Bonne chance
Réponses
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Pareil Ainah. J'ai hâte de retrouver des moments avec mon fils que j'ai dû mettre de nombreuses fois chez la nounou ou la famille pour me dégager du temps... finalement sur le sujet d'aujourd'hui j'avais déjà tout révisé fin août...
Ce n'est "qu'un concours" mais quand tu as quitté ton boulot pour t'investir dans le concours il y a une pression financière qui intervient et je peux témoigner que ça stresse énormément. Je n'ai vu personne se vanter sur ce post... -
Je suis plutôt d'accord avec le fait que le concours actuel est adapté au recrutement de professeurs du second degré. J'adore les mathématiques, mais je m'en fiche un peu de la "beauté" du sujet ....
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Salut à tous,
De mon côté c'était la deuxième fois que je passais les écrits (session 2014 exceptionnelle et cette session-là)
J'ai moi aussi trouvé le sujet plus "simple" que les autres années (du moins pour le problème 1)
Mais par contre, j'en ai eu mal au poignet car je me suis dit que le jury allait surtout nous attendre sur une rédaction irréprochable!
Du coup, j'en ai gratté pour 20 pages, en ne laissant passer aucun détail, même infime!
J'ai du masser mon poignet tout l'aprem qui a suivi!...
Ca va être compliqué de faire la différence... Ca m'énerve moi aussi parce que du coup je me dis que j'ai fait quasiment tout le problème 1, mais que je ne suis surement pas le seul... Et comme le barême n'est décidé qu'après correction d'un échantillon de copies, je me demande bien ce que ça va donner...
En tout cas, rdv le 20/05 pour les résultats et bonne chance à tous! -
Ce n'est pas trop grave, cela peut vous servir pour une agrégation (pourquoi pas!) voir plus,
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hi j'ai passé aussi l'agreg, que j'ai trouvé abominable... mais je ne sais pas si j'aurais le courage de continuer a bosser pour l'agreg l'an prochain si j'ai le capes cette année... je suis en reprise d'études, j'ai mes enfants qui sont jeunes, et je ne sais pas si l'agreg vaut le coup... je veux dire, pour "assurer", il faudrait que je fournisse une somme de travail et de temps tellement énorme... je sais pas si je suis prête à ça...
là j'ai juste envie de me décérébrer jusqu'à la nuit des temps...
enfin bon, là n'est pas le sujet...
nous sommes nombreux je crois à avoir passé aussi celui de l'an dernier, dans mon amphi, nous étions 75 présents, 50 absents, et je dirais la moitié déjà admissibles et en attente d'oraux...je ne sais pas bien ce que ça va donner tout ça! -
Bonsoir a tout le monde,
Moi aussi j'ai passe le capes de math. J'ai repondu en moyenne 30 question sur chaque sujet, 20 bien rediges . Est- ce que vous pensez que je serai admissible? -
Je ne sais pas, mais ton message interpelle. Tu sembles dire que tu as "mal rédigé 10 questions". Que veux-tu dire ?
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Bonsoir,
Effectivement c'est déroutant de voir à quel point la difficulté des sujets a diminué en quelques années. Comme cela a été dit plus haut, bientôt ce sera niveau Bac !! Evidemment, c'est aussi idiot de faire un sujet dans lequel personne ne sait rien faire. Mais si l'idée est bien de faire la différence entre les candidats, comment la faire sur de tels sujets ? Ce qui est sûr c'est que quelqu'un qui a bien bachoté réussira, vu que l'essentiel des sujets sont des questions de cours. Mais que teste-t-on au juste ? La rapidité d'écriture, la qualité de la rédaction ?? Et puis de toute façon s'il y a un ratio énorme d'admissibles et que la différence se fait sur l'oral, après tout est-ce bien utile de faire des épreuves écrites ou d'en faire 2 ?? Franchement je me pose la question pour l'argent que ça coûte et les correcteurs que ça mobilise !
Les candidats ont finalement plutôt intérêt à porter leurs efforts sur les oraux que sur les écrits !! -
Comment peut-on savoir si tu es admissible ou non ? c'est un concours non ? il y a une barre d'admissibilité à fixer par les jurys !
