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Agrégation externe docteur - Transidentité

Bonjour,

C'est un peu dans une profonde tristesse que je viens vers vous même si en faisant du patchwork de réponses diverses j'aurai pu construire ma réponse.

Je suis passionnée de mathématiques depuis l'âge de 15 ans et je rêve d'être chercheuse depuis l'age de 4.

Malheureusement, alors que j'étais ATER pour finaliser la rédaction de mon doctorat j'ai été tabassée par mes étudiants car je venais de me confier à eux sur ma transidentité (je suis une femme transgenre). C'était mon dernier cours avec eux. Suite à cela j'ai été terrorisée à continuer dans l'académique et devoir enseigner à nouveau.

J'ai donc suivie une personne qui m'a proposée un emploi dans le privé, en tant que chercheuse en intelligence artificielle. J'ai bien expliqué que je n'étais pas ingénieure, nulle pour coder, que j'étais une "matheuse" malgré un doctorat en informatique (informatique théorique en réalité).

J'ai été recrutée malgré tout et cette personne (directrice R&D qui ne connait pas la recherche) voulait en fait une première chercheuse pour fonder le service R&D de la boîte. Seulement voilà... elle est partie au bout de 3 semaines pour ne jamais revenir.

Ma situation dans l'entreprise s'est aggravée jusqu'à mettre des absences injustifiées alors qu'elles n'ont pas lieu d'être, d'annoncer que pour eux je suis en CDI encore 2-3 ans (annoncé le lendemain des 6 mois de ma vraie période d'essai), on ne me donne pas de travail : je suis une espèce de data scientist sans avoir de données, et surtout je suis isolée (personne ne souhaite manger avec moi et les premiers semaines on ne m'adressait même pas la parole). Je précise que je suis loin d'être la seule à avoir des soucis dans l'entreprise.

Je souhaite donc partir pour passer l'agrégation et enseigner. Vous allez me dire "mais je croyais qu'on t'avais tabassée pk enseigner en secondaire ?".
Entre deux ma transition a évolué extrêmement vite, en dehors d'un souci de tumeur cérébrale qui affecte mon moral, j'ai une transition "invisible", dans l'entreprise si je ne m'annonce pas comme femme trans personne ne le devine et ça fait bien longtemps qu'on ne m'a pas tabassée dans la rue, ou même insultée et dévisagée (ma copine n'a pas autant de chance que moi et le vit encore elle).
Donc je me dis que l'expérience d'un lycée peut se tenter.

Le hic c'est que j'adore enseigner mais je ne souhaite pas enseigner dans le secondaire et partir en CPGE ou en tant que PRAG. Déjà pour ma vie (je ne veux pas être humiliée ou pire) mais aussi car j'ai un profil un "poil" élitiste plus adapté à ce niveau qu'au lycée ou pire collège.

Voilà mes deux questions :

Enseigner en tant que femme trans dans un lycée vous paraît-il encore très déconseillé ? Les agressions explosent (x2-3 tous les ans) mais les lycéens s'ouvrent me semblent-ils. Quelques femmes trans prof que je connais fuient d'urgence mais elles étaient en "transition" DURANT l'enseignement.

Aurai-je une chance avec mon parcours (voir plus bas) pour enseigner en classe prépa ?

Parcours susmentionné :

2008-2010 CPGE MPSI-MP* à Clémenceau Reims
2011 Licence de math avec des options info
Master 1 de math avec info théorique
2013 Master 2 de math prépa agreg
> je voulais faire M2 recherche mais il y en avait pas à Reims et mon père m'a obligée
2013 Agreg option D rang moyen
> j'ai eu l'agreg sans jamais avoir révisé ou bossé une leçon (ça a été une surprise d'ailleurs)
Prof en Lycée ----> mon père m'a obligée, démission au bout de 6 mois pour faire fac en auditrice libre en physique. Je voulais être chercheuse
2015 Master 2 en math recherche avec des cours en physique théorique et un mémoire en informatique théorique
2015-2019 Doctorante en informatique (base de donnée graphe, systèmes de réécriture)
2019 Doctorat --> ya qu'une publication mais dans une des meilleures conf du domaine

Depuis février 2020 : Chercheuse en IA dans une boite.

