Démonstration d'une conjecture

Bpnjour à toutes et à tous

La conjecture de Collatz émise dans les années 30 a l'énoncé suivant ;
- 1 Commencer une suite Si par S1un nombre entier positif non nul
- 2 Si le nombre Si est pair Si+1 = Si/2
- 3 Si le nombre Si est impair Si+1 = 3.Si + 1
La conjecture prédit que toute suite construite suivant ces règles se terminera par 1 puis je cycle perpétuel 4, 2,1 dit cycle trivial.
Démonstration:
Commencer par un nombre pair quelconque (2.n+1).2k donnera le même résultat final que commencer par 2.n+1un nombre impair.
Tout nombre impair est égal à ((3.n-2).22.k -1)/3 ou à ((3.n-1).22k-1-1)/3 pour certaines valeurs de n n et k de 1 à l'infini.
Tous les nombres impairs de la forme ((3.n-2).22.k -1)/3, n entier positif impair et k de 1 à l'infini ont un successeur unique impair dans une suite de Collatz = 3.n-2.
Tous les nombres impairs de la forme ((3.n-1).22k-1-1)/3, n entier positif pair et k de 1 à l'infini ont un successeur unique impair dans une suite de Collatz = 3.n-1.
Les successeurs impairs d'une suite de Collatz sont donc obligatoirement différents les uns des autres à l'exception de 1 qui peut être à la fois sont successeur et son prédécesseur car (1.4-1)/3 = 1.
3.n-1 impar pour n pair ne peut jamais être égal à ((3.n-1).22.k-1 -1)/3 donc aucune possibilité pour 3.n-1 impair et n pair de se trouver deux fois dans une suite de Collatz.
3.n-2 impar pour n impair ne peut jamais être égal à ((3.n-2).22.k -1)/3 donc aucune possibilité pour 3.n-2 impair et n impair de se trouver deux fois dans une suite de Collatz SAUF SI n=1, (1.4-1)/3=1 d'où l'existence unique du cycle trivial
.
Voir la table de Collatz que j'ai définie (voir "la tajectoire de Collatez en partant de 1" ik y a 4 mois..
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Réponses

  • Je lis la phrase :
    "Tous les nombres impairs de la forme ((3.n-2).22.k -1)/3, n entier positif et k de 1 à l'infini ont un successeur unique impair dans une suite de Collatz = 3.n-2."

    Pourquoi (3.n-2) serait-il toujours impair ??
  • On a déjà vu ce genre de raisonnement incomplet sur le forum. Rien de nouveau et rien de plus.
  • (3.1-1)/3=1 ?
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • J'ai lu que Terence Tao a montré que la conjecture de Syracuse est « presque vraie » pour « presque tous » les nombres.
    Le 😄 Farceur


  • Bonjour,

    Il y a un article en français dans le numéro 168 d'avril 2021 de la Gazette des mathématiciens (SMF).

    Cordialement,

    Rescassol
  • ... ainsi qu'un article de Damien Rivollier dans le dernier numéro de Quadrature.
  • Bonjour Zig

    3.n-2 est toujours impair pour n impair, merci pour la remarque, j'ai corrigé le texte
  • Bonjour lourrran
    Merci pour la remarque

    J'ai corrigé les fautes de frappe, (4.1-1)/3 = 1
  • C'était plus amusant avec la faute (3*1-1)/3=1
    Là, tu as enlevé une partie du charme de ton texte.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Quel charme as tu vu dans un seul de mes textes?
  • @PierrelePetit,

    Ce fil est un copier-coller du précédent : "La trajectoire de Collatz en partant de 1" (ce que tu confirmes d'ailleurs plus haut). Tu n'as de toute évidence pas lu l'une des réponses que je t'avais faites à propos de ce tu nommes pompeusement "table de Collatz", alors je réexplique :

    $p=(2^m\,n-1)/3$, où $p$ est un prédécesseur de $n$ (tous deux impairs, et $n$ non multiple de 3), et $m$ est pair ou impair, c'est-à-dire égal à $2k$ ou $2k-1$. Connaissant $n$, comment sait-on quelle doit être la parité de $m$ afin que $p$ soit entier ? En calculant $m=3-n \bmod 3$, ce qui donne la valeur de $m$ correspondant au plus petit prédécesseur de $n$, c'est-à-dire $1$ (impair) ou $2$ (pair). On conserve cette parité en faisant ensuite $m=m+2$ pour obtenir le prédécesseur suivant (de plus en plus grand évidemment). Tous les entiers $p$ ainsi calculés ont donc en commun de posséder $n$ pour successeur dans une suite de Collatz, ce que tu appelles "successeur unique".

