Apparition spontanée de code en math ?

Je ne suis pas matheux, je suis métaphysicien (ok ok : matheux extrêmement raté :D) c'est-à-dire modélisateur de la totalité [matière-vie-pensée].

Dans mon modèle une catégorie de l'être construit donc des êtres et finit par construire un être spécial dans lequel elle a mis en reflet son identité propre. Cette mise en reflet, cette relation à soi récursive, génère de l'infini et cette puissance récursive instable finit par se résoudre, par se stabiliser par l'apparition de code.
Dans le modèle je donne 3 exemples : le code ADN pour la catégorie de la matière, le code du langage humain pour celle de la vie et le code de la machine de Turing pour celle de la pensée (flippez pas, tout va bien, c'est normal : c'est de la métaphysique :D)

Donc voilà ma question : est-ce qu'en math il y a un objet, probablement issu du géométrique, du continu, qui est évolutif, qui se construit tout seul, qui arrive à un certain moment à une relation récursive à lui-même, cette récursion produit de la "puissance", de l'infini et cette puissance instable se stabilise sous forme de code ?

Question subsidiaire : si cet objet n'existe pas encore, pouvez-vous le construire, soit formellement, soit de façon algorithmique ou soit sous forme hypothétique comme conjecture un peu élaborée ?

Question sub-subsidiaire : est-ce que vous pourrez essayer de me faire comprendre (sans vous suicider :D) pour que je mette un addendum formalisation à mon modèle ?
Je vous donne quelque idées pour vous représenter les choses :

1) un nuage de poussière interstellaire, habité de mouvement infini gravitationnel, se stabilise presque toujours sous la forme structurée, sub-codée pourrait-on dire, d'un système planétaire ;

2) dans la tête de Godel et de Turing la pensée vraie, la mathématique, se met en reflet d'elle-même, veut créer un système mathématique formel pour prouver, rendre vrai, rendre mathématique, toute la mathématique elle-même. Dans cette effort de mise en reflet, de récursivité, la nécessité de code apparaît spontanément dans la tête de Godel et celle de Turing.

Capito les gars ?

Réponses

  • Rien compris.
    Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about.
            -- Schnoebelen, Philippe
  • Pas compris pourquoi nicolas.patrois voudrait qu'il y ait quelque chose à comprendre dans les "productions" d'un métaphysicien auto-proclamé ?
  • Socrade a écrit:

    Donc voilà ma question : est-ce qu'en math il y a un objet, probablement issu du géométrique, du continu, qui est évolutif, qui se construit tout seul, qui arrive à un certain moment à une relation récursive à lui-même, cette récursion produit de la "puissance", de l'infini et cette puissance instable se stabilise sous forme de code ?

    Non.
  • Bonjour,
    J'ai pas trop compris non plus. Je propose un truc : l'évolution de la suite de Conway 1, 11, 21, 1211, 111221, etc. est a priori désordonné, mais en fait, les chiffres finissent par se regrouper en "éléments chimiques" qui ont une évolution bien connue et structurée et qui forment une sorte de code, si vous voulez. Plus de détails ici.
    J'en profite pour relancer le fil Les suites audio-actives de Conway, auquel j'espère que quelqu'un pourra répondre. :-D
  • pldx1 a écrit:
    Pas compris pourquoi nicolas.patrois voudrait qu'il y ait quelque chose à comprendre dans les "productions" d'un métaphysicien auto-proclamé ?

    Je te rassure, je n'ai pas cherché longtemps. :-D
    Algebraic symbols are used when you do not know what you are talking about.
            -- Schnoebelen, Philippe
  • Bonjour,

    Cela ressemble à la notion d'émergence, de propriétés émergentes. Par exemple l'apparition de la vie ne serait pas réductible, explicable, par les simples propriétés physico-chimiques de la matière, des atomes et molécules. Idem pour l'émergence de la conscience. Un début de documentation pourrait être la lecture de l'article Emergence de Wikipedia.
  • Mais justement,

    en maths il n'y a aucune émergence (Christophe dirait que "toute preuve est une tautologie").
    La réponse de FdP est donc la seule utile à Socrade, qui ferait mieux de chercher ailleurs (et pas ici "parce qu'il y a de la lumière").
  • Bonjour Gérard.