Mais ne t'inquiette pas tu vas etre admissible, si tu veux cette réponse
Je rigole , ne le prends pas mal stp: tu as compris 20 questions "mathématiques" mais tu n'as pas compris c'est quoi un concours ! -
@Cloch 8 :
"Le niveau mathématique de l'épreuve d'aujourd'hui est largement au-dessus de ce que l'on doit savoir pour enseigner à un niveau BTS (nécessaire mais pas suffisant)."
Absolument pas d'accord.
Certains ne mesurent pas à quel point il est nécessaire (mais pas suffisant) d'avoir du recul sur ce que l'on enseigne pour bien l'enseigner, c'est inquiétant. Et ce n'est pas parce que les collégiens sont parfois difficilesou peu intéressés qu'il faut leur donner un enseignement "bas de gamme" sous forme de recettes de cuisine. Là est le danger ! Oui il faut avoir des aptitudes pour gérer une classe et ce n'est certainement pas à négliger mais il faut aussi être capable de faire un cours de MATHS (et pas d'autre chose) qui se tienne, qui est réfléchi et pour cela l'enseignant doit savoir dans quelle direction il va et ce qu'il y a derrière, avoir de la culture mathématiques et des idées, pas juste être capable de mettre deux fractions au même dénominateur. Non, non et non ! Et c'est avec ce genre de raisonnement que tout le monde s'imagine facilement prof car après tout apprendre à additionner deux fractions serait n'est-ce pas à la portée de beaucoup de monde ! -
pi écrivait:
> Les candidats ont finalement plutôt intérêt à porter leurs efforts sur les oraux que sur les écrits !!
Il n'aura sans doute échappé à personne que les coefficients des oraux sont le double de ceux des écrits ... Néanmoins tous les admis ont été admissibles ... -
Je veux dire que les écrits ne servent pas à grand chose si presque tout le monde est admissible et que l'on propose ce genre de sujets.
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Pour Pi : ton discour est celui des années 80 ou d'avant.
Il faut connaitre le monde où on vie et les ados d'aujourdhui ainsi que l'état et ce qu'elle propose comme solution financière et éducative pour les jeunes. La france a choisi cette politique comme d'autre pays (acceuillir tout le monde à l'éducation nationale). Tu ne peux absolument rien faire. Je ne sais pas si tu es prof ! visiblement non . tu parle dans le ciel. La réalité c'est autre chose -
Non non, je trouve que sur les 34 questions ( epreuve 1, 30 epreuve 2), j'ai etais rigureuse sur 20 questions et sur 10 il y a des petits detaills qui manquent. Je stresse un peu. Excusez-moi les fautes d'orthographe.
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@pi mais tu n'es pas le seul
Pour pouvoir concourir, il faut a minima un M1 et personnellement je n'ai pas volé ma maîtrise de maths ! j'ai bossé dur pour y arriver ! J'ai l'impression de lire dans ce post que parce que le jury a proposé des sujets faciles nous allons "voler" notre capes. Certes les sujets étaient faciles, je ne le nie pas, mais la maîtrise on l'a eue et là le niveau était bien plus haut donc je ne pense pas que les inscrits qui seront admissibles seront des "nuls en maths". Après, voilà, je suis très sensible (pour ne pas dire susceptible !) mais je pense qu'entre ceux qui ont préparé leur capes en iufm/espe et ceux qui ont déjà eu par le passé un M1/M2 en maths, on A le recul nécessaire en maths ! Après, il y a parmi les candidats libres tous ceux qui ont un M1/2 dans une autre matière mais même sur des sujets faciles comme ça, je ne pense pas que ce soit évident de se battre pour y arriver si on a fait un M1 en lettres modernes ! Je trouve que l'épreuve d'hier était réellement une mise en situation professionnelle comme c'était annoncé ! L'épreuve 1 est plus "critiquable" car était censée juger des capacités mathématiques des candidats. La justification ne serait-elle pas qu'entre les réinscrits 2014E admissibles et les absents il n'y aura pas assez de candidats restants pour le nombre de postes ? Qui sait ? et après tout, "on s'en fiche", le jury a ses raisons et est souverain sur la question...
