Espace Affine

Bonjour.

Je voudrais savoir la condition suffisante pour que deux espaces affines soient parallèles.

Réponses

  • Mon cher FADE
    Tu confonds le verbe valoir avec le verbe vouloir, donc cela commence mal!
    Ensuite ta question n'a pas de sens mathématique.
    Si tu prends deux espaces affines au hasard, la question de leur parallélisme ne se pose pas!
    Amicalement
    [small]p[/small]appus
  • Bonsoir,

    Je précise la réponse de pappus à toutes fins utiles. On dit que des sous-espaces affines d’un même espace affine sont parallèles s’ils ont même direction. En effet, le parallélisme est une relation binaire(relation d’équivalence d’ailleurs) sur les sous-espaces affines d’un espace affine.
    Une conséquence immédiate est que deux sous-espaces affines parallèles ont même dimension.
    Donc ta question n’a pas de sens. C’est comme si tu demandais une condition suffisante pour qu’une fonction continue, vecteur du $\R$-espace vectoriel de l’ensemble des fonctions continues sur $\R$, soit colinéaire à une matrice carrée, vecteur du $\R$-espace vectoriel de l’ensemble des matrices carrées à coefficients dans $\R$.
  • Bonsoir,

    Dans l'espace affine tridimensionnel classique, une droite peut être parallèle à un plan.

    Cordialement,

    Rescassol
  • Bonsoir Rescassol,


    Oui j’ai bien dit que c’était une conséquence de la définition que j’ai donnée.
    Maintenant, ton parallélisme n’est plus une relation d’équivalence...c’est embêtant.
    Il me semble que certains auteurs l’appellent le « parallélisme faible ».
  • @Rescassol : Ne parle-t-on pas plutôt de parallélisme faible dans ce cas-là ?

    Edit : Grillé par Amathoué !
  • Dans un espace affine de dimension n (n $\ge$ 3) il y a plusieurs choix pour la relation de parallélisme. On peut la definir seulement entre sous-espaces affines de même dimension, dans ce cas la relation est une relation d'équivalence.
    On peut la définir aussi entre sous-espaces affines de dimensions quelconques, ici la relation est réflexive. On peut rendre cette relation réflexive aussi symétrique mais elle ne sera jamais transitive.
  • Amathoué a écrit:
    Maintenant, ton parallélisme n’est plus une relation d’équivalence...c’est embêtant.

    Ce n'est pas si embêtant que cela étant donné que c'est précisément le parallélisme faible qui est la relation de parallélisme utilisée dans la géométrie dans l'espace qu'on étudie (ou plus) aux collèges et lycées.
    D'ailleurs dans la géométrie élémentaire c'est seulement dans le plan que le parallélisme est une relation d'équivalence.
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