    Nous disons en effet; en substance, la même chose :

    - Ce n'est pas mathématique et il y a peu de chances de trouver sur ce forum un "métaphysicien" pour embrayer.
    - Cet "ailleurs" pourrait débuter avec wiki.

    Mes amitiés.
  • Gérard:

    Voir à 1 minute 37,

    (:D
  • Juste pour dire que le code, les programmes, apparaissent naturellement en logique : via le programme qui énumère tous les théorèmes de ZFC (donc tous les théorèmes des mathématiques)
  • @FdP

    Tu peux mettre ton 1 min 37 s (= 97 secondes) directement dans l'URL : <
  • Le code et son apparition est-il formalisable en math ? Car il appairait deux fois spontanément dans la nature, dans l'ADN puis le langage humain. Comme ces deux codes sont le support de deux grandes catégories du réel, la vie et la pensée, il faut faire de la métaphysique, c'est-à-dire de la modélisation de la totalité matière-vie-pensée pour aborder cette question. Votre but ici ça n'est pas de porter des objections, je pourrais répondre mais ce n'est pas le lieu et il n'y a pas la place, votre but c'est d'arriver à comprendre d'où sort cette idée d'apparition spontanée de code !

    Partez du fait qu'il existe trois catégories d'êtres : des êtres purement matériels, purement physiques, des organismes vivants et des êtres de pensée comme "2+2=4". Vous remarquez qu'à la source de ces catégories il y a un être spécial porteur de code : le code ADN supporte le vivant et le langage humaine la pensée. Pour faire bon poids vous postulez que le Graal de la physique qui unifie la gravité aux autres forces et qui supporte la matière est lui aussi porteur de code. Vous remarquez aussi qu'il existe un quatrième être support de code : la machine de Turing et que justement elle supporte l'immensité des données informatiques, est à la source d'une nouvelle catégorie de l'être : la catégorie data.

    Ensuite, vous repérez qu'il y a une diversité d'être phénoménale à l'intérieur de chaque catégorie :

    matière : un caillou, une galaxie, l'univers tout entier
    vie : un hibou, une bactérie primordiale
    pensée : une théorie shamanique de l'esprit du grand hibou, la mécanique quantique

    MAIS que chaque catégorie possède une identité d'être très forte, très évidente si on la compare aux deux autres : vous sentez bien qu'entre un hibou et une bactérie il y a une communauté d'être très forte qui n'est pas celle que partagent un caillou et l'univers ni celle que partagent une théorie des esprits et la mécanique quantique. Vous l'avez sur le bout de la langue la définition de cette différence et vous allez l'avoir sur la langue en vous posant cette question : où est la définition des êtres ? Quelle est la relation topologique de l'être à sa définition ?

    Un être matériel est un être qui est défini à l'extérieur de lui-même, dans les lois physiques (remember : pas d'objections ! je *sais* que ce sont des formalisations humaines)
    un être vivant a sa définition à l'intérieur de lui-même (attention : intérieur en topologie *métaphysique* ie liée à une logique de la totalité, même s'il se trouve que les êtres vivants ont aussi leur définition à l'intérieur au sens au sens commun, c'est-à-dire spatial)
    les êtres de pensée ont leur définition *entre* eux. (idem : entre *métaphysique*, lieu métaphysique d'existence de la pensée).

    V
    ous pouvez vérifier, ça marche très bien, il n'y a pas d'exception à cette identité d'essence topologique extérieur-interieur-entre des êtres des catégories matière-vie-pensée (et si vous en trouvez : remember : pas d'objections :D)

    Maintenant interrogation, on va voir ceux qui suivent :D quelle est l'identité métaphysico-topologique de la catégorie data ?

