a écrit:
    J20 a écrit:
    Réadapter les calculs mentionnés dans les sections concernées, avec toutes les conditions et hypothèses nécessaires, est vraiment long et fastidieux.

    Laisse tomber alors.


    Non , je peux le faire, mais ça n'a pas grand intérêt :

    Dans mon document, moyennant le fait de supposer que ma conjecture est vraie, je montre que "$\displaystyle{{card}_{Q,\mathcal{R}}(2\Z^*) = \frac{1}{2} \,\,{card}_{Q,\mathcal{R}}(\Z^*)}$"

    La démonstration de "$\displaystyle{{card}_{Q,\mathcal{R}}(2\N^*) = \frac{1}{2} \,\,{card}_{Q,\mathcal{R}}(\N^*)}$" se fait de manière analogue et est même plus simple,

    puisque $\displaystyle{\Z^* = -\N^* \bigcup \N^*}$ et que la réunion est disjointe.



    J'ai eu l'idée du cardinal quantitatif, avec les intervalles compacts (et aussi ouverts), non vides et non réduits à un singleton, de $\R$.

    J'avais donné une démonstration similaire à la Proposition (Proposition 1.4 de GF, dans les PDF de Michel COSTE).

    Et j'avais conjecturé, grosso modo, que toute partie de $\R^n$, avait un cardinal quantitatif qui pouvait s'écrire comme un polynôme, au plus, de degré $n$, en ${card}_Q(I)$ ou (${card_{Q,\mathcal{R}}}(I)$), où $I$ est un intervalle de $\R$, et dont les coefficients pouvaient être égaux à $\pm \infty$.

    Michel Coste a ensuite, grosso modo, confirmé mes dires, en restreignant mes dires à une classe de parties bornées, donc en éliminant les coefficients pouvant être égaux à $\pm \infty$, et en se restreignant à des intervalles bornés $I$ de $\R$.

    J'ai ensuite conjecturé que toute partie de $\R^n$, non bornée, avait un cardinal quantitatif qui pouvait s'écrire sous une forme donnée dans Compléments.

    Je ne peux pas, pour le moment, en faire, beaucoup plus, que ce que m'a donné Michel Coste, dans son PDF :

    Il me faudrait pour cela plus de références et plus de sources.


    (Lien de secours : Cardinal quantitatif)

  • Je me suis laissé aller à lire tous les topics récents de l'intéressé, ie le topic sur le QC en page 2, et ceux sur les conseils de rédaction...

    Je me sens très triste et mal à l'aise.
  • @raoul.S,


    En utilisant http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?43,1956218,1956960#msg-1956960 :


    1) Pour montrer que : "$\displaystyle{{card}_{Q,\mathcal{R}}(2\Z^*) = \frac{1}{2} \,\, {card}_{Q,\mathcal{R}}(\Z^*)}$",

    on prend : $I = \N^*$, $A = 2\Z^*$, $B=\Z^*$,

    $\displaystyle{\forall n \in I, \,\, A_n =\bigcup_{m \in \mathbb{N}_n^*}\{-2m, \,\,2m\}} \,\,\mbox{et} \,\, B_n = \displaystyle{\mathbb{Z} \bigcap \Big([-2n,-1]\bigcup [1,2n]\Big)}$.


    2) Pour montrer que : "$\displaystyle{{card}_{Q,\mathcal{R}}(2\N^*) = \frac{1}{2} \,\, {card}_{Q,\mathcal{R}}(\N^*)}$",

    on prend : $I = \N^*$, $A = 2\N^*$, $B=\N^*$,

    $\displaystyle{\forall n \in I, \,\, A_n =\bigcup_{m \in \mathbb{N}_n^*} \{2m\} \,\, \mbox{et} \,\, B_n = \displaystyle{\mathbb{N} \bigcap [1,2n]}}$.
  • @Riemann_lapins_cretins :


    Peut-être te plains-tu de la quantité et de la qualité des recommandations qui m'ont été faites.


    Mise à part ça, j'ai effectué de toutes petites modifications dans mes travaux, sans conséquences sur les liens que j'ai postés dans cette discussion et ayant des titres contenant du LaTeX.

    Je tiendrai compte des recommandations qui m'ont été données, ici, plus tard, mais je le ferai :

    Entre autre, je fournirai 2 versions de certaines sections de mes travaux, dont une tenant compte de vos recommandations.
  • Cf. http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?43,1956218,1957230#msg-1957230 et http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?10,1791354 (en tant que Cantor-2)

    Peut-être que certains ne rencontrent pas les problèmes que je rencontre, parce qu'ils sont "bêtes" et disciplinés et ont un respect, une obéissance et une foi inconditionnels et inflexibles envers les lois, les normes et les autorités en place.

    Concernant le 1er message de la discussion donnée dans le second lien : On peut écrire "$\partial_i u$", au lieu de "$\partial_{x_i} u$" et "$\partial^2_{i,j} u$", au lieu de "$\partial^2_{x_i,x_j} u$".