    A quoi servent les $(3\,n-2)$ et $(3\,n-1)$, $n$ respectivement impair et pair, de tes formules ? A ne produire que des entiers impairs non-multiples de 3. Lorsque tu choisis $n$ au hasard, tu dois le multiplier par 3 puis lui soustraire 1 ou 2 afin d'obtenir une valeur impaire, ce qui à ce moment-là seulement t'indique si l'exposant de 2 sera $2k$ ou $2k-1$, sans parler du choix que tu dois encore faire de $k$. Lorsque tu calcules $3-n \bmod 3$ tu obtiens directement la plus petite valeur de l'exposant de 2 (si $\ne 3$). En termes de simplicité il n'y a pas photo.

    Pour résumer :

    $(2^{2k}\,n-1)/3\;$ est entier lorsque $3-n \bmod 3=2$ (fonctionne avec tout exposant pair de 2).

    $(2^{2k-1}\,n-1)/3\;$ est entier lorsque $3-n \bmod 3=1$ (fonctionne avec tout exposant impair de 2).

    Tu n'as rien inventé de nouveau, alors pour la "Démonstration d'une conjecture" tu repasseras.
  • @Wilfrid
    Tu peux penser ce que tu veux et te tromper.

    A un nombre impair ((3n-1)*2^(2*k-1)-1)/3 quelque soit k entier positif non nul succédera 3*n-1 impair TOUJOURS différent de ((3n-1)*2^(2*k)-1)/3 quelque soit k puisque n est pair.

    A un nombre impair ((3n-2)*2^(2*k)-1)/3 quelque soit k entier positif non nul succédera 3*n-2 impair TOUJOURS différent de ((3n-1)*2^(2*k)-1)/3 SAUF SI n=1 auquel cas le successeur est 1 quelque soit k.

    Il est donc prouvé qu'il ne peut exister un autre cycle que le cycle trivial.

    Une suite de Collatz ne peut donc que finir par 1 ou diverger

    Mon premier post Trajectoire de Collatz en partant de 1 prouve que les trajectoires partants de 1 divergent, donc les trajectoires de Collatz en partant de n entier positif non nul ne peuvent pas diverger.
    Voila la preuve que je présente sans demander à quiconque son avis et un grand merci à ceux qui .aurons compris la démonstration.
  • L'idée astucieuse de la preuve est de de la conclure par "je ne demande pas d'avis à quiconque".
    Pas mal, content que cette conjecture soit enfin tombée. Tu mérites bien ton million.
  • PierrelePetit a écrit:
    A un nombre impair $(2^{2k-1}\,(3\,n-1)-1)/3\,$, quel que soit $k$ entier positif non nul succédera $3\,n-1$ impair TOUJOURS différent de $(2^{2k}\,(3\,n-1)-1)/3$

    Évidemment !

    Pour simplifier je poserai $A=(2^{2k-1}\,(3\,n-1)-1)/3\,$, et $B=(2^{2k}\,(3\,n-1)-1)/3$. Il se trouve que $B$ ne peut pas être entier, donc si $A$ l'est on aura par définition $A \ne B$. Tu ne sais même plus ce que tu as écrit plus haut ! Je te cite, en substance : $(2^{2k-1}\,(3\,n-1)-1)/3$ et $(2^{2k}\,(3\,n-2)-1)/3$ sont tous deux entiers à condition que $n$ soit respectivement pair et impair (encore qu'il ait fallu que quelqu'un te le fasse remarquer). Et maintenant tu viens dire que $(2^{2k-1}\,(3\,n-1)-1)/3$ est TOUJOURS différent de $(2^{2k}\,(3\,n-1)-1)/3$ !!!