    Je vous donne le modèle général pour l'apparition de code, c'est une expression de l'infini en fait : donc une catégorie produit des êtres et par saturation d'elle-même à un certain moment elle produit un être-reflet, un être-miroir dont l'objet c'est elle-même c'est-à-dire son identité topologique, ce qui fait que cet être a un fonctionnement récursif porteur d'un infini concret qui lui-même va se stabiliser sous forme d'un code, code lui-même porteur d'un nouvel infini par auto-contradiction, ce qui va donner naissance à une nouvelle catégorie de l'être et une nouvelle topologie. C'est bon vous pouvez souffler :D mais ça va devenir self-évident avec la description concrète du cas de la catégorie de la pensée, la catégorie de l'entre :

    ce qui définit la pensée mathématique c'est qu'elle est la plus pure, la plus vraie, exactement parce qu'elle existe *absolument* ENTRE les mathématiciens, ie qu'elle ne dépend absolument pas de l'opinion personnelle d'un individu ni de contingences extérieures à la pensée : c'est vraiment la pensée pure, c'est "l'entre" pur. À un certain moment la pensée pure arrive à se connaître suffisamment, arrive à un niveau de saturation suffisant pour donner naissance à la machine de Turing qui est justement l'entre de l'entre, c'est-à-dire l'objet mathématique dont l'objet est l'entre lui-même. En effet le but de la machine de Turing c'est de pouvoir représenter toute formule mathématique possible et comme c'est aussi un objet mathématique, de pouvoir s'appliquer à elle même et ainsi montrer que la mathématique existe absolument par elle-même : c'est une mathématisation de toute la mathématique, une "entrisation" de l'entre, l'objet de pensée dont l'objet est le type topologique de la pensée c'est-à-dire l'entre.

    C'est pareil avec le théorème d'incomplétude de Godel, dont l'objet est de faire exister l’arithmétique à l'intérieur de l’arithmétique elle-même, c'est-à-dire hors-sol, dans l'entre pur, ce qui revient à prouver l'entre pur, c'est-à-dire "entrer" l'entre. Pour cela Godel *code* les assertions arithmétiques sous forme d'entier (si j'ai tout bien suivi). Il faut saisir que, contrairement aux apparences, cette méthode est moins mathématique que celle de Turing car plus dans la tête du mathématicien alors que la machine de Turing est dérivée des machines à écrire et donc est un objet à l'extérieur de la tête des mathématiciens, c'est-à-dire encore plus indépendante de leur opinion, encore plus "entre", c'est pourquoi c'est elle qui est vraiment la porteuse du code. D'après ce que j'ai vaguement compris, il existerait une théorie équivalente à la machine de Turing, le lambda calcul de Church : à vous de vérifier que c'est aussi un codage et pourquoi ça *doit* être un codage. (Bien sûr si ça n'est pas le cas : remember : pas d'objections :D)

    Quelques idées sur les relations intimes de l'infini et du code, mais c'est à vous de clarifier et vous faire votre propre idée :

    1) l'infini concret récursif est instable et finit pas se se cristalliser sous forme de code. Vous pouvez prendre la théorie du chaos comme modèle : vous avez un retour récursif sur soi infini qui se cristallise sous forme d'attracteur, c'est pareil mais en pas achevé : l'attracteur c'est de l'ordre du sub-code, c'est-à-dire une prise de contrôle incomplète, non-codée, de l'infini. Le code c'est l'infini de l'infini, la prise de contrôle dans l'infini du combinatoire d'un infini sous-jacent.

    2) le code est lui-même porteur de l'infini pas vraiment par la combinatoire mais par le fait qu'une définition codée relève du non-être et du contradictoire. Par ex. l'infini des entiers c'est la *contradiction* entre le fait en béton que les entiers pairs est un ensemble plus petit que les entiers et le fait en béton qu'ils sont en bijection donc sont aussi nombreux ce qui est parfaitement contradictoire et ça vient du fait que les entiers sont une *définition*, c'est-à-dire du non-être, du *désigné*, du virtuel. Mais il faut bien voir que ça ne concerne pas que la catégorie de la pensée : la vie est un défi contradictoire aux lois physiques, à leur externalité, de même que la matière est un défi au quantique, au hasard et au multiple du "paquet d'onde". Pareil, ça vient du fait que l'organisme vivant est une *définition* codée dans l'ADN et la matière est certainement une *définition* codée dans un être quantique actuellement inconnu qui contrôle et cristallise l'infini quantique du hasard et des multiples. Mais bon ne vous sentez pas obligé de formaliser ça, c'est juste des vitamines pour la tête :D

