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Réponses

  • Tu crois que l'étude de la biologie au lycée est suffisante pour devenir médecin ?
    C'est la même chose pour les maths, la physique et la chimie. Le lycée te donne un début de culture générale en la matière, après il faut approfondir (les theories, les techniques theoriques et experimentales etc...). C'est justement le rôle du premier cycle universitaire et/ou classes prépa. Après il faut mettre en compte 2 années de specialisation, une thèse et si tout va bien prendre des positions post-doc. Si tu arrives à ce point là c'est déjà pas mal. Connaissances, travail, et flexibilité intellectuelle sont des atouts nécessaires pour devenir un bon chercheur.
  • Non mais les cours des études universitaires te donnent suffisamment d'outils de base pour qu'après tu sois en mesure de lire par toi-même des ouvrages plus compliquées qui, eux, te donneront un jour le niveau requis.
  • Skeletom77 a écrit:
    Comment étudier les mathématiques, en dehors du lycée, pour atteindre le niveau requis pour les grandes écoles/physicien ?

    Tu te doutes bien un peu de la réponse.
    Cela dit, travailler seul dans des livres, est une tâche difficile. Comment conserver intacte tous les jours la motivation qui fait que tu ouvres des livres, tu les lis activement? Si tu as une réponse qui te convient à cette question alors la tâche sera un peu plus facile.
  • La science est une démarche, pas des connaissances. C'est une affaire de déclic. Donc tu peux étudier 1500 livres H24 sans rien gagner si tu n'adoptes pas la bonne dmarche. A l'opposé, tu peux ne rien faire du tout et passer "tranquillement" tes diplômes jusqu'au disons l'avant dernier avant recherche professionnelle et obtenir chaque fois mention très bien.

    Le lycée détruit, il n'apporte strictement rien, si ce n'est qu'il te force à avoir de mauvais réflexes dont il est plus difficile de se débarrasser après (réciter par coeur, mémoriser des corrections toutes faites et invalides, bluffer, etc).

    Sachant ça, la balle est dans ton camp.
    Aide les autres comme toi-même car ils sont toi, ils sont vraiment toi
  • Cela dit, travailler seul dans des livres, est une tâche difficile.

    C'est ce qu'il faut faire 80% du temps à la fac, mieux vaut commencer tôt.
  • Soleil_Vert:
    A l'université tu n'es pas seul. Quelqu'un te donne le cap à suivre, il y a un cadre.
    En licence, on n'ouvre pas tant de livres que ça à mon humble avis.
    Une bonne partie du temps de présence à l'université est la copie d'un cours tout au moins en licence.
  • Quelqu'un te donne le cap à suivre, il y a un cadre.
    En licence, on n'ouvre pas tant de livres que ça à mon humble avis.

    On n'est pas des moutons!
    En math il faut lire plusieurs présentations et ne pas hésiter à approfondir.
    C'est une faiblesse d'esprit de se dire il y a un cadre et de s'y restreindre.
    Une bonne partie du temps de présence à l'université est la copie d'un cours tout au moins en licence.

    Pourquoi avoir inventé l'imprimerie? Comme le dit @CC c'est un problème de démarche.
    Et lire des bons livres permet de construire une culture.
  • Soleil_Vert a écrit:
    On n'est pas des moutons!
    En math il faut lire plusieurs présentations et ne pas hésiter à approfondir.
    C'est une faiblesse d'esprit de se dire il y a un cadre et de s'y restreindre.

    Honnêtement quand tu avais dix huit ou vingt ans, tu ouvrais beaucoup de livres de mathématiques et tu séchais les cours sous prétexte que nous ne sommes pas des moutons?
    As-tu cette expérience d'étudier seul pendant des années en collant à un programme dans le but de réussir un examen/concours? Quand je lis tes propos, je suis porté à répondre à cette question par la négative mais ne te gêne pas pour me détromper.

