Organisme de soutien scolaire/ Cours particuliers.

Bonjour à tous,

Jeune professeur (ma première année) et les vacances approchant j'ai pensé donner des cours particuliers durant l'été en région parisienne. Pour être plus précis je souhaiterais donner des cours particuliers en mathématiques pour des élèves de l'école primaire au collège. Me documentant sur le sujet j'ai pu constater que nombreux étaient les organismes de soutien scolaire existants et se faisant concurrence. C'est pourquoi je suis un peu perdu dans cette forêt et j'aimerais bien connaître l'avis de ceux parmi vous qui ont déjà eu cette expérience sur le traitement général (offre, sérieux, rémunération, contact, recrutement) d'un ou plusieurs de ces organismes. Alors, je sais que j'incite à la publicité via ma question et j'en suis désolé mais c'est pour la bonne cause.

Merci d'avance.

Réponses

  • 1- Es-tu sûr d'avoir le droit de faire ça de manière légale ?

    2 - Les cours particuliers sont l'avenir des profs...

    3 - Merci pour les profs qui essaient dans leur classe d'apprendre quelque chose à leur élèves...

    Youpi !

    L.

    PS : désolé, je réponds pas aus questions.
  • 1. Oui, c'est légal. Si ça ne l'avait pas été je n'aurais en aucun cas étudié le sujet.

    2. /

    3. L'un n'est pas incompatible avec l'autre. Nous le savons tous, malgré l'ensemble des pratiques pédagogiques existantes, il y a malheureusement toujours des élèves qu'on laisse sur le bord de la route, c'est un constat. Alors je suis peut-être naïf mais c'est en partie pour eux que j'avais pensé à cette manière de les soutenir.

    Merci.
  • "c'est en partie pour eux que j'avais pensé à cette manière de les soutenir": Kifton, s'il te plaît, n'en fais pas trop dans l'humanitaire social..

    On sait bien que presque tous les profs ont, à un moment de leur vie (étudiant ou jeune prof débutant, le plus souvent), donné des cours particuliers, essentiellement pour des motifs financiers bien légitimes et pas pour faire plaisir..

    Autant je comprends cette pratique lorsqu'elle se limite à une relation individuelle (un prof passe une petite annonce à laquelle répondent éventuellement un ou des élèves potentiels, pour un tarif raisonnable), autant je suis très méfiant vis-à-vis d'officines commerciales dont l'unique objectif est le profit.
  • Oui, je suis d'accord avec toi Aleg mais via les organismes c'est légal et via une annonce dans un quelconque journal non, c'est du travail au noir...

    D'où mon intérêt pour ces organismes.
  • Non, ce n'est pas nécessairement du travail illégal, si tu factures dûment tes prestations et si tu déclares tes gains au fisc sous la rubrique "bénéfices non commerciaux".
    De plus :
    - je crois me souvenir qu'en deçà d'un certain seuil annuel, ceux-ci sont exonérés de cotisations sociales (se renseigner auprès du centre des impôts).
    - tu peux facturer des frais (de déplacement, le plus souvent) à tes "clients", qui ne sont pas imposés.

    Mais, évidemment, c'est un peu plus compliqué que d'être salarié, car ça nécessite de tenir une comptabilité précise et de ne pas se tromper dans les calculs... car, sinon, couic, le contrôleur des impôts, lui, ne fera pas dans l'humanitaire social..
  • :) Merci pour tes précisions ainsi que ton humour pince-sans-rire.
  • Il est probable que tu puisses te faire rémunérer par des Chèques-emplois service puisque les cours particuliers sont une forme de service à la personne.
  • bonjour,

    Je gagne ma vie dans le soutien scolaire. Ce n'est malheureusement pas un pti boulôt mais mon unique source de revenus. Tous les organismes de soutien scolaire sont "sérieux". Ce n'est pas la question.

    quelques remarques:

    1) Ce sont des sociétés commerciales. Ils prennent le maximum de marge, par exemple, certaines familles payent plus de 50 euros et l'enseignant touche 15 ou 16 euros.Tu as donc tout intérêt à trouver tes clients tout seul et être rémunéré en CESU.