Sur les activités annexes :
- cours particuliers de 2nde à L3 en math (3000h environ)
- conférences de vulgarisation mathématiques dans des lycées
- entraîneuse aux olympiades dans mon lycée (quelques mois)
- encadrante d'équipe au Tournoi français des jeunes mathématiciennes et mathématiciens (1ere place nationale et 3ième prix international)
- organisatrice régionale du tournoi français des jeunes mathématicien.ne.s
- conférence au Rendez vous des jeunes mathématiciennes ---> les 3 derniers sont pour motiver les lycéens (et surtot lycéennes) à faire math recherche
- kholles en CPGE (MPSI) 4h par semaine pendant 1 an

J'ai aussi enseigné en ATER 192h et 64h en TD pendant la 3ième année de thèse.
J'ai des compétences en info pratique (Intelligence artificielle surtout, programmation) dû à mon poste et mon doctorat.

Je dois avouer être désespérée, je ne me sens pas assez forte et motivée pour trouver une autre entreprise, qui ne sera peut-être pas aussi ouverte avec les "trans" de plus. J'ai été piégée par cette femme qui voulait absolument partir dans une ambition extravagante.
J'aime vraiment enseigner, donc j'y pense. Même si j'ai 30 ans je suis prête à y retourner. Mais le fait d'être trans me fait peur.
De plus je ne veux pas enseigner au lycée pour cette raison et car je crois être trop dure pour ce niveau.
mes stages en enseignement (hors l'année d'agrégée stagiaire) ce sont très bien passés mais j'étais pas trans.
Alors je panique, l'entreprise fait limite du harcèlement et je cherche une sortie d'urgence qui me nuirait pas trop.

J'avais un beau parcours et une seule agression aura suffit à tout gâcher... (sans parler d'autres soucis médicaux)

Merci si vous avez tout lu,

Lily

PS : si vous savez aussi comment je peux partir enseigner au Canada ça m'intéresse encore plus, ma copine vit trop un enfer.
Quand la concurrence c'est-à-dire l'égoïsme ne règnera plus dans les sciences, quand on s'associera pour étudier, au lieu d'envoyer aux académies des paquets cachetés, on s'empressera de publier les moindres observations, pour peu qu'elles soient nouvelles, et en ajoutant « je ne sais pas le reste ». E. Galois.

Réponses

  • Ah bé dis donc !

    Si tu attends la moindre bienveillance de la part de l'institution lycée, tu te mets le doigt dans l'oeil jusqu'à la mer de la tranquillité.

    Tu risques de t'y faire agresser moralement ou physiquement
    * par ta hiérarchie,
    * par tes collègues,
    * par les élèves (les tiens ou pas)
    * par leurs parents.

    Tout ça pour te dire que si tu cherches un garde du corps, je suis disponible. Tarif conséquent mais conditions de paiements.

    Bon courage quoi qu'il t'arrive.

    e.v.

    [ En deux ans de prépa, tu n'as pas réussi à orthographier Clemenceau correctement ? ]
    Personne n'a raison contre un enfant qui pleure.


  • Dans notre société, si t'es trans, tu dois vivre dans la clandestinité de cet état si tu veux que ta vie se passe bien.

    Alors si tu dis que c'est invisible, ça se tente, et pour la prépa, tu n'as qu'un moyen de le savoir !
  • Bonjour.

    Je dirais franchement la même chose. Si votre transformation n'est pas remarquée, pourquoi à tout prix vouloir le crier à qui ne veux pas l'entendre ?

    J'espère que vous vous sentez bien dans votre identité, si c'est le cas c'est la seule chose qui importe.

    Enseigner dans le contexte actuel est déjà bien assez compliqué, si vous sentez que c'est votre vocation, foncez comme vous êtes. Sans vous poser de questions.