    J'ai bien compris que tu ne me demandais pas mon avis, mais je te le donne quand même : quand tu pondras ton prochain message, relis-le attentivement avant de cliquer sur Envoyer.
  • Si $n$ est impair, si $p$ est l'impair successeur de $n$ dans le chemin de Syracuse, alors tu démontres que $p$ ne peut pas être égal à $n$ (sauf le cas n=1).
    Ok. Admettons que cette démonstration soit correcte (elle doit l'être, elle est assez triviale).
    Tu as donc démontré qu'en dehors du cycle trivial, il n'y a aucun cycle avec un seul nombre impair.

    Mais, peut-être qu'il y a des cycles avec 2 impairs ? ou avec 3 impairs ? ou 1000 impairs ?
    Tu n'as pas traité ces cas là.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Pour rentabiliser ce sujet profitons de la sagesse des anciens pour leur poser une question.

    Je vois souvent les gens s'attaquant à Syracuse (suivant cette loi que plus la modestie est grande moins le raisonnement est schtamesque) s'attacher particulièrement à cette question de l'unicité du cycle.
    Est-ce parce qu'on est parvenu à établir qu'une suite cyclait à coup sûr ?
  • Si tu parles du cycle trivial, non, personne n'y est parvenu, mais tout le monde en est tellement convaincu que la recherche a pratiquement cessé.
  • RLC,

    la preuve de la conjecture peut être faite en deux étapes :
    * il n'existe qu'un seul cycle, le cycle trivial 4-2-1-4
    * toute suite passe par un cycle

    Sur le premier point, on sait (voir ce document p 18) que si des cycles existent, ils sont de longueur très grande (plus de 17 milliards dans la référence citée). Sur le deuxième, on a d'excellentes heuristiques qui malheureusement ne sont pas des preuves (mais que des amateurs ressortent fréquemment en croyant qu'elles prouvent !).

    Cordialement.
  • Très bien merci !

    Je trouvais ça surprenant de voir tout le monde s'attacher à la même stratégie démonstrative.
  • Intéressant ce qui est dit au bas de la page 17, chapitre "Longueur des cycles" du document proposé par gerard0. Il est question d'un résultat obtenu par un certain Eliahou, qui imagine un cycle dans lequel il nomme $p$ le nombre de termes pairs, et $q$ le nombre de termes impairs, puis il arrive à la conclusion que $3^q < 2^p < (3+1/m)^q$, où $m$ est la valeur minimale atteinte par le cycle, ce qui je suppose signifie que le successeur impair de $m$ sera égal au premier terme du cycle.

    Comme je l'expliquais dans ce message au début de l'année (je vais le résumer ici), pour obtenir $3^q<2^p$ il faut que la valeur minimale de $p$ soit

    $p_{min}=\left \lceil q\,\dfrac{\log 3}{\log 2} \right \rceil=\left \lceil 1.585\,q \right \rceil$

    Les valeurs successives de $q$ correspondant au rang de chaque terme impair dans le cycle (ou plutôt dans la suite de Collatz) – le premier terme $n_0$ possède le rang 0 – la suite des valeurs de $p_{min}$ est invariable. En partant du second terme impair de la suite ($q=1$) ce sera : $\left \lceil 1.585 \times 1 \right \rceil, \left \lceil 1.585 \times 2 \right \rceil, \left \lceil 1.585 \times 3 \right \rceil, ...= 2, 4, 5, 7, 8, 10, 12, ...$

    A chaque étape de la construction d'une suite de Collatz on calcule $(3\,n+1)/2^u$, où $n$ est un terme impair. A une étape donnée, le nombre $p$ de termes pairs obtenus jusque là est la somme cumulée des valeurs successives de $u$.

