Conseils préparation express - Agreg externe

Bonjour à tous,

A ma surprise, je suis admissible à l'agrégation externe. \o/
(Je n'ai fait que les exercices préliminaires de MG, je n'y croyais pas trop).

Je suis à la recherche de conseils pour une préparation express ! (Entre 1 mois et 1 mois et demi selon la date de mes oraux).

1) Vaut-il mieux se concentrer sur les développements ou sur les plans ?
J'ai l'impression qu'un plan bancal et un développement maîtrisé sont plus valorisant que le contraire ?

2) Je passe l'option D (j'ai une formation en informatique theorique à la base). Vaut-il mieux que je me concentre uniquement sur les leçons d'info (qui me seront utiles en modelisation) et que je prépare à minima les leçons de maths ?
(Si j'ai 13/14 sur ces deux épreuves info/modé, un 5 suffit en maths je pense).

3) Tout autre conseil vous semblant le bienvenu pour cette préparation très courte !

Merci d'avance !
FB

Réponses

  • Hello,

    premier conseil : éplucher le rapport du jury.
  • C'est prévu, merci !
    Je l'ai déjà parcouru par le passé.
    Mais pour etre sûr, je l'ai fait imprimer/relier hier après midi : je suis sûr de l'avoir avec moi le jour J.

    FB
  • Pour avoir également passé l'agrégation avec une préparation minimale (pas l'option D par contre) le premier conseil c'est d'avoir la main heureuse le jour du tirage du sujet :-D Mes autres conseils portent sur la leçon de math.

    Je te conseillerai de te concentrer sur les développements et moins sur les plans. Le plan tu peux le recopier d'un bouquin et tu as le droit au plan que tu as écris lors de l'oral. Par contre tu dois être capable de comprendre et restituer 2 développements de 15 minutes par cœur (sans notes) le jour de l'oral. Apprendre 2 développements pendant les 3h de préparation n'est pas raisonnable (je parle d’expérience 8-)).

    Pour les plans il faut que tu réfléchisses, pour chaque leçon, à quel(s) livres(s) tu vas utiliser pour construire le plan. La partie difficile étant d'avoir un plan d'un niveau suffisant et dont tu maîtrises tout ce qui est présenté. Des fois ce n'est pas possible et il faut alors essayer d'avoir un minimum de chose que l'on ne maîtrise pas.

    Pour les développements il faut essayer de travailler de façon efficace, prend des développements qui se recasent (pas trop artificiellement) dans plusieurs leçons ou des développement que tu connais déjà plus ou moins. Tu trouveras sur internet des flopées de compilations de développement et de livres à utiliser faites par des agregatifs pour t'aider. Encore une fois, attention aux livres et développements trop difficiles.
  • Si tu y vas léger et court vêtu, il te faudra effectivement de la chance au tirage.
    Moi je pars du principe que si j'essaie de trop en faire, tout va être friable, bancal, et je serai très vite mis en échec dès les premières questions. Donc je prendrais les livres qui me sont les plus familiers, je ferais un rapide bilan des leçons qui me parlent le plus, et pour lesquelles j'aurais peut-être déjà un développement. Puis je trouve deux développements qui sont dans mes bouquins.
    Par exemple, poufpouf: 230 : Séries de nombres réels ou complexes. Comportement des restes ou des sommes partielles des séries numériques. Exemples.
    Je lis attentivement le rapport du jury,
    en développement, je mettrais les relations $O$, $o$ et $\sim$ sur les restes et les sommes partielles, et puis $(l^2(\R), \Vert\cdot\Vert_2)$ est un espace de Hilbert. Abel angulaire, c'est sympa aussi.
    Il faut que tu maîtrises la leçon choisie, parce qu'en trois heures, tu devras écrire deux ou trois pages, et ce ne sera pas le moment d'avoir des doutes.

    Il reste un mois de travail, en ce qui me concerne, ce "plan" me permettrait d'avoir maximum 8 développements, donc c'est léger. Si je tombe sur un, super, ça va être un bon entraînement et pourquoi pas une bonne note, sinon, comme je n'ai pas préparé grand chose, ça me motivera pour la prochaine tentative.