    2)Les deux grands groupes de soutien scolaire, de fait, ont déchiré le code du travail en confettis. J'explique. Ce sont des patrons qui ont des milliers d'employeurs sans contrat de travail. Travailleur du soutien scolaire, les organismes te téléphonent pour te mettre en contact avec une famille. Au début , tu es harcelé sur ton portable mais content, car il y a du taf
    et des clients. Si pour une raison quelconque, il y a un problème, même qui n'est pas de ton fait, l'organisme ne t'appele plus. Tu n'es plus un "professeur prioritaire". Le licenciement, de fait, est immédiat et sans appel.

    un mot pour décrire cela: "taillable et corvéable à merçi".

    Le salarié n'a aucune ancienneté,aucune histoire, aucun comité d'entreprise,pas de formation professionnelle,pas de logistique (très peu d'organismes de soutien fournissent d'ouvrages scolaires)

    3) il y a un entretien d'embauche. Dans certains organismes, il faut avoir la licence en poche pour enseigner au lycée. Si tu vas à un entretien d'embauche, soigne ta présentation et met en valeur tes diplomes.Si tu n'as pas la licence, tu risques de faire du collège.

    4) Entre organismes de soutien scolaire, il y a de fortes disparités au niveau du mode de paiement, certains payent par virements bancaires, en date de valeur le surlendemain, d'autres t'enverront un chèque , un mois après, par la Poste que tu devras réexpédier par courrier à ta banque, avec tous les alea. Grosse galère.

    5) pas de contrat de travail avec le donneur d'ordre, pas de syndicat, pas de jours fériés. Tu travailles quand les autres ont fini leurs journées, c'est à dire, en fin de soirée et le week-end.

    6) L'été, il y a une très forte baisse d'activité.

    7) l'activité est plombée par la hausse du prix du carburant. Si tu donnes un cours particulier à 16 euros avec trois euros de frais d'essence, il ne reste rien dans l'assiette. D'autant que certains "collègues-concurrents", eux n'hésitent pas à faire des kilomètres pour donner un cours et c'est le b..... Tu habite par exemple St-Rémi les Chevreuse, d'autres font vingt-cinq kilomètres pour venir donner un cours particulier dans TA ville, ce qui t'oblige en retour à effectuer de longs déplacements pour aller travailler ailleurs.

    Pour terminer:

    - Il faudrait que les collègues dans le soutien scolaire refusent les missions trop loin de leur villes de base. Je reste persuadé que ça augmente les frais de déplacement pour l'ensemble des travailleurs du secteur.Les organisme de soutien, qui sont en forte concurrence les uns contre les autres, régulent très peu cet aspect économique de l'organisation du travail.

    -il faudrait une association des enseignants, ceux dont l'activité principale
    est le soutien rémunéré, pour nous défendre contre ces patrons d'un nouveau type
    et cette organisation du travail particulièrement défavorable sur le plan de la rémunération.

    -les plates-formes de services, du type Accord ou autre, proposent un certains nombres de services à la personne aux salariés des grandes entreprises
    ,jardinage,garde-d'enfants,ménage,soutien scolaire,..,, ces plates-formes existent dans nombre de grands groupes, banques,assurances,etc.. ces plates-formes de services ne référencent que les organismes mais non les particuliers,
    contrairement aux texte et à l'esprit de la Loi.

    c'est à dire qu'un prof de maths ne peut, actuellement, pas se faire référencer chez une plate-forme de services. J'ai testé. C'est exactement le même problème que dans le secteur informatique: les grands groupes travaillent avec des partenaires SSII et rarement avec des salariés en free-lance.

