Pas de nombre parfait impair

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Réponses

  • Je n'ai pas varié : je parle d'une preuve.

    Tu affirmes des choses SANS PREUVE.
    Ce n'est pas un jeu de collégien.

    Tes réponses semblent être de ce type...
  • @ Babsgueye : Tu exagères. Tous les lecteurs ici le savent comme moi, tu peux trouver des nombres non premiers dont la somme des diviseurs est inférieure à leur double, et aussi d'autres supérieurs. Il n'y a que toi pour t'obstiner avec ta preuve ridicule. C'est toi qui as lancé le sujet, tu aurais pu au minimum vérifier ta théorie. Et là, on te dit que ce que tu écris est manifestement faux, et tu ne fais même pas l'effort de vérifier par quelques contre-exemples simples.

    Perso, si j'étais modérateur, je te virerais, même dans la rubrique SHTAM, tu deviens insupportable.
  • @ Babsgueye :

    Parce qu'on n'est pas obligé d'être léger quand on se risque sur un sujet....

    http://www.prise2tete.fr/forum/viewtopic.php?id=13254
  • A quoi sert un forum si on ne peut pas dire ce qu'on pense gentiment ? En tout cas sans insulter personne.
  • Bonjour
    Raoul.S a écrit:
    Tu ne fais même pas l'effort de tester avec des nombres pour vérifier que ce que tu dis est correct.

    Comme avec BERKOUK, ce n'est plus amusant.

    j'imagine que tu fais allusion à mes propres démonstrations concernant les conjectures de Goldbach et Collatz
    permettez moi de vous faire 2 résumés de mes démarches :

    1° - Conjecture Forte de Goldbach :
    Tout nombre pair supérieur à 2 est la somme de deux nombres premiers 0

    en essayant l'arithmétique classique en vain , je l'avais traité dans la théorie des ensembles qui se résume ainsi en ce qui nous concerne

    -Soit N , l'ensemble des entiers naturels et son cardinal noté Card (N)
    - tout sous-ensemble de E , Card (E) = Card(N) ( voir lemme fondamental....°

    - Soit l'ensemble des couples (a,b) définit dans N^2 ( N x N ) on démontre facilement par "la fonction de couplage (Cantor ) que le cardinal de N est egale au cardinal de N^2 : Card(N^2) = Card( N)

    après , si nous posons E = l'ensemble des entiers Pairs positifs , et , P = l'ensemble des couples des nombres premiers

    on déduit alors d'après la théorie des ensembles ci-dessus que : Card(E) = Card (P) c'est à dire que l'ensemble des entiers Pairs E est équipotent à l'ensemble des couples des entiers premiers ( P )

    c'est à dire que E et P sont bijectives ( bi-univoque...) , c'est à dire que la relation entre E et P est à la fois INJECTIVE et SURJECTIVE

    et si vous réfléchissez bien l'injection dont il est question ici correspond à l'énoncé de la réciproque de la C.Goldbach Forte , alors que la surjection dont il est question aussi est l'énoncé exact de la C.Goldbach forte .

    j'ai du arréter ma démonstration ici si un intervenant nommé "MathCross" s'est crié au scandale en faisant abstraction des données de la théorie des ensemble en me demandant de prouver directement la Surjection ( dans l'espoir de casser la preuve par la bijection.)


    mais j'ai suivi son "conseil" , je me suis retourné à L'Arithmétique classique , alors j'ai constaté qu'il existe une EQUIVALENCE entre le théorème de Tchebetchev et la C.Goldbach Forte .ce qui renforce la démo. dans la théorie d'ensemble aussi

    je rappelle pour@Raoul.S que le record (2009) obtenu par Thomas Olliveira est d'environ 4 * 10^18 tandis que la vérification de Syracuse est de 2^62 soit environs 4.6 *10^18


    2°-Conjecture de Collatz :

    la suite de Syracuse se définit comme U(n+1) = Un /2 si Un est pair , ou bien =3.Un +1 si Un tse impair , la conjecture prétend que quelque soit N ,terme initial de la suite , N finit dans le cycle trivialbà savoir 4 , 2 , enfin 1

    là je suis arrivé à une Proposition démontré * selon laquelle "C.Collatz atterrit vers 1 <==> 2^h/3^m et m/h < log2/log3 ( avec bien entendu h et m respectivement le cardinal des termes pair puis impair .)

    vous ne connaissez pas toute la suite ....

    * Théorème alors




    BERKOUK
  • Bonjour
    Raoul.S a écrit:
    Tu ne fais même pas l'effort de tester avec des nombres pour vérifier que ce que tu dis est correct.