    Bonne chance.
  • J'en profite pour faire remonter un fil de discussion datant de l'an dernier sur le même thème : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,1654626,1677608

    Je suis dans la même situation que toi : je suis allé aux écrits "pour voir" (un grand classique) et je me retrouve admissible. J'étais assez content d'être resté pendant toute la durée des épreuves écrites (je pensais franchement sortir au bout d'une heure) et d'avoir trouvé des choses à dire. J'ai cependant eu l'impression de "subir" les différents sujets, la moitié (au moins !) des questions portaient sur des notions dont je n'avais jamais entendu parler ou presque, je ne comprenais pas comment s'articulait le sujet ni l'enchaînement des questions. Bref, effet tunnel au maximum.

    Comme je suis stagiaire cette année je n'ai rien préparé du tout pour les oraux, je me reconnais donc bien dans le titre du fil ci-dessus : "6 semaines pour éviter l'humiliation" :D (même si c'est une humiliation auto-infligée)
  • Si je peux me permettre un petit conseil en plus : essayez de ne pas voir ça comme une humiliation. C'est facile à dire, je sais, mais le jury a pleinement conscience qu'avec une barre d'admissibilité à 5, ils auront devant eux des personnes qui n'ont pas le niveau, qui ne sont pas préparées. Ils resteront bienveillants et compréhensifs, ce qui ne les empêchera pas de donner une note très basse bien sur si c'est mérité. Mais jamais ils ne vont vous humilier pendant l'épreuve.
    Je suis passée dans ces conditions l'an dernier, avec un oral d'algèbre proprement catastrophique. C'est éprouvant nerveusement, mais le jury est resté très pro, très bienveillant quoi.
    Donc on peut avoir honte de son manque de connaissances, mais il faut aussi rester conscient que les notions demandées ne peuvent pas être acquises sans un travail réel et d'assez longue haleine. Il n'y a donc au final aucune honte à ne pas les maitriser si on n'a pas pu les travailler.
  • Merci ainah de ce retour. Je vais donc me permettre de te poser une question : que faire quand on se retrouve sur un couplage qu'on a pas du tout travaillé ? Et quand je dis "pas du tout", je veux dire aucune idée de leçon, à la limite on ne connaît même pas les notions sous-jacentes, aucune idée de développement, etc. Les 20 minutes d'oral en solo doivent paraître bien longues, non ? C'est ce que j'appréhende le plus : comment faire passer ces 20 minutes (et a fortiori une heure entière) quand on a strictement rien à dire ?
  • Rougemaire c'est exactement ce qui s'est passé pour moi en algèbre. Je n'avais strictement aucune idée de plan ou de développements à proposer. J'avais juste envie de sortir à ce moment et de dire "bah...tant pis". Ce n'est pas si facile (voire même c'est franchement terrifiant) de se présenter face à des personnes compétentes, pour leur parler d'un sujet qu'on ne maitrise absolument pas.
    J'ai quand même passé mon épreuve. J'ai fouiné dans la bibliothèque de l'agrégation, j'ai pris des livres qui me semblaient coller, j'ai copié leurs plans sur la question, j'ai essayé de trouver 2 exercices pas immédiats dans les livres "oraux X ENS", qui sont une mine d'or au passage. Et voila. L'oral a été catastrophique, comme attendu. La note également, sans surprise. C'est un très mauvais moment à passer, et ça a été très dur de se motiver à passer quand même celui du lendemain (le cerveau n'a pas spécialement envie de réitérer les mauvaises expériences). Mais ça se passe.
    On expose son plan, on essaye de présenter son développement, et après, le jury adapte ses questions au niveau du candidat.
  • Bonjour,
    Alors un petit conseil tout simple: assurez-vous de maîtriser les calculs "simples" attendus d'un étudiant moyen de niveau sup-spé-L2. Une leçon sur les séries sans savoir faire une comparaison série-intégrale effective ou calculer une valeur approchée de la somme ça marque mal! Idem pour des réduction de matrices en petite dimension, un pivot de Gauss que l'on ne sait pas interpréter en terme de rang d'une matrice/détermination de l'image, des changements de variables simples dans les intégrales, Wallis, interpolation de Lagrange,etc
    Effectivement le délai est court, l'idéal étant de déterminer des exemples "transversaux" à maîtriser et utilisables dans plusieurs leçons. Comme signalé supra, le facteur chance entre en jeu mais il faut y aller avec optimisme et humilité!
    Bon courage
    Vincent
    PS: il faut beaucoup de malchance pour tirer deux mauvais sujets (bon ça peut arriver ;-)) à une épreuve d'oral.
  • Vincent83 a écrit:
    Il faut beaucoup de malchance pour tirer deux mauvais sujets
    Oui, enfin, $0{,}9^2>0{,}8$ tout de même.
  • Je dirais que cette malchance dépend beaucoup du nombre de leçons vaguement maîtrisées par rapport au nombre total de leçons B-)
  • Je profite de ce sujet pour demander si certains savent s'il est possible de se désister pour les oraux ? Parce que j'ai également fini admissible (si la barre est à 40 c'est moi qui ai dû l'avoir) sauf que je n'y comptais pas vraiment. Et presque par respect pour les jurys je me vois mal me présenter avec rien à dire aux oraux !
  • Noveang: il me semble que tu as le droit de ne pas t'y présenter et que tu conserves ton admissibilité (qui ne sert plus à rien de nos jours). Personnellement, je conseille d'y aller pour s'entraîner dans les conditions réelles et puis le jury est plutôt bienveillant. Prends quelques livres de plans tout fait au pire...
  • @Noveang. Tu peux simplement ne pas y aller, et éventuellement changer d'avis au dernier moment. Tu peux signaler sur le site du jury, dès que tu auras ta convocation, que tu ne te présenteras pas, ce qui permet au jury d'éventuellement changer les créneaux d'un autre candidat, et tu pourras quand-même changer d'avis.
    Bye.
  • Attention, de là à dire que le jury n'est pas humiliant, je ne suis pas d'accord: j'étais aux oraux l'année dernière, en tant que candidat, j'ai entendu un membre du jury agacé glisser à sa voisine "il comprend rien". Certes en chuchotant, mais je l'ai entendu... (le tableau n'est pas très loin des membres du jury...)
  • Pourquoi une barre aussi basse à ce concours?

