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Réponses

  • Oui Laurette, on peut faire des PGCD même si ce n’est pas au programme.
    Par contre « il faut savoir que ce n’est pas au programme ».

    Tu as bien résumé : cours trop difficile, notes trop basses, incitation à remonter tout ça.
    Du côté d’en haut, on ne s’acharne pas à savoir si les gamins savent des trucs. L’important est la gestion de classe (pas de vague ?), la gestion des parents (pas de moyenne trop basse). Si en plus tu pouvais cocher les cases travail en groupes pour les élèves et travail en commun avec les autres professeurs ce serait pas mal.
  • "Ca fait dix ans, un copain me confiait que des chaises atterrissaient dans la cours."

    J'ai été dans un des pires collèges de l'académie de Créteil (2,9/20 de moyenne au brevet, 2 élèves sur 120 qui ont eu plus la moyenne - i.e. 52/100 et 59/100) mais je n'ai jamais vu de chaises voler dans la cour, ni en cours, ni ailleurs.
    Il faut peut-être arrêter les fantasmes.
  • SchumiSutil écrivait :
    > je n'ai jamais vu de chaises voler dans la cour, ni en cours, ni ailleurs.
    > Il faut peut-être arrêter les fantasmes.

    Ce n'est pas forcément un fantasme ; j'étais en stage dans un bon collège parisien, il y avait aussi une stagiaire en musique, un jour les élèves ont réussi à lui voler le tabouret de piano et à le balancer dans la cour depuis la galerie du 2ème ou 3ème étage, je ne me souviens plus (pas de couloirs, juste des galeries extérieures dans ce collège ; très adapté au climat parisien !). Heureusement il n'y a eu aucun blessé...
  • Oui, bien sûr que ça peut arriver. Enfin c'est pas le quotidien. Toutefois, le quotidien est usant en au moins dans certains REP/REP + (bruit permanent, insolences continues, niveau scolaire proche du néant pour la majorité, misère sociale et culturelle, etc)
  • Quand j'étais stagiaire, une néo-tit à Créteil était venue nous raconter sa vie de T1 : "Cette semaine, j'ai évité une chaise qui s'est écrasée contre le tableau". Ca nous a rassuré, juste avant d'avoir les résultats des mutations...
  • SchumiSutil :
    1) As-tu déjà vu une chaise passer par la fenêtre dans un établissement scolaire du secondaire ?
    Moi je l’ai vu. Et ce n’étais pas un fantasme. Bien entendu je ne l’ai pas vu beaucoup de fois. Je n’en fais pas l’évènement régulier de tous les jours.
    J’ai aussi vu des élèves assis sur le bord des fenêtres, les jambes à l’extérieur. 3e étage.

    2) Là, le témoignage que je décris n’est en aucun cas une caricature.
    C’était une semaine en immersion. L’un des deux stagiaires n’y est pas retourné le lendemain. Il s’est rendu dans son établissement d’affectation et a dit à son Chef d’établissement « je ne retourne pas là-bas. ».

    3) Dernière chose :
    Que dirais-tu si je te disais « pffff, les ardoises en 3e, le PGCD, et 90% réussissent ? Faut arrêter de rêver. C’est un mensonge éhonté » ?

    On a exactement les mêmes discussions avortées partout en France et sûrement ailleurs.
    Dès qu’on parle de zone de non-droit, « ça n’existe pas » (on l’a vu ici même sur ce forum), dès qu’on parle d’établissements où les cours ne se font pas, « ça n’existe pas », plein d’autres exemples existent mais ça politiserait la discussion.
    Un camp politique fait délibérément l’autruche (je ne parle pas de ceux qui sont sincères et qui ne voient rien).
    Au mieux il dit que le problème n’est pas là, et fuit en regardant ailleurs.
    Bravo. Rendons taboues toutes ces choses là. Après tout, si on retire tout ce qui dérange, tout va bien.
  • Pour en revenir au sujet, à savoir l’usage de la calculatrice, je suis d’accord avec Dom, il ne s’agit pas d’interdire bêtement et systématiquement l’usage de la calculatrice. Il s’agit de dire explicitement aux élèves à quel moment il est judicieux de s’en servir et à quel moment il faut absolument l’interdire. En clair, le professeur doit connaître toutes les possibilités de la calculatrice et déterminer, en fonction de ce qui est demandé à l’élève, si son usage est pertinent... ou pas!