J'agrémente souvent mes cours de maths par des exemples d'application post-bac sans détailler mais en disant à quoi ça sert, mes cours de physique-chimie aussi ! Sans m'énerver, sincèrement, je trouve que ce genre de discours rabaisse le travail de révisions de ceux qui se sont présentés hier et avant-hier au capes...
Quant au niveau bac, je vous ferai remarquer que le programme de TS a bien baissé, j'estime personnellement et ça n'engage que moi, que le sujet d'hier était faisable par un TS des années 90 mais pas de 2014 ! (IPP, intégrales sur IR par exemple qui ne sont plus au programme de TS !)
Quant aux épreuves qui viennent de se terminer, j'ai interprété l'épreuve 2 de "mise en situation professionnelle" comme étant une preuve de l'aptitude à réaliser des démonstrations au niveau de nos futurs élèves. J'ai donc rédigé ma copie comme un lycéen pour le problème 2 (l'introduction parlait d'élèves de terminale S) et comme un collégien pour le problème 3. Pour le problème 1 que j'ai fait à l'arrache en dernier, j'ai fait "comme j'ai pu" lol.
@ainah, il y avait 60 places assises dans mon amphi à Nantes (15 rangées de 4, je ne suis pas si nulle que ça en maths lol), toutes les places n'étaient pas occupées, et tous les candidats immédiatement autour de moi étaient des admissibles du 2014E... (nous avons discuté en nous installant) J'ai estimé qu'il y avait environ 6 à 7 postes pour tout ce monde-là au concours 2014 (151/22) donc je pense que quasiment tout le monde sera admissible.
Allez, on souffle, on relâche la pression, on bosse les oraux et on attend les résultats sans trop y penser ?! -
Bonjour!
Personnellement j'ai trouvé les 2 sujets très accessibles, pour la composition 1 il fallait faire très attention à la rédaction, aux équivalences, ... Les équations diff. Pas compliquées non plus.. Mais pas le temps de toucher la partie C.
La deuxième épreuve était sympa et bingo pour ceux qui ont bossé les annales des 5 dernières années car le problème deux était un mélange des sujets déjà posés ça récompense ceux qui ont préparé. Franchement je ne pouvais pas espérer mieux. J'ai traité 44 questions sur les 50 que comporte le sujet ... J'espère avoir une bonne réserve pour les imprévus de l'oral . -
Mimi > La plupart des candidats où j'étais ont trouvé le sujet 1 justement moins abordable que ceux de la session exceptionelle ... comme quoi, cela reste très subjectif cette appréciation !
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Quelqu'un pourrait me dire la date des résultats des épreuves écrites ? Merci
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Sinon pour l'épreuve 2, problème 1, partie B, question 1.1, je me demandais s'il n'y avait pas une légère erreur d'énoncé lorsqu'on dit : "Soit $x_0\in \mathbb{R}^+$", ce ne serait pas plutôt "Soit $x_0\in \mathbb{R}^{+*}$" ? Car la fonction $g$ n'était pas définie en $0$. Ca n'a pas vraiment de sens de parler de point fixe en un point si la fonction n'est pas définie en ce même point, non ?
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Dire que les sujets d'aujourd'hui sont beaucoup plus simples à ceux des années 90, ce n'est pas vrai ! Il y a eu des sujets simples aussi dans les années 90 et d'autres plus compliqués. Ce qui est changé me semble-t-il par rapport à l'époque c'est la barre d'admissibilité qui a beaucoup diminué. D'où le niveau général des candidats qui a baissé. Mais cela est normal puisque ça recrutte pour devenir prof second degré face à des élèves pour au moins 90 % ne vont pas suivre des filières scientiques aprés le bac (75% des candidats aux collèges et 25% aux lycées avec des filières pas scientifiques). Tout est normal dans cette histoire
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Mouais... Perso, j'enseigne en collège depuis 10 ans et je suis bien content de m'être mis dans l'agreg interne, ça me permet d'avoir du recul par rapport à ce que j'enseigne... Un collègue m'a confié récemment avoir enseigné un chapitre en lycée en n'en sachant pas plus loin que ce qu'il apprenait à ses élèves. Pas sûr que ce soit efficace face à une classe qui pose des questions !