    - à long terme, il faudrait créer une coopérative de producteurs, sur un type associatif et égalitaire, un peu sur le mode des coopératives agricoles: les paysans s'associent librement, dans une région, au sein d'une coopérative pour vendre leur huile d'olive. Alors,pourquoi ne pas nous associer pour vendre nos cours de maths. Parce qu'actuellemnt, des milliers de profs sont isolés et passent par des sociétés commerciales à but très lucratif pour leur prestations intellectuelles.

    N'hésitez pas à m'écrire.

    Bonne journée.
  • Bonjour je voulais savoir si tout le monde pouvait tenter sa chance dans les organismes.
    Je viens de louper le CAPES écrit...alors est ce qu'ils ne peuvent pas considérer que je suis trop " mauvais"?
    J'aimerai faire quelque chose de mes vacances !Le problème c'est que je n'ai aucunes expériences pour donner des cours ; à part expliquer à ma sœur...alors je ne sais pas du tout quel genre de prof je suis! Comment est on sélectionné? Est ce que c'est dur? Beaucoup sont refusés?
    Est ce qu'ils recrutent pendant les vacances?
    Je suis sérieux , je travaillerai avant d'aller voir les élèves; mais j'ai peur qu'on me recale !
    Merci pour vos réponses
    Bonne journée
  • aucun problème concernant ta non-admission:

    - il y a des centaines d'étudiants qui ne sont pas admissibles. Tu n'es pas le seul !! ne le dis pas.

    - le tarif des rémunérations,dans les organismes de soutien scolaire, est si peu attractif qu'ils ne sont pas regardant quant à l'embauche. Il n'y a aucun contrat de travail entre eux et toi, c'est le chef de famille qui va signer avec toi,
    simplement les organismes sont en amont, ce sont eux les apporteurs d'affaire.

    -concernant le collège, il n'y a pratiquement aucune qualification à avoir, si ce n'est la culture générale commune, en gros Thalès, Pythagore, un peu de calcul de fractions, ça ne va pas chercher bien loin, j'exagère à peine. (Ceçi dit, je ne crache pas sur le métier et la didactique,il y a rien de plus passionnant que d'analyser pourquoi un élève de 4ème a du mal à calculer avec des inconnues, à quel stade de développement cognitif il en est, etc..)

    Le boulot demande des qualités: faut naviguer à vue entre les desiderata des uns et des autres, il y a souvent des différences de sensibilité marquées
    entre les différents acteurs d'une famille.

    Mon conseil: c'est la période de révision du bac, dépose tes petites annonces chez les commerçants du quartier,proposant des révisions intensives en vue du bac, tu indique bien que tu as préparé le capes cette année et tu te fais payer en chèques CESU.

    Cordialemement,
  • Bonjour Cantal merci pour votre message.
    C'est vrai que dans ma tête c'est un peu dur. Je pense que je vais essayer de faire ce que vous me conseiller.
    Faut que je me remue, c'est ce que je me dis...mais j'ai du mal à le faire.
    Je vais envoyer une lettre de motivation et un CV une fois que j'aurais "récupéré"; je pense que Pythagore et Thalès çà va encore!
    En tout cas merci pour votre message
  • Je me permets de faire remonter cette file de messages.

    Il y a quelques semaines, sous la pression du Pôle-emploi (né de la fusion de l'ANPE et de l'ASSEDIC) , j'ai contacté des entreprises acteurs du secteur cours et soutien scolaire.
    L'entretien, en général sommaire, s'est bien passé.

    L'une m'a fait subir un petit test de connaissances, d'autres pas.
    Le recrutement se fait au niveau bac+3. Copie du diplôme et extrait de casier judiciaire exigés.

    La boîte qui "recrute" n'est en fait qu'un intermédiaire entre les parents des élèves, qui sont les véritables patrons, et les profs sélectionnés par la boîte.
    Lorsque l'entretien avec la boîte à cours particuliers a été réussi ils vous font signer un mandat. Cela n'a rien à voir avec un contrat de travail.