    Avoir un cadre ne veut pas dire pas qu'on reste dans le cadre mais cela évite de se perdre dans le désert et de perdre toute motivation à force de tourner en rond et d'avoir l'impression de ne pas avancer. C'est un filet de sécurité, un fil d'Ariane.

    PS:
    Je ne fais pas l'apologie de 'l'illettrisme" en mathématiques et je ne dis pas qu'il ne faut pas lire de livres.
    Mais à mon humble avis cela ne remplace pas un enseignement dispensé par un être humain qualifié.
    Surtout que personnellement des livres (papier) de mathématiques j'en possède quelques centaines probablement.
  • Bonne nuit,
    *
    FdP a écrit:
    Honnêtement quand tu avais dix huit ou vingt ans, tu ouvrais beaucoup de livres de mathématiques

    Oui.
    FdP a écrit:
    et tu séchais les cours sous prétexte que nous ne sommes pas des moutons?

    Oui, mais pas pour cette raison.
    FdP a écrit:
    As-tu cette expérience d'étudier seul pendant des années en collant à un programme dans le but de réussir un examen/concours?

    Oui, j'ai bossé l'agreg, entre autres, comme ça.

    Cordialement,

    Rescassol
  • Rescassol:

    Et tu n'as jamais eu de professeur qui te donne un cadre pour l'étude et les objectifs à atteindre?
  • Bonne nuit,

    > Et tu n'as jamais eu de professeur qui te donne un cadre pour l'étude et les objectifs à atteindre?

    Je n'avais pas trop l'occasion d'aller à la fac, distance et/ou raisons familiales suivant le moment.
    J'ai fait ce que j'ai pu, ça a suffi.

    Cordialement,

    Rescassol
  • Mais tu allais aux examens, tu savais le programme à réviser pour réussir ces examens?
  • Bonne nuit,

    Oui.

    Cordialement,

    Rescassol
  • Je confirme partiellement ce que dit Rescassol. J'ai passé bien plus de temps en licence et maîtrise (L3 et M1) sur mes nombreux bouquins, à la BU ou dans les polycops des profs qu'en cours. Bien entendu, je suivais les TD. Et je comparais différents ouvrages pour comprendre vraiment.
    C'est aussi ainsi que j'ai préparé l'écrit de l'agreg interne 25 ans plus tard.

    Cordialement.
  • Gerard0:

    Et en Deug? Tu ouvrais beaucoup de livres?

    PS:
    Il y avait deux aspects dans mon propos:
    Dans les deux ou trois années qui suivent le BAC on ouvre peu de livres de mathématiques
    Il est difficile de travailler seul quand on n'a pas de cadre sur lequel s'appuyer (entretenir la motivation, avoir éventuellement un peu d'aide, un(e) interlocuteur/trice...)
  • En deug aussi, et en terminale et même en première. Avant je me contentais de réussir en maths. Mais je n'ai jamais compté sur les profs (le seul vraiment bien était alcoolique). Même si certains cours m'ont beaucoup apporté (profs réfléchissant devant les élèves) et d'autres rien (cours connu par cœur et récité).
  • Honnêtement quand tu avais dix huit ou vingt ans, tu ouvrais beaucoup de livres de mathématiques et tu séchais les cours sous prétexte que nous ne sommes pas des moutons?

    J'avais appris le logarithme dans une encyclopédie en seconde à 15 ans malheureusement je n'avais pas de bibliothèque de math chez moi à cette époque. :-S
    Dans les deux ou trois années qui suivent le BAC on ouvre peu de livres de mathématiques

    C'est grave et triste.
    A croire que les étudiants ne portent pas d’intérêt à leur matière fétiche et se satisfont du point de vue du cours.
    A moins qu'ils ignorent que d'autres mathématiciens avaient des choses à dire qu'ils ont laissées dans des livres.
    Il est difficile de travailler seul quand on n'a pas de cadre sur lequel s'appuyer

    Le cadre c'est le cours ni plus ni moins.
    Je ne comprends pas le lien entre la difficulté et la solitude, les deux étant commune en math.
    Avoir un cadre ne veut pas dire pas qu'on reste dans le cadre mais cela évite de se perdre dans le désert et de perdre toute motivation à force de tourner en rond et d'avoir l'impression de ne pas avancer.