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Justement, je suis enseigant au lycée pendant plusieurs années, j'ai des collègues très anciens sortis de l'ancienne époque (ancien capes et ancien agreg). Lorsque l'En a mis en place la nouvelle réforme (il y a bien échantillonnage et prise de décision et aussi les algorithmes).Ils en ont jamais fait. l'En ne leur a pas demandé de repasser le concours ! ce serait ridicule . Ce sont des matheux à la base. Ils ont juste consacré quelques temps pendant les vacances pour regarder cela et tout allait naturellement
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Je viens de passer le capes cette année (4eme fois), et je dois avouer que je ne sais trop quoi penser. Beaucoup disent des sujets faciles, il est vrai que les questions n'avaient pas l'air difficiles, mais franchement niveau rédactionnelle ...
Je me demande ce qu'on fait la plupart des gens, moi j'ai fait a peu prés la moitié au premier sujet, et la premier problème + la première partie du deuxième problème.
En tout cas je souhaite bonne chance a tous le monde. Je pense que le nombre d'admission sera cette année dans les 800-900 ( ne vous fiait pas au chiffre donné toutes les places ne sont pas pourvu) le jour de l'oral le problème ne sera pas la concurrence mais surtout le stress et tomber sur des sujets que vous maîtrisez jusqu'au bouts des ongles. -
Tant mieux ! On ne doit pas avoir la même vision en collège !
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@renda
Oui je suis prof, avec presque 15 ans d'ancienneté dans des collèges difficiles, je sais exactement de quoi je parle !
Et en 1980, j'étais à peine né.
Non je ne parle pas dans le ciel, c'est vous qui êtes à côté de la question.
Pour enseigner à des élèves difficiles, oui il faut être capable de gérer un groupe c'est certain, mais vous n'êtes pas là pour faire animateur de centre aéré donc votre mission est avant tout de faire passer des maths à ces élèves, et là oui il faut dominer à fond le sujet, avoir plein d'idées et une culture mathématique importante pour avoir du ressort, inventer de nouvelles activités, avoir différents points de vue et différentes approches sur une même notion parce que justement vous savez à fond tout ce qu'il y a derrière, et que si pédagogiquement tel point de vue ne passe pas, vous en avez un autre sous le coude. Vous devez encore plus dominer votre sujet devant des élèves difficiles, c'est bien là le problème.
Pour s'adapter à son public, du collège difficile, aux grands lycées, il faut justement que les futurs profs aient un certain corpus de connaissances et descendre en dessous d'un certain niveau sous prétexte qu'au collège on apprend des trucs pas bien durs, ce serait une grave erreur. -
@nina44
Je n'ai jamais dit que vous voliez quoique ce soit. Je dis juste qu'il est dur de faire la différence entre les candidats, si tout le monde traite la majeure partie du sujet. S'il s'agit de noter sur la rapidité à écrire ce n'est pas très intéressant, non ?
Un sujet qui commence avec des questions abordables et qui ensuite augmente en difficulté permet sans doute de classer les candidats plus facilement, non ?
Désolé si vous avez mal inteprété mes propos.
Bon courage à tous les candidats.
Et ceux qui auront le CAPES au bout l'auront bien mérité, je ne dis pas le contraire. -
@ pi
De toute façon je ne vais pouvoir te convaincre,
Je n'ai jamais dit qu'il ne faut pas avoir une culture mathématique pour faire passer les savoirs ! et pourquoi on est prof ?