    Le collègue de collège qui autoriserait la calculatrice pour faire calculer 1/2 + 1/3 aurait tort sur toute la ligne (et au lycée aussi d’ailleurs). En revanche, si, après avoir déjà testé les élèves dans une évaluation sans calculatrice sur la technique nécessaire à la somme de deux fractions, il donne un problème de la vie courante type brevet, là ça me choque déjà beaucoup moins qu’il laisse la calculatrice puisque l’objectif n’est plus la technique de calcul mais la compréhension du problème et l’usage raisonné de la calculatrice. L’objectif de la calculatrice est de se simplifier la vie sur des calculs trop techniques ou chronophages. Le souci principal est que certains collègues occultent la première phase : l’évaluation sans calculatrice sur des calculs simples et voient directement l’objectif du DNB où le but est la résolution de problème et où on l’autorise. Pour le DNB, ce n’est pas gênant. Pour la préparation au lycée, c’est dramatique. Et ce raisonnement est valable pour l’ensemble des bases calculatoires.

    Dom dira sans doute que je suis le prof Cador qu’ils ont alors connu puisqu’en Seconde je multiplie les évaluations courtes sans calculatrice. Je ne prétends pas sauver la planète : en revanche je prétends limiter le désastre auprès des élèves qui me sont confiés, ce qui est, après tout, le but de la mission d’enseignement qui m’est confié. Sinon pourquoi faire ce métier?
  • [small]Les axes pédagogiques du nouveau collège au Val Fourré : morceaux choisis (c'est moi qui mets en rouge) :

    Différenciation. Les classes disparaîtront au profit de groupes de référence multi-âge. Chaque élève évoluera à son rythme.
    Désir d’apprendre. Les pédagogies multiples viseront l’autonomie de l’élève. Les notes disparaîtront au profit d’une évaluation positive.
    Numérique. Importante mobilisation des dispositifs numériques.
    Ouvert sur la ville. Conçu par l’architecte Rudy Ricciotti – réalisateur du Musée des civilisations de l’Europe et de la Méditerranée à Marseille.

    Ce quartier a récemment fait parler de lui, cf. par exemple l'article du Point ci-dessous, sous-titré « Ce jeudi, une centaine de jeunes ont affronté la police au Val Fourré à Mantes-la-Jolie (25/10/2019). »

    Une jeunesse qui a développé sa musique à elle :
    [url= mélodieuse et paroles apaisantes[/url]
  • "le conseil départemental indique souhaiter « une pratique pédagogique innovante » permise par « la nature des locaux et leur configuration, par le mobilier et par l’accès au numérique ». Le Département s’est attaché pour cela les services de deux spécialistes de la pédagogie et auteurs d’ouvrages sur le sujet, Jérôme Saltet et André Giordan."
    Le président du conseil Département est Pierre Bédier (LR).
  • Le désir d'apprendre deviendra grand...
  • En effet, Badiste75, tu expliques assez bien un point de vue que je partage.

    Cordialement
  • Mon avis rejoint également celui de Badiste75. Il a mieux dit ce que je voulais dire.
  • Complètement d'accord. Quand j'étais en collège, on n'utilisait quasiment jamais (et certainement pas en évaluation) la calculatrice en 6ème-5ème. Elle n'arrivait qu'en 4ème, avec Pythagore et la trigo.
  • @biely c'est rigolo, les deux "experts" que tu indiques sont des sommités du pédagogisme, option thune et business.
    "J'appelle bourgeois quiconque pense bassement." Gustave Flaubert
  • Le collège du futur...93120
  • Bonjour,

    Tu peux traduire, Biely ?

