problème d'énoncé je suppose

Bonjour à tous

Je me demande s'il n'y a pas une erreur dans le problème 4

Si quelqu'un peut m'aider.70068

Réponses

  • Bonjour.

    Non, je ne vois pas ... Quelle erreur ?

    Cordialement.
  • a quoi servent les deux rectangle
  • A donner une partie de l'énoncé.
    Sans ces données, l'exercice n'aurait pas de sens. Cherche un peu ce qui donne 15 x.
  • merci beaucoup dsl j'avais mal lu
  • Argh, je trouve cet exercice idiot à souhait... Le mot "variable" est particulièrement bizarre. Tu peux nous donner la référence du livre, LINO ?

    Si tu veux essayer de réfléchir vraiment au problème, voici comment les questions auraient vraisemblablement dû être posées (enfin, on ne peut qu'imaginer) :
    Soit $x$ un nombre que j'ai dans ma (moi, hein ! disons que je suis face à toi) tête. Soient deux rectangles tels que le premier a un côté de longueur $3x$ et l'autre de longueur $5$, et tel que le deuxième a un côté de longueur $x+2$ et l'autre de longueur $9$.
    1) Est-ce que tu te souviens du nom que l'on a donné au nombre $15x$ dans le cours ? Et au nombre $(x+2)\times 9$ ?
    Est-ce que tu peux réécrire la phrase $15x = (x+2)\times 9$ en utilisant ce vocabulaire ?
    2) Est-ce que le nombre que j'ai dans la tête peut être $2$ ?
    2) Ceci n'a rien à voir avec la question 1). Le nombre $x$ que j'ai dans ma tête est tel que $15x = (x+2)\times 9$. Est-ce que $x = 2$ ?

    Tu remarques que la question 1), c'est un peu comme une personne qui demande à un chien : "fais le beau, fais le beau !" et lui donne un sucre après ; et que la question 2), c'est "fais des additions et multiplications comme tu as appris en CE2".
  • Quel mépris pour les enseignants de collège (et donc leurs élèves) !
  • Tu parles de moi ou du livre ?
  • Non parce que j'imagine la scène :
    Prof (fantasmé, évidemment) : Que signifie l'égalité $15\times x = 9\times (x+2)$ ?
    Elève (fantasmé, évidemment) : Ben, je sais pas, moi... Que $15\times x = 9\times (x+2)$ ?
    Prof : Non.
    Elève : Que $15$ fois le nombre $x$ est égal à $9$ fois le nombre $(x+2)$ ?
    Prof : Non !
    Elève : Que $6x = 18$ ?
    Prof : Ah, non, certainement pas, tu sais bien que $x$ est une VARIABLE !
    Elève : Hein ?
    Prof : Bon, mais un nombre fois un autre nombre, qu'est-ce que c'est ?
    Elève : Une multiplication ?
    Prof : Oui, mais non !
    Elève : Je sais ! Le produit des deux !
    Prof : Ouiii, mais tu joues sur les mots, arrête de te moquer de moi ! Une longueur fois une longueur, c'est quoi ?
    Elève : Euuuuh, une aire ?
    Prof : Ouiiiii, c'est très bien ! Et alors, $15x$ c'est l'aire de qui ? Et $9\times (x+2)$, c'est l'aire de qui ? Et du coup, l'égalité $15x = 9\times (x+2)$ exprime le fait que les deux rectangles ont la même aire. Tu vois, c'était pas bien compliqué !