    Comme avec BERKOUK, ce n'est plus amusant.

    j'imagine que tu fais allusion à mes propres démonstrations concernant les conjectures de Goldbach et Collatz
    permettez moi de vous faire 2 résumés de mes démarches :

    1° - Conjecture Forte de Goldbach :
    Tout nombre pair supérieur à 2 est la somme de deux nombres premiers 0

    en essayant l'arithmétique classique en vain , je l'avais traité dans la théorie des ensembles qui se résume ainsi en ce qui nous concerne

    -Soit N , l'ensemble des entiers naturels et son cardinal noté Card (N)
    - tout sous-ensemble de E , Card (E) = Card(N) ( voir lemme fondamental....°

    - Soit l'ensemble des couples (a,b) définit dans N^2 ( N x N ) on démontre facilement par "la fonction de couplage (Cantor ) que le cardinal de N est egale au cardinal de N^2 : Card(N^2) = Card( N)

    après , si nous posons E = l'ensemble des entiers Pairs positifs , et , P = l'ensemble des couples des nombres premiers

    on déduit alors d'après la théorie des ensembles ci-dessus que : Card(E) = Card (P) c'est à dire que l'ensemble des entiers Pairs E est équipotent à l'ensemble des couples des entiers premiers ( P )

    c'est à dire que E et P sont bijectives ( bi-univoque...) , c'est à dire que la relation entre E et P est à la fois INJECTIVE et SURJECTIVE

    et si vous réfléchissez bien l'injection dont il est question ici correspond à l'énoncé de la réciproque de la C.Goldbach Forte , alors que la surjection dont il est question aussi est l'énoncé exact de la C.Goldbach forte .

    j'ai du arréter ma démonstration ici si un intervenant nommé "MathCross" s'est crié au scandale en faisant abstraction des données de la théorie des ensemble en me demandant de prouver directement la Surjection ( dans l'espoir de casser la preuve par la bijection.)


    mais j'ai suivi son "conseil" , je me suis retourné à L'Arithmétique classique , alors j'ai constaté qu'il existe une EQUIVALENCE entre le théorème de Tchebetchev et la C.Goldbach Forte .ce qui renforce la démo. dans la théorie d'ensemble aussi

    je rappelle pour@Raoul.S que le record (2009) obtenu par Thomas Olliveira est d'environ 4 * 10^18 tandis que la vérification de Syracuse est de 2^62 soit environs 4.6 *10^18


    2°-Conjecture de Collatz :

    la suite de Syracuse se définit comme U(n+1) = Un /2 si Un est pair , ou bien =3.Un +1 si Un tse impair , la conjecture prétend que quelque soit N ,terme initial de la suite , N finit dans le cycle trivialbà savoir 4 , 2 , enfin 1

    là je suis arrivé à une Proposition démontré * selon laquelle "C.Collatz atterrit vers 1 <==> 2^h/3^m et m/h < log2/log3 ( avec bien entendu h et m respectivement le cardinal des termes pair puis impair .)

    vous ne connaissez pas toute la suite ....

    * Théorème alors




    BERKOUK
  • Cher BERKOUK2,

    $\mathrm{card}(I) = \mathrm{card}(E) = \mathrm{card}(\mathbb N)$, où $I$ désigne l'ensemble des entiers impairs et $E$ celui des entiers pairs. D'après ta méthode de démonstration, on en déduit que tout entier est somme d'un entier impair et d'un entier pair. Je te laisse méditer là-dessus.
  • C'est Cher payer la paix sur ce forum! Même pas sûr que ce soit compris.
  • Bonjour

    @Poirot :

    je sais que c'est contre intuitif ,ça me rappelle la façon dont fut traité Cantor par son prof . Kronecker doyen de l'université de EN Allemagne , quand Cantor lui présenta ses travaux sur les Cardinaux dénombrables et indénombrables : Cantor avait été licencié et perdu son poste de l'université , sombrait dans la misère et la dépression .


    1°- la théorie des ensembles nous apprend que tout sous-ensemble T de N ( entiers ..) , T est équipotent à N , et donc Card (T) = Card (N)

    2°- Card ( N ) = Card ( N^2 ) = Card (N^3) = Card (N^4 ) =.....

    ces deux points ont été démontré par Cantor par sa méthode simple mais "dévastatrice "

    je n'ai fait qu'appliquer sa méthode à P^2 ( ou P x P) l'ensemble des couples des nombres premiers , et à E , l'ensemble des nombres Pairs , et je n'ai fait que tirer la Bijection de E dans P^2
    une telle bijection par définition INJECTIVE ET SURJECTIVE et dont :

    -l'injection coïncide avec l'énoncé de la réciproque de la conjecture forte de Goldbach
    - alors que la Surjection coïncide avec l'énoncé de la conjecture forte de Goldbach

    c'est tout


    bien sur je comprend très bien qu'on peut jouer avec les Cardinaux de Cantor , et qu'on peut démontrer que le cardinal des entiers Chinois est le même que celui du cardinal des entiers Français , mais là n'est pas la question ...

    b.rgds


    BERKOUK
  • Berkouk,

    génie incompris !!