    Arriver à la fac et douter, se sentir submerger c'est un peu normal par rapport au lycée. Mais c'est passager.
    Et puis il faut sortir de sa zone de confort.
    Mais là tu noircis le tableau. Si les études sont une peine de chaque instant il ne faut pas se les infliger.
  • Soleil_Vert a écrit:
    Je ne comprends pas le lien entre la difficulté et la solitude, les deux étant commune en math.

    Si tu veux étudier sérieusement des trucs qui ne sont pas dans les programmes qu'on te demande d'ingurgiter, tu te retrouves seul face à la tâche que tu t'es donnée et que personne ne t'a demandé d'accomplir ni obligé à faire. Pas d'aide, pas de soutien, ce n'est pas une situation très confortable pour la plupart des gens.
  • bonne nuit
    à mon humble avis cela ne remplace pas un enseignement dispensé par un être humain qualifié.

    oui mais les humains (qualifiés ou non) sont souvent salariés

    ... un bon bouquin lui est un esclave à vie (disponible jour et nuit)

    ( ...et beaucoup d'aspirine certes : souvent j'en suis à 4 grammes par jour+insomnies mais bon l'acide acétylsalicylique c'est joli comme nom)
  • Fluorhydrique:

    Une collection de livres qui contiennent les informations pour passer l'agrégation coûte moins chère qu'un téléphone portable neuf. Si le livre est suffisant pour étudier les mathématiques pourquoi n'y a-t-il pas plus d'agrégés, de docteurs en mathématiques?
    (sans compter qu'une bonne partie de ces informations sont en accès libre sur internet)
  • Fin de Partie

    Je me suis trompé ...(ça m'arrive)
    En tout cas c'est mille fois plus chouette de se tromper sur un sujet comme ça que de se tromper en maths(surtout en algèbre linéaire)
    ...ça me change un peu(enfin j'aurai mis le temps ceci dit)
    Bonne journée à toi camarade
  • FDP tu es terrible :-D

    On dirait vraiment que tu considère les étudiants comme des petits moutons incapables de réfléchir. Ça me rendrait vraiment triste d'imaginer que les étudiants pensent de la même manière que toi. Ce n'est vraiment pas insurmontable d'acheter un livre, de s'asseoir et de le lire un peu tous les jours en essayant de comprendre.

    Pourquoi toujours réclamer "de l'aide et du soutien" ? Je suis horrifié de voir cette nouvelle génération (je sais que tu n'es pas un petit jeunot bien sûr mais l'argument revient aussi souvent chez des jeunes de mon âge) drogué à l'aide, au soutien et à la compassion des autres. C'est très bien de soutenir quelqu'un mais lorsque j'ai résolu mon premier exercice de math je n'ai pas eu le droit à un gros câlin ni d'applaudissement et je l'ai plutôt bien pris. Quand à l'aide, ça dépend le niveau mais il y a beaucoup de gens fort en math ici capable de répondre à une grande variété de question, internet aussi peut fournir une aide ponctuelle à des questions mathématiques. Bien sûr je ne dénie pas le contact humain mais ici on est dans le cas de figure d'un étudiant à la FAC (donc qui voit ses amis et ses profs quand même) qui veut s'avancer plus par lui même.

    L'activité mathématique n'est pas facile et ce n'est pas une nouveauté, les gens qui rentrent en math savent que ça va sans doute être dur. Si ils échouent trop longtemps il est toujours possible de changer de voie, si ils réussissent ils continuent. C'est plus où moins la même chose avec un livre de math seul à la maison : on peut essayer de le lire quelque fois, et si on n'avance pas/on se trouve trop lent eh bah rien n'empêche de lire des choses plus simples, d'essayer de se familiariser avec le sujet ... Bien sûr l'activité mathématique est aussi basée sur la communication mais je pense qu'il est plus sain de parler avec les autres une fois qu'on a réfléchi suffisamment longtemps à un problème. C'est ridicule de demander de l'aide si on n'a pas un peu bloqué sur un problème. Ne jamais être bloqué donne l'illusion d'être bon en math alors qu'on évite juste les problèmes difficiles, et un jour on est face à la réalité.
  • Lupulus:

    J'ai écrit quelque part que le travail personnel et les livres étaient inutiles en mathématiques?