    Ce genre de jeu où la consigne ne veut rien dire et où l'apprentissage passe forcément par une série de tentatives au hasard se terminant par une bonne réponse (statistiquement, ça finit par arriver), moi j'appelle ça du dressage, pas de l'enseignement. J'espère que ce n'est pas ce que font les profs du secondaire, et j'espère que s'ils le font, c'est sur ordre direct de la hiérarchie...
  • allons georges, tu fais un procès d'intention

    rien ne nous dit que la réponse "ici comme partout ailleurs, $15\times x = 9\times (x+2)$ signifie que $15\times x$ est égal à $9\times (x+2)$" ne donne pas les points à la première question !

    d'ailleurs je trouve que LINO a raison de se demander ce que ces rectangles viennent faire là

    A part ça je trouve ta reformulation du problème un peu douteuse ; mettons que tu précises ce que veut dire "peut être" dans la deuxième question, et que tu supposes en plus que les deux rectangles ont la même aire, tu t'attends à quoi comme réponse ?
  • 0ka a écrit:
    rien ne nous dit que la réponse "ici comme partout ailleurs, $15\times x=9\times (x+2)$ signifie que $15\times x$ est égal à $9\times(x+2)$" ne donne pas les points à la première question !

    Tu as raison. En ce moment j'ai tendance à voir le mal partout... J'imagine toujours le pire :-D

    Et tout à fait, ma reformulation est douteuse, même farfelue. Je vais éditer mon post.

    EDIT : J'espère que c'est irréprochable maintenant.
  • Heu oui, là il faudrait beaucoup de mauvaise fois pour pas comprendre que ton choix de $x$ dans ta tête est conditionné ; mais si tu avais rajouté un timide "supposons que $15x = (x+2)\times 9$", j'aurais dit que on est à mi chemin entre un exercice de télépathie de haut niveau et un exo de logique à la con à base de "supposons que $0=1$" (le genre qui a du succès sur le forum :-D)
  • Comme d'habitude beaucoup d'ironie lorsqu'il s'agit du collège. J'aimerais voir le même acharnement sur les exercices d'un niveau supérieur... ils ne manquent pourtant pas d'implicite non plus, même quand tout est soi-disant correctement quantifié.
  • Oh ben je m'efforce de protester contre les énoncés des collègues (je n'enseigne pas au collège). Je n'aime pas les questions qui commencent par "calculer", "déterminer", "justifier", par exemple.

    Je ne critique pas le collège en général, juste cet exercice. Tu peux me dire, toi, quelles sont les attentes face à un problème comme ça ? Si une personne répond "rien de spécial", ou "rien car c'est une suite de symboles", répète l'équation, elle aura les points ? Ou alors, comme je le redoute, on ne mettra les points que si le mot "aire" est écrit ? Est-ce qu'on attend de la personne une "pêche aux informations" sur le dessin, plus une restitution d'un mot de vocabulaire précis ? Et pour la 2), ce n'est même pas une équation du premier degré, c'est quelques additions et quelques multiplications. J'aimerais beaucoup connaître les références du manuel pour voir le reste.
  • Je n'ai pas d'attentes, cela me fait juste sourire. Il y a tellement d'exercices niveau L1/L2 qui reposent entièrement sur "il fallait deviner que..." (les suites étaient adjacentes, l'intégrale se calcule facilement par parties, cette majoration est évidente, etc.) mais apparemment c'est trop demander d'un(e) collégien(ne) de s'apercevoir que $9(x+2)$ puisse représenter l'aire d'un rectangle dont les côtés mesurent $9$ et $x+2$.

    Accessoirement je veux bien des exemples d'exercices de niveau collège qui ne se bornent pas à calculer, déterminer ou justifier... (ou alors on va beaucoup conjecturer, étant donné qu'au collège il est quasiment interdit de démontrer ou de prouver !)