    3) le contradictoire à la source de l'infini peut être vu comme un *déphasage* de l'être par rapport à lui-même, s'il essaie "d'être" lui-même : appliquée à elle-même la machine de Turing ne s'arrête pas et donc devient incontrôlable, c'est-à-dire n'est plus une machine ! Pareil avec le théorème d'incomplétude : appliquée à elle-même l'arithmétique devient anti-mathématique c'est-à-dire se met à produire des assertions à la fois vraies et fausses ou l'inverse ! Mais ça reste à la marge et surtout ça produit de l'infini c'est-à-dire une fuite en avant dans le codage, dans la formalisation.

    Je peux reprendre exactement la même argumentation et montrer par le détail que l'ADN est l'objectivation matérielle de l'externalité des lois physiques et la pensée l'objectivation vivante de l'internalité du vivant. L'infini est évident dans le mécanisme de réplication, qui a vocation à envahir et définir tout l'univers et tout aussi évident dans la pensée qui est simplement singerie absolue c'est-à-dire singerie de l'autre en train de me singer : les deux sont mise en reflet infinie de la matière et de la vie.

    Donc au total vous avez comme concepts pour démarrer vos formalisations :

    -un être est quelque chose qui est défini par du code quelque part...
    -ce quelque part, c'est-à-dire la relation topologique de l'être à sa définition, définit son type, sa catégorie. Actuellement on peut reconnaître facilement 3 types topologiques naturels : extérieur, intérieur, entre
    -quand l'être devient son type, que son objet est le type de sa catégorie, cela produit une relation récursive/contradictoire/déphasée/infinie à lui-même qui va faire apparaître du code. C'est la nécessité de cette apparition qui est à formaliser.
    -cette apparition de code va entraîner l'apparition d'une nouvelle catégorie de l'être, caractérisée par une nouvelle topologie, dont le type peut se calculer par une logique d'inversion *intégrante* : par ex. l'entre c'est une inversion de l'intérieur en extérieur *pour des êtres de l'intérieur*, c'est l'extérieur à l'intérieur de l'intérieur : la vérité mathématique vous est extérieure, c'est son essence, mais elle n'existe que dans votre tête ! Ça aussi c'est à formaliser, mais ça m'a l'air super-facile, je vous le laisse avec plaisir, ne me remerciez pas :D

    J'arrête là sinon vous n'aurez plus rien à faire :D Faudrait quand même bosser un peu pour mériter votre place de premier métaphysicien formel de toute l'histoire de la philo :D

    Si vous ne comprenez toujours rien, allez lire n'importe quoi de Hegel et revenez : vous verrez, c'est du Hanouna métaphysique ce speech :D

    ps : pour ceux qui n'ont pas trouvé l'identité de la catégorie data, la réponse est au début de la question... L'être et sa définition sont la même chose, du code. Il n'y a plus de topologie, entendue comme *différence* entre être et définition, c'est pourquoi la catégorie data est la dernière catégorie.

    Bon... question pour ceux qui suivent : quelle est l'identité métaphysico-topologique du quantique ? (indication : c'est pareil mais dans l'autre sens, celui de la distanciation)
  • bon à la relecture c'est vrai que c'était pas clair, je m'exuse. J'ai mis une version complète de cette question ici :
    http://www.les-mathematiques.net/phorum/read.php?16,1901678

    (discussions fusionnées.)
  • Socrade:

    Ton générateur automatique de phrases fonctionne bien, à l'orthographe près.B-)-

    [Non, il est mal codé pour "c'est-à-dire", mais à part cela, il est bon en orthographe. :-D AD]
  • @findepartie : Tu as une impression langagière parce que tu ne te pose pas de questions métaphysiques. Mettons que tu soit réaliste en math ie que les objets mathématiques existent et sont découverts. OK mais ils existent où ? dans le serveau ? (avec un s comme scientifique). Donc faire des maths ça revient à touiller des neurones ? euh... t'as pas mieux ?