    J'ai eu trois fois les écrits, dont deux très limite.
    Je suis allé aux oraux deux fois alors que je n'avais pratiquement aucune chance.


    Après, oui il y a le discours "Allez aux oraux, on sait jamais!"

    Je trouve le conseil d'aller lire les rapports très pertinent, et par la même occasion ne pas oublier de s'attarder sur les statistiques sur l'origine des admissibles et des admis (étudiants, sans emploie, certifiés...).
    Beaucoup d'admissibles certifiés pour très peu d'admis, et pour en avoir connu, ce sont surtout des stagiaires et néo-titulaires ayant fait une prépa agreg et ayant raté de peu le concours. C'est un concours qui se prépare à plein temps.
    En effet on ne sait jamais, allez jouer au loto aussi tant que vous y êtes...
    Après oui c'est une expérience, et une préparation pour l'interne.

    Personnellement un déplacement et un logement à Paris me coûtent dans les 400 à 500 € pour passer les trois oraux, d'où ma non présence la troisième fois.
  • Elb : la barre d'admissibilité n'est pas si basse quand on la compare à celle d'admission (qui est aux alentours de 8-8.5). De plus, chaque année des candidats ayant eu une note très proche de la barre d'admissibilité se retrouvent admis.
  • Petit Mathématicien

    Le "il comprend rien" ça reste non intentionnel, le but n'était clairement pas que tu l'entendes.
    Je pense avoir à plusieurs reprise agacé des membres du jury, de la même manière que certains de mes élèves m'agacent parfois. On essaie de ne pas le montrer, mais cela se ressent parfois.