    Mais qui raconte des énormités, comme par exemple "1°- la théorie des ensembles nous apprend que tout sous-ensemble T de N ( entiers ..) , T est équipotent à N , et donc Card (T) = Card (N) ". Je ne dis pas l'erreur, il rectifierait, mais tout le monde la voit !!

    La suite de son baratin (le rappel de la méthode) est tout aussi faux, mais il n'a jamais réussi à comprendre les objections. Par exemple qu'il ne définit nulle part la bijection dont il parle. Mais inutile d'y revenir, il n'est pire sourd que celui qui ne veut pas entendre : c'est tellement plus agréable de se croire un génie que de regarder ses propres insuffisances.
  • Impressionnant d'aveuglement et/ou de mauvaise foi ! Heureusement que la section Shtam existe.
  • Shtam est rempli de Cantor et de Galilée.
  • Qui incarne la Suffisance incarne nécessairement la Bêtise et donc, par définition, il est inutile d'attendre de lui un quelconque epsilon d'auto-critique. Qu'on l'abandonne et le laisse se vautrer avec délices dans la fange de ses inepties.
  • Elle est cool la technique de démonstration de BERKOUK. Je vais essayer de l'appliquer également :

    alors étant donné que $\mathrm{card}(\mathbb N)=\mathrm{card}(P)$ où $P$ est l'ensemble des couples de nombres premiers (j'utilise les notations de BERKOUK), on en déduit que tout nombre entier est somme de deux nombres premiers...

    ah mais on a aussi $\mathrm{card}(\mathbb Q)=\mathrm{card}(P)$ et donc tout nombre rationnel est somme de deux nombres premiers...


    Tu l'as déjà publiée celle-ci BERKOUK ? Attend je check https://vixra.org/author/berkouk_mohamed... ah non pas encore.

    MAIS QU'EST-CE QUE TU ATTENDS qu'on te fauche l'idée ?????
  • Bonjour
    Raoul.S a écrit:
    alors étant donné que card(N)=card(P) où P est l'ensemble des couples de nombres premiers

    P : l'ensemble des entiers premiers positifs

    P^2 ( ou bien PxP ) : ensemble des couples de nombres premiers (a,b)

    E : ensemble des nombres Pairs et I : ensembles des nombres Impairs (Poirot )

    - Card( N) = Card( Z ) = Card( Q) = Card( P ) = Card (E ) = Card (I ) = Card( tous sous-ensemble de N ) dans le cadre de la "théorie des ensembles"

    - Card( N^2) = Card( Z^2 ) = Card( Q^2) = Card( P^2 ) = Card (E^2 ) = Card (I^2 )...


    - Card (N ) = Card ( N^2) ......= Card( P^2) ( car tous ces ensembles sont dénombrables par rapport à N .....ext )


    d'ou Card ( E) = Card (P^2)

    ils ont le même Cardinal donc ( n'en déplaise à Gerard0 ) il existe une Bijection entre E et P^2
    par un choix disons "arbitraire" on considère les élément de du couple (a,b ) de P^2 par l'opération de (a+b ) (a et b :premiers )

    la Bijection au lieu d'associer tous Pair de E à tous couples (a,b) de P^2 , associe cette fois çi tous nombre Pair à la somme (a+b) de P^2

    dans ce cas la Bijection reste intacte et se définit par :

    (ensembles ) E
    > P^2
    (elements ) e
    > (a+b)

    qui dit Bijection dit Injection et Surjection et qui dit SURJECTION dit énoncé de la C.forte de Goldbach ( vérifiez par vous même )


    rectifiez le Tir et ne donnez pas trop l'impression qu'il ya des "erreurs" , le problème pour vous c'est que c'est trop facile à comprendre

    https://vixra.org/pdf/1507.0196vH.pdf ( prenez le temps et suivez le raisonnement jusqu' au bout je sais que je dois rédiger mieux.... )




    BERKOUK
  • ils ont le même Cardinal donc ( n'en déplaise à Gerard0 )
    Je n'ai jamais contesté ça, mais comme B. ne lit pas, même ce qu'il écrit, il n'a pas remarqué que la phrase que je citais était fausse, de façon évidente.
    Et il continue à tricher en assimilant une bijection dont il ne sait rien à son application (ou à en changer en cours de route, c'est tellement imprécis ..).
    Et il montre sa nullité en insistant sur le point que personne ne conteste

    C'est donc un tricheur nul !! Même pas capable de comprendre que sa production n'a rien de mathématique.

    C'est d'un ridicule !!!
  • Dès le premier tiret, comme l’avait soulevé Gérard, il y a une erreur (quasiment une erreur de débutant).
    J’ose croire, bienveillance oblige, que ce n’est que le vocabulaire qui est mal compris ou mal utilisé.