    A l'étape $q$ on compare $p$ à $p_{min}$. Si $p \ge p_{min}$ alors $3^q < 2^p$, et le terme impair de rang $q$ est plus petit que $n_0$. Mais si $p < p_{min}\,$ il est plus grand. Or,
    • La suite des valeurs de $p_{min}$ croît lentement puisque l'incrément ne dépasse pas 2.
    • $p$, la somme cumulée des valeurs de $u$, croît plus rapidement puisque $u$ peut prendre n'importe quelle valeur.
    En conséquence, à une étape quelconque on aura nécessairement $p \ge p_{min}\,$, et la suite commencera à décroître (elle passera en-dessous de $n_0$). Elle pourra bien sûr remonter temporairement, mais $p$ finira toujours par l'emporter sur $p_{min}\,$ et la suite continuera de décroître (ou au moins, chacun de ses termes sera plus petit que $n_0$).

    Exemple avec la suite 39, 118, 59, 178, 89, 268, 134, 67, 202, 101, 304, 152, 76, 38, 19, 58, 29, 88, 44, 22, 11, 34, 17, 52, 26, 13, 40, 20, 10, 5, 16, 8, 4, 2, 1 :

    addon.php?43,module=embed_images,url=http%3A%2F%2Fvodixi.com%2Fsyracuse%2FsuiteLt%2Ftest39.png

    Les 4 premiers $p < p_{min}\,$ montrent que les termes impairs correspondants (59, 89, 67 et 101) sont plus grands que le 1er terme de la suite.

    Maintenant, je laisse à ceux qui voudront bien se pencher sur la question le soin de déterminer comment il pourrait se faire que le terme impair $n$ correspondant à l'étape $q$ devienne égal à $n_0$ pour former un cycle non-trivial. Merci de réfléchir au problème et d'apporter une éventuelle réponse.
  • Autrement dit, tu nous mets au défi de prouver qu'il peut exister un cycle non trivial. Je décline le défi. Mais qu'on ne sache pas prouver ne justifie absolument pas qu'il n'y ait pas une preuve.
    Et on peut remarquer dans ton texte des affirmations de conviction (" croît plus rapidement puisque u peut prendre n'importe quelle valeur.", "on aura nécessairement", ...) qui seraient à démontrer sérieusement.

    C'est faute de ce genre de preuve que la conjecture (et même ses deux sous-conjectures) reste conjecturale.
  • Wilfrid a écrit:
    Maintenant, je laisse à ceux qui voudront bien se pencher sur la question le soin de déterminer comment il pourrait se faire que le terme impair n correspondant à l'étape q devienne égal à n0 pour former un cycle non-trivial. Merci de réfléchir au problème et d'apporter une éventuelle réponse.

    Tu n"as toujours pas compris ma démonstration et tu demandes donc quelque chose qui est impossible à trouver, voila mon éventuelle réponse.
  • gerad0 a écrit:
    Autrement dit, tu nous mets au défi de prouver qu'il peut exister un cycle non trivial. Je décline le défi. Mais qu'on ne sache pas prouver ne justifie absolument pas qu'il n'y ait pas une preuve.

    Toi aussi tu sembles ne pas avoir compris ma démonstration sinon tu affirmerai qu'il y a une preuve de l'impossibilité d'un autre cycle que le cycle trivial..
  • PlP,

    Tu fantasmes. Ta "démonstration" n'en est pas une. Tu ne fais pas des mathématiques.
  • gerard0
    Et toi à part insulter les attardés tu fais quoi ?

    [Inutile de reproduire le message précédent. AD]
  • C'est quoi cette manière de s'insulter soi-même ? Ça ne rend pas hommage à l'auteur d'une preuve si élégante.
  • RLC : (tu)
  • Bonjour,

    RLC (tu)++

    Cordialement,

    Rescassol
  • Bonsoir à toutes et tous

    J'ai écrit une preuve, aucun élément n'a été fourni pour invalider la preuve et j'attends toujours une preuve que ma démonstration contient une erreur "mathématique"

    Je demande à l'administrateur de ce site de jouer son rôle et de sanctionner les auteurs d'écrits insultants.

    Bonne nuit
  • Bonsoir.

    Dans la preuve évoquée au premier message, pour quelles valeurs de n et k la formule ((3n-2)*2^(2k-1)-1)/3 donne-t-elle, comme affirmé, des nombres impairs ?

    J'ai beau chercher, je n'en trouve pas.

    Je suis allé de n=k=1 jusqu'à n=k=9 en passant par les valeurs intermédiaires.

    À bientôt.