    Je vous souhaite le meilleur.

    Cherche livres et objets du domaine mathématique :

    Intégraphes, règles log et calculateurs électromécaniques.

  • ev écrivait:

    > [ En deux ans de prépa, tu n'as pas réussi à
    > orthographier Clemenceau correctement ? ]

    Commentaire inutile. Que d’agressivité dans ton message. Que t'ai je fais ?


    Dreamer écrivait:

    > [ transformation ]

    Ce n'est pas une transformation mais une transition. La transidentité n'est pas un choix et est justifiée biologiquement.

    Je ne souhaite pas la crier mais ça peut se remarquer sur le temps, un élève pourrait le voir (aucune transition n'est parfaite) et c'est dans ce contexte que je me pose la question.


    Mais vu les réponses que j'ai sur un forum de maths (parfois très connes les réponses), je vais essayer de trouver un autre métier plutôt que d'avoir des collègues comme vous.

    Même les lycéennes auxquelles je donne des conférences se comportent mieux.
    Quand la concurrence c'est-à-dire l'égoïsme ne règnera plus dans les sciences, quand on s'associera pour étudier, au lieu d'envoyer aux académies des paquets cachetés, on s'empressera de publier les moindres observations, pour peu qu'elles soient nouvelles, et en ajoutant « je ne sais pas le reste ». E. Galois.
  • Ne comprends pas de travers mon propos, il ne contient pas de jugement, c'est un constat.

    Les élèves dans le secondaire (au moins, mais on peut reprendre le message d'ev) sont très cruels, tu vas au casse-pipe si ça se sait.
  • Superkarl
    Quand je vois le comportement ici pour un seul post ça ne fait que appuyer les propos.

    Moi qui rêve d'enseigner depuis toute petite je dois choisir entre :
    - avoir peur de mon emploi
    - haïr mon emploi
    Quelle perspective.
    De toutes manières je ne sais pas si je veux vivre jusque là.

    [Inutile de reproduire le message précédent. AD]
    Quand la concurrence c'est-à-dire l'égoïsme ne règnera plus dans les sciences, quand on s'associera pour étudier, au lieu d'envoyer aux académies des paquets cachetés, on s'empressera de publier les moindres observations, pour peu qu'elles soient nouvelles, et en ajoutant « je ne sais pas le reste ». E. Galois.
  • Pour répondre pragmatiquement à ta question, pour un poste en prépa, c'est ton rang à l'agreg qui aura le plus d'influence. Ton parcours antérieur ne peut pas vraiment laisser présager de quoi que se soit. Pour être tout à fait honnête, je pense qu'il est plutôt moins "clinquant" que celui de la plupart des gens qui postulent en prépa : on y trouve pas mal de personnes qui ont intégré une grande école (X, ENS,...) après la prépa et/ou qui ont eu un très bon à l'agreg.
    Si tu cartonnes à l'agreg cette fois-ci, tu devrais augmenter tes chances.

    Cependant, c'est un peu la loterie. Les critères connus pour l'obtention d'un poste en prépa sont effectivement le rang à l'agreg et le fait d'avoir une thèse (plutôt en maths, mais l'info théorique très proche des maths, ça devrait le faire aussi). Cependant, on voit des gens avec des rangs moins bons obtenir un poste en prépa, pour des raisons parfois obscures.
    Si tu es prête à aller dans toute la France, ça peut évidemment aider.

    J'ignore ce que tu as trouvé de très con dans les réponses précédentes. Je suis assez d'accord avec ce qui a été dit : tes élèves et tes collègues n'ont pas à connaître ta vie intime.

    Tu dis que "ça peut se voir". Peut-être que "quelque-chose" qui va engendrer un soupçon peut se voir... mais de là à ce que ça se sache vraiment, il y a un pas. Des rumeurs sur la sexualité des profs "untel est homo, untel est trans, untel est puceau, untel est un gros pervers...", il y a en toujours, et dans plus de la moitié des cas, elles ne sont pas fondées...
    Tout ça pour dire que le risque d'être victime d'agression à cause de rumeur dans un établissement scolaire me semble assez indépendant du fait que "ça peut se voir".