    La seule chose que je dis est que les livres sont insuffisants, qu'il est plus rapide et efficace de suivre des cours professés par un être humain qualifié pour le faire que de lire des livres seulement.

    Autrement il n'y aurait plus d'universités, ni écoles: on distribue des packs de livres et rendez-vous à la fin de l'année scolaire pour évaluer les résultats (un système probablement rêvé par certains ici qui pourtant n'ont jamais étudié seulement par des livres)
  • Mais tu es quasi hors-sujet depuis le début, bien sûr que si on avait le choix entre un cours et apprendre par nous même on irait en cours. On parle d'élève qui veut s'avancer en dehors du lycée, et voir des choses qui ne sont pas enseignées en cours (sinon devine ... bah il se contenterait de ses cours).

    Démarche tout à fait saine en passant. Et toi tu dis "vas en cours" :-S si tu étais un intervenant quelconque j'aurais pensé à un troll mais c'est un peu inquiétant de répondre ça, on ne sait pas si tu prends les gens pour des abrutis finis en balancant des banalités à moitié hors-sujet ou si tu essayes de sous-entendre que travailler seul c'est trop dur et que ce n'est sans doute pas la bonne solution.
  • Pourquoi ne pas avoir commencé par écrire cela au lieu de me faire l'apologie polémique du livre qui remplace tout contact humain pour l'apprentissage (c'est du moins ce que j'ai compris sur le fond de ton message précédent)?

    Apprendre à courir le 100 mètres quand on sait à peine marcher? On rampe en croyant qu'on va battre des records...
    Le savoir c'est une affaire de rencontre d'individus. A l'ère d'internet c'est une vérité qu'on a tendance à oublier.
    Pour ma part, l'essentiel de tout ce que je sais (ou crois savoir) je l'ai obtenu par interaction avec d'autres (et ce même si ces interactions sont virtuelles: forums,...).
  • Un point n'a pas été évoqué (du moins explicitement) sur ce fil, mais que je considère essentiel.

    Autant j’ai souvent eu une préférence pour bosser avec des bons bouquins (je ne vais pas rentrer plus en détails là-dessus, mais j’ingurgite mieux en étant actif sur un livre que passif devant un cours), autant je trouve très important d’avoir des « notations » régulières de la part des profs.

    Surtout dans la phase transitoire vers les études supérieures.

    Certains concours vont demander un grand niveau de rigueur dans la rédaction, et sans être régulièrement noté, c’est à mon avis assez délicat de progresser dans le but de réussir ce type de concours.

    Je vais prendre un exemple assez bête pour illustrer :
    Tu rédiges une démonstration et par mégarde, tu oublies de restreindre une donnée qui aurait pu t’amener une division par 0, mais qui globalement ne change pas le fond de la démonstration.
    Avec une notation assez cool, tu auras peut être 80% des points.
    Avec une notation "sévère", potentiellement le prof va tout barrer et mettre 0 (et on se souvient de son erreur en général :-D )

    Si l’on a jamais été confronté à une notation de ce second type (ce qui est le cas en sortant du lycée normalement), je suis persuadé que tu as toutes les chances de te planter à un concours qui note assez durement.
  • @FDP : C'est malhonnête de me présenter comme quelqu'un qui veuille polémiquer alors qu'ici tu es 1) hors-sujet 2) le seul cherchant la polémique 3) en train de tenir un discours déconnecté de la réalité (la baisse du niveau d'enseignement est réelle)
    Si tu relis mon message plus haut il répond à tes pseudo-objections. J'ai dit ce que j'avais à dire et je m'arrête ici.

