Agreg Int 2016 Ep1

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Réponses

  • Bonjour,

    Je suis entièrement d'accord avec Gérard.

    Cordialement,

    Rescassol
  • Bonjour à tous
    Je ne sais pas pour quelle raison la première épreuve de l'agrégation interne fait toujours débat, l'année passée c'était la commutativité d'un corps et cette année sa difficulté et son originalité.
    N'est-il pas judicieux de supprimer cette épreuve et ne garder que la deuxième? Ça va certainement faire couler moins d'encre!!!;-)
    Ps: je respecte les avis de tout le monde

    Cordialement
  • Disons que quand on regarde le programme d'algèbre, on se demande pourquoi on tombe à côté dans cette épreuve.

    Algèbre linéaire, algèbre bilinéaire, arithmétique, géométrie affine...

    Ceux qui se replongent dans ces domaines (de base, certes) râlent alors, quand "rien" ne tombe.
  • @remi, pour ne pas polluer le fil, je t'ai répondu dans "vie du forum": http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?32,1209283,1209283#msg-1209283
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • A propos du débat :

    Je ne connais pas le passif entre Christophe et Gérard, mais à lire CE sujet (uniquement), j'ai tout de même eu l'impression d'une brutale agression de Gérard envers Christophe qui n'avait pas lieu d'être ! Enfin bon ... je pense que ce débat s'enlise et je vous propose d'en finir ! (Même si j'ai plein d'idée que j'aimerais partager !!! mdr)

    A propos de l'épreuve 1 :

    C'est la première fois que je passe l'agreg interne (je suis un petit jeune ;-) ) et je n'ai aucun recul sur ce qu'il faut faire (en quantité) pour, disons, être dans un premier temps, admissible.

    Je suis relativement satisfait de ce que j'ai fait même si jme fait pas trop de faux espoirs !

    Parmi ceux qui ont plus d'expérience, pouvez vous m'indiquer votre quantité de questions traitées par exemple? Et ce que ça devrait donner comme résultat ! (Ah ah j'en demande trop !! Je sais que ça dépend bcp de ce que font les autres)

    Je pense que parmi vous, certains ont été plusieurs fois admissible, ou proche, et donc que vous commencez à savoir la quantité à fournir non?

    En tout cas, tous ceux qui ont des avis ... n'hésitez pas à partager !

    Je lance LE MEME message dans la discussion consacrée à l'épreuve 2.
  • @ev merci pour le lien au fait ;-)
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Du temps où on avait 5 ou 6 parties par épreuve (comme dans celle-là), il suffisait de traiter la première parfaitement (sauf une ou deux questions) et un peu la seconde, dans chaque épreuve pour être tranquillement admissible.

    De mémoire, environ 5 copies par épreuve (mais j'ai toujours voulu rédiger en détail, ce qui n'est pas tout à fait le profil du bon candidat).
  • Dom : pas trop d'accord avec toi pour cette épreuve. La partie I était à mon avis suffisamment abordable pour que beaucoup de candidats l'aient traitée correctement. Bien traiter la partie II devrait permettre d'être admissible. Et pas sûr que beaucoup de candidats soient allés dans la partie IV.
  • En effet, 5 questions par partie, ça fait pas lourd.
    Cependant, le jury va massacrer les raisonnements "on voit que", les "donc" intempestifs etc. dans la partie I.
    Tu as sûrement raison : les deux premières parties réalisées donnent l'admissibilité.
    Je parierais quand même pour la première parfaite et quelques questions de la II (mais seulement pour avoir raison hein ;-)).
  • De toutes façons, c'est toujours assez difficile de s'auto-évaluer, alors en quantité. Beaucoup pensent avoir mieux réussi une épreuve et ont finalement une meilleure note dans l'autre !

    Plus qu'à attendre fin mars ! (et bosser les oraux accessoirement...)
  • Voilà.
    Les copies sont rendues.
    Les oraux, pas encore.

    Au boulot !
    Au pire, ça prepare avec aisance l'année prochaine.
    Allez, on bosse.
  • Merci pour les infos, si d'autres personnes ont des avis à donner, n'hésitez pas.
  • Question 10. a) si x et y ont même norme alors il existe une isométrie envoyant x sur y. Pour vous ça s'affirme directement ou bien il vaut mieux démontrer proprement en exhibant une isométrie qui convient (i.e rotation dans le plan vect(x,y) et identité sur un supplémentaire) ?
  • Bonjour vik

    Une symétrie orthogonale par rapport à l'hyperplan médiateur de $x$ et $y$ ?