Je répète, j'ai dit les connaissances de fac "pour 80%" ne servent pas à grand chose quand on pratique le métier.
quant à la culture mathématique, cela est différent. Lorsque tu construis une spirale d'or avec géogebra pour expliquer le nombre d'or...etc ça c'est la culture et pas les connaissances de fac. -
kioups écrivait : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,913353,914717#msg-914717
[Inutile de répéter un message précédent. Un lien suffit. AD]
Laisse moi deviner ... Le chapitre sur les intervalles de fluctuation et de confiance ? -
Même les éditeurs (surtout ?) n'ont rien compris à la chose........ les livres sont mal fichus, expliquent mal. Au final, on ne comprend pas vraiment de quoi on parle ! J'ai été sidérée quand j'ai lu ce chapitre dans 2 manuels....... ça se sent que ce n'est pas compris !!!!!!! J'ai bossé plusieurs années en institut de sondage, ça fait mal !!!!!!
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Arnaud : dans le mille. J'ai assisté à une leçon d'agreg interne à ce propos. Le candidat maîtrisait plutôt bien, le formateur aussi (encore heureux, c'est son domaine). Du coup, s'est installé un dialogue entre eux deux laissant les autres étudiants dans le flou total...
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S'il vous plaît j'ai bloqué sur la question de la 2èeme épreuve : "soit f telle que f([a;b]) = [a;b] et continue. Montrer que f admet un point fixe ."
J'ai pensé au théorème des valeurs intermédaire, mais...??
merci ça m'empêche de dormir ! -
Bonjour.
Classiquement, on étudie f(x)-x; en particulier pour les valeurs de x où f atteint ses bornes.
Cordialement. -
euh il se passe quoi en a et b...? on n'a pas nécessairement f(a)=a et f(b)=b alor je vois pas trop...
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Si $f(a)=a$ ou $f(b)=b$ alors c'est trivial. Sinon on a $f(a)-a>0$ et $f(b)-b<0$. Or, $f-\mathrm{Id}$ est continue et 0 est compris entre $f(a)-a$ et $f(b)-b$ donc par le TVI il existe $c\in [a, b]$ tel que $f(c)-c=0$.
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J'ai un peu du mal à comprendre pourquoi faire une distinction de cas, on peut très bien conclure dans le cas où $f(a)-a\geq 0$ et $f(b)-b\leq 0$ par le TVI
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Le TVI ne s'applique pas à [a;b] mais à ]a;b[, d'où la distinction de cas.
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Je viens de trouver la réponse à une question qui m'a bien énervée le jour J. Je suis dégoutée. Je cherche trop midi à 14h...
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nina44 > Laisse tomber maintenant ces écrits, concentre toi sur les oraux, il y a bien assez à faire !
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Je rangeais juste le sujet et ça m'a sauté aux yeux!
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Le plus difficile serait peut-être de trouver des choses qui ne sautent pas aux yeux!
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groupe-fonda écrivait : http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?6,913353,916245#msg-916245
Et pourquoi donc ? -
Parce que c'est le théorème........
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Si $I$ est un intervalle et $f$ une fonction continue, alors $f(I)$ est un intervalle, excusez-moi d'insister mais je vois pas c'est dans le théorème...
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Je n'ai pas l'ennoncé sous les yeux, mais il y a plusieurs choses différentes içi :
Accroissements finis : f continue sur [a,b], dérivable sur ]a,b[ => il existe c dans ]a,b[ ...
Topologie : l'image réciproque d'un ouvert (respectivement fermé) par une application continue est ouvert (respectivement fermé). -
pierrecastelli écrivait:
> Si $I$ est un intervalle et $f$ une fonction
> continue, alors $f(I)$ est un intervalle,
Et si I est borné, f est bornée et atteint ses bornes ... (Weierstrass) -
Que dis-tu de $\tan$ sur $]-\pi/2,\pi/2[$ ?
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Exactement. tan est continue sur $]-\pi/2,\pi/2[$ , donc tan($]-\pi/2,\pi/2[$) est un intervalle.
Mais tan n'est pas continue sur $[-\pi/2,\pi/2]$(puisque pas définie).
Il faut savoir si on parle d'intervalle (au sens de la connexité), ou si on veut différencier les ouverts des fermés ...
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Bonjour!
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