    On voit bien que le fait d’ajouter « dans le cadre de la théorie des ensembles » est maladroit.
    Dans quel autre cadre ces égalités de cardinaux (ici au moins une est fausse donc...) peuvent-elles avoir lieu ?

    Deuxième tiret : que sont les pointillés ?

    Enfin : cette bijection de $E$ sur « les $(a+b)$ tels que $a$ et $b$ sont dans $P$ », elle donne quoi pour l’élément $0$ de $E$. Est-on d’accord que $0$ est pair ?
    A-t-on $0$ est somme de deux nombres premiers ?
    Mince alors...
  • Donc, tu viens de démontrer que pour tout nombre pair, il y a une façon de le décomposer en somme de 2 entiers premiers.
    Et comme tu nous parles d'une bijection, on se doit d'être plus précis : pour tout nombre pair, il y a une façon unique de le décomposer en somme de 2 entiers premiers.

    Donc, ceux qui disent que 20 peut être décomposé en 13+7 ou bien 3+17, donc de 2 façons différentes comme somme de 2 premiers, ils se trompent, c'est ça ?
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • @BERKOUK2 : dire que $\mathrm{card}(E) = \mathrm{card}(P^2)$ (ce que personne ne conteste), c'est dire qu'il existe une bijection entre ces deux ensembles, pas que toute fonction entre ces deux ensembles est une bijection. Jusqu'à preuve du contraire, tu n'as pas démontré que ton application (que tu ne sais même pas définir correctement, c'est dire la vacuité de ton propos) est une bijection.
  • Théorème Tout nombre entier strictement positif est pair et supérieur à $2 * (3\downarrow\downarrow\downarrow 3)$.

    Preuve. C'est une conséquence directe du lemme de la somme de Berkouk.
    Soit $\mathcal{Q}$ l'ensemble des nombres premiers au moins égaux à $3\downarrow\downarrow\downarrow 3$.
    Les ensembles $\mathcal{Q} \times \mathcal{Q}$ et $\mathbb{N}$ ayant memes cardinaux, il existe une bijection entre les deux. On fait le choix, disons "arbitraire" (sic), de cette bijection, donnée dans le sens $\mathcal{Q} \times \mathcal{Q}\rightarrow \mathbb{N}$ par $(p,q)\mapsto p+q$. Le résultat suit immédiatement.

    Corollaire. Les nombres premiers n'existent pas.

    En effet, $2$ est strictement inférieur à $2 * (3\downarrow\downarrow\downarrow 3)$, et les autres nombres premiers sont tous impairs.

    Corollaire. $3\downarrow\downarrow\downarrow 3$ n'existe pas.

    En effet, c'est une puissance de $3$, qui n'existe pas.


    Se libérer des contraintes habituelles, ça donne l'impression de voler. Essayez, c'est sympa!
    Après je bloque.
  • Bonjour
    Poirot a écrit:
    @BERKOUK2 : dire que card(E)=card(P2) (ce que personne ne conteste), c'est dire qu'il existe une bijection entre ces deux ensembles, pas que toute fonction entre ces deux ensembles est une bijection.

    tout à fait d'accord
    javais justifier la Surjection dans la théorie de Cantor c'est passer par la fonction de couplage de Cantor , et non de justifier la non-surjection dans l'arithmétique classique comme a fait Lourrain avec ses (13+7) et (17+3)

    et puis pas toute fonction entre E et P^2 est bijection , le choix de cette fonction n'est pas Arbitraire , mon choix à moi s'est arrêté à la somme (a+b) en constant que :

    Tous nombre pair supérieur à 2 est la somme de premiers <==> qql soit n pair appartenant à E, il existe (a,b) appartenant P2 , n=(a,b) .

    j'avais omis de préciser que E = {4,6,8,10,12,....} l'ensemble des entiers positifs pair privé de 2 ( Dom )

    Quand aux autres, je les laisse tricher et copier de mon brouillon
    BERKOUK
  • La fonction de couplage de Cantor ce n'est pas $(a,b) \mapsto a+b$. Et même si c'était le cas, rien ne dirait que la restriction de cette fonction à $P \times P$ reste surjective. Tu ne crois pas que s'il suffisait de dire ça, la conjecture de Goldbach n'en serait plus une depuis plus d'une centaine d'année ? Tu te voiles la face ou tu nous prends pour des idiots ?
  • De deux choses l'une :
    Soit Berkouk est idiot;
    soit les mathématiciens des dix-neuvième et vingtième siècle (plus ceux des 20 dernières années) sont des idiots.

    A vous de choisir.
  • @Berkouk

    Il existe donc une bijection $b$ : $\begin{array}{c}
    E\longrightarrow P^{2}\\
    n\longmapsto\left(p,q\right)
    \end{array}$.