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • tu rédiges ça comment ?
    juste "on sait que la symétrie orthogonale par rapport à l'hyperplan médiateur de x et y envoie x sur y"
    ou bien tu détailles, équation de l'hyperplan et écriture de la symétrie voire matrice dans une base adaptée ?
  • Le point $O$ appartient à l'hyperplan médiateur de $x$ et $y$ puisque $\Vert x \Vert = \Vert y \Vert $. Donc l'hyperplan médiateur de $x$ et $y$ est un sous-espace vectoriel de $\R^n$, donc la symétrie orthogonale par rapport à l'hyperplan médiateur de$x$ et $y$ est une isométrie vectorielle de $\R^n$.

    Maintenant, on est entre nous, je peux encore détailler. Sinon je pense avoir écrit les idées essentielles et je passe à autre chose. Tu m'aurais dit "c'est la première question qui apparait sur ma copie", j'aurais baratiné chouia plus, mais à la dixième je ne vois pas l'intérêt.

    Et toi ?

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • ou bien tu détailles, équation de l'hyperplan et écriture de la symétrie voire matrice dans une base adaptée ?

    Tout dépend comment est formulée la question. Si c'est "démontrer qu'il existe une isométrie qui envoie $x$ sur $y$", tu le démontres "vraiment" bien (comme à quelqu'un qui n'est pas au courant!)

    1) soit $m$ le milieu de $[xy]$

    2) montrons que la symétrie centrale par rapport à $m$ ***est une isométrie: blabla

    3) montrons qu'elle envoie $x$ sur $y$: blabla

    *** tu précises : elle est définie par $\forall u,v$ si $s(u)=v$ alors $m$ est le milieu de $[uv]$
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • @ev: autant prendre une symétrie centrale
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Bonjour Christophe.

    Tu es sûr que ta symétrie centrale va conserver $B(O,1)$ ?

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • je n'avais pas vu que c'était demandé, je surveille le BB, j'ai juste lu
    si x et y ont même norme alors il existe une isométrie envoyant x sur y
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • OK merci.
    C'est pour voir un peu jusqu'à quel point il faut être précis. Effectivement la fait que ce soit la question 10. permet peut-être d'être moins détaillé qu'à la 1.

    Personnellement j'aurais probablement rédigé avec le même niveau de concision.
  • Ouf, ça me rassure, j'ai rédigé un peu rapidement cette question. Idem pour l'expression avec le produit scalaire, j'ai utilisé le théorème de changement de base dans une intégrale sans trop justifier, je vais être pénalisé, je pense.
  • Bon courage à tous pour la suite.
  • Avec "tes conneries" tu vas annuler l'épreuve !!!!!

    [small]C'est de l'humour hein, j'ai bien mis le gros mot entre guillemets ;-)[/small]


    Rectification. La modération saura pourquoi ;-)
  • Bonjour,

    J'ai un doute et je ne trouve aucune réponse à ce sujet sur internet

    Question 11 a : il me semble qu'il fallait parler du fait qu'un polynôme ayant une infinité de racines est le polynôme nul.

    Rien de très passionnant, mais je ne sais pas pourquoi j'ai rajouté ... "dans un corps de caractéristiques nul", tandis qu'un collègue a mis "dans un corps non fini".

    Pouvez vous m'éclairer : est-ce qu'une de ces 2 hypothèses est nécessaire? Si non, avec quoi je confonds ?? Je n'arrive pas à conclure !
  • Ni l'un ni l'autre. Je demande à voir une infinité de racines dans un corps fini.

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • D'accord, avec quoi je confonds? Avec un anneau, quelles sont les conditions?
  • Tu confonds avec : "Si une fonction polynôme est nulle, alors le polynôme est nul."
    Cette proposition n'est vraie que dans le cas d'un corps infini.

    Il s'agit bien entendu de polynômes et fonctions polynômes en une variable.

    e.v.
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • Christophe C : "Il est bien évident que le rôle de la mémoire est inextricable du reste. Mais le fait est que par définition, quand les gens veulent "mesurer" (même à l'arrache) un niveau de maths, précisément un niveau d'inspiration, en théorie (c'est à dire s'ils étaient télépathes); ils souhaitent écarter ce que la personne réussit parce qu'elle l'a appris (puisque ces derniers items n'attestent pas d'inspiration)"

    Je suis tout à fait d'accord avec cela, et (désolé c'est un peu HS) on pourrait aussi ajouter que c'est l'enseignement à la fac ( car on parle d'agrégation ) qui est comme cela. La majorité des sujets d'examens sont des copiés collés de ce qui a été fait en TD, et on tue alors tout envie de compréhension pour l'étudiant... Un point critique par exemple : cette semaine les agrégatifs ont tous râlé sur un examen passé en classe car trop difficile, voilà le résultat de l'enseignement ( pour info c'était le sujet 1989).

    J'ajoute mon grain de sel car comme je suis étudiant, j'estime important qu'on oublie pas de remettre en question l'enseignement et les enseignants (et non toujours les élèves).
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