    Et je crois d'ailleurs que c'est un peu ça que voulait dire ev : qu'il est inutile d'espérer ne pas être victime d'agression (morale ou physique) de quelqu'un si tu enseignes au lycée : ça n'a rien à voir avec ta transition, c'est juste qu'en ce moment, c'est comme ça. (Évidemment par agression, je ne parle que d'agression physique comme celle que tu as subie, mais aussi d'agression morale, par exemple de la part des parents, des collègues ou de la hiérarchie).
  • Non, mais arrêtons deux secondes, ce qui te plombe, c'est la réaction de la société quant à ta transition, et le fait de le remarquer n'est pas faire une réponse "complètement conne", et le fait de le prévoir non plus, à moins que la vérité ne soit stupide.

    Si tu estimes que tu es plus heureuse grâce à la transition, pourquoi parler de suicide ?
    Et si ce n'est pas le cas, tu as très probablement une troisième solution que tu as oublié de citer.

    Je ne parle pas de non-choix ou de biologie ou autre. Les deux seules choses que j'examine sont ton projet et ton bonheur (comme je le fais à chaque fois), et je me permets donc de mettre cela au dessus de toute autre considération dans ce message (y compris ce que tu juges entendable). Si je suis amené à te parler ainsi crument, c'est qu'afin de t'apporter une aide, le raisonnement logique (et tu es meilleure que moi là-dedans, donc je te laisse juge) ne m'a donné que cette conclusion.

    Conclusion que tu pourrais juger intolérante, mais c'est faux, c'est plutôt la conclusion logique du fait que tu ne peux pas battre l'intolérance.

    Personne ici ne souhaite que tu ne reproduises la tragédie d'Alan Turing.
  • @Zermel0 je pense que tu as plus un profil pour être maître de conférence, c’est le métier qui mêle enseignement et chercheur.
    Vu que tu as un doctorat en informatique les grandes écoles aussi recrutent essaie avec EPITA, CentraleSupelec, ENSTA, TElecomParisTech, etc...
    Ou peut-être dans une université en Europe pour un post doc. Et continue à avancer en IA.
    Autre solution tu crées une start up en IA avec quelques camarades.
  • Je ne comprends pas non plus le besoin de se livrer. Surtout à des gamins.

    C’est dans le moule « prof » qu’il faut rentrer. C’est parfois difficile.
    Mais les sujets sur l’identité n’ont pas lieu d’être partagés dans le contexte « É.N. ».

    Bon courage, bien entendu.
  • Les gamins sont impitoyables en 2020 et très sensibles au détail.

    Une fois j'ai raté un peu ma coupe de cheveux, j'ai eu plusieurs remarques d'élèves.
  • Bonjour.

    Je ne voulais pas non plus être offensant, mais un passé professionnel décourageant dans l'enseignement (heureusement que j'en suis sorti) m'a appris qu'en plus d'être farcis de toutes sortes d'idées biscornues, les élèves ont la particularité d'avoir un avis qui est souvent plus entendu que celui d'un prof.

    A bientôt.

    Cherche livres et objets du domaine mathématique :

    Intégraphes, règles log et calculateurs électromécaniques.

  • Les élèves sont souvent cruels (pas tous !!) mais sur rien en particulier. Des quelques exemples que j’ai pu observer, être élevé transgenre n’était pas un souci, l’élève peut au contraire être protégé par la classe. Classe qui va harceler méchamment un(e) prof parce que sa tête ne lui revient pas ou simplement parce qu’ils trouvent ça marrant et que la direction est nulle.

    Ne mélangeons donc pas tout. La seule vraie question à se poser est : as-tu envie d’être prof dans le secondaire ?