    [Édit : Il semblerait qu'il y ait contradiction entre formulations successives d'une même formule tout au long du message, ce qui n'aide pas à savoir quelle est la bonne.]

    Cherche livres et objets du domaine mathématique :

    Intégraphes, règles log et calculateurs électromécaniques.

  • Bonjour,
    PlP a écrit:
    J'ai écrit une preuve..........

    Non, tu ne sais pas ce qu'est une preuve, et ceci n'est pas plus insultant que ce qu'ont écrit d'autre forumeurs.

    Cordialement,

    Rescassol
  • "Les successeurs impairs d'une suite de Collatz sont donc obligatoirement différents les uns des autres"

    Non, ce que tu as écrit au-dessus n'a aucun lien avec ça. Ce n'est absolument pas démontré dans ton post.

    De plus, tu "montres" seulement qu'il y a un seul cycle, pas qu'il est forcément atteint.

    Pauvre tocard. Ça c'est une insulte.
  • Je reste toujours coi devant toutes ces démonstrations.
    Tous ces gens qui disent :

    J'ai trouvé la solution à l'histoire des cycles, j'ai démontré qu'il ne peut pas y en avoir, et la démo tient en 10 lignes, voici cette démo....

    Je me dis que vu le nombre de types qui ont bossé sur la question, et pas que des clowns, si la démo tenait en 10 lignes, ça fait longtemps qu'on ne se poserait plus ces questions.
    Il faut vraiment manquer de jugeotte pour poster une démo de 10 lignes, et dire qu'on a résolu une question qui tient depuis aussi longtemps.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • As-tu relu le premier post après les 5 modifications que j'ai faîtes ?
  • Vu le ton du message, je vais supposer qu'il m'est adressé.

    Il existe une fonction d'édition de messages, elle est fantastique et sert notamment à corriger des énormités sans avoir à les étaler sur des dizaines de messages, ce qui me semble la moindre des corrections vis à vis d'un travail.

    Je n'ai pas eu de réponse à ma question, quant à ma remarque, je considère le dernier message comme une invitation à un jeu de piste, ce qui n'est pas le propos d'une preuve.

    Cherche livres et objets du domaine mathématique :

    Intégraphes, règles log et calculateurs électromécaniques.

  • Donc, pour quelqu'un qui lirait la discussion maintenant, il lirait ton message, puis les commentaires des uns et des autres.
    Et il se dirait, : Tous ceux qui commentent n'ont rien compris au message original, ils sont bêtes.

    Tout ça parce que tu t'es amusé à modifier ton message original, après que les autres apportent des réponses.

    Nul. Aussi nul en 'comportement sur un forum' que nul en maths.

    Quand un individu normal relit la discussion, pour voir les infos nouvelles, il relit à partir des derniers messages, il ne relit pas à partir du début pour voir si par hasard, il y a eu des changements.
    Tu me dis, j'oublie. Tu m'enseignes, je me souviens. Tu m'impliques, j'apprends. Benjamin Franklin
  • Bonsoir

    J'attends celui qui pourra apporter une preuve que une seule des propositions et affirmations qui sont dans le post initial modifié 5 fois par mes soins (pour tenir compte des observations constructives de certains) est fausse,
    Bonne nuit
  • Une preuve n'est pas une suite d'affirmation dont aucune n'est fausse. Encore moins dont on ne peut pas prouver la fausseté.
  • Et donc, je reaffirmes que la formule que je t'ai citée, qui se trouve être la première citée dans ton message initial et pas encore modifiée à l'heure actuelle ne produit aucun nombre impair.

    Et j'affirme aussi que la formule située trois lignes plus bas dans le même message et censée être une simple retranscription contient au moins une différence avec la première occurrence, toujours à l'heure actuelle.

    Au passage, je reprend la plupart des fils auxquels je finis par participer de manière séquentielle, désolé si cela semble particulier.

    [Édit : des modifications ont encore été apportées au message initial, les remarques de ce message-ci sont levées].

    Cherche livres et objets du domaine mathématique :

    Intégraphes, règles log et calculateurs électromécaniques.