    Cordialement,

    Rescassol
  • @Rescassol, il est écrit : "C'est un livre!". Et la caricature date de 2002.
  • xax écrivait : « Les deux "experts" que tu indiques sont des sommités du pédagogisme, option thune et business. »

  • On dirait presque une fiche bricolage du Professeur Choron, le talent en moins et les cheveux en plus.
    "J'appelle bourgeois quiconque pense bassement." Gustave Flaubert
  • @Rescassol deepl.com traduit bien les mots et les phrases simple russe français.
    Si tu es sous linux c'est très facile de changer de clavier, si tu as bonne mémoire aussi, sinon il y a des claviers virtuels avec les positions des lettres cyrilliques (qui sont très faciles à apprendre, un poil plus difficiles parfois à prononcer).
    "J'appelle bourgeois quiconque pense bassement." Gustave Flaubert
  • Bonjour,
    ça s'en va et ça revient.
    Mail des IPR et article sur eduscol :
    "À compter de la session 2020, la circulaire n° 2015-178 du 1er octobre 2015 relative à l'utilisation des calculatrices électroniques aux examens et concours de l'enseignement scolaire (baccalauréat, DNB, CAP, BEP, concours général....) est mise en œuvre.

    Cette réglementation s'applique aux épreuves communes de contrôle continu (E3C), au contrôle en cours de formation, ainsi qu'aux épreuves ponctuelles de tous les examens visés.

    Les candidats qui disposent d'une calculatrice avec mode examen devront l'activer le jour des épreuves et les calculatrices dépourvues de mémoire seront autorisées. Ainsi tous les candidats composeront sans aucun accès à des données préenregistrées par leurs soins pendant les épreuves.

    Toutes les académies, les corps d'inspections et les établissements ont été informés de cette décision."


    Je comprends que la session du bac cette année pour les terminales n'est pas concernée.
  • Pour moi, les épreuves de juin sont ponctuelles. Donc bon...
  • "...au contrôle en cours de formation..."

    Qu'est-ce que cela désigne ?

    Je lis aussi que c'est pour le DNB.

    Si j'en interprète bien le texte, les professeurs qui évaluent des 3e "en cours de formation" doivent scrupuleusement vérifier les calculatrices lors de toutes les évaluations.
    Non ?
  • Sinon, XCas ou Python, ça sert à quoi pour faire un sujet de bac ? Je n'ai toujours pas trouvé.
  • SchumiSutil : dans les sujets 0 des E3C, je crois qu'il y a du Python (comme il y a du Scratch au collège). A priori, ça devrait arriver pour les 1ère qui arrêtent la spécialité et pour les terminales l'an prochain (en 2021).
  • Oui, je sais. Tu as besoin de la calculatrice pour répondre aux questions posées ? L'exercice en question sur le sujet 0 est de niveau CM2.

    Edit : Je voulais dire dans mon message précédent "avoir XCas ou Python dans sa calculatrice"
  • Xcas doit être utile si on sait s'en servir.
  • Xcas pour des choses en calcul littéral ?
    Développer, factoriser, dériver, vérifier la valeur d’une intégrale, non ?
  • Je crains que les questions d'algorithmique ne se transforment en question de programmation en Python de maniere generalisee. C'est ce qu'on observe au CAPES et il me semble aussi dans certains sujets 0 de bac.
    Sinon, disposer de calcul formel c'est certainement utile pour verifier certains calculs au bac. Apres bien sur qu'un bon eleve peut s'en passer au bac, mais c'est surement moins vrai pour les concours ou examens du superieur lorsqu'ils autorisent les calculatrices.
    Mais ce n'est pas le debat, a partir du moment ou les calculatrices sont autorisees au bac, est-il judicieux d'activer un mode qui va favoriser les eleves qui peuvent se payer un modele haut de gamme alors que sans activation les eleves qui achetent judicieusement un modele 2 fois moins cher peuvent disposer des meme fonctionnalites?
  • Annoncez-vous à vos élèves actuels de terminale que le mode examen sera la règle ?