    En fait, à chaque fois que vous dispensez des heures de cours ou de soutien scolaire
    cela correspond à un contrat de travail dont les parents de l'élèves et vous êtes les cocontractants. La boîte règle tous les problèmes administratifs: feuilles de paie, salaires, déclarations...

    En quoi ce type d'emploi est une nouvelle forme d'esclavage et le retour aux journaliers
    du XIXème siècle.

    Si vous ne travaillez pas vous n'êtes pas payé.
    Si vous êtes malade vous ne pouvez pas travailler et donc vous n'êtes pas payé.
    Les autres salariés sont indemnisés lorsqu'ils sont malades.

    Un prof' particulier non. Et le plus drôle, il paye des cotisations sociales comme tous les autres salariés et ces cotisations servent en particulier à payer l'indemnisation liée à la maladie.


    Comme déjà indiqué plus haut, un prof' particulier travaille essentiellement quand les étudiants/élèves ne sont pas cours au lycée, collège etc.

    Les horaires d'intervention d'un prof' particulier sont plutôt en fin d'après-midi, les mercredi, samedi, dimanche toute la journée.

    C'est une profession où il est difficile d'être productif pour la raison invoquée juste précédemment et parce qu'il faut aussi tenir compte des déplacements.
    Il est rare d'avoir deux élèves dans le même immeuble ou la même rue.

    La boîte qui vous a "recruté" ne vous garantie jamais un volant d'heures minimum hebdomadaires bien évidemment.


    La concurrence est rude d'autre part. Le recrutement par ces boîtes est phénoménal.
    parce que le turn-over doit l'être également.

    Ces boîtes passent des annonces d'emploi visibles sur le site du pôle-emploi par centaines ce qui permet à ce dernier de limiter la dramatique chute des offres d'emploi, lié à la crise, en proposant des contrats de 1 à 2 heures de travail par semaine.

    Ce travail est comme la star académie: vous n'avez aucune garantie que vous reviendrez en deuxième semaine. Les parents de l'élèves peuvent interrompre le recours à vos services à tout moment. C'est la boîte qui vous avertie de l'interruption de service par téléphone.

    La seule certitude est qu'une heure commencée est une heure due.

    En général, la mise en relation entre des parents d'élèves et un prof s'effectue à l'initiative de la boîte qui vous téléphone ou vous envoie un courriel pour vous proposer un cours.
    Cette proposition mentionne le niveau de classe, (collège, lycée, supérieur) mais parfois
    vous n'avez pas l'information exacte sur le cursus scolaire de l'étudiant.

    Ce qui est un problème pour se déterminer si vous allez accepter ou refuser l'offre.
    En ce qui me concerne, pour le moment, j'ai refusé toutes les propositions éloignées de mon domicile car je suis convaincu que c'est un obstacle à la productivité.

    Dans ces boîtes, plus le niveau d'enseignement de l'élève est élevé plus l'heure de cours vous est payée chère.

    Alors il y a la tentation d'accepter n'importe quoi et se dire que vous pourrez assurer les cours et que si cet enseignement dépasse vos connaissances ou ce que vous maîtrisez réellement au moins vous empochez l'argent du premier cours.
    Il faut savoir que la boîte ne vous communique les coordonnées de l'élève que si vous acceptez la mission comme ils disent. Ce qui est assez ennuyeux. Parce que si vous découvrez que l'élève suit un cursus dont vous me maitrisez pas le programme et les connaissances il est délicat de téléphoner à la boîte pour leur signifier que finalement vous refusez après avoir accepté même si le mandat que vous avez signé vous l'autorise

    Parfois la boîte se trompe dans la formation suivie par l'élève et vous ne le découvrez que lorsque vous avez accepté la mission.

    Pour avoir donné des cours en cherchant des élèves par moi-même j'ai constaté que les gens qui font appel à ces boîtes pour trouver un prof particulier sont exigeants, voire très exigeants. Car en effet, ils paient très cher l'heure de cours: 30-40 euros l'heure pour un élève en lycée.