    Puis on forme l'application $s$ : $\begin{array}{c}
    P^{2}\longrightarrow E\\
    \left(p,q\right)\longmapsto p+q
    \end{array}$

    Je t'accorde que l'image de $s$ est bien dans $E$...

    L'existence de $b$ : oui bien sûr personne ne la conteste ici (ni nulle part d'ailleurs).

    Mais en quoi l'existence de $b$ implique-t-elle la surjection de $s$ ?

    Quel rapport entre les 2, s'il te plaît ?
  • Une remarque quand même par rapport à $0$ et à $2$ que Berkouk a retiré.

    C'est bizarre car le raisonnement "fonctionne" parfaitement avec tous les nombres pairs et pas seulement $E$ (privé de $0$ et $2$).

    Berkouk,
    Si tu regardes bien, tout le monde a pointé à sa manière une erreur flagrante.
    Et ce n'est jamais la même.
    Comme quoi, ton texte est riche en invraisemblance !
  • BERKOUK2 doit espérer que les erreurs finissent par se compenser. (:D
  • C'est beau quand même que ce forum ait révélé 2 mathématiciens comme Berkouk et Pablo. 2 profils totalement opposés.

    L'un n'a jamais ouvert de bouquin de maths et l'autre les enchaine comme si c'était des romans policiers.
    L'un publie 50 démos et l'autre ne les publie pas de peur que les robots détruisent la Terre

    2 points communs :
    - Ils ont résolu chacun 4 5 conjectures où des milliers de mathématiciens se sont arrachés les cheveux avant eux
    - On pourra jamais les raisonner ils sont dans un monde parallèle. Y a rien à faire. Faut juste jouer le jeu j'imagine..
  • Gerard0:

    Il y a une troisième alternative: que tout le monde soit idiot. X:-(
    Après tout, n'est-ce pas une preuve d'idiotie d'être capable d'émettre des conjectures et de ne pas être capable de les démontrer? :-D
  • Bonjour
    Poirot a écrit:
    La fonction de couplage de Cantor ce n'est pas (a,b) ---> a+b. Et même si c'était le cas, rien ne dirait que la restriction de cette fonction à P×P reste surjective ?...

    (a+b) est une fonction parmi une infinité de fonction définit dans P^2 , non choisi arbitrairement ou plutôt choisi pour les raisons que vous connaissez maintenant .

    1°- dans la théorie des ensembles la fonction de couplage de Cantor nous permet de démontrer que pour tous Pair ,contenu dans l'ensemble
    du départ E , il existe un élément (a,b) appartenant à l'ensemble d'arrivée P^2 ,on conclu par là à l'équipotence de E dans P^2 et que le Card(E) = Card(P^2 ) donc c'est une Bijection , et qui dit Bijection dit injection et surjection

    2° - dans l'arithmétique classique on peut objecter qu'avec (a+b) , on peut voir des éléments de E qui ont plus d'un correspondant dans P^2
    d'où la surjection est cassée , plus de bijection , dans 1° - Tous est faux , d'où le PARADOXE

    alors que la différence entre 1° ET 2° réside dans la notion du Cardinal , les adeptes du point 1° pensent Card ( N ) = infini , tandis que les fixistes adeptes du point 2° croient Card (N) peut étre exprimés par un chiffre .
    Zig a écrit:
    Quel rapport entre les 2, s'il te plaît ?

    merci d'exprimer les applications par LATEX , la réponse à cette question dépend si tu crois à cette équivalence :
    Tous nombre pair supérieur à 2 est la somme de premiers <==> qql soit n pair appartenant à E, il existe (a,b) appartenant P2 \ n=(a+b) .

    est-ce que logiquement l'énoncé de la conjecture forte est la même chose que l'énoncé des la subjection ?

    quand aux autres qui dénigrent les absents ( @LEG ) , je leur dit : le train sifflera 3 fois


    B.rgds



    BERKOUK
  • Berkouk, tu ne réponds pas à ma question...

    Je crois bien à ton équivalence, comme tout le monde :

    "Tous nombre pair supérieur à 2 est la somme de premiers <==> qql soit n pair appartenant à E, il existe (a,b) appartenant P2 \ n=(a+b)"

    puisqu'elle est triviale (le membre de gauche et le membre de droite disent exactement la même chose avec des mots différents).

    Je suppose donc que tu souhaites montrer la véracité du membre de droite, qui est donc la surjection de l'application $s$ : $\begin{array}{c}
    P^{2}\longrightarrow E\\\left(p,q\right)\longmapsto p+q\end{array}$.

    Comment fais-tu ?
  • Bonjour
    Zig a écrit:
    Comment fais-tu ?