    Moi je dis que t'auras pas d'idées cohérentes sans passer au niveau métaphysique c'est-à-dire avec des idées qui couvrent la totalité du réel, par ex. "entre" comme lieu d'existence métaphysique des objets mathématiques, parce que décliné en "intérieur" ça couvre la vie et en "extérieur" la matière.

    Mettons que tu refuses la structuration matière-vie-pensée, ok, mais tu proposes quoi ? Tu vas voir que penser les choses, ce qu'elles sont et pourquoi elles existent c'est très très dur, tu ne trouveras rien de convainquant.

    Si tu vas vers la philo classique, le top c'est Hegel, mais tu t'apercevras que ça ne dit rien du réel et qu'en fait c'est de l'épistémologie, ie des considérations sur la bonne manière de penser l'absolu.

    Bien sûr tu peux refuser le réalisme et t'as la porte du fond. Si, celle où il y a marqué "sciences" humaines. Tu rentres et dedans et t'as encore mieux, celle où il y a marqué "théorie du genre". N'oublie pas de refermer à cause de la pestilence, merci :D
  • AD:

    Et ça:
    Socrade a écrit:
    Le code et son apparition est-il formalisable en math ? Car il appairait deux fois spontanément dans la nature

    ?
    Cordialement.

    PS:
    Bon courage pour corriger le message précédent. B-)-

    Socrade:
    Il ne suffit pas d'aligner des mots et de respecter plus ou moins la syntaxe pour donner du sens à un texte.
    On dirait un discours de gourou face à ses adeptes.
    On est censé taper dans nos tambourins en soutien à la fin? :-D

    PS2:
    J'aime bien le gâteau de riz. B-)-


    PS3:
    J'avais lu en diagonale le texte précédent de Socrade. J'étais sûr d'y trouver une allusion à la mécanique quantique.
    Et cela n'a pas raté. Le discours creux new-ageux fait toujours des allusions à la mécanique quantique c'est une constante de ce type de texte. B-)-
  • @FdP

    Ce n'est pas parce que Socrade ne rentre pas dans le moule de la pensée mathématique aussi bien que toi, petite tomate bien rouge et parfaitement calibrée, qu'il faut rejeter en bloc ses idées. Socrade t'a posé des questions très profondes ; je suis décu de voir avec quelle désinvolture tu les as esquivées. :-(
  • Bonjour,

    FdP=petite tomate bien rouge et parfaitement calibrée (:D
    Elle me plaît bien, celle là !!! Bravo Brian !

    Cordialement,

    Rescassol
  • Brian:

    Pourrais-tu me faire un résumé de la pensée métaphysique profonde de Socrade s'il te plait? B-)-

    NB: Quelques précisions.
    J'ai fréquenté il y a quelques années une myriade de conférences de gens venus prêcher la bonne parole new-âge.
    Ces conférences avaient pour but bien évidemment de recruter de nouveaux adeptes.
    Des phrases creuses en jargon new-ageux j'en ai entendues une quantité incroyable.
    En outre, j'ai été très longtemps auditeur d'une radio-FM parisienne spécialisée sur ce crédo et des charlatans j'en ai entendus un nombre incalculable.
    Alors je pense que je suis capable de reconnaître du bullshit new-ageux quand j'en lis ou que j'en entends.

    Le propos de Socrade n'échappe pas à ce que j'ai l'habitude d'entendre: du vide sidéral enrobé de mots et d'expressions bien choisis pour la com' et impressionner le gogo.