    Pour revenir à cet exercice en particulier, il répond à une mode : celle de la contextualisation. Ni plus, ni moins. Il est fortement déconseillé aux enseignants de "faire des maths pour les maths", il faut tout ramener à un problème concret. Cet exercice en est un bon exemple.
  • Deviner une technique pour répondre et deviner la question, ce n'est pas tout à fait pareil.
    C'est comme ça qu'on en arrive à des élèves qui travaillent sur le mode "quand tu vois cette question, tu dois répondre ça", sans que sens soit donné à la question.
  • @roumegaire : Mais même "calculer", c'est problématique, car l'exercice présuppose quasiment tout le temps que la réponse soit sous une forme spécifique, au goût de la personne qui corrige ("pas de racines carrées au dénominateur", etc). Même la consigne "simplifier" est floue, parfois. Je milite (enfin, je dis à qui veut bien l'entendre) que dans un cours appelé "maths", on ne devrait jamais mettre de consigne même un tout petit peu floue.
    Sans quoi c'est vraiment attendre des élèves de deviner ce qu'on ne veut pas leur dire - en ce qui me concerne, je serais bien en peine de devoir définir les mots "calculer" et "simplifier", et encore pire pour "signifier".
  • @alea : je pense que nous sommes assez loin de ton exemple avec cet exercice. Du moins je ne pensais pas qu'arriver à exprimer l'aire d'un rectangle sous la forme d'un produit de 2 nombres nécessite un bachotage particulier.

    @Georges : personnellement si je demande de calculer 2+2 (avec l'implicite insupportable au collège que ce calcul s'effectue bien dans le demi-groupe des entiers naturels muni de l'addition) et que l'élève me répond $\sqrt{144}-2^{3}$ je serai tout à fait disposé à lui donner le maximum de points (même si cela chagrine un peu mon attente d'un entier naturel comme résultat).

    Par ailleurs la plupart des mots utilisés ont (surprise !) un sens, comme par exemple simplifier une fraction.
  • Si une personne écrit $\sqrt{144} - 2^3$, elle écrit bien un entier naturel. Et est-ce que la fraction $\frac{1}{\sqrt{2}}$ est simplifiée ?

    En ce qui concerne ton exemple de $2+2$, ce n'est pas tellement $+$. Si une personne répond "ça fait $2+2$, parce que l'addition est commutative", tu lui mets les points ?
  • Pas la peine de s'étonner que la proportion des lycéens/collégiens parmi les poseurs de questions soient si rares soit si faible sur ce forum ! Les réponses les font fuir ...
    Charte du forum a écrit:
    4.4 - écrivez dans le plus grand respect de tous les intervenants ;
    4.12 - faites preuve de tolérance, de patience, de pédagogie. Évitez la condescendance et le dogmatisme. La critique constructive du contenu d’un message fait partie des échanges autorisés et souhaités sur le Forum, mais l’attaque nominative est mal venue.

    [Edit : remodifié grâce aux conseils de Félix]
  • Bonsoir,

    Gérard, une proportion est "rares" ? :-D

    Cordialement,

    Rescassol
  • C'est un pluriel d'emphase.
  • @gerard0 : Tu parles de moi ? Je n'ai pas l'impression d'avoir manqué de respect à quiconque, ni d'avoir fait preuve de condescendance. Si c'est au dogmatisme que tu penses, j'en prends note, et je ferai attention la prochaine fois.

    Tout ce que j'ai voulu dire, c'est qu'à mon avis, le texte se moque des personnes qui doivent subir son contenu. Si tu as compris mon message de la façon "il faut être bête comme un chien pour ne pas y arriver", je peux comprendre, mais je voulais dire "si je voyais un ou une collègue donner l'exercice tel quel à des élèves, je serais autant choqué que si ce ou cette collègue leur lançait des balles à attraper dans la bouche".
    Je ne voulais insulter personne, je ne crois pas l'avoir fait, et j'espère que c'est plus clair maintenant.

    Je crois que je vais arrêter de parler de "pédagogie".
  • Rescassol,
    effectivement, le sujet est proportion. Je barre.