    Il est vrai aussi que les parents des élèves qui sont imposables sont remboursée de la moitié du montant total des sommes versées pour des cours par un crédit d'impôt sauf erreur. Cette mesure fiscale permet aux boîtes de pratiquer les prix qu'elles ont envie de pratiquer.

    Cela revient à faire financer le surplus d'éducation de certains sur l'ensemble de la collectivité alors que ceux qui ne sont pas imposables ne peuvent bien sûr pas avoir accès au même service

    A chaque fois que vous avez acceptez une mission vous devez rendre compte de la date prévue du premier cours et ensuite de la date effective du cours effectué.
    Si vous ne le faites pas on vous le demandera.
    Si vous avez donné un numéro de téléphone portable vous aurez l'impression très vite d'avoir une laisse autour du cou qui se rappellera à vous à chaque fois que la boîte vous appellera pour vous demander des comptes ou vous proposer des missions.

    Ces boîtes gagnent à tous les coups, tandis que la productivité d'un prof particulier ne peut qu'être limitée, et peuvent accroitre leur activité (en fait celles de dizaines de centaines de profs particuliers) d'une façon phénoménale.

    Si les parents, l'élève n'aiment pas votre tête, vos fringues votre présentation cela peut être un motif pour que votre offre de service soit déclinée après un premier contact de visu.

    La tolérance à l'erreur est faible me semble-t-il également.
    La sanction rapide.

    Je suppose qu'au bout de trop d'incidents (c'est à dire les fois où les parents de l'élèves ont souhaité vous remplacer par un autre prestataire) vous êtes black-listés.

    Le prof particulier n'a que rarement la maitrise de l'ordre du jour.
    A la différence d'un prof de lycée, de collège.

    J'ai été enseignant dans des classes de collège dans une autre vie, il y a longtemps.
    Je me souviens que c'est moi qui choisissait avant une séquence d'enseignement les exercices, le texte du cours à professer et qu'il y avait une préparation qui était indispensable et qu'il fallait mieux éviter l'improvisation pour maitriser la situation.

    En cours particulier, vous ne maitrisez pas grand chose me semble-t-il et donc cela laisse la porte ouverte aux erreurs.

    Une autre différence est que maitriser l'enseignement de tous les programmes de toutes les classes aucun prof de l'enseignement "traditionnel" ne sait le faire je pense.
    Et c'est ce qui est demandé à un prof de cours particulier de fait.

    L'autre différence, en faveur du prof particulier est qu'il n a pas le problème d'un groupe à gérer.

    L'univers impitoyable des cours particuliers préfigure sans doute ce que sera le salariat dans les années futures (en fait le salariat va disparaitre, les salariés deviendront des micro-entrepreneurs qui ne travailleront plus pour faire un nombre d'heures fixés par contrat mais sur la base d'un contrat à la tâche ce qui reléguera les 35heures et la limitation du temps de travail aux oubliettes de l'histoire)

    Pardon de vous avoir importuné.
  • Précaire a écrit:
    Il est vrai aussi que les parents des élèves qui sont imposables sont remboursée de la moitié du montant total des sommes versées pour des cours par un crédit d'impôt sauf erreur. Cette mesure fiscale permet aux boîtes de pratiquer les prix qu'elles ont envie de pratiquer.

    Cela revient à faire financer le surplus d'éducation de certains sur l'ensemble de la collectivité alors que ceux qui ne sont pas imposables ne peuvent bien sûr pas avoir accès au même service
    Sauf erreur de ma part, il me semble que cela a été élargi également aux parents non imposables (la réduction d'impôt est devenu un crédit d'impôt).
    Il n'en reste pas moins qu'il faut débourser les 50% restant...
  • Je vis du soutien scolaire.

    Il est tout à fait possible de gagner gentiment sa vie avec cette activité, sans rouler sur l'or, en travaillant directement avec les familles et en se faisant rémunérer en CESU.

    C'est en revanche quasi-impossible avec les organismes, en raison de la très faible rémunération qu'ils proposent.
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