    PS : et merci à la modération de patiemment corriger mes fautes :-D
    [À ton service ;-) AD]

    Edit : je m'adressais à FDP j'ai édité mon message afin que ce soit plus clair.
  • Lupulus:

    Je ne faisais que répondre à Fluorhydrique initialement et relis ce sur quoi tu as enchaîné...

    Tu me dis que je fais du hors-sujet? Le demandeur semblait ignorer qu'avant de se présenter aux concours des "grandes" écoles on pouvait préparer ces concours dans des classes dans des établissements publics d'enseignement appelées classes préparatoires (je crois savoir qu'on n'y fait pas que distribuer des bibliographies pour l'étude des mathématiques).
    Qu'il étudie bien au lycée et en classe préparatoire sous la conduite d'un enseignant et s'il a encore le temps de consulter des livres de mathématiques, autres que ses manuels de cours, que bien lui fasse de le faire, encore que suivre des cours est déjà une tâche chronophage si on veut la mener proprement.
  • Bonsoir,

    Je rajouterai quelques points pour illustrer votre discussion :



    - En prépa j’avais 15 pages grand format de cours serré par semaine (qu’il m’arrivait de noter sans comprendre, d’où un important temps de relecture après coup), je n’avais pas vraiment le temps de lire un manuel.

    - Quelquefois le cours était insuffisant, dans ce cas seulement j’avais recours au manuel (j’ai un peu utilisé les RDO en taupe ; c’était plus systématique en physique)

    - Bien sûr j’utilisais des livres d’exercices (ce qui s’appelait pougner), mais l’important était plutôt de comprendre en profondeur un exo adapté au programme que de survoler la solution de beaucoup.

    - Ce qui faisait remarquablement avancer, c’était l’existence de colles hebdomadaires. D’abord parce qu’il fallait les préparer, donc travailler régulièrement. Ensuite parce qu’elles étaient un cas d’exposition autonome à autrui de sa propre solution à un problème donné. Et cela c’est irremplaçable.



    Comme le dit St François de Sales :
    La bonne façon d’apprendre c’est d’étudier ; la meilleure c’est d’écouter ; mais la très excellente c’est d’enseigner
    Et en quelque sorte une colle c’est une séance où l’on enseigne l’exercice à l’examinateur.



    - Ensuite en école j’avais polys, cours magistraux en amphis et TD (appelés petites classes).

    - J’ai travaillé beaucoup moins régulièrement, ce qui a nui à mes résultats.

    - Les polys aidant, les cours magistraux servaient beaucoup moins (il aurait fallu étudier le poly systématiquement avant chaque cours et poser ensuite des questions durant le cours ce qui ne se faisait pas)

    - Les TD étaient irremplaçables, mais nettement moins efficaces que les séances de colles de prépas. On y revoyait les passages difficiles des cours.

    - Je n’ai jamais acheté des bouquins supplémentaires pendant que j’étais en école.



    C’est après, par souci de sollicitations intellectuelles plus intenses, que je me suis mis à acheter des ouvrages de maths (entre autres) et à les travailler par moi-même.

    Mais encore une fois, je suis de l’avis de St François de Sales. L’interaction orale avec le prof, plus la mémoire auditive, sont meilleures que le travail solitaire sur livre. Et l’exposition de ce que l’on a compris d’un sujet donné est vraiment ce qu’il y a de mieux.



    Cordialement
  • Il y a de la sagesse dans les propos de ce François.
    Cela dit on peut ajouter une recommandation: la meilleure c’est d’écouter et d'observer.
  • Oui c'est l'art difficile de prendre des notes :
    - on note ce qui est écrit
    - puis on rajoute (en marquant la différence) ce que l'on entend
    - enfin on indique (séparément) ce qui se passe

    L'ensemble ajouté à la mémoire auditive (dont le rôle est prépondérant), consiste en une écoute active.
    Cordialement
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