    1°- option : A et B est la même chose exprimé par des mots différents , il suffit alors de démontrer B pour démontrer A et réciproquement
    B qui est surjection , est démontré dans le cadre de la théorie des ensembles , donc ça démontre automatiquement A

    2° -option : non ! , A et B n'expriment pas la même chose , les mots changent du sens soit au figuré soit au sens réel bref A se démontre indépendamment de B

    là , je te renvois à une deuxième équivalence ( que j'ai démontré ) C <==> D

    C = " théorème de Tchebetchev "

    D = "Conjecture forte de Goldbach Vrai "


    le théorème de Tchebetchev <==> Conjecture forte de Goldbach Vrai

    .




    BERKOUK
  • OK. Restons sur la première option.

    Tu dis que le caractère surjectif de $s$ : $\begin{array}[t]{c}P^{2}\longrightarrow E\\\left(p,q\right)\longmapsto p+q\end{array}$ est démontré dans le cadre de la théorie des ensembles.
    Tu as un lien, une preuve à fournir de ça ?
    Car bien sûr, le fait qu'il existe une bijection entre deux ensembles $A$ et $B$ ne prouve pas (encore heureux) que toute application de $A$ dans $B$ soit surjective.
  • Ce dernier message de Berkouk met sur la voie...

    Ça n’honore pas le forum, même dans Shtam.
  • Qui dit bijection dit injection et surjection.

    On garde uniquement une des 2 propriétés . Qui dit bijection dit surjection et on continue. En effet, si on garde le mot 'injection', ça conduit à un truc qui est visiblement faux.
    Si cette manipulation était volontaire, on pourrait accuser Berkouk de malhonneteté. Mais malheureusement non. On peut juste le plaindre.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Bonjour
    Zig a écrit:
    Tu as un lien, une preuve à fournir de ça?

    https://vixra.org/pdf/1507.0196vH.pdf

    veuillez me communiquer les erreurs que vous pourriez rencontrer et supporter , dont je pourrais m'assurer de votre lecture complète


    BERKOUK
  • Il est encore écrit cette assertion :
    « Tout sous-ensemble de N est équipotent à N ».

    Ça a été dit plus haut.
    C’est juste un oubli, allez, on accepte de le dire comme ça.
  • Berkouk, vous me confirmez donc, comme c'est écrit dans votre papier, que l'application $s$ : $\begin{array}[t]{c}P^{2}\longrightarrow E\\\left(p,q\right)\longmapsto p+q\end{array}$ est bijective ? (vous l'appelez $f$).

    C'est écrit noir sur blanc donc je suppose que oui.
    Concernant le caractère injectif, que dire de $s(3,13)=s(13,3)=s(5,11)$ par exemple?

    Concernant le raisonnement logique :
    en reprenant vos notations (cf. encadré bas page 9 et encadré page 10), vous nous dites avoir prouvé que :
    nonA => nonB.
    Admettons.

    Comment en déduisez-vous que A => B ?
  • Je rappelle que les preuves de maths sont des enchainements d'évidences et que les évidences sont des conjonctions d'axiomes et rien d'autres, donc les shtameurs devraient recenser leurs textes et vérifier ce qui est ou n'est pas admis de type évidence.
    Bon, je passais en fait par là pour donner "mon sentiment banal" sur cet énoncé (je suis béotien) afin de décourager les tentatives de preuves.

    1/ Le plus petit nombre abondant est 945 et ce n'est pas étonnant. Qu'est-ce qu'il se passe?

    2/ Bin, c'est très simple (expression que je trouve idiote mais que j'emploie pour nue fois pour rigoler) :

    2.1/ la recherche de nombres parfaits impairs est "au moins une recherche de solution à l'équation:
    $$
    2q_1q_2q_n = (\frac{p_1^{k_1}-1}{p_1-1})\times (\frac{p_2^{k_2}-1}{p_2-1}) \times \dots \times (\frac{p_n^{k_n}-1}{p_n-1}),

    $$ avec $\forall i: q_i = p_i^{k_i-1}$ que l'on peut noter
    $$
    2q_1..q_n=f_1(q_1)..f_n(q_n)$$ pour raccourcir.


    Pour rappel $\frac{a^p-1}{a-1}$ n'est qu'une autre écriture de $1+a+a^2...+a^{p-1}$, mais ça m'aurait été pénible de les mettre entre des dollars.

    La fonction $\forall n: t(n):= n\mapsto (1+\frac{1}{a}+\frac{1}{a^2} + ... + \frac{1}{a^n} )$ est croissante avec $n$ et
    $$
    1+a+a^2...+a^n = a^n\times t(n),
    $$ avec quand $n$ grand une valeur approximative de $\frac{a}{a-1}$
    qui donne les premiers premiers : $2$ pour $2$; $1.5$ pour $3$; $5/4$ pour $5$, etc.
    Sachant que (je dis ça au pifomètre), le produit infini $\prod_p \frac{p}{p-1}$ DIVERGE!