  • Bonjour,

    Désolé de vous déranger, mais je suis nouveau sur ce genre de sujet et je ne comprends pas tout, par exemple
    Tout nombre impair est égal à ((3.n-2).22.k-1 -1)/3 ou à ((3.n-1).22k-1)/3 pour certaines valeurs de n n et k de 1 à l'infini.

    est-ce qu'il s'agit bien de $\frac{(3.n-2).2^{2.k-1} -1}{3}$ ou à $\frac{(3.n-1).2^{2k}-1}{3}$, si oui, et sauf erreur de ma part, quelle est la signification de "impair" pour des nombres non entiers ?
  • Merci Médiat.

    Il s'agit exactement de cela.

    Cherche livres et objets du domaine mathématique :

    Intégraphes, règles log et calculateurs électromécaniques.

  • Dreamer : pour le coup accordons-lui que ce n'était qu'une faute de frappe, il a inversé les puissances de 2 entre les deux formules. Gardons au moins la seule chose juste de sa "preuve".
  • Riemann_lapins_cretins, Médiat est arrivé à la même conclusion : cette formule ne donne aucun impair, contrairement à ce qui a été pompeusement annoncé.

    Et pour l'intervertion des exposants, elle continue après les deux occurrences citées.

    Pour quelqu'un qui est sûr de son fait et qui a déjà modifié 5 fois son message (et sans garder trace des coquilles, par dessus le marché).

    Bonne continuation.

    [Édit : Le message initial a été modifié une sixième fois, toujours sans conserver les coquilles.]

    Cherche livres et objets du domaine mathématique :

    Intégraphes, règles log et calculateurs électromécaniques.

  • Bonjour,

    Modifier ainsi un message après qu'il y ait eu des réponses est la preuve d'une impolitesse et d'une incorrection crasses, c'est d'ailleurs proscrit ici. Quand on veut corriger, on écrit un nouveau message.

    Cordialement,

    Rescassol
  • Riemann_lapins_cretins écrivait : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?43,2237504,2240754#msg-2240754
    [Inutile de recopier un message présent sur le forum. Un lien suffit. AD]

    Ce n'est pas une bonne façon de commencer une démonstration, mais ensuite il est écrit :
    Tous les nombres impairs de la forme ((3.n-2).22.k -1)/3, n entier positif impair et k de 1 à l'infini ont un successeur unique impair dans une suite de Collatz = 3.n-2.
    Tous les nombres impairs de la forme ((3.n-1).22k-1-1)/3, n entier positif pair et k de 1 à l'infini ont un successeur unique impair dans une suite de Collatz = 3.n-1.

    Que se passe-t-il pour des nombres comme 5, 9 etc qui peuvent s'écrire des 2 façons ?
  • On est d'accord que la suite est du baratin injustifié porté par un "donc" qui tente de faire illusion sur l'absence de raisonnement, mais modulo l'inversion des puissances et le manque d'assurance en ses propres formules, les expressions me semblent juste.
  • Bonsoir Médiat

    Tu poses la question que se passe t'il pour 5 et 9 qui peuvent s'écrire des 2 façons, en fait les prédécesseurs possibles de 5 s'écrivent ((5.22.k-1-1)/3 et 9 n'a pas de prédécesseur possible car AUCUN nombre impair multiple de trois ne peut avoir de prédécesseur impair possible mais 9 est égal à (7*4-1)/3=9 et a donc pour successeur 7 si il est le premier terme d'une suite de Collatz ou sinon 9.2k
    Je te signale qu'il n'est question que de nombres entiers positifs non nul qui sont les sujets du débat.
  • Du coup ce que vous écrivez au message 1 ne prend pas en compte ces nouvelles considérations et ne peut être une démonstration valide !
  • Bonsoir Médiat

    Depuis quand une démonstration nécessite de citer toutes les évidences?
    Une preuve nécessite des explications en rapport au sujet en question et inclus la connaissance du sujet par ceux qui examinent la preuve, une preuve ne peut être déclarée fausse que si une des affirmations est fausse ou non en conformité avec ce qui est connu comme irréfutable, c'est ce que j'ai appris de mes profs et je respecte ce qu'ils m'ont appris.
Cette discussion a été fermée.