  • Non, et détresse réelle, je pense.
  • Zermel0 j’ai vu que tu as étudié la topologie algébrique
    http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?14,1042489,1044181#msg-1044181

    Tu as un parcours riche agrégation mathématiques, doctorat en informatique, IA programmation, physique théorique, informatique théorique,
    préparation des élèves aux olympiades, TFJM , kholle en cpge.
    J’ai remarqué que des personnes qui ont un parcours non standard peuvent faire de brillantes découvertes.
  • Je vais essayer de répondre rapidement à tout le monde.

    J'ai lu qu'on ne voyait pas l'intérêt de le dire à des élèves -> je ne souhaite pas le dire

    J'ai lu qu'il y avait des rumeurs sur les profs -> la transidentité ça se voit
    J'ai aussi lu qu'une élève trans posait moins de souci -> je reçois des jeunes personnes trans car je suis fort impliquée dans le soutien, la réalité est tout autre.

    On m'a demandée si je voulais enseigner en lycée -> non.

    Pour étanche :
    Maître de conférence a deux soucis : 1) Je serais contrainte de passer par les post-doc, si on m'accepte ! (car une fois l'académique quittée...) et c'est trop précaire, ma copine commence seulement ses études.
    2) Il y a une forte partie de recherche qui ne m'intéresse pas.

    Je venais bcp sur les forums avant, j'ai découvert les maths fin collège, c'est une passion ! Je lisais de la topo algébrique (ce que je pouvais) au lycée, j'adorais les maths (surtout les catégories, l'algébre commutative, etc.) mais j'ai fais des choix bêtes comme rester sur mes acquis sans jamais aller en cours...

    Je n'aime pas mon emploi actuel (harcèlement mais pas lié à ma transidentité)
    J'ai peur de l'ingienerie etc (d'être nulle etc) surtout que j'aime enseigner.
    Sauf que enseigner vous avez été clairs : c'est mort. Surtout dans ma situation.
    Donc... donc.... bah voilà.

    Je suis depressive j'admets, mais c'est lié à autre chose (un gâchis de vie qui va au delà du professionnalisme, fortement lié à ma tumeur).

    Finalement, j'ai été conseillée de pas aller en enseignement et je ne sais toujours pas quoi faire. (A part lancer une start up que qqun a conseillé).

    Je crois avoir répondu à tous

    Ah non Seth Morley : quel est le problème hein ?

    En tout cas voilà, merci, il est clair que enseigner c'est pas l'idéal. Me reste à trouver.

    J'avais démarré un Master en philo des sciences pour faire une seconde thèse (j'avais trouvé un directeur de thèse) en philo de l'IA.
    MAIS j'ai eu un peu peur de doubler mon emploi et ce master et je me suis désinscrite. Peut-être était ce une bonne réponse temporaire...
    Quand la concurrence c'est-à-dire l'égoïsme ne règnera plus dans les sciences, quand on s'associera pour étudier, au lieu d'envoyer aux académies des paquets cachetés, on s'empressera de publier les moindres observations, pour peu qu'elles soient nouvelles, et en ajoutant « je ne sais pas le reste ». E. Galois.
  • Tu mets dans ton CV thèse en informatique + agrégation de mathématiques postule dans les écoles d’ingénieurs EPITA ,EPITECH,ESME,IPSA,Web@cademie ,Supinfo , École 42
    Sinon pour startup y a Station F https://stationf.co/fr/ , pour les programmes Start-Up https://stationf.co/fr/programmes-start-up/
    Candidate chez Google , Facebook , SFR , Orange ,...

    Jette un œil sur https://www.acm.org/ , https://amturing.acm.org/ , https://yoshuabengio.org/fr/profil/
  • Aucun problème vraiment.
  • Je vais regarder de ce côté.
    Quand la concurrence c'est-à-dire l'égoïsme ne règnera plus dans les sciences, quand on s'associera pour étudier, au lieu d'envoyer aux académies des paquets cachetés, on s'empressera de publier les moindres observations, pour peu qu'elles soient nouvelles, et en ajoutant « je ne sais pas le reste ». E. Galois.
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