    Bilan grossier : en prenant bcp de nombre premiers, on peut approche de très près une réussite à l'équation ci-dessus. De plus rien n'indique une difficulté. Si je note par exemple $r:[n\mapsto $ la somme des diviseurs de $n]$, et bien même l'équation:
    $x$ est de la forme $7p+4$ et $r(x) = 147923x$ "peut" avoir des solutions au sens où rien dans ce qui précède ne semble indiquer de limitations.

    In fine, il n'y a pas de raisons de penser que cette conjecture est vraie et prouvable. Il y a semble-t-il plus de raisons de penser qu'elle est fausse.

    Vu qu'elle résiste depuis des millénaires, force est de constater que personne n'a identifié "de raison convaincante" qu'elle soit vraie.
    Et aux gens qui demandent pourquoi les contre-exemples seraient grands, bin la réponse est totalement évidente, ce qui conduit au fait qu'il est évident que les hommes préhistoriques et les religieux d'il y a 1500-3000 ans (qui offraient des sacrifices aux volcans, etc) ne risquaient pas vraiment d'en trouver.
    En fait, on voit bien que pour obtenir un nombre parfait impair, et sauf si on a la chance qu'il y en ait un petit, il faut tout de suite multiplier par beaucoup de nombres premiers,
    - eux-mêmes qui vont monter relativement vite,
    - et les mettre à des puissances bien visées.
    Ca va donner des nombres entiers naturels solutions qui ne risquent pas d'être appréhendés par le joggeur du jour et bien plus grands que la taille de l'univers connu.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Laissons plutôt Zig, que je salue, ouvrir les yeux de Berkouk.

    Ces questions sont claires, non agressives et surtout elles sont courtes.

    Berkouk, je te suggère d’essayer de répondre aussi clairement que tu le peux à la dernière question de Zig.

    Cordialement

    Dom
  • Bonjour
    Berkouk a écrit:
    2° - dans l'arithmétique classique on peut objecter qu'avec (a+b) , on peut voir des éléments de E qui ont plus d'un correspondant dans P^2
    d'où la surjection est cassée , plus de bijection , dans 1° - Tous est faux , d'où le PARADOXE

    votre question sur s(3,13) / injection ou (3,17) et (7,13) de Lourrain trouvent une partie de réponse dans ci-dessus


    quand à ta dernière question , ne nous trouvions pas mieux pour nous départager à savoir notre spécialiste CHRISTOPH C

    JE demande pardon à Babsgueye de m'avoir héberger dans son fil



    c'est à vous


    BERKOUK
  • Je ne vois pas où il y a un paradoxe...
    Le fait qu'il existe une application non injective ou non surjective ou ni injective ni surjective d'un ensemble $A$ dans un ensemble $B$ n'implique pas que ces deux ensembles ne soient pas en bijection, on est d'accord ?

    Es-tu d'accord pour dire que l'application $s$ : $\begin{array}[t]{c}P^{2}\longrightarrow E\\\left(p,q\right)\longmapsto p+q\end{array}$ n'est pas injective, puisque $s(3,13)=s(5,11)$ ?

    Par ailleurs, tu ne réponds pas vraiment à ma question concernant la logique.
  • Bonjour

    à propos de l'injection de notre application :

    toutes somme de 2 premiers > 2 est Pair <==> l'injection de E dans P^2 ( à quelques mots prés )

    je pense qu'on est d'accord ?

    résumons la situation

    1°- dans la théorie des ensembles , il existe une bijection de E dans P^2 , or d'après la définition de la bijection , celle ci doit être Surjective et injective , comme l'énoncé de la surjection est le même que l'énoncé de la conjecture Forte de Goldbach on déduit alors que cette conjecture est est vrai et démontrable dans le cadre de la théorie des ensembles .

    2°- dans l'arithmétique classique , on démontre par au moins un contre-exemple que notre application E dans P^2 qu'elle est ni surjective , ni injective donc ce n'est plus une Bijection ( c'est là que je parle de Paradoxe ) Mais partiellement démontrable par l'équivalence du théorème de TCHEBETCHEV avec la conjecture forte vrai de GOLDBACH , car le théorème de TCHEBETCHEV ( déjà démontré ) implique directement que la conjecture forte est vrai , et réciproquement . point final

    ( T <==> CFG )

    vous avez du mal avec la partie Logique de mon texte relis le et essaye de trouver des erreurs en me les signalant , encore des questions ...



    BERKOUK
  • Berkouk a écrit:
    toutes somme de 2 premiers > 2 est Pair <==> l'injection de E dans P^2 ( à quelques mots prés )

    je pense qu'on est d'accord ?
    Évidemment non ! Il n'y a pas de phrase à droite de l'équivalence, ça n'a pas de sens. C'est ahurissant que l'application que tu écris aille de $P^2$ dans $E$ et que ce que tu invoques ici aille dans l'autre sens (et dans la plus grande confusion.