    Dans l'ensemble pour avoir fait plusieurs oraux (2 fois capes, 2 fois agreg externe et 2 fois interne) je trouve que les consignes de bienveillance ont été très bien suivies.
    Sauf pour la première fois que j'ai passé le Capes en 2005 juste pour voir, où un membre du jury se payait ouvertement ma tronche, les autres étaient gênés. Autre temps autre mœurs on va dire.
  • Corto

    Tu n'as pas tort.
    Mais ce concours me semble officieusement avoir vocation à recruter des étudiants.
    Dans ce cas je trouverai intéressant que les écrits soient bien plus difficiles pour les certifiés. On peut imaginer des écrits d'un niveau clairement M1 dès les premières parties.
  • Pour revenir à la question initiale, j'ai essayé de réfléchir à un plan d'attaque ce matin :
    - comme j'ai pris option A, je vais essayer de commencer par m'améliorer (ou me remettre à niveau, selon comment on veut le voir) en probas, d'une part dans l'espoir de ne pas être ridicule à l'épreuve de modélisation et d'autre part au cas où je tombe sur une leçon de probas à l'oral d'analyse
    - lire le livre "Objectif Agrégation" pour essayer d'avoir un minimum de culture générale, mieux cerner l'aspect transversal du concours et identifier les leçons à préparer pour lesquelles je serai le plus efficace
    - essayer de préparer (ne serait-ce que vaguement) 10 leçons pour chaque oral (cela me semble déjà énorme voire irréaliste) et croiser les doigts
  • D'ailleurs je m'étais fait la réflexion en discutant avec un collègue thésard qui avait réussi l'agrégation externe et qui avait arrêté après l'année de stage. Est-ce que l'agrégation en elle-même n'est pas un peu hors sujet quand on voit l'exigence attendue des candidats et le niveau d'enseignement que les admis doivent assurer derrière ? Que ce que je dis ne soit pas pris pour de la provocation, c'est une réflexion personnelle sur l'utilisation des agrégés par l'éducation nationale qui me semble un peu sous-optimale.
  • Merci de rester dans le sujet, ou alors en créer un autre...

    Nous sommes là pour discuter de stratégie de préparation aux oraux, pas pour un n-ième débat sur l’utilité de l’agrégation.
  • Oui pardon, ça dérive un peu trop dangereusement là !
  • Ce n'était pas l'objet de ta première intervention non plus...

    Pour la stratégie concernant les deux premiers oraux: Assimiler et s'approprier le plus de développements possible.
    Il faut en trouver de son niveau bien évidemment et vu le bref délais de temps, les plus transversaux possibles.
    Puis croiser les doigts au tirage.
    Si les développements sont connus ça libère une grosse charge de travail et de stress lors des trois heures de préparations.

    Pour la troisième épreuve, n'ayant jamais dépassé 3/20 je m'abstiens de tous conseils.
  • Bonjour,

    il reste la prière :)
  • Bonjour,
    même si la probabilité de réussite est très faible, aller aux oraux te forcera à les bosser, et ce travail sera utile l'an prochain.
    Quand aux jurys, cela a bien changé depuis que j'ai passé le Capes la première fois (1995, je l'ai obtenu en 1996).
    On était presque au pic de candidats (7-8000 pour 1300 reçus), et le niveau ne devait pas être si nul que ça.
    Je me suis pris cette réflexion dans les dents:
    "mais enfin, vous avez bien quelques connaissances en analyse".

    les jurys actuels (je parle pour l'agrégation interne) sont dans leur grande majorité très bienveillants, et on n'a pas l'impression en sortant de n'être qu'une ..... comme à cette époque.
  • Bonjour,
    Encore un conseil, si je peux me permettre : si tu décides d'aller aux oraux, même si tu tires un couplage atroce, même si c'est le dernier oral, va jusqu'au bout. Lorsque j'ai assisté à des oraux, j'ai vu un jour une candidate passer sur un sujet qu'elle ne maîtrisait absolument pas et s'arrêter au bout de 3 minutes de présentation de son unique développement. Le jury est resté, une fois encore, très bienveillant et lui a posé des questions et petits exercices jusqu'à la fin du temps imparti, et cela l'a progressivement (re)mise en confiance puisqu'elle s'est rendue compte qu'elle savait quand même des choses sur le sujet. Je ne doute pas qu'elle ait eu une mauvaise note mais je parierais qu'elle est sortie de l'oral plus motivée qu'elle n'y était entrée.
    Donc même dans le pire cas où on a absolument rien à dire, aller à l'oral constitue un bon entraînement et le jury ne t'humiliera pas ni ne laissera 15 minutes de blanc sans intervenir si tu sèches sur ton développement.
  • Salut