  • Tes messages "clairs et limpides" sont des catastrophes stylistiques, typographiques et syntaxiques.
    Je ne comprends pas comment on peut se prendre autant la tête pour être si malheureux, sous prétexte que ça fait "génie".
  • @Riemann_lapins_cretins,


    Mais je ne veux pas faire "génie" et je ne me prends pas pour un génie.

    J'ai crû, réellement et vraiment, bien faire (mes textes sont travaillés) et je ne comprends, toujours pas, pourquoi ça n'est pas le cas.

    Crois-tu t'exprimer, vraiment mieux, que moi, à l'écrit ?

    Ma façon d'écrire, d'agir et de penser ne correspond pas aux standards de celle des intervenants de ce forum, et ce n'est pas, nécessairement, un mal.
  • J20 a écrit:
    Crois-tu t'exprimer, vraiment mieux, que moi, à l'écrit ?

    Ça ne fait aucun doute.
  • @Poirot,

    Même, en dehors du contexte de mes travaux et des maths ?

    Je veux, bien, mettre, moins, de virgules, dans mes phrases, si cela te convient mieux, mais je suis la logique naturelle de délimitation et de découpage des propositions, des adverbes, des compléments circonstanciels, des COD, des COI, etc ... .
  • J2O a écrit:
    Je veux, bien, mettre, moins, de virgules, dans mes phrases, si cela te convient mieux, mais je suis la logique naturelle de délimitation et de découpage des propositions, des adverbes, des compléments circonstanciels, des COD, des COI, etc ... .
    Celle-là est à encadrer. Oups, je viens de le faire. :-)
  • L'utilisation des virgules est abusive. Quelqu'un l'avait mentionnée plus haut je croyais que c'était une critique un peu exagérée. Moi aussi j'aime bien les virgules. :-D

  • Même hors des usages des vilains académiciens, tu violes quand même le bon sens. Interrompre la structure d'une phrase en mettant une virgule entre un verbe et son complément, c'est simplement laid, tant phonétiquement que pour "l'esthétique logique" de l'interlocuteur. Ça ne te choque pas : "J'ai calculé, ce produit, en, développant d'abord, les facteurs d'ordre, deux" ?

    Pourtant c'est une caricature de ce que tu fais. L'aération offerte par les virgules sert à séparer des blocs syntaxiques bien délimités. Sans être un grand théoricien de la langue françoise, voir des virgules qui ne servent pas à séparer un complément circonstanciel du reste de la phrase, ou les éléments successifs d'une énumération, ou plusieurs propositions, ça n'a aucun sens. La faute est plutôt répandue et il m'arrive de la faire, mais l'incorporer dans son style au nom de la clarté et de l'esthétisme, alors qu'elle favorise tout le contraire, c'est un détail qui me saoule.
    On peut ajouter les subordonnées emboîtées et naïvement séparées les unes des autres par des "et", les passages à la ligne qui brisent la cohérence de la phrase (non, ça ne sert pas l'aération, et ça brise en quelque sorte le souffle que le lecteur donne à la phrase qu'il lit mentalement : autrement dit c'est chiant), ou des laideurs typographiques (majuscules après deux points, qui sont d'ailleurs parfois emboîtés les uns dans les autres, ou encore point final après trois points de suspension, ou séparation à gauche de virgules par un espace - des fois oui des fois non d'ailleurs, étrange pour un ponte de la rigueur qui édite 20 fois). Bon, on ne va pas parler des accolades.

    Ce qui est dérangeant c'est que tout témoigne d'une posture adoptée en permanence. On le voit bien que tu veux avoir l'air d'un génie incompris, et ça se remarque avant tout par ton style.
    Tu prétends vouloir le rendre clair et concis alors que tu le compliques inutilement en tout, sous couvert d'un rejet des normes académiques qui est souvent un rejet du bon sens. Tu ne te distingues pas de certains prosateurs persuadés d'avoir un talent d'écriture hors du commun en abusant de métaphores pompeuses et d'un langage ampoulé, sans comprendre que la belle prose est un art de concision et de clarté (même chez Proust !), dont l'esthétique repose sur la précision et la logique.
    En fait j'aurais plus confiance en quelqu'un postant un texte en français naïf "rempli" de fautes (comme peuvent les produire certains matheux purs), parce que ta manière de faire est celle d'un truand.

    Et ce qui choque c'est que tu vas avoir quarante ans. Tu me fais penser à certaines connaissances, que fdp aurait qualifiées d'additionneuses, qui pour avoir l'air intelligentes semblent tout faire pour être incomprises, certaines s'attaquaient même aux nombres premiers "en n'ayant besoin que des probabilités niveau lycée". Arrête de jouer le HPI ou zèbre ou je ne sais quoi qui a des difficultés sur le plan social et s'enferme dans les mathématiques et qui est incompris et olalala. Tu sais ce que tu dois faire pour être aimé des autres et avoir une vie heureuse. Mais tu ne le fais pas, pour avoir l'air d'un génie génial et torturé.
  • Chacun a besoin de reconnaissance. La pire des choses, c'est de laisser les autres indifférents, c'est d'être transparent.