    La suite est aussi inepte et montre que tu ne comprends pas les objections de Poirot, raoul.S, Zig... si triviales qu'elles soient (révérence gardée).
  • Effectivement, concernant l'injection, nous ne sommes pas d'accord. L'équivalence que tu écris est fausse (d'ailleurs l'injection de quoi??).

    Pour la logique, je n'ai pas de mal à comprendre des éléments de base, comme le fait clair que :
    "nonA=>nonB" N'IMPLIQUE PAS que "A=>B".

    Donc je n'ai toujours pas la preuve que T ==> CFG
    Et ça, je te signale, c'est une sacrée erreur !

    Donc, en quelques mots résumant bien ta pensée, montre que T ==> CFG.

    .
  • Je conseille à Berkouk de lire le premier message de cette discussion
    Il y a une pièce jointe, d'excellente qualité, qui rappelle les règles de base de la rédaction d'un texte mathématique.Des règles très simples, que tout le monde devrait connaître : par exemple, une proposition mathématique est une phrase, avec un sujet, un verbe et souvent un complément.

    C'est très basique.

    Si Berkouk pouvait s'astreindre à respecter ces quelques règles de rédaction, déjà, il détecterait lui-même la moitié des incohérences de ses textes.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Bonsoir

    @Zig :

    je n'ai nul part utiliser la contraposé de T==> CFG dont je connais la définition contrairement à ce que tu cherche à me faire affirmer

    j'ai tout simplement utiliser le chemin du raisonnement déductive à savoir l'une de ses composante :

    si T est vrai et ( T ==> CFG ) est vrai alors CFG est vrai

    T est par définition un théoreme donc Vrai
    ( T ==> CFG ) est vrai aussi ( voir début page 8 à fin page 10)

    ==> que CFG est vrai ( tout simplement )

    reste à démontrer ( CFG vrai ==> T ) ( voir la suite de l'encadré ) pour arriver à l'équivalence ( T <==> CFG vrai )


    tous simplement



    bonne Nuit



    BERKOUK
  • La conclusion en bas de la page 9 dit :
    Si nonT alors nonCFG.
    Ce qui devient en page 10 :
    Comme T, alors CFG.

    Et ça, c'est faux !!

    L'erreur tient dans la phrase : "l'existence d'un contre exemple est conditionnée par nonT".
    Autrement dit, nonCFG est conditionné par nonT.
    En français cela signifie que nonT est nécessaire à nonCFG.
    Or ce qui a été démontré (nonT=>nonCFG) signifie que nonT est suffisant pour nonCFG.

    Il y a donc bien une erreur de raisonnement !
  • Bonjour


    Zig a écrit:
    Or ce qui a été démontré (nonT=>nonCFG) signifie que nonT est suffisant pour nonCFG...

    - D’après (3) l’Existence d’un contre-exemple est conditionné par : Pn > 2 P(n-1) dont on sait
    qu’elle ne sera jamais satisfaite étant donné qu’on a déjà démontré que qql.......Pn est toujours < 2 P(n-1 )
    c'est à dire non T==> non CGF, or :

    non T ==> non CGF <==> CGF ==> T
    CFG ==> T est déja démontré en B) de l'encadré , démontrons T ==> CFG dans A) remplacé dans l'encadré , par ce qui suit

    A) démontrons T ==> CFG :

    T ==> CFG <==> T et non CFG

    démontrons alors T et non CFG :

    Supposons T et CGF fausse

    ==> qu'il existe un contre -exemple à CGF
    ==> on se trouve dans (1°-cas : P(n) > 2.P(n-1) ; voir texte p.8 )

    ==> si P(n) > 2.P(n-1) alors il n'existe pas de P(n) dans l'intervalle ]P(n-1) , 2.P(n-1)[
    ==> T ( le théorème de Tchebetchev) est faux ; d'ou la Contradiction


    ==> Conclusion : T ==> CFG (vrai ) comme CFG ==> T :

    T <==> CFG CQFD

    question @Zig
    concernant l'application E ----> P^2 , est -elle Surjective ?

    BERKOUK
  • Berkouk2 a écrit:
    question @Zig
    concernant l'application E ----> P^2 , est -elle Surjective ?

    Quelle application de E vers P² ????
    Il y a des milliards d'applications de E vers P² ; il y en a qui sont surjectives, et d'autres qui ne le sont pas.

    Un problème correctement posé est un problème à moitié résolu.

    Tu n'es même pas capable de poser des questions ... et tu prétends savoir répondre aux questions des plus grands mathématiciens ?
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Alors déjà en fait on a :
    (T ==> CFG) <==> (non T ou CFG)
    ...
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