    PS:
    Si Socrade vient pour échanger sur un sujet je pense qu'il s'y prend très mal.
  • Quatre cigarettes en seulement deux messages ! Pour quelqu'un qui n'abuse pas des substances addictogènes, je trouve que tu fumes beaucoup sur le forum. Mais revenons au sujet. Pourquoi vouloir toujours tout réduire, résumer, simplifier ? « Ma thèse en 180 secondes », « Mon mémoire MEEF en 180 secondes », etc. Maintenant, il faudrait que je résume la pensée de Socrade ? Crois-tu vraiment que la Pensée Complexe puisse souffrir une reductio ad minimum sans perdre de sa substance ? Triste époque...
  • Brian:

    C'est bien ce que je pensais.Tu viens m'expliquer qu'il faudrait que je m'intéresse au texte de Socrade et quand je te demande de me dire ce que tu as compris, tu te dérobes. B-)-


    PS:
    Je peux fumer virtuellement mais cela n'intoxique personne. B-)-

    PS2:
    Ceux qui ont compris quelque chose peuvent écrire ce qu'ils ont compris (ou croient avoir compris) s'ils le veulent bien. B-)
  • Bonjour.

    Moi, j'ai pris dans le texte de Nullos une phrase au hasard :
    "
    -un être est quelque chose qui est défini par du code quelque part... "

    Voilà exactement la définition de la phrase creuse du cuistre : Des mots à la mode ("code") ou basiques en philo ("être") qu'on mélange sans savoir si ça veut dire quelque chose ou pas.
    Exactement le contraire de la réflexion philosophique ou simplement intellectuelle. La cuistrerie.
    Jusqu'à présent, je n'étais pas intervenu, car Nullos parlait seul ...

    Cordialement.
  • @findepartie : en fait t'as rien lu, je n'avais pas compris, je n'aurais pas dû te répondre. [*** Restons avec des propos décents. Merci. AD]
  • Socrade:

    Je vais te faire la même demande qu'à Brian, qui s'est défilé, si tu veux bien:
    Pourrais-tu résumer ton propos?

    NB:
    Inutile de t'en prendre à moi, je ne suis pas responsable de ce que tu as écrit.
  • Oh ! ::o

    Je t'ai pourtant bien expliqué pourquoi je ne pouvais pas résumer ça...
  • Brian:

    Tu as refusé de faire ce résumé, c'est ton droit bien évidemment, avec un argument peu crédible de mon point de vue.
    C'est la raison pour laquelle j'ai écrit que tu t'étais défilé.
    Ce que je comprends au fond très bien car moi non plus je ne sais pas comment décrire le vide sidéral.
  • Blablabla est un bon résumé à mon sens. Entièrement d'accord avec la tomate rouge sur ce point(:P
  • @findepartie : mec, le métaphysicien le plus reconnu, Hegel, c'est des milliers de pages absolument incompréhensibles, les allemands sont obligés de lire les traductions françaises retraduites en allemand pour se faire une idée ! Mon document de base c'est seulement 20 pages, là je fais l'effort de de rerédiger en une seule page et tu n'y arrive même pas, tu veux un résumé ! Ça n'a absolument aucun sens, c'est pour ça que Brian refuse de répondre, c'est comme si tu voulais une grosse théorie mathématique en un paragraphe. T'as le droit de te limiter à la certitude mathématique, ce n'est pas un souci, ça peut être même une décision honorable, raisonnable, mais ça ne t'autorise pas à faire des critiques et des demandes insensées !

    Ce que je peux te dire en quelques lignes c'est que le savoir vrai, vérifié avec 100% de certitude n'existe que pour la mathématique et son application au monde physique où il est certifié par l'expérimentation. Pour le reste c'est-à-dire la vie en soi et surtout le phénomène psychique il n'y a absolument rien, on n'a jamais vu un "chercheur" en "sciences" humaines être capable de faire ou prévoir quoi que ce soit. Il y a des gens qui sont capables de percevoir sans flipper que la réalité en soi est un mystère total et éventuellement se lancer dans une modélisation métaphysique de cette totalité, incluant le phénomène de la vie et surtout celui de la pensée. Moi j'ai un modèle qui marche et qui énonce que la réalité est faite de catégories d'êtres qui sont homogènes et définissables de manière uniforme à partir d'un seul concept topologique qui est la relation entre un "être" ie quelque chose qui existe et l'endroit où il est défini de façon codée. Ces catégories sont emboîtées les unes dans les autre avec un être spécifique, celui qui porte le codage et qui fait passer d'une catégorie à la suivante. Le quantique dans mon modèle est exactement identique au physique, au biologique, au psychique et à l'informatique : il est complètement banalisé et juste défini par son identité topologique spécifique (le néant btw), ça n'a rien à voir avec la branlette mystique des newagers, qui, confrontés comme tout le monde depuis la nuit des temps au mystère du psychique, cherchent de la réassurance par projection du psychique dans le non-psychique, c'est la pauvre petite idée qu'on les religieux depuis la nuit des temps, on est bien d'accord là-dessus si c'était ça ta "critique".