    Pour ne pas être transparent, certains vont arborer un look particulier, d'autres vont tenter de briller sur un terrain de foot, d'autres parler haut et fort au bistrot du coin. D'autres vont être reconnus pour leur talent de mathématiciens, et enfin d'autres vont tenter de se faire remarquer par leurs écrits avec un style très particulier.

    Et plus on leur parle de ce style illisible, plus ça les flatte, plus ils font durer la pseudo-discussion. Ca prouve qu'ils existent, qu'ils intéressent quelqu'un, qu'ils ne sont pas transparents.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • A, propos, du, style, à, virgules, de, J20, vous, pouvez, regarder, la,série, "Malcolm",

    où, un, personnage, reprend, respiration, à, chaque, mot.
  • de VILLEMAGNE a écrit:
    plus on leur parle de ce style illisible, plus ça les flatte, plus ils font durer la pseudo-discussion

    Vous faites effectivement tous montre de beaucoup de générosité en l'alimentant depuis si longtemps, cette pseudo-discussion.

    Amicalement.
  • Félix:

    Il faut bien s'occuper en ces temps de confinement. B-)
    Je ne vais pas faire la sieste toute la journée autrement je ne pourrais pas dormir cette nuit. :-D

    De VILLEMAGNE:
    Je n'ai jamais regardé cette série. Cela doit être insupportable. Les gens qui parlent lentement, je sais c'est bête, me tapent sur le système. :-D
  • Je suis sûr que la plupart de mes écrits gagneraient grandement en lisibilité et en clareté pour vous tous sur ce forum, si je supprimais des virgules et ce sans rien changer d'autre.

    @lourrran,

    Je rappelle que malgré une petite touche non conformiste, je n'écris pas dans le style qui m'est propre et familier pour faussement paraître génial en étant incompris.

    J'ai vraiment pensé qu'ainsi mes propos étaient vraiment plus clairs, plus fluides et plus limpides malgré parfois leur longueur.

    L'enfumage, ce n'est pas mon style.


    @Riemann_lapins_cretins (et à tous) :


    Nous n'avons pas les mêmes habitudes et les mêmes réflexes de lecture.

    Je ne lis pas de la même façon mes phrases que vous ne les lisez.

    Mais, je me suis habitué à mon style et je m'y suis fait et vous aussi vous pourriez vous y faire.


    Au fait, saviez-vous qu'à la virgule près, un passage de la constitution française ferait passer notre pays du statut d'État démocratique à celui d'une dictature ?

    Par ailleurs, je ne peux pas vraiment faire plus concis que le 1er paragraphe que j'ai donné dans l'introduction de mes travaux, si je veux être relativement exhaustif et mon introduction est relativement courte au regard de l'ensemble de mes travaux.
  • Tu t'es habitué à ton style , et tu veux qu'on s'y habitue ?

    Tu t'es habitué à ton style, et les lecteurs se sont adaptés, ils ont adopté le comportement le plus logique devant un raisonnement aussi débile. Ils ont tous considéré que le ratio intérêt du texte / pénibilité du texte n'en valait pas la peine.

    Et le plus drôle dans tout ça, c'est que ça a l'air de te surprendre !
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • @lourrran,


    Dans mon avant dernier message avant celui-ci, tu n'as même pas remarqué le changement.

    Tu ne fais que me critiquer négativement, sans jamais parler un seul instant des aspects positifs ou en les omettant.

    Comme si je n'avais que des aspects négatifs.

    Tu n'es donc pas totalement objectif vis à vis de moi.

    La très grande majorité des shtameurs t'en ont tellement fait voir, que tu n'as plus aucune foi en eux, et que tu prends ton pied à te venger et à te défouler sur eux, même sur ceux qui sortent du lot.
  • Lourrran:

    Dans l'autre fil sur la psychologie du shtameur il y a un élément sur lequel on n'a pas assez insisté:
    Le shtameur pense que son travail est tellement génial (ou du moins d'un intérêt élevé) qu'il y a obligation pour des professionnels de lire ce travail (et d'en faire l'éloge si possible*) et que le style n'est pas important puisque le contenu est génial, ce que des gens brillants** ne peuvent pas manquer de voir cela va de soi.

    *: le travail est tellement génial qu'il ne peut pas y avoir de critique bien évidemment.
    **: les imbéciles et les médiocres risquent de passer à côté de cela mais leur avis est sans importance voire méprisable.
  • @Fin de partie :

    Contrairement à ce que tu peux penser, j'ai beaucoup travaillé le fond, le style et la forme de mes travaux, même si je n'ai pas obtenu les avis escomptés.
Cette discussion a été fermée.