    Perso, je ne pense pas qu'ils soientt concernés mais en fait, je ne comprends pas les termes de la circulaire ... pas clair !
  • Même si ça suggère un coût colossal, la solution (pour le moment utopique) serait que le centre d’examen fournisse le matériel.
    Ça ne serait pas non plus la panacée car il faudrait que les candidats puissent se familiariser avec ce matériel.
    Là encore, certains auraient les moyens et d’autres pas.
    Aussi, une marque serait en position de monopole, etc.
  • Je ne crois pas un instant a la solution du matériel fourni par le centre d'examen, sans parler des problèmes de monopole et de coût, c'est juste trop compliqué à gérer.
    Du point de vue coût, l’idéal serait bien sûr d'arriver à ce que les constructeurs ne s'occupent que du hardware mais il ne faut pas rêver, le mieux qu'on puisse faire c'est de réunir les conditions qui permettent le maximum de concurrence entre constructeurs, en empêchant que Casio et TI stratifient l'offre et ne soient suivis par Numworks.
  • Bonjour
    Si on refait mode examen sur mode examen, ça vide la mémoire ?
  • Bonjour,

    non, cela rend la mémoire inaccessible, dans l'effacer.

    Cordialement,
    --
    Mathieu.
  • Peut-on mettre la calculatrice en mode examen plusieurs jours avant l'examen ?
  • Bonjour
    enrouement a écrit:
    Peut-on mettre la calculatrice en mode examen plusieurs jours avant l'examen ?

    Ce n'est pas conseillé,
    car les surveillants d'épreuve vont confisquer la calculatrice quelques minutes pour la mettre eux-même en mode examen.

    Cordialement,
    --
    Mathieu.
  • Techniquement, on peut mais j’ai cru voir que sur certains modèles, ça consomme beaucoup plus de batterie.
    Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about.
            -- Schnoebelen, Philippe
  • Question, car j'ai lu des choses contradictoires: qu'est-ce qui est vrai ?

    1) le passage en mode examen efface le contenu des mémoires
    2) le passage en mode examen cache le contenu des mémoires
    3) ça dépend des constructeurs
  • Bonjour Aléa,

    le mode examen rend provisoirement inaccessible les programmes et les mémoires stockées auparavant,
    mais il n'efface pas les contenus. Je ne crois pas que ceci varie selon les constructeurs.

    Cordialement,
  • Peut-on utiliser une calculatrice collège (sans mode examen) aux E3C ?
  • Bonjour enrouement
    enrouement a écrit:
    Peut-on utiliser une calculatrice collège (sans mode examen) aux E3C ?

    Oui.

    Le texte officiel est le suivant :
    https://eduscol.education.fr/cid126801/utilisation-de-la-calculatrice-aux-examens-pour-la-session-2020.html

    Cordialement,
  • @alea et mateo: en fait si, ca depend des constructeurs. Sur la Numworks, on perd les donnees utilisateur (mais il est vrai que ca ne represente pas grand chose).
  • Sur la Numworks, on peut au moins sauvegarder les scripts en Python sur la page ouèbe qui va bien mais on perd le reste.
    Sur Ti, on peut sauvegarder l’intégralité de la calculette avant mais il faut un outil de Ti qui ne tourne par exemple pas sous Linux. Les applications linuxiennes ne fonctionnent pas aussi bien (sauvegardes partielles).
    Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about.
            -- Schnoebelen, Philippe
  • Oui, mais il y a une grande difference: on ne peut actuellement pas sauvegarder des donnees de la Numworks sans passer par un serveur distant de chez Numworks, en utilisant un navigateur Internet compatible avec Chromium (Firefox ne marche pas par exemple) et une connexion Internet, alors qu'avec les autres constructeurs de calculatrice, on peut sauvegarder ses donnees sur son propre PC, sans avoir besoin de connexion Internet (c'est particulierement simple chez Casio ou il n'y a aucun logiciel proprietaire a installer: quand on connecte la calculatrice a l'ordinateur elle est vue comme une clef USB).