    Si tu veux, je m'en fous de ce modèle, ça ne m'apporte pas plus que ça, simplement j'ai l'impression que cette histoire de topologie et d'apparition de code est déjà pas mal formelle au niveau philosophique, en fait beaucoup plus que n'importe quoi d'autre (à part la "logique du contradictoire" de Stephane Lupasco, mais qui est nettement moins métaphysique car émanant du quantique seul).

    Donc c'est un challenge que j'amène ici, c'est tout : est-ce qu'il y a quelqu'un qui arrive à saisir cette histoire de topologie et de code et arrive à l'amener à un meilleur niveau de formalisation ?
  • Socrade a écrit:
    mec, le métaphysicien le plus reconnu, Hegel, c'est des milliers de pages absolument incompréhensibles, les allemands sont obligés de lire les traductions françaises retraduites en allemand pour se faire une idée !


    Dis moi ce qu'apporte à l'exposé de ta pensée ce genre de phrase? C'est pour montrer que tu sais écrire correctement le nom de Hegel ou suggérer que tu es au fait de son œuvre philosophique ?
    Socrade a écrit:
    il n'y a absolument rien, on a jamais vu un "chercheur" en "sciences" humaines être capable de faire ou prévoir quoi que ce soit.

    Toi qui aimes bien Youtube je te conseille de regarder la chaîne d'horizon Gull. https://www.youtube.com/channel/UCGeFgMJfWclTWuPw8Ok5FUQ
    Après quelques vidéos, tu devrais être moins péremptoire.

    Le reste de ton message, je ne pourrais que répéter ce que j'ai déjà écrit: du vide sidéral avec des mots-cerise dessus pour faire sérieux, à mon humble avis.
    C'est le principe des horoscopes: tu écris des phrases vagues pour aller à la pêche au ressenti des gens.
    C'est-à-dire attraper un lecteur qui aura lu ce qu'il a bien voulu lirecomprendre. Une sorte de paréidolie littéraire.
  • Après la cuistrerie, le mensonge éhonté : "le métaphysicien le plus reconnu, Hegel, c'est des milliers de pages absolument incompréhensibles, les allemands sont obligés de lire les traductions françaises retraduites en allemand pour se faire une idée ! "

    C'est vraiment lamentable !!
  • Plus c'est gros, plus ça passe.
  • Hah ! je n'avais pas fait gaffe : Fin de partie 17306 posts !!! on est dans le trolling grand veneur là :D:D:D

    Le troll ça dégoûte de l'humain mais d'un autre coté ça peut pousser à clarifier la pensée, je pense que les gens saints d'esprit et ouverts à la pensée métaphysique ont apprécié les clarifications que le troll m'a poussé à faire, d'ailleurs je le remercie pour ça.

    Si quelqu'un arrive à quelque chose avec les idées que j'ai pu donner, prévenez-moi par mp car j'ai eu ma dose de troll pour au moins 5 ans là :D
  • Juste pour en rajouter une couche Impostures intellectuelles.
  • Socrade:

    Je ne suis pas responsable du contenu de ce que tu écris donc inutile de t'en prendre à moi.Parcours à nouveau ce fil que tu as ouvert. Que constates-tu? (je ne te pose pas cette question pour que tu me parles de moi qu'on se comprenne bien)
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