    Georges Abitbol,

    à toi comme à plein d'autres. J'ai connu ce forum avec une forte participation de lycéens ... c'est fini. je l'ai eu recommandé, je ne le ferais plus.
  • "Du moins je ne pensais pas qu'arriver à exprimer l'aire d'un rectangle sous la forme d'un produit de 2 nombres nécessite un bachotage particulier. "

    Mais ce n'est pas du tout la question. Le mot aire n'est pas prononcé.
    Le "que signifie ici" n'est pas clair du tout.
    A minima, on aurait pu demander "que signifie pour les deux rectangles l'égalité ...
  • @Geroges: quoiqu'on en dise, on ne travaille que sur des suites de symboles. Ainsi l'expression "2+2" n'est pas la même que "4", bien qu'elles désignent le même nombre (et c'est justement toute la "subtilité triviale" que bien des gens ont du mal à saisir).

    On peut alors parfaitement donner un sens précis à "Calculer 2+2" ; on peut le traduire par exemple par "donner une expression du nombre représenté par 2+2 sans utiliser d'opérateurs arithmétiques". "Simplifier (une expression E)" c'est "Écrire avec le moins d'opérateurs possibles une expression représentant le même nombre que E".

    Comment alors noter ? Eh bien au "degré de réussite". Exemple, "simplifier 1+2+3". L'élève répond
    * "3+3": il n'a pas faux, mais il existe une meilleure simplification, on lui mets des points mais pas tout.
    * "$\ln(e) + \sqrt{4} +\sqrt[3]{27}$": il n'a pas respecté la consigne (il y a plus d'opérateurs !!), on lui met 0
    * "6" : on peut difficilement avoir moins d'opérateur que 0, on lui met tous les points.

    Tu me diras que je n'ai pas défini "une expression".... Ce n'est vraiment pas dur de le faire formellement, mais peu éclairant pour ce genre de choses.

    L'ambiguïté se situe plus dans la consigne et sa formulation : la question porte-t-elle sur le nombre en lui même ou sur ses représentations ? Mais cela devient un problème de communication et de transmission correcte des idées plus qu'un soucis de matheux de savoir si tout est bien défini.

    Pour "déterminer", je trouve que tu fais preuve de mauvaise foi (ou alors tu as en tête un type d'énoncé auquel je ne pense pas); tous ceux que j'ai en tête sont de la forme : "Déterminer (un/tous les) $x\in E$ tel que $P(x)$ est vraie" (où $P$ est une assertion), ce qui ne génère aucune ambiguïté pour "dire-si-la-réponse-est-correcte-ou-non".

    [small](pour me faire l'avocat du diable : rien dans la vraie vie n'est correctement défini ni spécifié ; tous les demandes qu'on reçoit sont toujours ambigues ; si à table on demande "passe moi le sel" personne ne va aller chercher le sel anti-givre dans le placard. Acceptons alors de donner des "consignes vagues" : si l'élève ne la comprend pas correctement c'est qu'il n'a pas compris ce qui était intéressant dans la question et donc qu'il ne mérite pas les points)[/small]
  • sebsheep a écrit:
    si l'élève ne la comprend pas correctement c'est qu'il n'a pas compris ce qui était intéressant dans la question

    Ben dans un exercice où toutes les consignes seraient "démontrer blablabla", il n'y aurait pas ce genre de problèmes.
    Et puis, en premier abord, on peut dire qu'il n'y a rien d'intéressant en maths !

    Moi ça m'embête de mettre $0$ quand la personne a écrit quelque chose de juste. Et quand on pose la question "déterminer tous les $x$ tels que $P(x)$", si la personne répond "c'est l'ensemble des éléments de $\{x \ \vert \ P(x)\}$", qu'est-ce qu'on fait ?

    Et puis, si tu me demandes d'exprimer le nombre $2+2$ par quelque chose qui ne contient pas d'opérateur arithmétique, j'ai bien envie de te répondre $2+2$ :-D
  • Mouais, mouais ou plutôt bof en fait.

    S
  • Georges a écrit:
    Moi ça m'embête de mettre 0 quand la personne a écrit quelque chose de juste.

    Question : "Calculer 1+1". Réponse "Le ciel est bleu". Tu mets des points ? Quand la réponse ne correspond pas à la question, ça s'appelle un hors sujet, ça ne mérite pas de points.