    Je trouve tres derangeant d'etre oblige de mettre mes donnees sur un serveur distant controle par une entreprise privee. Sans meme parler du fait que Numworks a acces a mes donnees, si Numworks a une gros probleme de serveur et sauvegarde (ou fait faillite), vous risquez de perdre toutes vos donnees. J'espere qu'on aura prochainement une solution de sauvegarde, d'abord dans la flash de la calculatrice (Damien Nicolet, qui a rendu possible le portage de Xcas sur Numworks y travaille), et aussi avec une solution locale sur son propre PC.
  • enrouement a écrit:
    Peut-on mettre la calculatrice en mode examen plusieurs jours avant l'examen ?

    C'est explicitement interdit afin d'éviter qu'on n'entre des données ou programmes à l'intérieur du mode examen avant l'épreuve. On en avait parlé "à l'époque".

  • Concrètement, comment fera le surveillant pour s'assurer que ce mode examen ne soit activé qu'au début de l'épreuve et pas avant?
  • Si le surveillant voit une calculatrice qui clignote avant qu'il n'ait demande aux candidats de passer en mode examen, il doit demander la reactivation du mode examen sur cette calculatrice, ce qui entraine un suivi individuel. Et bien sur, la reactivation comme l'activation est differente sur chaque modele, c'est une usine a gaz,
    je pense qu'il aurait ete beaucoup plus simple de demander que l'appui sur le bouton RESET ou RESTART active ou reactive automatiquement le mode examen sur tous les modeles.
    En plus cela ajoute de l'injustice entre candidats en terme de fonctionnalites. Pour le calcul formel, il y a ceux qui ont pu se payer une calculatrice CAS, ceux qui ont une Numworks N0110 ou on peut installer Xcas et le faire fonctionner en mode examen (mais pas sur les Numworks N0100), ceux qui ont une Casio Graph 90+e ou une Casio Graph 35eii ou le mode examen desactive l'acces a Xcas (j'ai contacte Casio pour leur signaler le probleme, mais pas de solution pour l'instant).
  • J'ai mis mes élèves en garde contre la tentation de la fraude au mode examen : Hack mode examen TI 83 premium.

    En effet, si un élève découvre cette vidéo la veille du baccalauréat, il risquerait de faire n'importe quoi sans avoir comparer l'avantage et le danger de profiter de cette faille.

    J'ignore si le cahier des charges du mode examen spécifiait un niveau de SIL défini dans norme CEI 61508 mais vraisemblablement je présume que non... Sinon TI aurait programmé en respectant les règles qui évitent ce genre de problème grossiers. Dommage pour l'Éducation Nationale.
  • Je n'ai jamais compris cette guéguerre des calculatrices. Pourquoi ne met-on pas à disposition du bachelier qui compose, une calculatrice disons standardisée, qu'il rend à la fin de l'épreuve, et qu'on interdise la calculette personnelle ?

    Tout le monde à la même sauce, pas de triche, avantages, .... (au moins du coté calculette)...

    Oui, il faut un tas de calculettes, mais il y a sans doute moyen de négocier avec des fournisseurs, car la calculette standard choisie (ou LES calculettes standard choisies) auront un plus sur le marché. Et une calculette, ça fonctionne pendant 10 - 15 ans. On parle donc d'un investissement de quelques millions d'Euros pour toute la France sur 10 - 15 ans.
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