    Je te conseille d'apprendre un cours maximum de développements rentables (qu'on peut mettre dans le max de leçons)
    C'est ce que j'avais fait et finalement, en cherchant à apprendre /comprendre un développement, je faisais des maths. Je l'ai en revisant tout en continuant à aller en cours au lycée, juste sur un petit mois. Il faut juste faire le maximum et ça peut passer
  • Bonjour à tous,

    Merci pour vos réponses et conseils !
    Je compte évidemment me présenter à Lille : la question ne se pose même pas. Et évidemment que j'irai aux 3 oraux, quelque soit ma prestation sur les premiers oraux !
    Peu importe si je me prends une rouste, c'est de l'apprentissage pour la suite, ce ne sera que bénéfique. :-)

    Pour reprendre l'idée de mon post initial : comment augmenter mes chances de réussite ?
    Pour ma première question, j'ai bien compris qu'il fallait bien plus se concentrer sur les développements que sur les plans. C'est noté et ce sera appliqué dans ces 6 semaines qui me séparent de l'oral.

    Je vais tenter de reformuler ma deuxième question.
    Est-il pensable de ne réviser/apprendre que des développements informatique, et ne rien préparer en maths, pour tout jouer sur les épreuves d'informatique et de modélisation ? Ou bien est-ce une stratégie suicidaire ?

    Merci,
    FB
  • Si c'est au point d'avoir zéro développement en algèbre et zéro développement en analyse, tu auras du mal à en préparer ne serait-ce qu'un seul durant les préparations. En revanche, en informatique, comme tu as le choix entre deux textes qui sont très riches (en probabilités c'est sûr, j'imagine que c'est pareil pour les autres options) tu dois pouvoir y recaser une partie de ce que tu auras fait dans ces six semaines, et donc par la suite un avis sur ton travail.
    Perso, à y aller, je tenterais le coup de bol, et je préparerais des développements pour chaque oral. Si en plus tu es à l'aise à l'oral, tu peux t'en sortir honorablement voire réussir l'épreuve informatique avec peu de programmation.
    Bonne chance.
  • Bonjour moi aussi je suis dans le même cas.
    J'ai voulu préparer depuis septembre mais le stress de ma situation perso, beaucoup de charges de cours, la famille...
    Je pense être aussi à la barre des 5/20 pour les écrits, ayant fait quasiment (et super proprement) mais pas totalement la partie 1 de chaque sujet... qui en comportait 5 ! 20 divisé par 5 ça fait 4 non ? Donc logiquement je devrais être à 3,5 sur 20...
    pour l'oral j'avoue que c'est dur de préparer en si peu de temps... dur dur.. et il y a des leçons où je n'ai aucune connaissance... je ne maîtrise rien en analyse complexe.. et bien d'autres.
    M
    a stratégie à moi pour faire au mieux, va être de me placer à un niveau prépa, que je maîtrise bien, et de lancer quelques développements plus poussés sur des terrains où je suis à l'aise. Et après je laisserai faire les questions.
    I
    l est vrai que c'est moralement difficile de se présenter à un jury en se sentant très loin du niveau requis. Après, s'il mettent si bas la barre de l'écrit, c'est aussi un choix qu'ils font ; peut-être pourrait-on dire qu'ils privilégient la qualité pédagogique, plus que le bagage mathématique poussé ? Dans ce cas il reste une possibilité de ne pas être trop idiot à l'oral.
  • Elodouwen a écrit:
    ayant fait quasiment (et super proprement) mais pas totalement la partie 1 de chaque sujet... qui en comportait 5 ! 20 divisé par 5 ça fait 4 non ?
    Non !!
    C'est une épreuve de concours, donc pas notée sur 20. l'année où j'ai passé l'agreg interne, on pouvait avoir 20 en faisant les deux premières parties sur 3.

    Cordialement.
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