    Pour le "déterminer", ok je m'avoue quelque peu vaincu pour en donner un sens complètement explicite. Cependant, l'activité mathématique ne se résume pas à démontrer des théorèmes connus. Un des plus gros boulot des chercheurs en maths c'est de "déterminer" les théorèmes intéressants, et ce travail ne saurait être formalisé. Pour des ingénieurs c'est pareil, une grosse part du travail consiste à déterminer quels outils (mathématiques ou non) on doit utiliser pour résoudre tel problème.

    D'ailleurs, tu ne fais jamais résoudre d'équations à tes élèves ? Ce qui m'embête pas mal avec les "montrer que", c'est qu'on est forcé de donner la réponse ; donc oui je pose ces questions, mais pas que.

    Et pour la notation, pour ma part j'assume de noter de façon "sensible" suivant l'intérêt (et la qualité de rédaction) de la réponse, comme le ferait un prof d'histoire (pour ces questions du type "déterminer ...") : on peut sans trop de risques considérer que la réponse "l'ensemble des x tels que P(x) est l'ensemble des x tels que P(x)" est sans intérêt.
  • Ce qui me chagrine ce sont les chiffres dans les rectangles (1,2, l'aire des rectangles?)
    Et si $x<0$ on se retrouve avec un rectangle qui a au moins un côté de longueur strictement négative. :-D
  • Gérard qui reproche la causticité des réponses sur ce forum, on aura tout vu.
  • Il n'est pas certain que Gérard reproche ici la causticité des réponses.
    Sans prétendre être dans son cerveau, il me semble plutôt qu'il regrette l'ergotage sur des choses simples.

    De quoi s'agit-il ici ?
    On nous présente deux rectangles, nommés (1) et (2). On nous donne leur longueur. Pour la largeur, l'expression comporte une inconnue.
    On nous fournit une égalité dont il est facile de voir qu'il s'agit du produit longueur * largeur de chacun des rectangles, et donc de la mesure de leur surface. On peut immédiatement se faire la réflexion que les dessins ne nous avaient pas suggéré que leur aire pouvait être égale (vient alors à l'esprit le célèbre aphorisme selon lequel la géométrie est l'art de mener des raisonnements corrects sur des figures fausses, mais cet aparté est hors sujet pour à la résolution de l'exercice).

    La seconde question ne fait plus intervenir ces rectangles en tant que tels, mais de vérifier si l'égalité est exacte ou non pour une certaine valeur de l'inconnue.

    Dans tout ceci pas de piège ni de subtilité.
    La question d'origine étant de savoir s'il y a une erreur dans l'énoncé, la réponse immédiate de Gérard qu'il n'en voit pas semble clore le débat, sauf à ce que le questionneur précise alors ce qu'il avait en tête.

    On peut discuter à l'infini de la qualité pédagogique de l'exercice, de ce que chacun aurait préféré comme énoncé. Mais comme l'initiateur n'a pas précisé s'il est un élève déconcerté par celui-ci ou un professeur soucieux de ne pas donner à faire à ses élèves un exercice bancal, c'est un peu hors sujet tant qu'on n'a pas la réponse sur ce point.

    Amicalement
  • Shah d'Ock,

    je constate qui tu interviens souvent sur mes réponses pour les critiquer, directement ou indirectement.
    Je ne te connais pas, je ne connais que ce que tu écris sur ce forum. Je ne sais pas pourquoi tu n'aimes pas ce que j'écris, mais tes interventions depuis quelques jours systématiques, ne plaident pas en ta faveur.

    J'aimerais, parfois, te voir aider vraiment un collégien en difficulté. Ici mes deux interventions semblent avoir aidé Lino, puis, comme souvent, les "puristes" sont intervenus pour critiquer l'énoncé, ce qui évidemment ne sert à rien pour Lino; mais vous aimez bien ça ....
  • Je pense que tu te fais des idées.
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